Je mappelle Benoît, et je suis un tout jeune enseignant chimiste à lUniversité. Alors évidemment, mes étudiants sont à peine plus jeunes que moi (certains sont même plus vieux que moi). Autant dire que dans ces conditions, ce nest pas forcément toujours facile pour moi de gérer, mais dans lensemble je men sors bien.
Nous sommes près de la fin dun semestre, et avec deux collègues, nous faisons passer des soutenances individuelles à nos étudiants de L3. Nous sommes 3 pour répartir les étudiants entre chacun, pour ne pas que tout ceci soit interminable. Et cette stratégie est dautant plus appréciée, car avec ce que présentent certains, jai vraiment envie de les voir dégager Quand je vois quil y en a un qui ne fait même pas la différence entre du sulfate de potassium et du sulfate de cuivre à ce stade des études, jai envie de me tirer les cheveux !
Tenez par exemple, cette étudiante qui commence sa soutenance : jai du mal à comprendre comment elle a fait pour en arriver là Ces résultats sont catastrophiques, mais au moins, elle, on sent quelle essaie de sen sortir, pas comme dautres, qui, bien quayant foiré leurs partiels, persistent dans leur absentéisme lors des TD. Bref, voyons voir ce que ça donne avec elle.
Je ne comprends rien à ce quelle me dit, et visiblement, elle non-plus. Elle est tellement confuse dans ce quelle me raconte quelle a du mal à soutenir mon regard. Et pourtant, je nessaie pas de limpressionner ou quoi que ce soit. Par respect pour elle, je la laisse continuer, même si je sais que ça va être lhécatombe lorsque viendra le moment des questions. Je la laisse continuer, mais mon esprit nest plus attentif sur ce quelle dit. Mes oreilles ne lécoutent plus, mes mains jouent avec le stylo qui est sensé mêtre utile à prendre des notes, tandis que mes yeux parcourent létudiante de haut en bas.
Elle nest pas brillante, mais elle est resplendissante. Ses cheveux blonds et bouclés tombant sur ses épaules sont comme de lor couronnant son visage comme on aimerait en croiser plus. Elle porte une blouse blanche en coton (de rigueur vu les circonstances) quon dirait taillée sur mesure tant elle lui va bien. La blouse passe pardessus ses fesses que je devine malgré tout bien rondes. Lorsquelle a le dos tourné, je suis plus intéressé par ses fesses que la démonstration quelle tente de faire. A défaut de mavoir séduit par une bonne présentation, elle la fait par son physique.
Mes pensées sont arrachées lorsquelle mannonce avoir terminé. Je la sens angoissée par mes remarques à venir.
« Mademoiselle, je ne vais pas vous cacher que votre travail nest pas satisfaisant
_ Désolée, monsieur
_ Cest moi qui le suis. Je dois même dire que je ne sais pas quoi vous poser comme question. »
Jai limpression quelle va se mettre à pleurer. Sa réaction est pour la moins surprenante :
« Je vous en supplie monsieur, il faut absolument que jai la moyenne !
_ Je limagine bien, mais vous pensez bien que ce que vous mavez présenté ne le mérite pas, même avoir tout mon bon vouloir.
_ Pitié, je ferai nimporte quoi pour avoir ne serait-ce que la moyenne
_ Que voulez-vous faire, il est trop tard maintenant. »
Toute tremblante, je la vois défaire le premier bouton de sa blouse. La voilà qui abandonne ? Non, pas vraiment, elle a bien défait un bouton, mais cest simplement pour me montrer que sous sa blouse, elle na que son soutien-gorge !
Je ne sais pas comment réagir. Je suis seul avec cette étudiante qui me montre son soutien-gorge sous sa blouse pour tenter de grappiller quelques points. Je suis dépassé. Et encore, si ce nétait que ça. La voilà qui sapproche de moi, saccroche à mon bras et fond presque en larmes.
« Je suis vraiment prête à tout, je vous en supplie
_ Non, mademoiselle. Je nai pas le droit de faire ça. »
Je réponds ceci, tout en ayant le regard bloqué sur sa poitrine. Je nai pas le droit, mais ma bite semble me dire « fais-le, personne nen saura rien, et cette pauvre petite sera sauvée ».
Vraiment déterminée, la jeune fille pose sa main sur la bosse de mon pantalon.
« Vous navez pas le droit, mais vous en avez envie, je le sens ! »
Elle me regarde dans les yeux. Cette fois, cest moi qui ai du mal à soutenir son regard. Ses yeux son rougis de larmes. Voir tant de détresse sur son visage me bouleverse. Mais accepter quoi que ce soit me couterait ma place, voir davantage. Et pourtant
« Continuez à enlever votre blouse, et je serai un peu clément. »
Avec un timide sourire, elle se relève, et finit de déboutonner sa blouse. Je suis en train de me foutre dans la merde
Elle laisse choir la blouse à ses pieds. Très vite son soutien-gorge vient la rejoindre. Létudiante est maintenant topless devant moi.
« Ecoutez, lui-dis-je. Je vais vous mettre 8/20, mais cest bien parce que vous êtes désespérée et jolie. Maintenant rhabillez-vous et sortez.
_ Non, sil vous plaît ! La moyenne
_ Je ne peux pas, désolé. »
Dépitée elle baisse la tête, puis se penche pour ramasser ses affaires. Mois je me penche sur mes feuilles pour la noter. Lorsque je relève la tête, elle a disparu ! Pourtant sa blouse et son soutien-gorge sont toujours là. Soudain, je sens quon touche à ma ceinture. Elle est venue sous mon bureau.
« Arrêtez ! »
Mais elle narrête pas ! Elle défait ma ceinture, puis ouvre ma braguette, pour extraire de mon caleçon mon pénis, vous vous imaginez bien, en érection. Cette situation me laisse aphone. Sans mot dire, elle entoure mon gland de ses lèvres et commence une fellation.
Je vais me faire tuer si jamais quelquun lapprend ! Elle est vraiment déterminée à avoir la moyenne, au point de tromper son petit ami, qui est dans la même promo il me semble. Quel chanceux, me dis-je. Avoir une copine aussi mignonne, et qui suce aussi bien, car oui, la demoiselle suce divinement bien !
Quitte à faire quelque chose que je ne devrais pas faire, autant y prendre du plaisir ! Ainsi je me détends, au point de poser ma main sur sa tête, pour lencourager à continuer. Elle lève timidement les yeux, sans sarrêter de me pomper.
Cest sûr, je vais la lui donner la moyenne ! Et même un 15, tiens. Une aussi bonne suceuse mérite bien ça ! Et alors que je me dis ça, la sève monte en moi.
Jinterromps alors la fellation et me masturbe frénétiquement au-dessus de son visage, que je ne tarde pas à recouvrir de mon sperme.
« Allez-vous nettoyer le visage, lui dis-je. »
Elle se lève et va chercher de quoi retirer mon jus de son joli minois.
« Monsieur, pour ma note ?
_ Ne vous en faites pas, je vous mets 15.
_ Ooooh merci monsieur ! »
Cest avec un grand sourire quelle court vers moi, toujours seins nus, et quelle moffre un baiser chaud et langoureux. Cest un coup à me redonner la trique ! Mais je garde les pieds sur terre.
« Rhabillez-vous vite, jai déjà pris du retard pour les autres étudiants. »
Elle ne remet que sa blouse, rassemble ses affaires et avant de se diriger vers la porte, elle revient vers moi.
« Si je veux améliorer dautres notes, je pourrai compter sur vous ?
_ Filez, lui dis-je avec un petit sourire malicieux.
_ Merci ! Tenez, en gage de ma gratitude. »
Elle me donne son soutien-gorge, et sort de la salle.
Quand je me dis quaprès ça je vais devoir subir dautres soutenances, ça me déprime un peu, car aucune chance que ça arrive de nouveau Je plonge mon nez dans le soutien-gorge, respire le parfum de la belle qui vient de sortir, puis appelle létudiant suivant.