Histoires de sexe gratuites Histoires érotiques

Service clients – Chapitre 3

Service clients - Chapitre 3



Jour 3

Le lendemain matin, je constate qu’à l’heure d’embauche, Gaëlle n’est toujours pas là. Je demande à sa responsable d’équipe, Karine, si elle a eu des nouvelles. Elle me répond par la négative. Au bout d’un quart d’heure, je vois arriver mon employée quelque peu échevelée, quoique toujours impeccablement habillée (tailleur jupe noir, chemisier rose pâle, jambes gainées de noir et bottes à talons), le feu aux joues confirmant qu’elle avait bien conscience de son retard et qu’elle avait essayé d’y pallier. Je la laisse s’installer et je me renseigne plus tard dans la journée auprès de Karine sur les raisons de son retard. Cette dernière me confie qu’il s’agirait d’une "panne de réveil". Je ne réponds rien et j’ignore Gaëlle une partie de la journée. A une heure de la fermeture, je l’appelle sur sa ligne interne, et lui intime l’ordre de rester à son poste jusqu’à ce que je lui demande de venir me voir, même si je m’absente un moment. A une demi-heure de la fermeture, je prends mes affaires et souhaite une bonne soirée à la cantonade. La plupart me répondent, sauf Gaëlle qui me regarde, l’air étonné. J’en profite pour faire quelques courses et revient une bonne heure et demi après, sachant qu’il n’y aurait plus personne à ce moment-là. Gaëlle est encore là, assise devant son ordinateur, elle semble un peu fatiguée après sa longue journée. Elle lève la tête et semble à la fois soulagée et inquiète. Sans la regarder davantage, je rentre dans mon bureau et installe mon appareil photo dans un autre angle, toujours caché, afin qu’il prenne en plongée la petite table ronde qui me sert pour les personnes que je reçois. Au bout de quelques minutes, après m’être assuré que nous étions bien seuls, je lui téléphone "Dans mon bureau !" dis-je d’un ton sec.

Elle se lève aussitôt, laissant ses affaires en plan et marche d’un pas rapide. Elle entre après avoir frappé et se tient devant moi, tête droite mais yeux baissés, ses bras le long du corps.

Je laisse le silence s’installer afin de prolonger son malaise. J’attends…

Tout à coup, elle se souvient qu’elle a oublié quelque chose "En quoi puis-je vous être utile, Maître ?" dit-elle d’une voix mal assurée.

"Utile, je ne sais pas si tu l’es vraiment; je me demande de plus en plus si je ne t’ai pas surestimée en te faisant cette proposition de formation accélérée. Hier, tu n’as pas suivi à la lettre mes instructions, et aujourd’hui tu es arrivée en retard ! Qu’as-tu à répondre pour ta défense ? Et regarde-moi, je veux voir si tu dis la vérité"

Elle lève les yeux et je vois deux lacs azur m’implorer. Ses lèvres rose pâle s’écartent et laissent échapper "C’est mon mari, Maître ! Hier soir, j’ai été suivie dans la rue et j’ai du courir pour m’échapper. Du coup je suis tombée et je me suis déchirée la jupe et les Dim Up. Et il a fallu que j’explique tout ça à mon mari, et surtout le fait que je ne l’avais pas appelée. Il m’a reprochée de ne pas avoir tenté de le joindre d’une cabine téléphonique, et j’ai du inventer n’importe quoi pour ne pas éveiller ses soupçons. Finalement il m’a raccompagnée ici et a récupéré ma voiture, pour constater qu’elle n’était pas en panne, ce qui a continué d’entretenir ses doutes. Finalement, j’ai du être très gentille avec lui le reste de la soirée pour qu’il se calme." elle baisse ses yeux en finissant son explication.

"Très gentille, jusqu’à quel point ?"

Elle rougit violemment à ma demande "Maître, c’est ….personnel" souffle-t-elle

J’éclate de rire et elle ne peut s’empêcher de relever les yeux en me regardant, car elle ne s’attendait pas à ma réaction "Tu n’as pas encore compris, on dirait !" lui dis-je d’un air goguenard. "Lorsque je t’ai demandé d’exécuter tout ce que je te demandais, sans poser de question, ça incluait également de répondre à toutes mes questions, comme ce que je pourrais te demander pendant tes heures de loisir. Un cadre est disponible 24h/24, 7j/7. Alors ?"

Elle rougit encore plus et me regarde à peine "hé bien, heu… je l’ai embrassé et je l’ai amené dans notre chambre, lorsque les enfants furent couchés"

"Et … ?"

"Et bien, nous avons …fait l’amour"

"Qu’est ce que tu entends par là ? Je veux des détails !"

Elle laisse passer quelques secondes pour rassembler ses idées, déglutit puis souffle, comme sur le ton de la confidence "Je l’ai déshabillé, puis je l’ai embrassé partout sur le corps". Elle reprend, après avoir attendu en vain que je lui dise d’arrêter "je l’ai ….pris dans ma bouche jusqu’à ce qu’il durcisse…puis je l’ai enjambé et chevauché jusqu’à ce qu’il jouisse. Voilà, c’est tout !" elle a la tête complètement baissée à présent, humiliée d’avoir du dévoiler ces détails intimes.

"Ca n’explique pas ton retard de ce matin"

"En fait, il s’est endormi peu après et comme j’étais épuisée d’avoir couru et …enfin bref… de la suite, je me suis endormie à mon tour sans penser à mettre mon réveil. Et du coup je me suis réveillée très en retard. Malgré tout, j’ai pris la peine de m’habiller comme vous me l’aviez demandé, Maître ! Enfin, j’ai du remettre des Dim Up car je n’ai pas de bas avec des porte-jarretelles dans ma garde-robe, et à l’heure où je suis arrivée hier soir, les magasins étaient fermés" elle me regarde en cherchant du regard mon approbation.

Je me fais un malin plaisir à la regarder au contraire en fronçant les sourcils, l’air réprobateur. "D’abord, tu commences à chercher des excuses bidon pour ne pas avoir une nouvelle fois suivi mes instructions à la lettre. Ensuite, tu crois que tes problèmes personnels et tes petits démêlés familiaux vont me faire accepter un manque flagrant de professionnalisme ! Ton attitude toute entière est inexcusable !"

Je la laisse mariner un peu, attendant que son pouls s’accélère "Je vais devoir une nouvelle fois te donner une punition, tu la mérites largement, tu ne crois pas ?"

"…Non, Maître, ce n’était pas ma faute !"

"Et tu continues ! Un cadre assume ses fautes et ses responsabilités ! Sans chercher à échapper à sa sanction ! Mais je ne suis pas sûr que tu veuilles toujours le devenir…."

"Si, Maître ! Je veux devenir cadre !" répond-elle avec une force qui m’étonne

"Et donc …" laissè-je tomber

"…j’assume mes responsabilités et ma punition… Maître" répond-elle d’une voix mal assurée

"Bien" réponds-je l’air satisfait "voilà une réponse digne d’un cadre. Finalement, peut-être que je pourrai faire quelque chose de valable avec toi. Tourne-toi et lève ta jupe. Maintenant !" je finis ma phrase en haussant la voix violemment. Ca la surprend et elle se tourne en me montrant à nouveau le haut de ses Dim Up et sa culotte, noire et semi-transparente, cette fois.

"Penche-toi en avant et pose tes mains bien à plat sur la table devant toi"

Elle s’exécute et me laisse admirer sa croupe ferme. Je prends une longue règle rigide et plate dans un tiroir de mon bureau et m’approche d’elle. Elle doit se demander ce que je lui réserve, et son anxiété croître en entendant mes pas s’approcher d’elle.

"Tu vas compter lentement jusqu’à 20. Vas-y !"

"Un"

<SMACK> j’abats la règle sur les deux fesses

Elle crie, sursaute et fait mine de se relever

Je lui crie aussitôt "Ne bouge pas ! Ta punition ne fait que commencer !"

"Non ! Ca sort du cadre de notre accord ! Vous dépassez les limites !"

"Pardon ? Qu’ai-je entendu ? Tu discutes mes ordres ? Très bien !" Je m’écarte d’elle, jette ma règle sur mon bureau et me rassied à mon siège. Elle se lève lentement en massant ses fesses douloureuses et se retourne en évaluant sa situation. "Bien entendu, si tu quittes ce bureau maintenant, nos accords ne tiennent plus, et je veillerai à ce que tu n’évolues pas de sitôt ! Et si tu essaies de tout raconter, je pense que tu vas avoir du mal à faire croire que nous étions tous les deux seuls dans ce bureau ce soir, alors que tout le monde m’a vu partir avant l’heure de la fermeture"

"Vous ne pouvez pas …" commence-t-elle

Je la coupe "mais bien sûr que je peux. Et je dois te sanctionner si tu ne respectes par les règles. Mais si tu les refuses à ce point, alors ce n’est plus la peine …"

Elle baisse la tête et sa jupe, mais semble déterminée à tout arrêter. Elle commence à se diriger vers la porte. Tant pis, je vais devoir utiliser mon joker plus vite que je ne l’avais prévu. Je l’arrête d’une phrase "Ah, au fait, je voudrais te faire un petit cadeau de départ". Tout en parlant je sors une enveloppe marron d’un tiroir de mon bureau et je lui tends. Elle se retourne et revient vers moi, la prend d’un air interrogateur.

"Ouvre-la, vas-y !"

Elle regarde à l’intérieur avant d’en sortir des photos, et je ne peux dissimuler un sourire lorsque je vois ses yeux s’écarquiller et son visage prendre une expression horrifiée.

"C’est fou comme les appareils photo modernes peuvent capturer de belles images. Il faut dire que tu es photogénique, tout sourire avec ta jupe relevée, en train de montrer ta culotte à n’importe qui. Bon, on ne voit pas bien où tu es ni à qui tu montres tes dessous avec autant d’entrain, mais je pense que ça intéressera ton mari et ça l’éclairera sur tes retours tardifs à la maison. Tout ce que je souhaite, c’est qu’elles ne tombent pas entre les mains de tes enfants, ça risquerait de les traumatiser !"

Elle me regarde, l’air effondrée. "Vous n’oseriez pas …"

"Ah bon, et pourquoi ?" Lui réponds-je froidement "A partir du moment où tu n’es plus sous ma protection -à mes conditions, que tu connais-, je pense qu’il est de mon devoir d’informer ta famille de ta moralité douteuse" et je termine ma phrase avec un sourire narquois.

"Espèce de ….."

"Tut tut tut ! Ne dis rien que tu pourrais regretter par la suite. Bon, qu’est-ce que tu décides ? Tu acceptes ta punition ou tu t’en vas ? Tu as 3 secondes"

Je ne peux m’empêcher de ressentir un poids sur la poitrine, car malgré mes menaces, je ne suis pas certain de pouvoir utiliser ces photos sans risque pour moi. Et si je ne les utilise pas, comment vais-je pouvoir continuer à respecté de Gaëlle si elle n’accepte plus ma domination ? Ces 3 secondes me paraissent interminables… Et puis, lentement, je la vois revenir vers la table, tête baissée, les yeux laissant écouler des larmes discrètes et je me crois dans un rêve lorsqu’elle relève à nouveau sa jupe et pose ses bras bien à plat sur le plateau. Je la laisse ainsi une dizaine de secondes avant de sortir de mon état second, et de me lever prestement en reprenant ma règle.

"Tu as fait le bon choix. Néanmoins, tu comprendras que tout se paie, et ton comportement ne fais pas exception à la règle. C’est pourquoi je vais reprendre la punition de départ – soit 20 coups – à laquelle je vais ajouter une autre punition pour insubordination – soit 20 autres coups – et enfin un rappel des règles de base -tu t’es adressée à moi incorrectement-, soit 10 autres coups, ce qui nous fera un total de …. ?"

"50 coups de règle !" S’exclame-t-elle en relevant la tête "Je ne pourrai pas …."

"Mais si tu pourras, et en plus c’est toi qui compteras, et si tu te trompes je recommencerai; et à la fin tu me remercieras pour la leçon que je t’aurai inculquée."

Elle ne répond pas, je crois qu’elle a compris. Je me positionne à côté de sa croupe, je relève un peu sa jupe pour bien dégager ses fesses, et avec ma chaussure droite je donne des petits coups sur sa botte gauche, afin de la forcer à écarter les jambes davantage. Ceci a pour effet de la faire se cambrer davantage, et donne un aspect encore plus érotique à sa posture. J’en profite pour actionner à nouveau ma télécommande et prendre quelques clichés supplémentaires. Brusquement je lève ma règle et l’abat sur la fesse gauche. Elle fait un bruit mat en s’abattant. Gäelle crie de surprise, même si elle s’attendait à la douleur. J’attends deux secondes avant de l’entendre prononcer "Un !" Après deux nouvelles secondes j’abats à nouveau la règle "Deux !" Siffle-t-elle. J’alterne pendant une dizaine de coups entre sa fesse gauche et sa fesse droite, elle continue de rythmer mes coups de son comptage, entrecoupé de sanglots. Puis je décide de varier un peu et je cingle le gras de son postérieur, à la naissance de ses jambes, en visant la chair dénudée. Je reviens ensuite sur le haut de sa culotte, entamant le bas du dos, à la limite de sa jupe. A 43, elle bafouille et se trompe. J’attendais ce moment avec impatience "Allons bon, tu ne sais donc pas compter jusqu’à 50 ? Dommage. Allez, je vais te faire une fleur, on recommence à 40 seulement". Les 10 derniers coups sont abattus avec rage, elle se cambre à chaque fois et s’agrippe à la table de toutes ses forces, ses phalanges blanchissent sous l’effort. Son rimmel a coulé et son maquillage est dévasté. Elle est secouée de sanglots et elle a du mal à compter de manière audible. Pourtant elle finit par dire "50 !" avant de s’écrouler de tout son long sur la table.

Je la laisse reprendre son souffle quelques dizaines de secondes avant de faire le tour et m’approcher de son visage. Mon bassin est à sa hauteur et je ne peux m’empêcher de bander dans mon pantalon en la voyant ainsi, à ma merci. Qu’est-ce que j’aimerais ouvrir ma braguette et forcer sa bouche avec mon sexe, afin qu’elle l’engloutisse jusqu’au fond de sa gorge. Mais non, ce sera pour plus tard, il faut d’abord obtenir sa soumission totale, et nous n’en sommes pas encore là; l’épisode précédent me l’a prouvé. Je lui demande "Hé bien, j’attends …"

Elle soulève peu à peu la tête en me regardant, et en se relevant sur ses avant bras, et se souvient tout à coup "Merci ….Maître !" dit-elle d’une voix éraillée avant de baisser à nouveau la tête et d’éclater en sanglots.

Je passe derrière elle et baisse sa jupe, avant de la remettre droite et la pousser gentiment hors de mon bureau. "Rentre chez toi à présent, tu as besoin de te reposer. Un conseil : passe d’abord aux toilettes te refaire une beauté, ton mari pourrait se demander ce qui t’es arrivé" Je ne peux m’empêcher de glousser en ajoutant "et ne te montre pas de dos nue ce soir, il pourrait se demander où tu t’es assise !"

Sur cette dernière phrase, je ferme mon bureau et récupère ma carte dans mon appareil photo avant de prendre mes affaires et partir à mon tour. J’entends des pleurs convulsifs qui proviennent des toilettes des femmes, et je ne peux m’empêcher de sourire en entrant dans l’ascenseur.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire