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Voisine dominatrice – Chapitre 1

Voisine dominatrice - Chapitre 1



Toujours une traduction tres libérale d’un texte de Steffie Sissy et surtout la fin completement inventée en prenant des scènarios à droite et à gauche

F-H & H-H Voisine Utile ou un directeur devient sissy soubrette docile pour son grand plaisir (par Steffie Sissy)

Rencontre avec la vieille voisine

Javais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui était le plus jeune et le plus dynamique directeur de lentreprise, sous ses ordres je précise, mais question physique loin dêtre un dieu grec malgré ma belle gueule.

Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel aux Caraïbes. Prêt à vivre une vie parfaite dans un quartier huppée de la ville. Malheureusement comme tout le monde jai un coin sombre et les miens sappelle lingerie féminine. Jadore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie quelle soit de satin ou de nylon pourvu quelle est beaucoup de dentelle et de ruban. Je suis incapable de résister.

Mon éducation stricte et chaste que mavait donné mes parents mavait retenu jusquà larrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout je ne voulais pas quelle me prenne pour un pervers et préfère divorcée. Au lieu de cela jai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les deux.

Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week end parfoi, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourdhui justement cétait le cas.

Comme toujours cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche quaprès avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de chose et dautres et lavoir longuement embrassé sur le pas de la porte.

Enfin seul tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je nhésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la natation? Daprès ce quon ma dit les nageurs se rasent les jambes car leau glisse mieux ainsi. Moi cest plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.

Par contre si jai quelques poils jai la chance davoir un corps fin donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général je me cantonne aux affaires qui se trouvent dans la corbeille de linge sale car sous lexcitation il marrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car cest elle qui lave à la main ses sous vêtements.

Aujourdhui je suis une futur femme chanceuse car dans le panier à linge il y a un magnifique corsage de satin rose pale et, assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublé de dentelle noire. Une pure merveille. Sil y a porte jarretelle il doit y avoir des bas donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui fait que je me suis constitué une petite réserve dans lappartement et justement jai plusieurs paires de bas.

Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à macheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente dabord, vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse quest le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille la bête qui dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation le corsage étant cintré il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que jenroulais tout doucement puis déroulait le long de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de ses jambes pour savourer le toucher de temps de douceur. Jadorais être ainsi emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nuds roses foncés, je mattardais voluptueusement au passage de mon pénis avant de le fixer à ma taille. Plus quà attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serré. Jadorais en marchant ou en masseyant avoir cette sensation demprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur les bas. Vint ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à lenfiler mais bien sur elle ne pouvait contenir ma queue toute droite. Maintenant je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant lautre comme les mannequins starlettes pour faire crisser lun contre lautre la paire de bas. Ma queue est droite mais jévite dy penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début maintes fois il ne me fut pas possible de résister et jéjaculais, dorénavant jessayais de résister plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne mempêchait pas ensuite de récupérer et de reprendre mon petit jeu tout le reste de la journée.

Mais pour linstant la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlait ma queue sans oser insistait si je voulais tenir. Je poussai un gémissement lorsque jentendis

Toc Toc Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait il être? Personne ne savait que jétais ici !. Mon cur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés, personne ne peut me voir. Le mieux cest de ne pas bouger, limpertinent partira. Impatient mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.

Toc Toc Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. Jai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis chez moi. Je ne fais de mal à personne alors quil sen aille que diable !

Toc Toc Toc ! Cette fois ci le ton est plus impérieux. Quelquun sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister ainsi. Cest ma voisine Mme Jones, une forte dame dune cinquantaine dannée. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. Jétais bien embêté car je devais aller lui ouvrir pour pouvoir me débarrasser delle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais un pull à grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket complétera le déguisement. Un dernier coup dil sur le miroir pour contrôler que rien nétait visible et jallais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, cétait une excitation érotique intense. Vivement que je me retrouve de nouveau seul, ce sera grandiose je le présentais.

-« Bonjour Paul, je savais bien que vous étiez ici » mannonça tout de suite ma grosse voisine aux cheveux gris.

-« Que puis faire pour vous Madame Jones ? » demandai je le plus aimablement possible.

-« Jai un problème de chauffage Paul et il semble quil va faire très froid cette nuit, pourriez vous venir maider et voir la chaudière »

-« Je suis désolé Mrs Jones mais je ny connais rien » répondis je en voulant fermer la porte.

-« Venez au moins jeter un coup dil sil vous plait, il va faire froid et je serai toute seule ce soir » plaida telle.

-« Allons-y » dis je en soupirant et de la main lui demandant de me précéder.

Je suivis donc la grosse dame dans sa robe fleuri. Ses grosses fesses roulaient sous le tissu et bizarrement cela mexcitait. Surement du à mon propre corsage qui frottait doucement sur ma peau.

-« Merci beaucoup de vouloir maider Paul » dit elle en pénétrant dans le couloir et mindiquant des escaliers qui devaient monter dans les chambres.

-« Votre chaudière est là haut ? »

-« Oui il faut monter » répondit elle avec un drôle de sourire. Jallais monter lorsque la voix de Mrs Jones me figeât sur place

-« Les chaussures sil vous plait »

-« Pardon ?» Javais très bien compris mais cela me posait un problème.

-« Retirer vos chaussures sil vous plait, vous ne voudriez pas salir ma moquette nest ce pas ? »

Jhésitais à répondre car je navais que deux solution soit partir en claquant la porte et me fâcher avec la voisine, soit essayer de biaiser. Mon éducation mempêchait de me fâcher abruptement sans raison précise donc jai tenté de dire

-« Je suis désolé mais je nai pas de chaussette ». Ce qui était vrai puisque cétait des bas.

-« Il vaut mieux des pied nus que des chaussures sales » fut sa réponse catégorique et je du donc mexécuter en souhaitant être le plus discret possible et profiter de lombre du couloir. Sans succès car ce que je craignais arriva

-« Vous portez des collants ? » sétonna-t-elle. Je la regardais rapidement, elle nétait pas choqué mais amusé, ce qui me rassura un peu.

-« Je vais vous expliquer » commençai je maladroitement mais Mrs Jones avait avancé sa main pour meffleurait le côté de ma cuisse

-« Ah non vous avez un porte jarretelle, ce sont des bas » en me désignant mes pieds.

-« Sil vous plait Mrs Jones laissez moi vous expliquer » essayant ainsi de reprendre un peu le contrôle de la situation. Elle minterrompit

-« Et Janet votre charmante épouse est au courant ? »

-« Non et elle ne doit pas le savoir » en essayant de prendre un ton intimidant mais cela ne prenait pas, son sourire sétait considérablement élargi.

-« Montrez-moi ce que vous portez dautres sur vous Paul »

-« Pardon vous voulez que » Jétais incrédule

-« Faites moi un streap-tease ici ou sinon Janet apprendra quelle est marié avec un pervers » insista lourdement Mrs Jones. Comme jhésitais elle sapprocha dun guéridon ou trônait le téléphone et sen empara.

-« Daccord, daccord » lui dis je affolé en commençant à défaire mon pantalon. Heureusement la seule fenêtre donnant sur lextérieur était en verre dépoli..

La voisine me découvre travesti et en profite

Je me tenais devant elle, honteux, les mains bêtement devant mes parties lorsquelle me fit un geste impérieux du doigt qui sans équivoque me demander de retirer aussi le haut. Ainsi jétais devant elle, les joues rouge, en corsage, porte jarretelle, bas fumés et panty. La totale, il y aurait plus manqué que la jupette et les talons aiguille pour me rendre encore plus ridicule.

-« Les mains le long du corps ». Cétait un ordre sec, autoritaire. Jobéis immédiatement.

Je me sentais comme une mouche pris au piège de la toile de laraignée, comme un esclave vendu en place publique, comme un objet sur un socle à vendre dans une boutique, les comparaisons qui me sautaient à lesprit mempêchait de réfléchir tandis que Mrs Jones son sourire narquois sur les lèvres tournait lentement autour de moi.

-« Vous aimez bien vous habiller en fille nest ce pas Paul ? » Cétait une évidence. Je répondis sur la défensive

-« Juste les affaires de ma femme et de temps en temps seulement, je ne fais de mal à personne »

-« Vous ne faites de mal à personne ? Mais si mon petit Paul à votre femme que vous trompez en cachant vos travers. Si cela se trouve vous en avez dautres »

-« Mais non je vous assure « commençai je de nouveau à plaider plaintivement, tout orgueil partit.

-« Que pensez vous pouvoir faire pour empêcher Janet de découvrir le pervers que vous êtes ? »

Ainsi donc cétait tout simplement du chantage

-« Vous pensez à combien dargent Mrs Jones ? »

-« Je ne veux pas de votre argent, je veux ce que vous voulez si vous ladmettez «

-« Mais quest ce que je dois admettre ? » je présentai ce quelle voulait me faire admettre mais cela me faisait peur

-« Je veux vous habiller en fille Paul et cest ce que vous voulez au fond de vous». Bien sur que jen rêvais mais Mrs Jones était une grosse personne boudiné dans sa robe fleurie, aux chaussures sans talon qui faisait au moins deux fois mon âge et je me voyais mal lui faisant lamour.

-« Non non je ne veux pas être habillé en fille » répondis je tout en réfléchissant comment sortir de cette situation.

-« Vous êtes vraiment sure que vous ne voulez pas être habillé en fille ? » insista telle en me caressant mes fesses à travers le satin et dune voix si sensuelle et si rauque que jen étais troublé. Bien sur que jaurais aimé cela mais pas par cette voisine trop grosse et trop vieille pour moi. Mrs Jones continua à me caresser les fesses et imperceptiblement je bougeais pour que sa main senfonce un peu plus entre mes deux globes. Elle était légèrement contre moi et je maperçus que sa robe que je pensais en coton était en vérité en soie de grande qualité, extrêmement lisse et brillante. Je me sentais pris dans un filet mais un doux et féminin filet que jappréciais. Lorsque sa main frôla le devant de ma culotte jétais dans un état de confusion totale, cette grosse femme arrivait à éveiller des sensations que même Janet ma femme parfaite navait pas su éveiller.

Tandis que sa main droite glissait en douceur le long de mon pénis qui bandait comme un fou et que sa main gauche me caressait entre les fesses elle me demanda de sa voix sensuelle

-« Vous aimez la douceur du satin, nest ce pas Paul ? »

-« Oh oui ! Oh oui ! »

-« Vous aimez lorsque je joue avec vous à travers le satin de votre culotte et vous caresse vos jolie petites fesses nest ce pas Paul ? »

Je ne pouvais que gémir pour toute réponse, ma queue toute droite qui dépassait de la culotte ne faisait que confirmer ses dires.

-«Cela vous rend si féminine, si sexy si sissy, vous devenez une sissy boy nest ce pas ? ».

Sa main glissait toujours de haut en bas sur mon sexe, je navais jamais eu une érection aussi grande, aussi dure de toute ma vie et elle continuait à enflammer dautre sens en me caressant mes jolies fesses comme elle disait.

-« Vous aimez sentir votre sperme monter dans votre queue » continua telle de sa voix rauque qui me poussait au bout de mes désirs. Jétais près dexploser et ma bite se balançait au rythme des caresses de la main de Mrs Jones qui me masturbait toujours délicatement.

-« Vous voulez que je vous fasse jouir sissy boy ? Il faudra me supplier »

-« Quoi ? Supplier pour quoi ?»

-« Vous allez me supplier de faire de vous une fille, ma fille » Sa main sest avancé dans les plis de mes fesses à travers le satin. Jétais tendu comme jamais attendant sans oser respirer que la caresse se précise. Je savais ou elle voulait aller et je nosais espérer lorsque son doigt se posa à lentrée de mon trou intime. Je me sentais pris dans des filets de plus en plus serrés tandis que son doigt jouait avec mon trou.

-« Vous devez me supplier en mappelant Mumm et vous, vous devenez Paula. Suppliez-moi !

-Sil vous plait Mrs Jones faites moi jouir

-Vous pouvez faire beaucoup mieux que ça sissy Paula et je suis Mumm pas Mrs Jones me répondit elle avec dans sa voix rauque et sensuelle une note dangereuse qui me fit comprendre que jétais bien une mouche pris dans une toile.

-« Sil vous plait Mumm, sil vous plait faites jouir votre sissy boy, votre Paula, sil vous plait Mumm »

Je perdais toute notion devant les furtives caresses sur ma queue et mon trou sans aller au bout. Elle était diabolique et sarrêtait toujours au moment ou jaurais du éclater. Elle serrait à ce moment mes boules et lenvie disparaissait pour reprendre encore plus fort ensuite. Elle était diaboliquement perverse. Je la suppliais comme si ma vie en dépendait.

-« Vous serez une petite fille sage qui acceptera que je lhabille ? Vous serez sissy Paula une fille, ma fille ? » Insista ma nouvelle mère.

-« Oh oui Oh oui tout ce que vous voudrez Mumm mais faites moi jouir Mumm, je serai votre Paula Mumm »

-« Bonne fille » me dit Mumm et elle prit dune main ferme ma queue et de lautre passa sous le satin de la culotte et menfonça lentement son doigt dans mon trou qui nen pouvait plus dattendre. Elle se mit à le remuer et je me pâmais comme jamais de ma vie. Je jouissais de lintérieur comme de lextérieur, jétais devenu un esclave sexuel de ma propre volonté, un esclave du satin et des douces et sensuelles caresses de Mumm.

Chaque mouvement lent et tendre de son doigt dans mon anus me faisait gémir et donnait des spasmes à ma bite. Tout mon corps nétait que sexe. Ce corps qui se collait contre le doux contact de la robe de satin de Mumm, ce corps qui poussait la main de Mumm à senfoncer encore plus loin dans mon trou. Ce corps qui déplaçait ma bite pour me masturber dans la main qui lencerclait.

-« Je veux beaucoup de crème dans votre panty Paula, beaucoup pour montrer à Mumm que vous êtes une sissy boy obéissante ». Ce que je vis par vagues successives qui me faisaient chanceler et trembler de la tête aux pieds tandis quelle gardait sa main autour de ma queue pour continuer de la branler et son doigt sactivant dans mon trou bien plus large maintenant.

Je finis par mécrouler comme un tas dans le couloir. Mumm me sourit triomphalement.

-« Maintenant Paula vous avez besoin dune bonne douche, suivez moi à létage » me dit fermement Mumm tout en prenant mes anciens vêtements dhomme et commençant à monter sans attendre de réponse..

-« Oui Mumm » répondis-je dune voix épuisé. Je commençais aussi à monter sur mes jambes flageolantes et en essayant de sortir délicatement satin de ma culotte enfoncé dans mon anus.

Je la suivis dans une grande chambre ou trônait un immense lit avec curieusement un immense miroir au dessus de la tête. Le long des murs des placards et des gardes robe de style qui rendait la pièce très féminine et de bon gout.

Je dus me déshabiller entièrement, mettant ma lingerie souillée dans un coin avec mes vêtements dhomme et elle me dirigea vers la douche. Jobéissais un peu comme un pantin encore dans les brumes de la jouissance quelle mavait faite. Leau quelle mit était un peu trop chaude pour mon gout mais je nosais pas discuter. Elle me montra aussi les savons et produits de toilette que je devais utiliser, tous dégageait un fort parfum féminin. Jallais sentir bon mais cela maffolait un peu car je me demandais comment ensuite pourrais-je cacher cette odeur enivrante à ma femme ce soir.

-« Vos jambes sont trop poilues vous allez devoir les raser » cria Mumm depuis la chambre

-« Mais comment vais-je expliquer cela à Janet ? » dune voix inquiète

-« Je suis sur quune fille intelligente comme vous trouvera une solution, de toute façon cest sans appel »

Enfin propre, lisse, douce et rasé je rejoins Mumm qui attend avec impatiente dans la chambre.

-« Vous avez pris votre temps ! » me dit elle en se dirigeant vers une commode et sortant un ensemble blanc assorti de sous vêtement en satin. Bien sur un soutien gorge, un panty mais aussi un corset semble til. Jen voyais un en vrai pour la première fois, cétait mexpliqua Mumm un serre taille et non un corset. Il était très beau avec le haut et le bas en dentelle et des petits nuds devant. Derrière les lacets et six jarretelles décorées pour accrocher les bas.

-« Cela vous donnera une taille de guêpe, vous serez très femme avec » me dit elle en me le passant autour de la taille puis elle commença à serrer les lacets par derrière.

-« Au début cela vous semblera pas très confortable mais vous vous y habituerez facilement et ne pourrait plus vous en passer tellement votre silhouette vous plaira ».

Effectivement, petit à petit elle serrait de plus en plus et ma respiration devenait difficile. De mon tour de taille de 28 pouces je passais rapidement à 24 avec Mumm qui insistait en mettant son genou dans mes reins pour tirer encore plus. Je pouvais à peine respirer. Elle allait finir par me casser la colonne vertébrale mais enfin elle fut satisfaite à 24 pouces.

Elle me laissa pas de répit et me donna le soutien gorge à mettre, il était anormalement lourd et je maperçu quà lintérieur il y avait une sorte de gélatine, cétait des seins en silicone. Jeu un certain plaisir à le mettre car je rêvais souvent den acheter pour mes séances, malheureusement je navais pas encore de cache suffisamment sure pour labriter des regards.

Je mis le panty avant les bas pour le plaisir de sentir cette magnifique culotte de satin avec dentelle et nud glissait le long de mes jambes imberbes. La sensation était décuplée et javais beaucoup de mal à respirer par petits coups que mon corset mobligeait à faire. Jaurais tant aimé prendre une grande inspiration. Ma queue sous leffet du glissement du satin se réveilla ce qui fit sourire Mumm en voyant leffet que cela me faisait.

-« Je vois que vous vous amusez bien Paula ! » constata telle.

Je dus mettre ensuite une paire de bas couleur chair. Je ne pus mempêcher de les caresser lorsque je lai roulé le long de mes jambes si douces, si féminines maintenant. Je ne pouvais mempêcher de faire glisser mes mains de haut en bas sur ce nylon si soyeux, les yeux clos et me demandant ce que Mumm avait encore inventé pour atteindre la limite de mon expérience de travesti. Mes pensées furent interrompu par la voix de Mumm qui me demandait denfiler les chaussures, en ouvrant les yeux je vis une paire de botte noire à lacet et des talons aiguille dau moins 10 cm!

Même dans mes rêves je naurais jamais pensé porter des bottes aussi magnifiques. Avec de la crainte et de lespoir je mexclamais

-« Elles sont pour moi ? Sont-elles à ma taille ? »

En retour Mumm sourit car elle sapercevait quelle avait trouvé la perle rare, un travesti dans lâme avec qui elle pourrait aller jusquau bout de ses envies de dominatrice

-Oui ma chérie elles sont pour vous, jinsiste toujours pour que mes sissy boys portent des talons aiguille, cest si sexy ! »

-« Vous avez eu dautres sissy boy avant moi ? » la questionnai je surpris tout en mapercevant que je métais moi même identifié comme travesti !

Mumm ignora ma question et mordonna de me dépêcher de les enfiler. Je mexécuter trop content dessayer ces merveilles. Jenfilais mon pied droit sans trop de problème, jétais un peu serré mais la botte arrivait juste en dessous du genou, on les aurait dites faite pour moi. Je finissais de les lacer et Mumm maida à me mettre debout. Quelques pas suffirent pour savoir quil me fallait positionner mon corps autrement avec mon dos bien cambré. Mes chaussures et mes nouveaux seins mexcitaient terriblement et ma queue recommença à durcir. Autant de plaisir en même temps me firent comprendre le nombre dannées que javais perdu par la faute de mon éducation rigide.

Mumm memmena devant une armoire doù elle sortit une robe très courte quelle me tendit sans un mot. Cétait une robe de soubrette en satin noire avec des rubans et de la dentelle blanche et surtout trois couches de jupons rigides qui la faisait gonfler presque à lhorizontale. Dès que je me baisserai on verra mon panty surchargé lui aussi de dentelle.

-« Ne serez vous pas très jolie là dedans sissy Paula ?

-« Oh oui Mumm » répondis je en essayant de cacher mon excitation et pour me calmer je demandai bêtement

-« Cest vraiment pour moi ? »

-« Bien sur Paula puisque vous allez devenir ma femme de chambre il faut vous habiller en conséquence »

Elle maida à lenfiler le long de mes jambes si féminine et aux mollets tendus par le port des hauts talons puis en passant ma taille devenu si fine grâce au corset qui ne me dérangeait plus et enfin elle recouvrit légèrement ma nouvelle poitrine. La dentelle de la robe arrivait à mi cuisse ce qui découvrait un peu mon porte jarretelle. Le tout fut complété par un tablier blanc bordé de dentelle aussi et de longs gants en latex rose qui marrivait aux coudes. Pour le tablier elle le noua très serré dans mon dos afin encore de relever ma taille fine.

Plus ma transformation avançait plus je sentais confusément un changement chez Mumm. Au fur et à mesure elle se montrait plus excité, pensait-elle au sexe ? Je me voyais mal dans cette tenue lui faire lamour et pourrai-je le lui faire car elle était loin dêtre appétissante avec toute sa graisse.

La séance suivante fut devant la coiffeuse. Poudre et crème pour me faire un visage plus pale, une couche de fard à paupière bleu et une épaisse couche de mascara pour mes yeux, rien pour mes sourcils heureusement car jaurai eu du mal à lexpliquer à ma femme mais par contre trois belles couches larges de rouge à lèvre couleur corail qui me firent une bouche sensuelle et boudeuse. Pour finir une perruque brune fut posée, fixé et coiffé par Mumm qui ajouta une jolie fleur blanche et rose sur le côté. Ceci fait elle maida à me lever mais me laissa marcher jusquau grand miroir afin de mhabituer.

-« Que pensez-vous de ma nouvelle femme de chambre sissy Paula ? ». Je fus stupéfait de voir la belle jeune fille sexy qui me regardait dans le miroir.

-« Elle est vraiment très belle Mumm » reconnu je en toute honnêteté

Elle me demanda ensuite de mhabituer à marcher avec mes talons hauts. Je fis plusieurs fois le tour de la pièce tout heureux davoir les jupons qui me caressaient les cuisses et de clopinait sur mes talons aiguilles, tout en savourant le contact du latex de mes gants et le gout du rouge à lèvre. Je me sentais si femme ! Elle mapprit à faire des petits pas en mettant un pied devant lautre comme les mannequins tout en balançant sensuellement des hanches. Elle me demanda aussi de faire des petites révérences que je faisais en tenant ma robe au bout de mes doigts. Jétais plutôt maladroit mais elle mavertit que javais intérêt à améliorer ma révérence, chez moi si nécessaire. Bientôt sur les conseils et les ordres de Mumm je me déplaçais avec confiance sur mes hauts talons. Jappris aussi à modifier ma voix pour quelle devienne sensuelle et féminine. Maintes et maintes fois je dus répéter « Je vous aime » tout en faisant des révérences et marchant dans la pièce. Enfin elle fut satisfaite de ma démarche sensuelle et de ma voix, pour la révérence il faudra que je mexerce encore pour la prochaine journée. Je me suis aperçu que jétais heureux dapprendre quil y aura dautres journées. Jétais bien devenu une sissy boy.

-« Je suis contente davoir une femme de chambre comme vous Paula » me dit elle tout en passant sa main sous mes jupes pour me faire une caresse sur ma bite très raide et puis toujours à travers le satin me serrer brièvement les couilles. Puis elle séloigna.

Avec un regard fiévreux Mumm retira sa robe. Elle portait un soutien gorge et un caleçon blanc satiné et sa peau laiteuse flétrie débordait des sous vêtements dune façon obscène. Elle retira sa culotte, sassit sur le bord du lit et dun doigt autoritaire me fit signe dapprocher.

-« Je vous ai pas dressé en sissy juste pour votre plaisir Paula, venez ici et mettez vous à genoux » en me désignant le tapis à ses pieds.

Son regard fiévreux me faisait peur et je savais quelle serait plus forte que moi, je me suis donc mis à genoux

-« Vous allez pouvoir me montrer comment vous utilisez votre bouche et votre langue avec votre charmante épouse » me dit elle en écartant ses cuisses charnues. Et dune main ferme elle agrippa ma nuque et me força à me retrouver devant sa chatte, guère visible sous la masse de chair flasque. Doucement de mes mains gantées jécartais la graisse pour atteindre sa chatte, elle en profita pour écarter ses cuisses en plus grand. De mon doigt je commençais à caresser son sexe ce qui la fit immédiatement frémir. Elle avait vraiment faim de sexe et je me doutais que je devrais aller jusquau bout. Sa chatte était trempé et sentait très fort, jétais mécuré et me reculait instinctivement mais de sa main ferme elle me ramena entre ses cuisses et me ramena à toucher son sexe poilue. Javançais ma langue pour commencer à la lécher te jai pu constater que le gout de Mumm correspondait bien à lodeur : très fort et acide. Doucement jenfonçais mes doigts gantés, résigné à mon sort.

Elle appuyait toujours et tout le bas de mon visage se trouvait en contact avec sa chair. Jétais submergé par son jus et par son parfum. Javais hâte de terminer cette épreuve et me mit tout de suite à lécher, embrasser, mordiller afin quelle puisse jouir le plus tôt possible. Jy mettais toute ma science et ma volonté. Je fus bientôt récompensé par les tremblements de jouissance assorti de rugissement de Mumm. Collé à son sexe je du tout subir et eu beaucoup de mal à boire tout son jus abondant.

Enfin le corps de Mumm cessa de trembler et elle relâcha son étreinte sur ma nuque. Content davoir fait mon devoir et surtout den avoir fini jai tenté de me relever mais sa main se referma de nouveau et je dus la faire jouir encore deux fois avant quelle ne me relâche définitivement. Plus dune heure à genoux et à la lécher, javais mal partout. Elle maida à me relever et je pus aller faire un brin de toilette avant de revenir à la coiffeuse pour rectifier mon maquillage.

Le reste de la journée je dû travailler comme une traditionnelle soubrette, à nettoyer sa maison de fond en comble. Elle était très exigeante et toujours dans mon dos à vérifier. Cela faisait partie de mon apprentissage daprès elle. Voudrait-elle me revendre comme soubrette, moi le directeur le plus jeune de ma société ? Pensai je, amusé à cette idée.

Mes jambes et mon dos me faisaient mal. Mes jambes pas encore habitué à marcher longtemps en talon aiguille et mon dos car pour mes taches je ne devais pas plier les genoux mais plier le dos, cétait beaucoup plus féminin et cela mettait mon joli panty en valeur daprès elle. Dailleurs elle ne manquait pas de me caresser les fesses lorsque jétais dans cette position. Ce qui réveillait à chaque fois ma bite qui me faisait souffrir en permanence, coincé comme elle était par Mumm. Elle devait sen douter et cela lamuser. Pour ma part travailler dans cette tenue si féminine et si sexy ne me lassait pas. Je ne voulais pas que cela sarrête.

Juste avant midi Mumm me demanda de lui préparer un repas léger. Elle sassit à la table de la salle à manger comme une dame de la noblesse se faisant servir par les laquais. Apres avoir servi je devais attendre dans le coin de la pièce, les mains jointe et les yeux fixes au sol comme elle me lavait demandé, prêt à obéir à son moindre désir.

Mumm me demanda de débarrasser la table après avoir fini de manger et me dit en souriant, quittant la salle

-« Ce fut très bon Paula, noublier pas de faire la vaisselle et ensuite revenez me voir au salon avec un verre de cet excellent vin que jai débouché hier »

Je fis une révérence rapide avant de mexécuter.

-« je pense quon pourra faire de vous une parfaite dame de compagnie » rajouta telle.

Japportais avec précaution les assiettes sales dans la cuisine. Je ne voulais en aucun cas faire une bourde car inconsciemment javais très peur de Mumm. Pendant que je faisais couler leau chaude dans lévier mon esprit sévada car je me rendais compte que je ne connaissais Mumm ou Mrs Jones que depuis quelques heures et jétais déjà solidement dans sa toile sans espoir den sortir. Jai commencé à réfléchir sur le rapide bouleversement de ma vie dune simple envie de me travestir dans mon coin, à être surpris par ma voisine, qui me branle, qui me met son doigt dans le cul ce qui pour moi fut une nouvelle révélation et qui ensuite me dorlote, mhabille et me féminise à outrance pour faire de moi sa soubrette et aussi son esclave sexuel. Et le problème est que jai tout adoré, chaque minute passé à obéir à cette femme diabolique.

Il me faut penser au futur pendant que je range la dernière assiette. Il me faudra rentrer retrouver ma femme Janet mais est ce que jaurais dautres journées ainsi en femme de ménage. Bien sur Mumm me la laissé entendre mais du désir à la réalité il y a des obstacles. Jaimerai tant recommencer ! Aujourdhui fut un des plus beaux jours de ma vie et même ma séance à lécher la chatte puante de ma maîtresse ne fut quun petit prix à payer et je dirais même que jai été assez fier de lavoir fait jouir trois fois de suite.

Je versais le vin dans un verre de cristal sur un plateau dargent et me dirigeait vers le salon, trottinant sur mes talons aiguille. Pendant que je posais le verre prés de sa mains sur la petite table et que je repartais à reculons après une révérence, Mumm comme si elle avait lu dans mon esprit me dit :

-« Avez-vous apprécié votre première journée à mon service servante Paula ? » me demanda telle tout en sirotant sa première gorgée de vin.

-« Oh oui Mumm » ai-je répondis sans hésitation. Jai baissé la tête de honte dadmette ainsi mon nouveau statut mais je ne pus mempêcher de répéter tout bas de ma douce voix féminine « Oh oui Mumm énormément ». Mumm souriait largement

-« Très bien Paula je peux donc compter sur vous pour la semaine prochaine ? En effet votre formation de femme de chambre ne fait que commencer, vous avez beaucoup à apprendre et jaurai besoin de vous voir régulièrement si je ne veux pas perdre mon temps »

-« Mais je ne suis pas sur davoir un jour de congé en semaine ! »

-« Ne racontez pas de bêtise Paula, les travestis comme vous des quils ont goutés au jolies tenues et à lobéissance ne peuvent plus sen passer. Cest déjà vrai maintenant alors que ce nest que le début alors imaginez plus tard ce que vous serez prêt à faire pour vivre en sissy esclave ! » Puis dajouter « aujourdhui avant de retourner dans les bras de votre chère femme il vous reste encore une leçon à apprendre »

-« oui Mumm ? »

-« A genoux ! » Je mexécutai alors que Mumm se levait de son fauteuil. Je remarquai alors sous la robe un renflement qui nexistait pas avant. Jétais plutôt naïve pour ce qui concernait les gadgets sexuels et sur le coup je navais aucune explication. Avec un sourire féroce elle commença doucement à lever sa robe tout en se rapprochant de moi.

Avant de pouvoir approfondir et deviner ce quétait cet objet caché et obscène elle découvrit un long gode ceinture en caoutchouc noir. La taille du monstre au moins 20 cm de long ne faisait que me faire prendre conscience de ma petite bite.

-« Oh non Mumm » suis-je arrivé à dire en gémissant

-« Ne tinquiet pas ma chère ce nest quune petite bite nest ce pas ? » ricana telle avec son sourire narquois tout en avançant encore jusquà toucher avec linstrument mes lèvres peintes. Jaurai voulu menfuir mais je restais figé, la bouche grande ouverte. Tout en me caressant les lèvres avec le gode elle mannonça :

-« Il y a deux façons dy arriver, soit vous la prenez en bouche tout de suite et ensuite doucement grâce à votre salive je vous sodomise, soit je force à sec votre joli petit cul? »

Jétais dans une confusion totale, daccord pour mhabiller en fille, daccord pour lécher une chatte mais sucer une queue et me faire sodomiser cétait me faire passer dans un autre monde. Malheureusement toute ma journée passée à être une femelle obéissante eu le dessus par rapport à ma légère résistance et jétais déjà à genoux, sur mes talons aiguille pas question de pouvoir méchapper, jouvris ma bouche plus largement afin daccueillir cette bite.

-« Vous inquiétez pas Paula, au début cest un peu humiliant je vous laccorde mais après vous allez bien en profitez. Je peux même vous avouer que vous me supplierez plus tard de vous sodomiser avec ce gode que vous avez là sous les yeux »

Je restais là, la bouche ouverte, le gode entre mes lèvres pulpeuses de salope et mes yeux implorant levés sur mon bourreau qui se mit à donner de léger coup de rein.

-« Suce salope » commanda telle. Elle avait raison il ny avait quune salope pour accepter tout ça. Je ne bougeais toujours pas tandis quavec ses reins elle faisait entrer et sortir son gode

-« Suce salope ou gare ! » Le ton était donné et lorsquelle prenait cette voix il valait mieux obéir. Je me mis immédiatement à sucer et je fus surpris, ce nétait pas désagréable du tout au toucher de la langue ni lodeur du caoutchouc. Elle sest enfoncé de plus en plus loin dans ma gorge jusquà presque métouffer. Je ne savais pas que penser mais ma queue sest brusquement réveillé et a manifesté son contentement. Encore une fois Mumm mavait piégée et avait renforcé la toile sur moi et ma volonté. Encore une fois elle avait raison jai pris plaisir à être ainsi à genoux et sucer une bite même en caoutchouc. Je nosais pas imaginer mon plaisir si cétait une vraie bite bien chaude et vibrante !

Tout à mon plaisir de sucer et lécher je me mis à gémir ce qui fit sourire Mumm. Elle me prit fermement la tête, non pour mempêcher de partir mais bien pour pouvoir approfondir ses coups de queue, elle me baisait littéralement et mapprenait les gorges profondes, malgré la taille du pénis jarrivais à faire toucher mon nez à son ventre replet.

Soudain Mumm retira le gode de ma bouche qui aurait pourtant bien voulu continuer. Une coulée de salive rejoignait celle-ci au gode tout luisant.

-« Avez-vous aimez Paula » me demanda telle dune voix joyeuse

-« Oh oui beaucoup » répondis je en essayant de reprendre mon souffle

-« Vous savez ce que font les filles lors quelles ont une queue, a part la sucer ? »

-« Oui Mumm je sais »

-« Et cest quoi dis le moi »

-« Elles se font baiser »

-« Et vous aimeriez que Mumm baise votre chatte de garçon maintenant? »

-« Ma chatte »-« Bien sur votre chatte et je vais vous sodomisez tout de suite »

Sans attendre mon accord elle maida à me relever et minstalla la tête dans le fauteuil, appuyé sur mes coudes. Elle me descendit le panty tout de suite.

-« Oh Mumm » ce nétait pas de la peur mais du désir. Javais hâte de retrouver le plaisir que javais eu avec son doigt. Avec ses conseils jécartai mes deux globes de mes mains toujours ganté de rose pour lui faciliter le passage.

-« Oh oui Mumm » murmurai je encore de ma voix féminine.

-« Vous devez me supplier de baiser votre chatte, vous devez me supplier de vous sodomiser comme la salope sissy que vous êtes »

Je navais plus aucun orgueil, je nétais plus que sexe et je sentais mon anus palpitait dans lattente, je ne pouvais plus attendre et je lai supplié sans pouvoir marrêter

-« Oh oui Mumm baisez moi, baisez votre femme de chambre, cette salope de sissy qui ne mérite que ça, baiser moi avec votre grosse bite si dure » et je continuai à murmurer des insanités alors quelle commença à me mettre un doigt dans mon cul frémissant. Je sentis un liquide froid être étalé puis elle présenta le gode et rentra pour la première fois dans un endroit vierge. Elle senfonça doucement puis sarrêta pour mhabituer. Je me sentais déjà plein et je ne souffrais pas comme je le craignais. Bien au contraire je gémissais et cest moi-même qui avançait mes fesses pour que le gode me pénètre encore plus. Mais au contraire elle le retira ne laissant que la tête. Moi qui avait adoré être plein javais un sentiment de vide immense. Je tournais la tête vers Mumm pour la supplier du regard lorsquelle donna un grand coup de rein et le gode dun coup me pénétra à fond. De surprise et sous la douleur je poussais un hurlement puis épinglé comme un papillon je ne bougeais plus laissant la douleur disparaître et me laissant une plénitude inexplicable.

Elle se retira doucement et à plusieurs reprises recommença jusquà ce que je prenne sa bite dans toute sa longueur sans difficulté. Ensuite elle me fit lamour, en tournant le gode, en sarrêtant et repartant puis elle me mit sur le dos pour que je puisse bien voir celle qui me baisait. Elle aimait minjurier et me disait que je nétais plus quun trou disponible, une salope assoiffée, un vulgaire travesti se faisant baiser dans un bordel. Son gode ceinture était un double gode et elle accéléra le rythme pour se faire plaisir aussi. Mes gémissements sous ses coups de butoir rejoignaient les siens, nous étions en totale communion et quimporte que Mumm nétait pas belle et grosse je ne pourrai plus me passer delle. Brusquement elle se mit à crier comme en fin de matinée lorsque je la léchais et elle se mit à jouir tandis que moi mon sperme sans le panty alla sétaler sur le fauteuil en cuir.

Javais jouis sans me toucher.

Enfin Mumm retire sa bite de mon cul si douloureux mais apercevant mon sperme sur le fauteuil elle mordonne de le lécher. Jaurai voulu me rebeller mais à quoi bon jétais une salope sissy, cétait salé et fade à la fois mais pas désagréable.

La journée se finissait jétais libre de retourner dans les bras de ma chère épouse.

Les suites de mes séances porno

Cette première nuit après cette expérience fut agité pour moi alors que Janet ma femme dormait paisiblement à mes cotés. Je revoyais toute ma journée dhomme féminisé totalement, devenu servante de ma voisine que je devais appeler Mumm. Mes fesses douloureuses me faisaient constamment penser à ma première sodomie et le plaisir que jen ai ressenti. Tout cela faisait que ma queue narrêtait pas de bander, javais un terrible mal au ventre mais je continuais doucement à me branler tellement mon obsession était forte. Par contre ce que je craignais narriva pas. Elle ne me fit aucune réflexion sur le reste dodeur de parfum qui persistait malgré ma douche, tout juste un « Hum tu sens très bon aujourdhui » que jexpliquais par une petite phrase du type « Oui cétait à la piscine ». Plus tard dans le lit elle reprit sur lodeur de ma peau et me dit souriante

-« Tu demanderas mercredi prochain à la charmante « Oui cétait à la piscine » le nom de son parfum. Il te convient très bien »

Bien sur je pensais que cétait pour elle et jaurais pu dès le lendemain en connaître le nom en allant voir Mumm mais il me fallait jouer le jeu.

Par contre, le jour daprès, alors que je me déshabillais dans la chambre, avant denfiler mon pyjama, jétais en contre jour et elle saperçu que je navais plus de poil aux jambes. Elle se mit à rire en pointant mes jambes du doigt. Je tentais de lui expliquer mon désir de faire de la natation mon sport prioritaire mais elle nécouta guère. Elle se releva pour mieux mexaminer et maida à finir de me déshabiller. Je me retrouvais rapidement nu comme un ver devant elle. Un peu gêné tout de même.

-« Au point ou tu en est tu pourrais te raser entièrement, il ne reste plus grand-chose à enlever » et dajouter dubitative « autour du sexe peut être ? »

-« Ah non pas mon sexe tout de même ! »

-« Bien sur que si. Je nai jamais trop aimé les poilus. Va dans la salle de bain et attend moi ». Elle me suivit peu après, un flacon en main et commença à me badigeonner dune crème peu odorante et cela jusque sous les aisselles puis en insistant, dans la raie des fesses et autour de la queue quelle prenait délicatement entre deux doigts. Je devais attendre 10mn avant de me rincer puis une fois rincer de me savonner partout avec le savon quelle me tendait. Je ne savais pas trop à quoi je mexposais. Javais obéi à ma voisine toute la journée davant alors quoi de plus naturel que de faire plaisir à ma femme ! Quelque minute plus tard je me rinçai et poussais un cri. Ma queue se dressait toute nue, sans un poil, pareil sous les aisselles et le torse. Entendant le cri Janet eu le temps de revenir pour voir mon regard ahuri, ce qui la mis en joie.

-« Tu es tout mignon comme cela alors tu veilleras chaque semaine pour ne pas laisser un poil réapparaitre. Je compte sur toi »

Je dû lui promettre, jétais suffisamment rongé de remord de devoir tromper ma femme même si ce nétait quavec la vieille Mrs Jones pour me rebeller et je ne pouvais pas abandonner ma vie secrète, devenu si extraordinaire. Javais rendez vous mercredi prochain et je savais déjà que je ferais tout pour respecter cette date et approfondir ma connaissance du métier de femme de chambre

-« Maintenant que tu es toute belle tu laissera tes cheveux pousser. Cest la contre partie. Allez dépêches toi de te savonner, jai hâte de te retrouver au lit». Le savon était à la lavande et je sentais fortement la cocotte en retournant au lit. Mais jacceptais le compromis sans hésiter. Dans ma naïveté je me considérais comme un homme hyper chanceux davoir une femme à lesprit si ouvert.

Menlaçant au lit elle me dit, câline

-« Ma petite Paula cela doit te rappeler ton parfum de la piscine non ? ». Je ne pouvais que hocher la tête. Trop effrayé car elle venait de mappeler Paula comme la voisine.

-« Mercredi prochain demande donc à ta copine quelle est son parfum et si tu laime je veux bien que tu en mettes. Jaime les hommes soigneux deux même et un parfum féminin ne choquera pas avec ton physique plutôt androgyne ».

Je tentais de protester, rassuré quelle nait pas deviné ma relation du mercredi

-« Mais pourquoi me dit tu ça ? » commençai-je à protester « Je ne suis pas assez viril ? »

-« Bien sur que si gros béta, je taime comme tu es et je nai pas peur je sais que tu maimes aussi », et, pour me le prouver elle se glissa dans mes bras. Je découvrais pour la première la sensation merveilleuse du satin de sa nuisette sur ma peau lisse comme un bébé. Jen frissonnais. Ce jour là je dormis tout nu ne voulant pas sentir le coton du pyjama sur ma peau si douce.

Me travestir pour Mumm, une obsession

Jai repris ma vie avec sa routine quotidienne mais la semaine trainé en longueur, je ne pensais quà me travestir, obsédé par mon envie de redevenir esclave féminisé de Mumm. Mon travail sen ressentait, ma vie familiale aussi, jétais dune humeur massacrante, personne ne mavait connu ainsi mais je ne pensais quau mercredi suivant

Enfin ce jour arriva mais jai du cacher mon impatience jusquau départ de Janet au travail. Pendant que je lui préparé le petit déjeuner a plusieurs reprises elle me demanda si tout allait bien, comme si elle pressentait mon impatience. Je la rassurais en lui affirmant quaujourdhui vu le temps jirais me recoucher et recharger mes batteries car jen avais bien besoin et peut être ensuite jirai à la piscine. Janet en partant me félicita de ma décision car elle avait hâte de retrouver le « gentil Paul quelle avait toujours connu » et « si tu vas à la piscine noublie pas de demander le nom du parfum». Son insistance me parut suspect un bref instant mais je navais pas les moyens de passer outre. Dautant plus quelle mobligeait maintenant chaque soir à prendre un bain et surtout avec mon savon à la lavande. Ma peau devenait tellement parfumée que rien que de porter ma fourchette à ma bouche menvoyait des effluves odorantes aux narines !s. Autant dire quau travail je faisais attention à lampleur de mes gestes afin de ne pas diffuser mon parfum corporel dans la pièce. Cette contrainte constante me pesait mais aussi me plaisait, me rappelant mon autre vie après le travail. Plus tard ce fut pire

Ma journée ce jour là sera la même que les trois ou quatre prochain mercredi. Je prends une douche, me rase et mhabille comme la dernière semaine avec le serre taille, le panty les faux seins avec le soutien gorge, la robe ultra courte rose sans oublier les gants qui remontent aux coudes et je mets toujours les magnifiques bottes à talon aiguille.

Par contre mon maquillage devient au fur et à mesure plus tendance salope et apprenant vite je me chargeais moi-même de cette tache que jadore. Ombre sur les paupières, mascara, poudre sur le visage pour un teint pale, rouge à lèvre outrancier pour une bouche de pute et pour finir la perruque avec sa fleur dans les cheveux. Je suis devenue une pro du maquillage. Javais hâte davoir les cheveux suffisamment longs pour ne plus porter de perruque. .

Ma voix de même sans réfléchir devenait servile et féminine et en rentrant le soir jétais tellement imprégné de mon rôle de soubrette que javais toutes les peines du monde à essayer de parler de nouveau dune voix mâle.

Mon premier &

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