C’était peut-être cette curiosité malsaine qui m’a rendue ainsi, mais en même temps, chaque fois que je pense à tout ça, je m’excite et même mon mari pense la même chose.
Mais j’étais avide de ces pensées et puis, rapidement, je me suis rendu compte que ces choses m’excitaient malgré moi, sans doute parce qu’elles me renvoyaient à des pratiques que je n’avais pas même explorées, ni pensées, ni même imaginé de les faire un jour, comment une fille issue d’une famille très conservatrice pouvait faire ces choses. Avant, ma tête était pure, exempte de ces pensées, parce qu’elles me semblaient honteuses ou condamnables. Imaginez comment mon père réagirait, s’il savait ce que je faisais.
Voici donc quatre mois que nous vivons ainsi, nous sommes habitués à ma mère, toutes nos discussions, c’était sur ma mère : le désir de mon mari de mettre ma mère dans notre lit. Toutefois, je dois bien avouer que j’ai perçu cela comme une marque de respect envers ma personne, mais en même temps, une force en moi m’empêche de lui dire que je suis contre ce qu’il vient de me dire.
Chaque soir, il me pose des questions sur ma mère, alors je suis bien décidée à mettre tous les atouts de mon côté et franchir ce cap ou du moins, essayer. La chaleur de mon corps m’aide à prendre cette décision.
Je lui dis que je parlerai à ma mère, il insiste que je le fasse toute de suite, mais j’ai refusé, je lui dis demain matin, je lui parlerais.
Le matin, quand j’ai terminé mes tâches ménagères, j’ai décidé d’appeler ma mère.
Nous discutons de tout et de rien, je ris de nombreuses fois à ses multiples plaisanteries et, d’approche en approche, notre discussion prend un autre trajet, je lui dis :
Maman, j’aime être franche avec toi…
Ne te prive pas, allez, crache le morceau !
Rachid veut quelque chose de toi…
J’ai hésité de lui dire exactement sur quel sujet. Elle m’a forcée de lui dire sur quel sujet. Elle a mis un certain temps avant de me dire :
« À condition que tu présentes Fatima !
Je ne peux pas faire ça devant toi, maman, tu sais bien !
Tu n’as pas pensé à moi pour faire ça au mari de ma fille, pourquoi au téléphone, tu le fais sans hésitation ?
… En plus, c’est à mon tour d’être franc, avec toi, c’est toi que je veux ! »
En entendant ça, le sang a cessé de couler dans mes veines.
« Qu’est-ce qui te prend, Fatima ?
Rien… !
Pourquoi alors tu restes bouche bée sans me répondre ?
À cause de ce que tu viens de me dire, maman !
Oui, je le répète, j’ai envie de toi, si j’étais un homme, personne ne t’arracherait de mes mains !
Mais maman, nous sommes des femmes toutes les deux !
Et alors, à ton âge, je rends service à des filles !
… Laisse tomber, on parlera après, parle-moi de Rachid !
Dis-moi ce que tu veux savoir, maman !
Parle-moi de l’essentiel… !
C’est un homme bien, cultivé, intelligent, presque un homme parfait !
Je viens de te dire, l’essentiel, tout ça, je le sais déjà !
… Je savais toutes ces choses, même avant que tu sois sa femme !
Alors, tu veux savoir quoi !
Est-ce qu’il baise bien, est-ce qu’il a un très bon sexe, comment fait-il, avec toi, ces choses que j’aime savoir ?! »
Je lui raconte et sans même m’en rendre compte, ma main se pose sur ma jambe de la manière la plus naturelle possible que je commençais à caresser en sentant une douce et excitante chaleur entre mes cuisses.
J’écoute la respiration de ma mère, de temps à autre, elle me dit : « oui, continue, ma chérie ! ».
À chaque appel d’elle, je découvre des choses nouvelles, je n’ai jamais été attirée par les femmes, même que je n’y avais jamais pensé.
Ma mère me parle, ses paroles sont douces, d’une tendresse infinie. Ce que j’aime partager, elle c’est nos souffles au téléphone, parler de nos goûts et fantasmes, pénétrer nos intimités même virtuellement dans le silence anonyme de nos voix.
Chaque jour qui passe, depuis cette révélation, je me fais plein d’idées dans la tête, je fantasme sur le fait qu’elle vienne chez nous, passer quelques jours.
Elle allait venir pour un plan à trois, cette idée me mit hors de moi.
Un soir, j’ai décidé de parler à mon mari, je lui ai tout raconté, mais je lui dis que mon problème se posait là, si mon père pouvait laisser ma mère passer quelques jours chez nous.
On a beaucoup réfléchi à la question, enfin, mon mari m’a dit qu’il allait téléphoner à mon père :
« Qu’est-ce que tu vas lui dire ?
Je suis obligé de lui mentir !
Je sais bien que tu vas mentir, mais dis-moi ce que tu vas lui dire !
Je vais lui dire que je serai absent une semaine et toi, que tu ne dois pas rester toute seule ! me répondit-il.
… En clair, voici comment je procéderai : est-ce que tu permets que ma belle-mère reste à la maison pendant mon absence ?
Mais est-ce que tu as pensé, s’il te demande, lui aussi, de me ramener chez eux ?
On va essayer et on verra sa réponse ! »
Sur-le-champ, il a pris son téléphone et a appelé mon père. Après les salutations, mon mari lui a demandé s’il pouvait nous laisser ma mère pour une semaine.
Mon père lui a dit qu’elle lui en avait déjà parlé et qu’il était d’accord.
C’était au tour de mon mari de lui dire merci :
Je viendrai au cours de cette semaine pour la chercher !
Il lui explique qu’il a une mission qu’il ne peut pas refuser et qu’il ne peut pas me laisser toute seule, mais avant que mon mari termine sa demande, mon père l’interrompt :
Ne te dérange pas, je l’amène au cours de cette semaine !
Mon mari a coupé le téléphone, il m’a dit :
« Voilà, ma chérie, le problème est résolu !
… N’oublie pas, ma chérie, dès que ta mère est là, tu dois porter des tenues légères à la maison !
Je ne dois quand même pas être en chemise de nuit ?
Non, ma chérie, avec des tenues légèrement transparentes et en dessous, ne porte rien, pour te mettre à l’aise et en plus, ta mère le remarquera !
… Allez, promets-moi, ma chérie… !
… J’allais oublier, ne prends plus la peine de mettre aussi des soutiens-gorge !
Même, aujourd’hui, je n’ai rien porté ! »
Il a relevé ma robe un peu plus haut, il dévoila mon pubis et découvrit que je ne portais rien.
Puis il m’a dit : « merci, ma chérie, c’est comme ça que je te veux et tu resteras comme ça…, la surprise que tu viens de me faire m’a fait vraiment plaisir ! » L’une de ses mains remonta doucement le long de ma jambe, arriva sur le haut de ma cuisse, puis il a posé, délicatement, l’un de ses doigts sur le bas de mon pubis, en continuant de me parler de ma mère.
Quand il est arrivé à quelques millimètres au-dessus de ma chatte soigneusement épilée, je ne pouvais pas m’empêcher d’émettre des « ahhhhhhhhh ».
Son autre doigt s’est posé sur mon entrejambe, faisant de tous petits mouvements, doux et forts à la fois.
Je ne pouvais pas me tenir plus longtemps comme ça. Il m’a dit :
Je crois que cette discussion te plaît, ma chérie, j’ai remarqué qu’à chaque fois que je parle de ta mère, tu mouilles !
Non… !
Alors, laisse-moi vérifier !
Il a entré son doigt dans ma chatte, il est passé très facilement. Il m’a dit : « menteuse, tu aimerais que je baise ta mère ?! ». J’ai rougi et, très honteuse, je lui dis de laisser ma mère en dehors de tout ça.
Moi, toujours dans cette position inconfortable, je me suis agenouillée, il m’a relevée, c’est lui qui s’agenouilla pour déposer sa langue.
Sa langue se posa sur mes lèvres intimes, il débusqua mon bouton d’amour gonflé à bloc par le désir.
Sa main libre dans mes cheveux et pendant qu’il me léchait la chatte, il a laissé un doigt sur mon bouton d’amour en faisant des petits cercles.
Il me caressait les cheveux et, en même temps, mon visage tout entier dans des mouvements interminables.
Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes où sa langue fouillait ma chatte intensément.
J’ai joui rapidement à l’instant où l’un de ses doigts s’enfonça dans ma chatte dégoulinante, sa langue se lubrifiait plus que de raison en lapant mon nectar délicieux.
Son majeur s’enfonça très facilement et la sensation de son doigt qui me pénétrait avec l’action conjuguée de sa langue sur mon bouton d’amour, déclencha un orgasme qui me transperça tout le corps.
Dans un souffle, je l’implorais de ralentir. Il me répondit : « je m’arrête pas jusqu’à que j’aie une réponse que tu aimes que je baise ta mère ! ».
Je ne pus que lui dire : « oui, oui ».
Au contraire, il a continué, mais cette fois, tout doucement.
Tirant sur mes cheveux, à ce moment même, une décharge électrique traversa tout mon corps.
Après un moment et sans un mot, nous nous sommes tous les deux redressés.
Il me poussa presque violemment sur le canapé un peu plus loin.
Moi de mon côté, j’ai enlevé sa ceinture, son pantalon et son boxer très rapidement pour découvrir son sexe gonflé qui se redressa instantanément devant moi.
Avec un regard d’une chatte enragée, je le pris dans ma main et embrassais son torse en même temps et mes ongles griffaient doucement son corps.
Je ressentais mon envie qui transpirait par tous les pores de ma peau et j’ai pris son sexe et je le passais sur mes seins, j’avais envie de ce sexe dans mon ventre, je voulais qu’il glisse entre mes lèvres intimes.
Sans trop tarder, j’ai ouvert ma bouche pour enfoncer le sexe gonflé de désir. Au contact de ma bouche, son sexe est devenu énorme, ma bouche avala ce sexe, suça, lécha en même temps, tandis que l’une de mes mains baissait et remontait la peau de son sexe dans d’amples mouvements.
Plusieurs fois, je fis sortir intégralement son sexe de ma bouche pour le lécher, telle une crème glacée, de la base au point le plus haut.
Ma langue lécha ses testicules, je jouais avec, je les caressais, je remontais, lentement, tout son sexe pour arriver jusqu’au haut et l’engloutir vigoureusement dans ma bouche offerte.
Pendant ce temps, ses mains ont plongé dans mes cheveux qu’il caressait doucement et accompagnait ses mouvements en douceur. Je m’arrêtais, redressais mon visage vers lui pour qu’il me regarde et je lui dis : « viens sur moi ».
En un instant, je me redressais, je remontais ma robe sur ma poitrine.
Je sentis son sexe glisser parfaitement, il s’enfonça entièrement en moi et, un instant, il a cessé son mouvement, sans bouger, j’avais l’impression de sentir son sexe au plus profond de mon ventre et cette sensation me bouleversa à un point que je dus me retenir de ne pas jouir une autre fois encore.
Il attrapa mes seins de ses deux mains et sa bouche ne tarda pas de les gober un par un.
Il lécha mes seins, les mangea, les aspira, les mordilla en alternance avec les baisers fougueux. Ses hanches bougeaient de plus en plus fortement, il jouait toujours avec mes seins et mon bassin faisait de larges mouvements d’avant en arrière pour que son sexe emplisse chaque recoin, au plus profond de mon vagin.
Je ne tardais pas à jouir violemment, intensément, brutalement, je fus obligée d’arrêter le moindre de mes mouvements, tellement que j’ai commencé à dire n’importe quoi. L’orgasme que je venais d’avoir était trop fort.
Je me relevais et je vins me mettre entre ses jambes, je pris son sexe dans la main, puis je le dirigeais vers ma bouche, lorsque je le fis pénétrer dans ma bouche, je sentis le mélange de nos saveurs intimes emplir mon corps d’excitation encore plus et redoublais mon ardeur à le lécher et le sucer encore. J’ai essayé, mais ce sexe n’est jamais devenu comme avant, il était devenu mou.
Nous sommes restés ainsi un très bon moment, nous sommes allés dans notre chambre et nous nous sommes allongés l’un contre l’autre, puis il m’a dit:
« Parle-moi de ta mère, ma chérie !
Je n’ai rien de spécial à te raconter !
Est-ce que tu as fait des choses avant avec elle ? me demanda-t-il, ensuite.
Non, jamais… !
… C’est à moi de te poser une question et s’il te plaît, réponds-moi avec franchise ! lui dis-je.
Bien sûr, ma chérie !
Pourquoi ce désir sexuel pour ma mère ?
Tu sais aussi bien que moi que ta mère a un très beau corps et sûrement, elle a un très fort potentiel sexuel ! me répondit-il, en souriant.
Alors moi, je te satisfais pas et mon corps ne te plaît pas ?
Non, ma chérie, au contraire, tu es une bombe sexuelle et je t’aime, en plus… !
… Moi, ce qui augmente mon désir, c’est cette complicité entre la mère et la fille ! »
Après un instant de silence, mon mari dit :
« Chérie, imagine-toi que ta mère est là, je la ramène à la chambre… !
… Au début, nous serons très discrets, je commence par la déshabiller…
Arrête, cesse ton imagination ! lui dis-je, mais il ne m’écoutait pas et j’ai remarqué tout de suite que son sexe s’était durci.
… Je ne savais pas que ma mère te faisait cet effet !
Tu sais bien, ma chérie, que ta mère m’excite depuis le jour que je la connais.
… Imagine que je trouve sa chatte entièrement rasée, comme je les aime ! continua-t-il.
… Je la caresserai devant toi jusqu’à qu’elle pousse des gémissements de plaisir et je constaterai qu’elle est très mouillée, c’est alors que je t’inviterai à nous rejoindre !
… Est-ce que tu es d’accord, ma chérie ? »
Je lui fis simplement un geste de ma tête.
Presque chaque jour, nos discussions se portaient sur ma mère.
On attend ce jour avec patience.
Un vendredi, vers 10h30, on sonna à la porte et mon mari n’était pas là, j’étais en train de faire le ménage, j’étais vêtue d’une robe à fleurs, je l’utilisais seulement à la maison. Je me suis dépêchée pour ouvrir la porte, j’ai cru, au début, que c’était mon mari. Quand j’ai ouvert la porte, quelle ne fut ma surprise, c’était mon père et ma mère !
Je les fis entrer et leur souhaitais la bienvenue, j’ai téléphoné directement à mon mari, je lui dis de faire des commissions, car mon père et ma mère sont là.
Il fut très content, il m’a dit : « sans problème, ma chérie, je ferais le nécessaire, ne t’inquiète pas ».
Quand mes parents sont installés au salon, je me suis dirigée vers la cuisine pour leur préparer le café.
Ma mère m’a rejointe à la cuisine, je me suis tournée, elle était en face de moi, sa première question :
Où est ton mari ?
Il est sorti, il ne tardera pas à rentrer !
Attends, je vais t’aider, mais avant, dis-moi où je peux me changer.
Elle était vêtue de son voile, depuis mon jeune âge, ma mère mettait toujours son voile quand elle sortait
.
Va dans ma chambre, tu seras à l’aise… !
Quand elle est revenue, elle était habillée d’une robe rouge à fleurs qui laissait transparaître ses jolies formes, ses cheveux longs et lisses retombaient en arrière, lui donnant une allure folle, même, je me suis sentie rougir en la regardant. Elle n’a pas fait attention à moi. Moi, de mon côté, je regardais, toujours d’une manière un peu bizarre, ses lèvres pulpeuses. Sans m’en rendre compte, je lui dis : « tu es très jolie maman ».
Elle m’a regardée, puis elle a souri et m’a dit : « merci, ma fille ». Elle m’entraîna par la main et me dit : « allez, il faut faire vite, ton père attend son café ».
Je la sentais particulièrement excitée de venir chez moi.
Elle me glissa à l’oreille : « tu as vraiment de la chance, ma fille, d’être là, ta maison est vraiment belle ».
Elle me complimentait sur ma décoration, ma cuisine, elle n’a pas cessé de parler.
Le café fut prêt, nous nous sommes dirigées vers le salon, ce fut au tour de mon père de lui dire : « comment ça, tu te sens déjà chez toi ? ». Elle lui répondit : « n’oublie pas que je suis chez ma fille », mon père n’avait pas l’habitude de voir ma mère retirer son voile, à part chez elle.
J’ai dit à mon père qu’elle ne devait pas rester comme ça toute la journée, même ici, elle était chez elle.
Nous sommes toujours au salon quand mon mari fit son entrée, après les salutations et les baisers de bienvenue, ma mère et moi, nous nous sommes retirées du salon pour préparer le déjeuner et laisser les hommes discuter ensemble.
Ma mère, qui était blanche de peau, mais avec des cheveux noirs, elle avait réellement de beaux seins et bien faits. Elle portait des bijoux traditionnels.
Elle n’avait pas besoin pour attirer le regard, je crois que mon mari avait raison de fantasmer sur elle.
On a préparé le déjeuner ensemble, puis rejoint les hommes au salon. En déjeunant, lorsque mon regard se porta sur le sexe de mon mari, car il était en face de ma mère, son sexe était tendu. À un moment, relevant la tête, je vis mon mari qui s’employait à mettre son sexe à l’abri des regards, car celui-ci commençait à prendre une belle vigueur.
Au même moment, je croisais le regard de ma mère qui me souriait et qui, sans aucune gêne, me fit un signe de son il gauche me désignant la braguette mon mari, en faisant passer la langue sur ses lèvres discrètement.