Qu’est-ce que je pouvais bien foutre dans un salon d’esthéticienne ?
Un jour où je devais être tout beau pour me rendre à un mariage, sous les conseils de ma femme, je prends rendez-vous dans un institut de beauté. Je prends la totale, sourcils, manucure, soin du visage, tout est prévu.
Je me présente, un peu penaud, aussi à l’aise dans ce temple de la beauté féminine qu’un lapin dans un colloque de chasseur…
Je suis accueilli par Magali, une charmante jeune femme d’une trentaine d’années, brune aux cheveux bouclés, plutôt de petite taille, sensuelle sans être grosse. Évidemment, comme il convient dans ce genre d’endroit, elle est parfaitement apprêtée maquillée. Un tailleur blanc bien dessiné qui marque bien la taille, coupé en haut des cuisses, c’est l’uniforme de l’institut, des bas résille, escarpins rouges, maquillage une peu surchargé, un gloss faisant briller ses larges lèvres pulpeuses.
Mais quand elle m’accueille, je remarque les deux boutons ouverts du haut de son tailleur qui font ressortir son décolleté. Mon regard plonge dans la vallée située entre les deux collines bien rebondies de ses seins et se noie. Elle me sourit, ses yeux coquins me font bien comprendre qu’elle a bien vu l’effet qu’elle produisait sur mes hormones. Elle en profite, la garce, elle remonte son bustier pour bien mettre en avant sa poitrine, elle me tient, elle le sait.
La séance se passe bien, elle est douce, attentionnée. Quand elle me pratique ses petits soins, elle me regarde toujours droit dans les yeux, toujours avec sa voix douce, et son sourire coquin. Ses mains sont particulièrement chaudes quand elles les appliquent sur mon visage. C’est moi ou elle les laisse se balader sur ma peau un peu plus longtemps que nécessaire ?
Si elle me fait de l’effet, j’ai bien l’impression que c’est réciproque, ou du moins c’est l’impression qu’elle veut me laisser.
Pas du tout détendu par la séance, mon sang est remonté sur mon visage, je suis tout fébrile, je me relève pour payer. Je n’oublierai jamais son "au revoir" qu’elle me lance tout en regardant la boursouflure sur mon pantalon.
Tout le reste de la journée, je ne pense qu’à cela, je n’arrive pas à me sortir Magali de la tête. Le soir, dans le lit, j’attrape ma femme comme une chienne et je la saute avec vigueur. Tandis que je lui distribue de frénétiques coups de queue, mes yeux profondément fermés, je m’imagine jouissant entre les jambes de Magali.
Le mariage passe, trois jours de plus passent, rien n’y fait, je pense encore à cette salope d’esthéticienne, elle m’a allumé, je suis en feu, je reprends rendez-vous…
Elle m’accueille avec un large sourire, limite hilare, elle se doute bien que ce nest pas la régularité de mes ongles qui me préoccupe.
On s’isole dans la petite cabine.
Alors Monsieur Félix qu’est-ce qu’on fait cette fois-ci ?
le visage je lui réponds"
Elle m’assoit sur le siège, se penche vers moi et mes yeux plongés dans son décolleté, je passe ma main dans la courbure de ses fesses. Elle cambre sa croupe, elle accepte la caresse, elle est à moi la salope !
Tendrement, elle approche ses lèvres et m’offre un baiser langoureux, sa main caresse mon torse et cherche mes boutons. Évidemment, je ne vous raconte pas l’afflux d’hormones dans tout mon corps.
Je me lève brusquement, elle a un hoquet de surprise, je l’attrape violemment par le cou, je serre un peu, je la plaque contre le mur.
"Connasse ! Pas comme ça, c’est moi qui mène la danse, t’as compris salope ?
gargl !… hmmf…, elle hoche de la tête.
tais-toi salope ! laisse-toi faire.
Je desserre à peine mon emprise qu’elle respire quand même, je descends mon autre main dans son entrecuisse, le tissu de sa culotte est plein de mouille. Jenfonce deux doigts profondément dans sa chatte…
Hmmmf ! gargl…
ta gueule connasse, tu vas nous faire repérer.
J’arrête de l’étrangler, je remonte mes deux doigts mouillés et les présente à sa bouche, Magali les enfourne et les suce avidement. J’en profite pour enlever ma ceinture, je baisse mon pantalon et libère ma bite de mon slip.
Je l’attrape par les cheveux et la force à se mettre à mes genoux. Avec la même avidité, Magali avale ma bite et commence à me sucer, c’est trop bon…
elle y met du cur cette chienne, elle fait tourner sa langue autour de mon gland, ses lèvres s’appliquent sur le tronc de ma bite, elle me masse doucement mes petits testicules…
J’ai bien envie de lui exploser en pleine bouche, mais j’ai une meilleure idée, je l’attrape de nouveau par les cheveux et je la relève.
J’arrache sa chemise, des boutons volent dans la cabine, j’arrache son soutien-gorge, ses deux énormes seins se libèrent, j’enlève sa culotte, je vois sa mouille qui coule sur ses cuisses.
Je me jette sur son corps, j’attrape ses gros seins et je les masse et je les suce avec avidité. Ma bouche descend sur sa chatte, une petite touffe tondue au-dessus d’un trou dégoulinant de désir. Je lèche goulûment la salope, je l’entends suffoquer de plaisir.
Je la prends par la taille, je la retourne et je la pose au sol. Je ne suis pas violent, mais mes gestes sont précis et fermes. Je relève sa croupe, elle se met à quatre pattes. À genoux derrière elle, j’introduis mon sexe, il glisse tout droit dans son vagin. Elle enfonce sa tête dans le sol en grognant de plaisir tandis que mon bassin ondule. J’entre ma queue le plus profondément possible dans ses entrailles. Jaccélère mes assauts, j’attrape ses fesses et j’enfonce bien mes ongles dans son gras. Tout en continuant ma levrette, j’enfonce un doigt dans son anus. Hummmm la salope tressaille de partout, elle mériterait bien de se faire enculer cette grosse chienne. Mais il est trop tard, ma bite est trop bien dans sa chatte, je n’ai plus assez d’énergie pour la sodomiser.
Je me retire quand même, un filet de mélange de foutre et de mouille crée un éphémère pont entre le bout de ma queue sortante et son trou laissé béant. Avec ma main, je pointe vers son anus et je décharge trois bonnes giclées de sperme bien chaud.
Je reprends ma respiration, je contemple son magnifique cul, luisant de sa transpiration, et tout barbouillé du gel blanchâtre que je viens de lui déposer. Avec mon doigt, je m’amuse à racler et à ramener cette précieuse semence vers son trou arrière. J’enfonce bien mon doigt dans son cul, et je tasse bien. Magali est immobile, toujours sa tête sur le sol, la bouche entrouverte, elle respire profondément, les yeux fermés.
Hop ! terminé! J’ai bien fourré cette salope, une bonne claque sur les fesses, je me relève et me rhabille. Elle fait de même. On n’ose pas se parler ni se regarder pendant ce moment. Une fois fini, je lui fais un petit bisou sur la joue.
Je paye, avant de me casser, je ne manque pas de remarquer le visage stupéfait des collègues de Magali. Je comprends qu’on na pas été aussi discret que cela. Je m’en fiche, j’ai les couilles vides, je suis épuisé, mais je me sens léger, je me tire…
Autant dire que je vais souvent prendre rendez-vous chez mon esthéticienne salope…