Pendant plusieurs mois, les deux femmes continuèrent leur relation incestueuse, et chaque jour apportait son lot d’étreinte charnelle et de plaisir entre elles. Mais quand Sarah dû partir dans une autre ville pour ses études d’après BAC, cela leur déchira le cur, car Éliane et sa fille avait un lien fort qui dépassait celui de mère-fille. Elles continuèrent tout de même leur jeu à chaque fois qu’elle se voyait, et cela les amenaient à ne pas en dormir de la nuit, tant les caresses et les cris de plaisir les empêchaient de trouver le sommeil.
Depuis qu’elles avaient commencer à jouer avec le gode ceinture, souvent elles échangèrent les rôles et Sarah prenait souvent sa mère en missionnaire, ou en levrette. Mais ce soir là, quand Éliane arriva dans le petit appartement de sa fille, elle amena un nouveau jouet avec lequel elles n’avaient encore jamais jouer, un gode à double tête.
Comme d’habitude, elles firent durer le plaisir : caresse sur les seins et coup de langue sur les tétons, caresse sur la peau nue de l’une et de l’autre du bout des doigts, baissés langoureux et passionnés, et caresses sur le vagin ; tout était fait pour que leur plaisir soit intense, mais doux et sensuelle.
— Ho oui maman ! J’aime ça, lèche moi mon clito, hum… j’aime sentir ta langue ! Enfonces moi tes doigts !
— Ha non ma chérie, répliqua Éliane fière de l’effet qu’elle fessait à sa fille. L’intérieur de ton vagin va attendre un peu.
Pour compenser, la mère accéléra la cadence de sa langue sur l’intimité de sa fille, qui appuya plus fort sur la tête dÉliane plus le plaisir devenait intense. Et cette dernière, devenue de plus en plus perverse avec sa fille, s’arrêta pile au moment où le septième ciel s’ouvrait à Sarah. Elle prit alors le gode à double tête, croisa ses jambes avec celles de sa fille, et fit rentrer le jouet sexuel dans leur deux vagins en même temps.
Les deux femmes poussèrent de manière synchroniser sur le gode, ce qui provoqua un contact entre leur clitoris à chaque va et viens. Les cris de Sarah reprirent de plus belle, alors que ceux de sa mère se joignirent aux siens au fil des secondes qui s’écoulaient.
— Hum…ma chérie je vais jouir…Ho oui c’est bon ! Je…je jouis !
— Han…moi…aussi maman !
Les deux femmes eurent un violent orgasme en même temps, et finirent leur ébats dans les bras l’une de l’autre. Mais à peine remis de leurs émotions, Sarah se mit à pleurer dans les bras de sa mère, sans que cette dernière ne comprenne pourquoi.
— Que t’ arrives-t-il Sarah ?
— Maman…je…je suis désolée…mais je crois que nous allons devoir…arrêter tout cela !
Éliane sentit un gros poids s’abattre sur elle. Sa fille, avec qui elle partage son corps depuis plusieurs mois, veut mettre fin à leur relation. Pourtant elle n’avais jamais refusée ou montrer le moindre signe qui montrerait qu’elle voulait rejetée ce qu’elle fessait.
— Mais…pourquoi Sarah ? J’ai fais quelque chose de mal ?
— Non maman, absolument rien ! Mais…sur le campus…j’ai rencontré un garçon…nous nous parlons depuis plusieurs semaines, et je ressens une attirance envers lui. Et il y a deux jours, il m’a avoué son amour pour moi.
— Ho…Mais c’est géniale ma chérie ! Pourquoi me l’as tu caché ? Si tu as trouver quelqu’un qui te plaît, alors n’hésite pas.
— Tu es sure ? Je pensais que cela te ferait du mal.
Mais non ma chérie, au contraire je suis heureuse pour toi. Dors maintenant, et remets toi de tes émotions.
Cependant, quand Éliane se retourna et se mit dos à sa fille, des larmes silencieuse se mirent à couler sur ses joues. Et le lendemain lui provoquerait de nouvelles peines.
Dans l’après-midi, Éliane partit faire des petites courses au centre ville, et quand elle revint chez sa fille, ce qu’elle vit lui déchira le cur. En rentrant dans l’appartement, elle entendit un bruit venant de la salle de bain attira son attention. Elle se dirigea vers la porte, et regarda à travers lentrebâillement, et vit Sarah, nue, dans les bras d’un jeune garçon sous la douche.
Les deux jeunes gens étaient en plein ébats amoureux, le pénis du garçon en Sarah, et fessait des vas et viens dans la jeune fille qui semblait beaucoup appréciée, comme en témoignait les gémissements de plaisir de Sarah. Dans le même temps, le jeune homme utilisait ses mains pour malaxer d’une manière douce mais intense les seins, et particulièrement les tétons de Sarah, qui accentua le bien-être de la jeune fille.
— Continue…c’est trop bon ! Tu peux aller plus vite vas-y ! Fais moi jouir avec ton membre viril ! Han oui !
Aussitôt, le garçon accéléra la cadence, ce qui changea les gémissements de Sarah en cris de plaisir. Éliane n’en croyait pas ses yeux, sa fille aimait tellement le traitement que ce garçon lui prodiguait, qu’elle était presque à planter ses ongles dans le dos de son amant, tant ses mais se serraient sur lui. Et au moment où l’orgasme arriva pour Sarah, elle ferma les yeux, et ouvrit grand la bouche pour laisser s’échapper un cris de plaisir comme elle n’en avait jamais criés.
Quand Sarah sortit de la salle de bain avec son ami dans les bras, elle vit deux petits sacs, avec un petit où était marqué : « Je rentre à la maison, Ta mère. »
