Elise, la mère de Chloé, avait maintenant des liens très forts avec sa fille, non seulement affectifs mais sexuels aussi, un amour passionnel les unissait.
Le soir après le repas, elles aimaient se retrouver sur le canapé, regardant la télé, serrées l’une contre l’autre. Le programme n’avait guère d’importance, elles se sentaient bien ainsi. De temps en temps elles essayaient une caresse sur un sein ou la cuisse. Toutes deux savaient que, bientôt, elles allaient se retrouver dans la chambre de l’une ou de l’autre, qu’elles se mettraient nues, qu’elles s’étreindraient avec amour, que leurs sens exacerbés, allaient les obliger à se donner des caresses beaucoup plus intimes mais elles retardaient au maximum ce moment sachant que le plaisir n’en serait que plus violent.
Le plus souvent c’était Chloé qui, impatiente de recevoir les caresses, les baisers de sa mère, démarrait les ébats. Elle prenait la main de sa mère et la guidait jusquà son entrecuisse. Elise se laissait faire, comprenant l’état d’excitation dans lequel était sa fille, mais par jeu, sa main restait passive, alors Chloé frottait la main inerte de sa mère sur sa chatte.
Elise s’amusait de voir sa fille se démener, pour essayer d’obtenir son premier orgasme de la soirée.
Elle aussi était dans le même état mais privilège de l’âge, elle possédait un meilleur self-control, puis, voyant Chloé s’énerver, elle l’embrassait passionnément sur les lèvres, puis descendait lentement sa bouche, d’abord vers les seins, de beaux petits seins, en forme de pomme, dont elle agaçait les tétons, continuait sa descente vers le ventre et le pubis.
Les jambes de sa fille s’écartaient, comme pour lui dire: "oui, viens, regarde comme je mouille". Elise regardait le minou de sa fille, dont les petites lèvres gonflées dépassaient de façon obscène, et son clitoris érigé n’attendait que le baiser de la délivrance.
De par sa position, Elise avait sa chatte à hauteur du genou de Chloé et par des mouvements lents du bassin, entretenait une excitation permanente pendant qu’elle léchait l’abricot de sa fille, avec avidité cette fois, mettant fin au supplice de Chloé.
Très vite un flot de cyprine lui envahissait la bouche. C’était le premier et toujours plus rapide orgasme de sa fille, sachant que plusieurs autres suivraient.
Profitant de l’inertie de sa fille due à sa jouissance, Elise en profitait pour accélérer les mouvements de son bassin et de se faire ainsi jouir d’un timide orgasme, sachant que le plat de résistance viendrait dans quelques instant. C’est épuisées mais heureuses qu’elles s’endormaient enlacées
Certains soirs, lorsque le programme télé ne les intéressait pas, elles aimaient à discuter et, souvent il était question de sexe.
— Comment as-tu découvert la masturbation demanda un jour Elise à sa fille?
— Ce fut la première année où tu m’as envoyé en vacances chez tante Lucie.
— Ma jeune sur?
— Bien sur, tu en connais beaucoup de Lucie. Je sentais bien que mon corps se transformait j’avais l’âge où les garçons commençaient à tourner autour de moi allant même avec une certaine fierté, me montrer leurs zigounette Je faisais la fille blasée mais je regardais quand même leurs attributs, avec intérêt surtout que le plus souvent ils étaient en érection.
Dans mon lit, le soir, les images de ces zizis que j’avais vus me procuraient de drôles de sensations dans le bas de mon ventre.
— Et c’est à ce moment là, que tu as commencé tes caresses sur tes parties intimes, mais quel est le rapport avec tante Lucie?
— Non à ce moment je n’avais pas encore trouvé le chemin de mon minou. Tout à commencé chez tata. Dans sa belle villa du sud de la France, elle avait invitée, en même temps que moi, la sur de son mari qui avait une vingtaine d’année à l’époque. Il faisait très chaud et après le déjeuner, nous avions pris l’habitude de faire la sieste mais le plus souvent les adultes plaçaient leur transat au bord de la piscine, sous d’énormes parasols. J’avais remarquée que tata et sa belle-sur Elodie enlevaient leur haut de maillot. Elles avaient de beaux seins et je les enviais, moi avec ma poitrine presque plate. Tonton, lui, avait un maillot de bain genre boxer, très moulant qui laissait deviner un zizi dont la taille était nettement supérieure à ces petites bites que j’avais vue jusqu’à présent. De ma fenêtre en me penchant un peu, j’avais vue sur la piscine mais je ne m’étais jamais attardé à la regarder sauf une fois où, avant de monter dans ma chambre, il m’a semblé que tante Elise passait sa main sur la bosse qui déformait le maillot de son mari, un geste furtif mais qui m’avait troublée. Aussi, pour une fois, je me tordais le cou pour regarder ce qui se passait sous les parasols et là, je vis une chose que n’aurais jamais imaginée, ma tante tenait le zizi de tonton dans sa bouche et le suçait comme elle l’aurait fait avec une sucette. Malgré l’éloignement je remarquais que le sexe de tonton avait pris d’autres dimensions, il me paraissait énorme d’ailleurs tata avait beaucoup de difficulté à le prendre en bouche. Ce spectacle me procura une certaine excitation au bas de mon ventre et pour la première fois j’y portais la main pour essayer de calmer les picotements mais mon excitation atteignit son paroxysme, quand Elodie arriva. Je pensais que sa venue allait remettre le couple dans une position décente mais non, tata léchait le sexe avec plus d’ardeur encore. Elodie s’agenouilla entre les jambes d’Elise et plaqua sa bouche sur le minou de ma tante. C’est ce nouveau spectacle qui m’obligea à entrer mes doigts plus profondément dans ma chatte, comme tu me fais en ce moment maman chérie. Non, n’arrête pas.
— Et tu as eu ton premier orgasme conclut ma mère.
— Oui maman aussi fort que celui que je vais avoir maintenant. Aaaah
— Que s’est-il passé ensuite demanda ma mère?
— Ce fut pareil chaque jour, avec des variantes, Elodie suçait son frère pendant que tata la gouinait, tonton pénétrait l’une ou l’autre et moi, à chaque fois je me faisais jouir.
— Et bien, je savais que ma sur était chaude mais je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse aller jusqu’à là.
— Maman, tu veux bien que je te caresse la chatte, j’adore ça. Dommage qu’à l’époque j’étais trop jeune, j’aurai aimé participer.
— Oui ma chérie, branles-moi et parles-moi encore de ma salope de sur.