Aurélie avait trois enfants, dont Madeleine, l’aînée de dix sept ans, qui était une grande bringue au visage ingrat, au gros nez, aux yeux bovins, au dessus d’une bouche aux lèvres épaisses et mouillées, mais très sensuelles, comme d’ailleurs tout le reste de sa personne, qui respirait la sensualité jusqu’au bout de ses ongles rongés. Elle ne vivait que pour apaiser ses élans et faire vibrer son corps de toutes les manières possibles, aidée en cela par Dick, magnifique Berger Allemand, qui était l’âme damnée de la famille et la faisait défaillir, à toute heure, avec sa langue un peu râpeuse et avide, mais plus encore avec sa longue lance rouge, vibrante et toujours luisante de sa propre lèche, qui lui défonçait le petit trou plissé, mais pas la chatte, car elle voulait, pure utopie, rester pucelle jusqu’à son mariage, mais qui les unissait dans des tressautements et de folles jouissances souvent renouvelées! Celles de Dick inondant le corps de Madeleine, des pieds qu’il léchait avec passion, à la bouche qui servait de grotte chaude et humide à sa lance éjaculante, sans jamais se tarir !
Mais, surtout, il y avait sa chambre, mitoyenne avec celle de ses parents et qui avait une porte communicante. Dotée d’un trou de serrure et de plusieurs noeuds dans le bois que Madeleine avait dessertis pour pouvoir les enlever et lui donner plus de champs de vision sur tout ce qui pouvait se passer dans la chambre! Ce qui la branchait, directement, sur les ébats de sa mère, aussi bien avec son mari, le soir venu, qui la faisait crier de plaisir, avec son énorme gourdin au gland écarlate qu’il plongeait, sans douceur, dans la moniche écartelée et béante d’Aurélie! Mais aussi,avec Honorine, ou Dick,ou les deux à la fois,au cours de la journée ! Et Madeleine n’avait pas trop de ses dix doigts pour faire vibrer et couler sa chatte et tout le reste de son corps lorsqu’elle regardait ce qui se passait chez sa mère !
Déchaînée comme elle l’était, Madeleine ne se suffisait plus de pouvoir regarder les ébats d’Aurélie sur, ou dans, son lit, avec ses divers partenaires! Elle voulait vivre ses propres aventures, bien au delà des caresses qu’elle pouvait se prodiguer, toute seule, le soir, dans ses draps!
Alors elle avait commencé par draguer sa voisine de pupitre,au lycée. En lui caressant une cuisse, sous le bureau. Elle eut la surprise, presque aussitôt de sentir Micheline poser sa main sur la sienne et après une petite pression des doigts et un regard, à la fois troublé et tendre, elle avait guidé la main de Madeleine, en la faisant remonter, plus haut, et en la posant sur sa culotte toute humide en disant à voix basse:-"Vas-y Caresse-moi, branle moi et fais moi jouir! J’en ai marre de me le faire toute seule !"
Madeleine, sidérée par un tel accueil, avait glissé sa main dans la culotte de la fille, et y avait trouvé une épaisse chatte, lisse et bombée, mais toute trempée de désir, dont elle s’englua les doigts avec ravissement, en s’insinuant entre les lèvres encore collées, alors que Micheline écartait les jambes pour faciliter l’accès de sa moniche à une voisine aussi entreprenante!
Elle navigua un long moment dans la fente inondée, en alternant des caresses avec la ressortie de sa main hors de la petite culotte, pour se humer les doigts et lécher la mouille qui les enduisait, avant de replonger dans la culotte pour continuer ses caresses, en prenant bien soin de ne pas être vue par la surveillante Et en même temps, cette exploration l’excitait tellement, qu’elle sentait sa chatte s’inonder, à son tour, et devenir poisseuse dans sa culotte qui lui rentrait dans la raie en devenant tortillon humide! Micheline se laissait branler, les yeux clos, et soudain, elle sentit ses jambes se tendre et elle dut se mordre le poing pour ne pas crier en pleine étude,Car Madeleine la faisait jouir en pinçotant, de deux doigts, son bouton gonflé de désir, ce qui inonda toute le main de la branleuse, d’une cyprine tiède et glissante!
A voix basse, Micheline, toute bouleversée, regardait Madeleine avec reconnaissance et se pencha vers elle en murmurant:-"Oh ! Tu m’as fait jouir comme une salope! C’était tellement bon! Mais en sortant du lycée, tu viendras chez moi! Les parents sont au travail, et on pourra se caresser toutes les deux, la chatte à l’air, pour se faire jouir ensemble et on échangera nos culottes pour les sniffer, le soir, dans notre lit! J’aime tes mains elles me font plus jouir avec tes ongles rongés et elles m’excitent bien plus que les miennes!
Madeleine était sidérée de ce qui lui arrivait : Avoir trouvé, du premier coup, une copine à branler et dont elle se promettait d’aller bouffer la chatte chez elle, ce qu’elle n’avait encore jamais fait, mais dont elle avait rêvé tant de fois, à défaut de pouvoir se dévorer la sienne!