Gaïa avait seize ans. C’était une petite blonde de quelques cinquante kilos, plutôt frêle, avec un regard très joueur. Elle faisait la paire avec un compagnon qu’elle avait appelé. Pool. C’était un grand danois, et en l’occurrence il était exceptionnellement grand.
Ayant envie de câlins, la jeune fille décida de faire entrer son chien dans sa chambre. Pool se coucha dans son coin, et sa maîtresse s’approcha doucement de lui. Elle lui caressa doucement la tête, puis les oreilles. Il était tellement grand et magnifique. Elle lui sourit tendrement lorsqu’il leva la tête, et lui tendit les mains à-plat pour qu’il pose le museau dessus.
— Je t’aime mon bébé… Murmura-t-elle avant de déposer un baiser sur sa truffe. Je t’aime tellement! Je sais pas pourquoi je regarde encore des garçons alors que je t’ai, toi…
Ils ne firent plus rien pendant deux ou trois minutes. Chacun, à son niveau, pensait ce qu’il avait à penser et attendait.
Apres ce moment de silence, Gaïa soupira, se redressa, et lança, enthousiaste:
— Mais en attendant, je suis rien qu’à toi.
Elle se pencha pour mettre le nez juste devant celui de l’animal, et le regarda profondément dans les yeux:
— Alors, mon amour, de quoi tu as envie, hein?
Il se redressa un tout petit peu et lui lécha la bouche. Elle sourit et lui embrassa encore une fois le museau, déterminée:
— Ça c’est une bonne idée. Je vais aller me faire belle pour toi, et quand je reviendrai tu pourras m’aimer, et je t’aimerai aussi. Je vais me préparer, attends…
En réalité elle avait simplement besoin d’une douche. Mais elle aimait la mise-en-scène. Impatiemment, elle se mit debout et enleva tous ses vêtements. Elle quitta sa chambre et s’enferma dans la salle de bain. Une bonne douche allait rendre Gaïa vierge de toute odeur. Elle savait ce qui se passait quand elle se présentait à son chien et qu’elle sentait seulement l’eau chaude; ils y étaient habitués.
Après s’être soigneusement lavée, elle se rinça longuement, et puis sortit. Comme toujours elle ne se sécha pas et retourna comme cela dans sa chambre. Elle ferma doucement la porte, avant de tourner la clé d’un coup sec. Pool leva immédiatement la tête, puis se dressa de toute sa hauteur prêt à jouer. Gaïa alla mettre des linges sur son lit, et s’allongea dessus.
— Voilà. Viens sur moi, mon bébé! Minauda-t-elle chaudement. Je suis prête!
L’animal ne s’en priva pas. Comme toujours, il monta sur le lit en mettant les pattes autour de sa maîtresse, et se mit à lécher les gouttelettes encore chaudes qu’elle avait sur sa peau. Le jeu consistait à ce qu’il les ramasse toutes. Et Gaïa se laissait faire, quel que soit l’endroit où il aventurait sa langue chaude et humide. Quand ils faisaient ce jeu, il avait le droit exceptionnel de la visiter jusqu’au moindre recoin; s’il pouvait y fourrer la langue, c’était permis. Ainsi il visita avec joie les replis vulvaires de sa gentille maitresse, qui le gratifiait ce-faisant d’abondantes caresses et d’encouragements nourris. Elle adorait qu’il déguste sa vulve; elle lui en avait appris tous les secrets à-force de patience et d’exercice, faisant de lui un véritable expert de l’anatomie féminine. Il savait maintenant lui stimuler le clitoris avec une précision démoniaque, et jouait même à la laisser respirer quelques secondes, pour la laisser redescendre un peu et allonger la durée de leur rapport.
— Oh mon amour! Soupira-t-elle.Tu sais t’y prendre pour lécher la chatte d’une fille… Lèche-la encore, j’adore sentir ta langue contre mes petites lèvres. Oh oui mon beau, tu es doué…
Avec les doigts, elle écarta les lèvres de son vagin, pour bien montrer l’ouverture par-laquelle elle aimait être habitée:
— Voilà. Mets ta langue là-dedans, allez… Oui, encore plus profond! Lèche mon vagin, lèche mon col, lèche mon point G… Allez!
Elle devenait folle et frénétique, mais Pool savait à quoi il courait, et qu’il ne fallait pas contrarier sa maitresse surexcitée en si bon chemin.
— Vas-y, fais rentrer ton museau! Ordonna-t-elle en essayant d’écarter les parois de son vagin en s’aidant des deux mains.
Pool avait déjà essayé, et même réussi parfois. Il poussa donc son nez contre le vagin de sa maitresse, et essaya de faire entrer cette partie de sa tête à-l’intérieur. Mais Gaïa était coriace et il semblait qu’il ne rentrerait pas aujourd’hui. Après une minute de tentative pendant laquelle Gaïa poussa de longs gémissements d’excitation, Pool releva la tête et ouvrit la gueule. Il plaça les mâchoires de part et d’autre de la vulve de sa maitresse, et fit mine de la mordre. Celle-ci s’emporta:
— Oh putain, oui! Mange ma chatte, Pool, déchire-moi en deux, je veux que tu me fasses tout!
Il serrait un tout petit peu la chair de jeune fille entre ses dents, mais ne voulait pas la blesser. Consciente qu’elle était dans une impasse, Gaïa décida qu’il était temps de continuer. Alors elle releva les genoux et écarta les cuisses pour lui faire de la place, s’ouvrant comme une fleur. Pool n’avait plus qu’à s’allonger sur elle pour qu’ils se retrouvent ventre contre ventre, et juste dans la bonne position pour s’embrasser amoureusement. Il lui léchait le visage tout entier, d’une oreille à l’autre en passant par sa petite bouche, tandis qu’elle capturait entre ses lèvres la langue qui l’avait mise dans ces dispositions. Plus bas, elle caressait les flancs de son partenaire avec ses cuisses brûlantes, qu’elle frottait nerveusement contre son fin pelage. Et lui, derrière, remuait vivement la queue.
Un peu au-dessous, le fourreau du chien se trouvait tout près des lèvres vaginales de la jeune fille. Ils se frôlaient, afin que les deux partenaires aient pleinement conscience de ce qui allait se passer quelques secondes après.
Alors que la température montait, et que le chien s’excitait, son pénis commença de s’ériger. Mais comme il était à bout portant de son objectif, il passa du fourreau au vagin sans être vraiment visible à l’extérieur. Logée directement, et ayant atteint la taille minimale pour que la suite commence, la verge canine vit sa base commencer à enfler. Gaïa était aux anges:
— Oh mon amour, tu es prêt? Vas-y, grandis dans mon ventre! Bourre-moi, je veux que tu t’attaches si fort qu’on n’arrivera plus jamais à nous séparer. Lâche-toi, Pool!
Le pénis enflait, de plus en plus. Bloqué dans l’antre femelle par son noeud épais, il pouvait maintenant se développer à-loisir, en forçant comme d’habitude le ventre maternel. Après avoir commencé d’éjaculer, il mit une pression suffisante pour dilater aussi le col de l’utérus, et alors commença la vraie pénétration. Gaïa poussa un cri terrifiant en sentant le monstre canin envahir sa matrice, et elle hurla tellement que sa mère vint frapper à sa porte:
— Gaïa? Ça va?
— C’est rien. Maman… Je fais l’amour avec Pool.
— Et pourquoi tu hurles comme ça?
— Il est entré dans mon utérus, Maman. C’est rien.
— J’aime pas que tu fasses ça, je te l’ai déjà dit.
— Oui je sais. Laisse-nous finir et je viendrai te voir si tu veux.
— Non, c’est bon. Fit sa mère, en partant.
Gaïa sourit et embrassa la truffe de son chien:
— Tu me ferais pas de mal, hein mon amour? T’es trop content d’avoir un vagin et un utérus pour y fourrer ta grande bite, hein?
Le chien lui lécha lui-aussi le visage, et se redressa un peu. Gaïa put toucher son ventre et y sentir la forme imposée par le pénis entré beaucoup trop loin dans son appareil génital. Le sperme qu’il y injectait faisait se bomber le nombril de la jeune fille, comme celui d’une femelle portante.
— Tu vas me donner l’air d’une femme enceinte avec ton litre de sperme! Remarqua-t-elle. Allez viens, on se met debout.
Le danois savait ce que cela voulait dire. Délicatement, afin de ne pas tirer son pénis hors du vagin humain, il se tourna pour se mettre au bord du lit et mettre les pattes avant sur le sol. Gaïa le suivit doucement, et lui permit peu-à-peu de se mettre debout sur le sol. Alors elle se leva, à son tour, et termina en se redressant derrière son chien. Le pénis de celui-ci, toujours passé entre ses jambes, était maintenant dirigé vers le ciel, car toujours ancré dans l’utérus de sa maitresse. Le chien était toujours en train de jouir, et d’éjaculer abondamment dans le ventre de Gaïa.
Quant à elle, elle se regardait maintenant dans son miroir. L’intrusion doublée de tout le sperme que son chien lui ajoutait donnait à son ventre l’aspect d’un ventre de femme enceinte. Elle se plaisait, comme cela, elle qui nourrissait en secret le rêve de porter un jour la progéniture de son amoureux canin. C’est ce qu’elle désirait le plus au monde. Elle voulait porter les chiots de Pool, les mettre au monde, les allaiter, et les élever, puis faire l’amour avec eux, dans une orgie brûlante. Se faire baiser par l’un d’eux tout en en suçant deux autres, et se faire remplir et recouvrir de sperme canin. Elle était prête à le faire plusieurs fois, comme toute bonne chienne peut le faire. Elle s’imaginait bien dans le rôle d’une pute pour chiens, avec son vagin accueillant et son anus prêt à prendre le relais…
Euphorique, elle finit par se pencher pour caresser les flancs de son chien, et murmura:
— Bon, c’est le moment d’aller voir Maman, je veux qu’elle voie comme je suis jolie quand je fais l’amour avec toi, mon bébé…
Le chien obéit, et ils firent ensemble des petits pas jusqu’à la sortie. Gaïa déverrouilla sa porte et ils passèrent dans le couloir. Là, elle appela:
— Maman?
— Je suis au salon, chérie!
— J’arrive, bouge pas.
Elle amena Pool sur-place, et en les découvrant, sa mère s’écria:
— Mon dieu, Gaïa! Pourquoi tu me montres ça?
— Regarde mon ventre, Maman.
— On dirait que tu es enceinte! C’est Pool qui te fait ça? Il est dans ton vagin en ce moment?
— Oui, Maman. Et j’adore ça.
— Mais pourquoi il est dans ce sens? S’étonna la mère, très surprise.
— C’est normal, les chiens sont faits comme ça. Ça te plaît?
— Non, mais… Puisque toi tu aimes…
— Merci Maman. Si tu veux essayer, Pool se fera un plaisir, tu sais?
— Non, merci! Je te le laisse.
— C’est cool!
— Qu’est-ce qui se passe pendant qu’on parle? Demanda sa mère à Gaïa, tout en observant la liaison entre le chien et sa fille.
— Là on est en train de jouir. Expliqua Gaïa.
— De jouir? sans cligner des yeux?
— C’est pas le même genre d’orgasmes. Quand je fais ça avec Pool, je jouis sans interruption pendant toute la durée de la pénétration.
— Combien de temps?
— Une demie heure. Parfois plus…
Tout en discutant, Gaïa était allé se mettre sur un fauteuil, et s’y était assise. Pool restait près d’elle, et la remplissait toujours. Mais au bout d’un moment, sa vigueur diminua, et Gaïa prévint sa mère qu’il allait sortir. Quand il le fit, un litre de sperme souilla instantanément le sol, et Gaïa y trempa les pieds avant de les utiliser pour caresser la verge de son partenaire, tandis que l’appareil génital se retirait doucement dans son fourreau. Elle continua de masturber le pénis animal avec ses pieds dégoulinants de semence, et déclencha bientôt une nouvelle érection. Elle prit la belle érection entre ses pieds et la stimula en la frottant avec la plante. Le chien était aux anges, et il se coucha par-terre, posant son énorme appareil dans la mare de semence, qu’il continuait d’alimenter à coups de jets visqueux. Le sperme était devenu épais, et faisait des fils entre le sol et les pieds de Gaïa. Et c’est autour de la bite de Pool qu’elle enroulait ces fils gluants et glissants, avant qu’il ne dégoulinent à-nouveau sur le carrelage.
Avec un pied, Gaïa plaqua la bite de son chien sur le sol; avec l’autre, elle frottait sensuellement la chair rouge et sensible de cette pièce virile et excitante.
— Il aime ça, que tu lui caresses la queue avec les pieds? Demanda la mère de Gaïa.
— Oh oui, il est dingue d’amour pour mes petits pieds. Commenta celle-ci. Je peux lui faire tout ce que je veux, il est fou de ça… Hein mon petit amour? Tu les aimes mes pieds pleins de ton sperme, hein? Tu aimes ça, la masturbation avec les pieds…
Le chien jouissait encore, et quand l’érection diminua une nouvelle fois, elle continua de tenir le pénis contre le sol, l’empêchant de rentrer dans son fourreau. Après quelques minutes de douces caresses, l’animal reprit encore une fois de la vigueur. Il soufflait comme un boeuf, submergé par la plaisir d’abandonner son sexe énorme aux pieds magnifiques et sensuels de sa maitresse. Elle le lui pétrissait généreusement, le badigeonnant de sperme tiède.
Il se sentait bien comme cela, couché sur le sol, la queue à l’air, avec une femelle pour le satisfaire à-volonté, et avec les pieds qui-plus-est. Il savourait avec plaisir les caresses pleines de tendresse que lui faisait Jessia, avec ses pieds délicieux d’une douceur monumentale, et d’un toucher si délicat. L’animal en tirait une pleine satisfaction, et n’espérait qu’une chose: c’est que Gaïa remette le couvert à chaque fois que c’était possible. Quel bonheur que celui d’être masturbé en-boucle et gratuitement par une belle humaine, après qu’elle vous ait prêté son vagin et même son utérus pour un rapport canin d’une rare intensité.
En tout, elle lui satisfit une dizaine d’érections, mais elles duraient de moins en moins. Quand la dernière se tarit après seulement trois minutes, Gaïa décida de passer à autre chose pour stimuler un peu plus son partenaire. Alors elle se mit à quatre pattes et glissa un doigt dans son anus. Elle appela:
— Allez, Pool, c’est l’heure d’enculer ta maitresse.
La mère de la jeune fille les regardait toujours, et elle intervint:
— Gaïa tu es folle, il va te faire mal!
— Oh non, Maman, on l’a déjà fait des dizaines de fois!
— Non, je te crois pas!
— Si tu savais, Maman. Il y a peu de choses qu’on a pas faites tous les deux. Regarde-le m’enfiler, tu vas voir…
Le chien se présentait déjà. Il ceintura la jeune fille en collant son fourreau entre ses fesses, et commença de pomper pour faire saillir sa verge. Celle-ci se raidissait à-nouveau, et s’inséra tout naturellement dans le petit anus de Gaïa. Elle se mit à geindre:
— Ah, oui! J’adore ça, pompe encore, je t’aime Pool!
Le chien prenait beaucoup de plaisir aussi dans le rectum de sa maîtresse. L’anus étroit, en se serrant après son noeud injecté de sang, jouait le rôle d’un frein et permettait à Pool de se maintenir en érection beaucoup plus longtemps. Si Gaïa avait commencé par lui donner sa rondelle, leur premier accouplement aurait duré plus d’une heure.
Cette fois-ci, Pool banda pendant un quart d’heure. Et Gaïa passa ces quinze minutes à lécher le sperme qui refroidissait par terre. Elle l’aspirait bruyamment entre ses lèvres, et l’avalait avec la délectation de l’avilissement. Elle se sentait sale en ce moment, et cela s’accentua encore plus quand l’immense bite se déboîta de son cul: sa rondelle restant à un diamètre de cinq centimètres, la jeune fille assista impuissante à l’évacuation spontanée des excréments qu’elle avait dans le bout de l’intestin. Elle posa quelques étrons sur le sol, et s’assit dessus presque immédiatement, pour bien en mettre sur sa chatte. De retour sur le dos, elle appela Pool et il nettoya tout avec la langue, en avalant chaque particule. Pendant ce temps, comme il était au-dessus d’elle, Gaïa mit un doigt dans l’anus du chien et attendit. Cela fit croire au chier que l’heure de déféquer était arrivée, et il se mit en position. Alors, la mère choquée de Gaïa vit sa fille récolter les étrons de son chien et les porter à sa bouche pour les avaler. Une minute après, tout avait disparu, et le chien s’était presque assis sur le visage de la jeune fille. Celle-ci s’aidait maintenant des doigts pour écarter son anus et y insérer sa langue, léchant passionnément le boyau fraîchement vidé de son amant.
Quand ils en eurent assez de se lécher mutuellement l’anus, les petits amants se séparèrent et Gaïa entreprit de masturber son chien à la main, sans oublier d’y goûter un peu avec la bouche. Quand elle constata que le chien ne pouvait plus se maintenir en érection plus de deux minutes, elle se leva et s’allongea sur la table basse du salon, en mettant son bassin près du bord.
— Allez, viens m’enfiler, mon bébé! Appela-t-elle.
Ils étaient fatigués, mais le chien était encore plus vaillant. Il se leva et posa son poitrail sur le ventre de sa belle, avant de commencer à la baiser. Il donnait tout ce qui lui restait d’énergie pour la satisfaire, et elle montrait chacun de ses orgasmes en gémissant abondamment.
Pool baisa sa douce maitresse comme cela pendant plus d’une heure. À chaque fois, il tenait cinq secondes de moins et en mettait dix de plus avant de pouvoir recommencer. Le bout de son pénis brûlant ne sortait même plus du vagin dégoulinant de sa maîtresse, qui comptait les secondes. Bientôt, elle déclara:
— T’es prêt, Pool, on peut passer aux choses sérieuses…
Il y avait une chose très dangereuse que la jeune fille adorait faire avec son chien. Mais pour pouvoir le faire sans risque elle devait le mettre précisément dans l’état actuel. Alors elle se releva, se retourna, et se coucha sur le dos par-dessus la table basse. La tête renversée en arrière, elle faisait face au chien, à-l’envers, et elle murmura:
— Viens, Pool, bourre la gorge de ta chérie. Viens te bloquer dans ma gorge, on va jouir toi et moi!
Elle pouvait envisager cette position parce que dans son état de fatigue, le danois avait un noeud beaucoup plus petit et mou que d’habitude. En temps normal il risquerait de lui déboîter la mâchoire. De plus, comme il ne pouvait bander que pendant une demie minute, il ne risquait pas d’étouffer la jeune fille.
Le chien se positionna er commença. La mère de Gaïa était très impressionnée, et choquée en même temps. La jeune faisait beaucoup de bruit tandis que son animal copulait avec sa gorge. Son pénis allait et venait dans son oesophage, frappant sa glotte à chaque fois qu’il y replongeait, et bientôt la jeune fille sentit qu’il se mettait à jouir. Elle ferma les yeux et savoura la sensation de son noeud se calant entre ses deux rangées de dents, écrasant sa langue et épousant son palais. Chaque pulsation de cette longue bite se retransmettait immédiatement dans le sang de la jeune fille, comme pour lui dicter un nouveau pouls, et elle adorait cette sensation.
Quarante secondes après, Pool se retira. Gaïa toussa bruyamment en reprenant son souffle, et tendit les mains pour tripoter le sexe de son chien. Quand une nouvelle érection se profila, elle murmura:
— Encore une fois!