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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 17

Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà - Chapitre 17



Le mercredi 27 juillet se termina ainsi. Après le dîner, nous reprîmes nos habitudes. Les jeudi 28 et vendredi 29, furent des journées de vacances « normales » : plage, repos, balades. On pouvait même dire que Mirek était oublié, puisqu’aucun de nous trois n’en parlait, même par allusion. Bien sûr, je voyais Eva et Jana bavarder en dehors de ma présence, mais rien de plus.

Le matin du samedi 30, je me levai, avec en tête, cette idée que c’était le jour ou Jana allait devoir se décider : y aller ou pas ?

Vers 11heures, on se retrouve tous les trois sur la plage. La journée s’annonce belle et même plutôt chaude avec un peu plus de 30 degrés. Jana porte le deux pièces blanc et noir, qu’elle prête parfois à sa sur. Relativement petit, il met son corps en valeur et ses jolis seins, lesquels, étant assez gros, dépassent des bonnets du soutien-gorge.

Alors qu’on se baigne, Eva me dit qu’elle a croisé Mirek, par hasard, en se rendant aux toilettes vers 9h :

« Il m’a demandé si j’allais bien, car il s’était bien rendu compte que depuis mercredi, il ne me voyait plus. Et bien sûr, il a aussi demandé des nouvelles de Jana. Je lui ai répondu que tout allait bien, et qu’il était possible que ce soit elle qui vienne en début d’après- midi. Il a paru enchanté. En même temps j’ai senti qu’il désirait beaucoup qu’elle vienne ».

« Il avait l’air de tourner autour du pot, ne sachant comment s’exprimer, alors je lui ai demandé de dire simplement ce qu’il désirait » :

« Si elle pouvait venir un peu plus tôt, avant 13h30, avec le même t-shirt court que je portais le mardi Qu’il avait déjà quelqu’un pour elle, que ça devait bien se passer »

« Jana est au courant ? » demandai-je.

« Pas encore ! Depuis jeudi, on en parle parfois. Elle hésite, même si j’ai l’impression qu’elle a envie de tenter l’expérience ! »

On rentre de la plage vers midi, tout est prêt pour se mettre à table. Et peu après 12h45, le déjeuner expédié, et la vaisselle nettoyée et rangée, les parents annoncent qu’ils vont se reposer, comme à leur habitude. Eva prévient sa mère, que nous allons faire une promenade plus longue, et qu’il est possible que nous revenions plus tard que 16h. Le motif est un peu bancal. Mais comme les deux jours précédents nous n’avons pas bougé, cela ne la dérange pas, et nous souhaite une bonne promenade.

Aussitôt, Eva met au courant sa sur de la rencontre qu’elle a fait ce matin. On la sent tentée, mais pas décidée encore.

« Il faudrait que tu y ailles maintenant ! Et puis, il a déjà la personne et il la connait bien ! Il ne faudrait pas que tu le regrettes après. Enfin tu fais comme tu veux ! Le t-shirt bleu est dans la tente de Bob On te suivra jusqu’au bureau et après nous irons d’un autre côté ».

« Quelle heure est-il ? » demande Jana après avoir réfléchi un bref instant.

« Presque 13h ! » dis-je, en consultant ma montre.

Eva ajoute ; à l’intention de Jana :

On a même dit à maman qu’on risquait de rentrer un peu plus tard. Cela, au cas où ton truc dépasserait 16h. Disons que tu as une heure de plus, donc 17h ! »

Elle semble prendre une inspiration, puis, décidée : « Bon j’y vais ! » Et elle se dirige vers ma tente et y entre, tandis qu’Eva et moi la suivons.

« Je dois mettre ça ton t-shirt bleu et je fais deux centimètres de plus que toi on va tout voir ! Mirek a de drôles d’idées quand même ! »

Jana retire son maillot et enfile le t-shirt. À genoux, dans ma tente, on peut voir son sexe et une partie de ses fesses :

« Je te dis qu’il est un peu trop court pour moi ! » Dit- elle tout en ne pouvant s’empêcher de sourire de la situation. Elle sort précautionneusement de la tente, et une fois debout tire sur le bas de son t-shirt.

« C’est bon comme ça ? On ne voit pas trop ? » demande- t-elle à Eva, tout en tournant sur elle-même.

« Oui ! C’est bon ! Et fais comme moi, marche bien droit et évite de te pencher ! » Eva rit entraînant du même coup Jana, qui se détend un peu.

Puis nous nous dirigeons vers le bureau. Moins de deux minutes après nous sommes devant, et nous voyons Jana gagner la porte arrière tout en nous faisant un petit signe. Et nous prenons une autre direction.

LA PROMENADE DE JANA RACONTEE PAR ELLE-MÊME

J’ouvre la porte arrière. Je suis un peu stressée, en entrant. Une fois dans le bureau, Mirek, qui lisait quelque chose, remarque ma présence. Ma tenue le ravit, ça se voit ! Et il m’invite à m’assoir sur le petit banc, et me sert un gobelet de coca. Son regard enveloppe mes cuisses, presque entièrement dénudées, maintenant que je suis assise. Il doit aimer les filles un peu potelées, et donc mes cuisses un peu rondes. Il essaie aussi d’évaluer mes seins, bien qu’il me les a déjà bien tripotés ! C’est que les tétons pointent et que je ne peux rien contre ! Je me contente de serrer les cuisses, comme Eva, pour éviter d’exposer ma vulve.

Je n’ai pas longtemps à attendre. À peine quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et un homme apparait. La quarantaine, brun, plutôt pas mal. Je les vois discuter quelques minutes puis ils viennent vers moi :

« Vous allez avec lui, Jana ! Et il vous ramènera vers 16h comme vous avez demandé ! » (il n’a pas été mis au courant du nouvel horaire). Mirek me vouvoie, mais j’imagine que c’est voulu. Je me lève, avec précaution. J’ai deux paires d’yeux braqués sur mes cuisses, tentant, en plus, de voir ce qu’il y a entre

Il est 13h15 quand nous sortons par la porte de derrière. Je n’ai pas demandé où nous allons, mais je vois l’homme se diriger vers la sortie du camping. Pas de promenade sur la plage, donc.

« Où allons-nous ? » voyant qu’il ne dit rien, je me permets de le questionner.

« Faire une promenade en voiture ! Et puis ça préservera vos jolis pieds nus ! »

« Merci, c’est gentil de votre part ! » dis-je, voulant lui être agréable.

Puis, me souvenant de l’heure :

« J’allais oublier de vous dire que je peux retarder mon retour jusqu’à 17h, environ ! »

« Parfait ! Je me disais aussi que 16h ça serait un peu tôt pour rentrer ! »

Une fois arrivé sur le parking devant le camping, il s’approche d’une voiture blanche, une Skoda.

« Voiture tchèque ! Comme vous ! » Il essaie de me détendre, mais je sais bien que cette promenade sera tout, sauf ordinaire. Il reprend :

« On va faire une balade sur les petites routes des environs ! Montez ! »

Je monte. Il fait déjà chaud dans la voiture. Il ouvre les vitres. Je me surprends à me féliciter d’avoir une tenue si légère, avec cette chaleur. Juste avant de démarrer, je le vois jeter un regard, un brin lubrique, sur mes cuisses un peu rondes. Décidément les « connaissances » de Mirek ont, semble- t- il un point commun : apprécier les filles un peu potelées. Pour moi-même, j’ajoute que le fait que si, en plus, elles sont Tchèques ça doit constituer un atout supplémentaire !

« Il y a des choses intéressantes à voir dans le coin ? » Ma question parait stupide, mais je n’ai rien trouvé d’autre pour pouvoir connaître son plan.

« Il y a bien une église orthodoxe, mais avec votre tenue, ça n’est pas très indiqué ! » dit-il avec une pointe de malice.

« Mais la campagne est agréable par ici, et à cette heure-là, avec la chaleur, on ne rencontrera pas grand monde ! » Ajoute -t-il.

Je me dis que ce serait préférable ! Je sais bien qu’il va me demander des trucs, dans des endroits isolés, certainement, car je commence à cerner la chose.

Une fois arrivé sur la route, il s’engage à droite, vers le nord. Trois kilomètres plus loin, on arrive dans le gros bourg de Durankulàk. À un moment, il stoppe devant un magasin qui vend fruits, légumes et boissons.

« Attendez ici ! Je reviens dans un moment ! » dit- il, en saisissant un sac en plastique, sur la banquette arrière.

Je le vois réapparaître, dix minutes plus tard avec son sac. Il a l’air satisfait, mais je ne sais pas ce qu’il a bien pu acheter :

« Tenez, j’ai pensé à vous ! Avec cette chaleur ! Buvez avant que ça ne se réchauffe trop ! » Et il me tend une petite bouteille d’un coca local. C’est plutôt bon, et je la bois par rasade.

« J’en ai pris d’autres, on se sait jamais, avec cette chaleur ! »

On redémarre. À la sortie du bourg, un panneau indique : Douane 20 km :

« Ne vous inquiétez pas, nous n’allons pas en Roumanie ! » plaisante- t-il.

En effet, un kilomètre plus loin, il tourne à gauche, et on se retrouve sur une petite route étroite. Le ciel est tout bleu et le soleil chauffe, mais en roulant avec les vitres ouvertes, c’est acceptable. On passe devant un abri en bois, un arrêt d’autocar :

« Juste derrière la station, il y a un puits. Tout le monde peut l’utiliser, mais à cette heure il n’y a personne, c’est sûr ! »

Il s’engage dans un chemin qui va vers la droite et s’arrête à l’ombre :

« Venez donc ! Il est là ! » Il m’indique le puits, juste derrière la station, à côté d’un arbre.

« Il y a de l’eau, mais c’est profond ! » dit-il en se penchant.

Machinalement, je fais le même geste et je me penche aussi Le coquin ! Du coup, mon t-shirt remonte, dévoile une partie de mes fesses !

« Restez comme ça ! Vous êtes tellement mignonne ! Au fait, comment vous appelez-vous ? On se tutoie ? » Il a trouvé l’entrée en matière on dirait

Il semble plus « civilisé » que celui qui accompagnait Eva : « Je m’appelle Jana et pour se tutoyer, c’est possible ! »

« Moi c’est Boris, et tu es vraiment sexy, Jana » Il ne perd pas de temps pour caresser mes fesses et le haut de mes cuisses. Toujours accoudée à la margelle du puits, je le laisse faire, puisque je suis là pour faire des expériences. Sa main remonte alors sous mon t-shirt ; il me caresse le bas du dos :

« Tu as une jolie peau, Jana ! Et ça doit être fragile, une peau laiteuse comme ça ! »

« Oh oui ! Et, en plus, je n’ai pas pensé à emporter mon huile solaire J’aurai intérêt à rester à l’ombre !»

Il me sourit : « Dans le magasin ils vendaient des produits pour la plage ! J’ai pris de l’huile solaire pour toi ! » Puis il ajoute, d’un coup : « Tu es vraiment excitante ! Je voudrais te voir toute nue ! »

Il a visiblement envie de commencer ses mains pelotent mes fesses, mes cuisses, puis il essaie de glisser sa main entre mes cuisses.

« Écarte tes cuisses, tu ne dois plus rien me cacher de ton corps, jusqu’à ce que je te ramène au camping ! »

Je le fais et il glisse sa main entre et je sens ses doigts palper ma vulve. Je me raidis un peu, il le sent :

« Détend- toi, ma chatte ! Si tu es là, c’est que tu veux connaître de nouveaux plaisirs, et je suis là pour t’en procurer ! »

« Pour ça, je te fais confiance ! » me dis-je pour moi-même. Et comme il me voit sourire, alors que je pense à l’aventure d’Eva sur la plage, il se méprend :

« Tu as un sourire adorable, ma chatte ! Retourne-toi ! Et si tu enlevais ton t-shirt ? »

« Tout de suite ? Et si quelqu’un vient ? » Ma réticence semble l’agacer un peu, mais il reste calme :

« Tu ne t’es jamais mise à poil en pleine nature ? Je ne vais pas attendre à chaque fois que tu te décides ! Tu as prévu que je te ramène à 17h sinon on va dépasser l’heure Tu comprends ? »

Oh oui que je comprends ! Un peu gênée quand même, je retire mon t-shirt :

« Tu es magnifique, ma chatte ! J’adore ce corps un peu potelé, ces cuisses, ces fesses et ces seins ces seins ! Tu sais que j’adore les filles comme toi avec des seins assez gros ! Ils font quelle taille ? »

« Merci pour le compliment ! En fait ça dépend des modèles de soutien-gorge : en général c’est du 95c, mais comme c’est limite il m’arrive de devoir prendre du 95d. Ma sur c’est un peu la même chose, en un peu plus petit : suivant les modèles, c’est 95bou c ! »

« C’est la famille à gros seins, alors ! Tu es vraiment excitante toute nue tu vas rester comme ça, maintenant donne-moi ton t-shirt ! Il va rester dans la voiture. Tu le remettras seulement quand je te le dirai ! C’est clair ? »

Guère habituée à me trouver toute nue en pleine nature, je me sens un peu vulnérable, mais je réponds sans réticence, cette fois :

« Oui, oui ! C’est clair ! » Puis je le vois s’éloigner jusqu’à la voiture, ou il jette mon t-shirt sur la banquette arrière. Me voilà nue et offerte

Je reste près du puits en attendant qu’il revienne :

« Alors, ma chatte ? Tu veux savoir combien tu m’excites ? »

Sans attendre ma réponse, il saisit ma main droite et la pose sur la braguette de son pantalon. Je sens quelque chose de dur, de gros aussi :

« Il parait que les Tchèques aiment les grosses bites, c’est vrai ? » Plaisante- t-il.

« Lui aussi, il s’y met » Me dis-je, repensant au récit d’Eva. Mais il reprend aussitôt :

« Ouvre la braguette et sors ma bite ! Tu dois avoir envie de voir ça, non ? »

Toujours debout, le dos appuyé contre la margelle du puits, je tire la fermeture éclair. Une queue bien raide en jaillit. Boris n’a pas de slip ça promet ! Elle est un peu moins longue que celle de Bob, mais d’un diamètre plus gros, ce qui la rend plus imposante. Les couilles sont bien remplies comme si notre homme s’était réservé pour l’occasion !

Je la prends entre mes doigts. Il a l’air ravi de se faire palper la bite par une Tchèque toute nue ! Car il doit voir sûrement les choses comme ça

Comme je me suis penchée un peu, il remarque mes cheveux bien tenus :

« Si tu enlevais les pinces qui tiennent tes cheveux, que tu les laisses tomber sur tes épaules ? Tu serais hyper sexy, c’est sûr ! Cette espèce de chignon, ça fait vraiment trop sage ! »

Et avisant ma petite bague fantaisie au doigt et mes boucles d’oreilles :

« Retire-les aussi ! Tu risques de les perdre Et tu me donnes tout ça, je le mettrais dans la boite à gants de la voiture ! »

Cela semble sensé de sa part, mais je ne peux pas m’empêcher de penser à une sorte de fétichisme de sa part : celui d’obtenir de moi, d’être nue comme un ver, dépouillée en totalité de mes bijoux et breloques. Comme l’est un animal

Il admire mes cheveux, maintenant tombés sur mes épaules et qui virevoltent à chaque mouvement de tête :

« Magnifique ! Tu es magnifique ! Accompagne-moi jusqu’à la voiture, pour que tu voies où je mets tes bijoux je veux être en règle avec toi, de ce côté-là au moins ! »

Je marche à côté de lui. Il a remis son sexe dans son pantalon, mais je suis sûre qu’il doit avoir une autre idée ! D’autant plus qu’il louche sur le balancement de mes seins quand je marche !

Il ouvre la portière avant et me laisse le voir prendre une petite boite en fer dans la boite à gants pour y mettre pinces, bague et boucles d’oreilles :

« Tu vois elles sont là ! » dit-il, une fois que tout est remis à sa place.

Je suis un peu surprise quand je le vois s’installer au volant :

« On part déjà d’ici ? Je dois monter comme ça ? » Je me sens embarrassée. Il le remarque et me lance :

« À partir de maintenant et jusqu’à que je te ramène, tu restes à poil, oui ? »

Je me montre maladroite en insistant :

« Heu même quand on roule sur la route ? Je ne risque rien ? »

« Mais non, sur des petites routes comme ça, il n’y a pas grand monde. Et si on traverse un village, on ne se rendra pas compte qu’il y a une fille nue dans la voiture ! Et puis, même si on te voit » Il sourit.

Il ne semble plus pressé de repartir. Je le vois saisir un morceau de toile en coton vert, sur la banquette arrière :

« Je vais poser ça sur ton siège, tu t’assoiras après.

« Tu mets ça pour quoi ? »

« Il vaut mieux prévoir ! » dit-il, évasif.

Je m’assois et je ferme la portière. C’est alors qu’il se tourne vers moi :

« Tu as déjà baisé dans une voiture ? » La question est directe.

« Possible, oui, mais jamais toute nue encore ! » j’essaie de plaisanter.

Puis très vite sa main gauche se plaque sur mes cuisses et il se met à les caresser.

« Tu es tellement excitante ! » maintenant sa main tripote mes seins, puis descend sur mon ventre :

« Écarte tes cuisses ! » Il a dit ça doucement, comptant sur mon obéissance, puisque je suis là pour découvrir.

En fait, j’hésite à peinemes cuisses s’ouvrent sa main caresse ma vulve. Il me regarde, tout en enfonçant trois doigts dans mon vagin. J’ai un léger sursaut. Il se met à fourrager mon vagin avec ses doigts. Puis avec son pouce, il essaie de me titiller le clitoris. C’est un peu brutal, mais efficace puisque je commence à respirer de manière saccadée :

« Tu aimes ça, hein ? Ça t’excite de sentir mes doigts dans ta chatte ? Dis-le, ma chérie ! »

« Que je dise quoi ? Et tu crois que je suis ta chérie ? » Dis-je, un brin ironique.

Sans relever mon ironie, il reprend :

« Dis : « J’aime que tu me fouilles le con avec tes doigts ! Répète ! »

Zut ! Décidément, ils ont tous la même idée, les mecs d’ici ! Toujours à vouloir nous entendre leur dire des cochonneries de ce genre ! Tous des obsédés Ce que je vis est en train de recouper le récit d’Eva ! Il a dû me sentir absente un instant. Mais il a toujours ses doigts qui fourragent ma vulve :

« Répète, Jana ! Et le mieux serait que ça vienne de toi ! Tu dois savoir que ça m’excite encore plus de t’entendre dire ce genre de propos bien crus, et avec ton accent, ça rend la chose encore plus bandante ! »

Hé bien. Faut que je m’y fasse. Je commence à haleter. Ce cochon m’excite. Je lâche :

« J’aime que tu me fouilles le con avec tes doigts ! »

« Salope ! Tu aimes ça, hein ? Tu aimes que je t’excite comme ça ! »

Je le sens fébrile. Il semble bien qu’il dise vrai en affirmant que des propos crus dits par moi décuplent son excitation. Je me dis qu’après tout . Je n’ai jamais encore osé dire de tels mots, mais si ça lui plait, pourquoi ne pas essayer d’en prononcer, pour lui

Maintenant ses trois doigts vont et viennent dans ma chatte et, voyant mon excitation monter, il accélère le mouvement. Je halète, je gémis, je me soulève même pour mieux sentir ses doigts :

« Tu m’as l’air d’être une belle salope, Jana ! On va bien s’amuser ! »

Il retire ses doigts trempés de mouille de ma vulve et me les fourre dans la bouche :

« Régale-toi de ta mouille, petite cochonne ! » Et il maintient ses doigts dans ma bouche tant que je n’ai pas tout sucé.

« C’est fou ce que tu peux m’exciter ! » Il ne sait plus à quels endroits poser ses mains sur mon corps. Il va des seins au ventre, du ventre aux cuisses, des cuisses aux hanches, des hanches aux seins et il recommence !

Puis il ouvre sa braguette, sort sa queue toute raide :

« Tu vois combien tu me fais bander ? Prends- la dans ta main ! »

Il saisit ma main gauche et la pose sur sa queue : « Allez, Jana, branle-moi ! Astique ma pine avec ta main ! »

Je commence à le branler doucement ; sa queue est tendue, le gland décalotté :

« Si tu pouvais te servir de ton autre main pour te masturber, en même temps, ce serait super, ma chatte ! »

En fait ça ressemble à une invitation ferme à le faire Mon index droit se pose sur mon clitoris, et je commence à le titiller. Sans vouloir me l’avouer, cette situation commence doucement à m’émoustiller.

Puis il met le moteur en route :

« Je connais ce chemin ! Au bout il y a un petit bois, à peine 2km d’ici Et surtout ne t’arrête pas de me branler et de t’astiquer le clitoris ! Tu n’imagines pas à quel point tu m’excites ! »

Je me sens flattée par ses propos enthousiastes, mais je ne peux m’empêcher d’être un peu inquiète pour la suite des évènements. Il pourrait bien se montrer beaucoup plus exigeant, que lui-même ne l’aurait envisagé.

Au bout de cinq minutes sur un chemin cahoteux, on arrive devant le fameux petit bois. En fait celui-ci se trouve sur une butte, d’une quinzaine de mètres de haut. La pente n’est pas très forte et on y accède sans difficulté. Il gare la voiture derrière un bosquet, au pied de la butte. Je cesse de me masturber ainsi que de tripoter sa pine. Nous sortons de la voiture. Boris se saisit du sac plastique et m’invite à monter devant lui. Galanterie doublée de voyeurisme : il va, tout à loisir, se repaître de ma croupe qui ondule à chaque pas !

Parvenus à l’entrée du petit bois, on s’y enfonce un peu, pour être à l’abri des regards. Boris m’indique, isolée au milieu des arbres, une souche pouvant servir de siège. Je m’y assois, ainsi que Boris qui ouvre le fameux sac :

« D’abord, un peu d’huile solaire pour Jana ! » lance- t-il à la cantonade. Je m’attends à ce qu’il me tende le flacon, mais il me fait lever et applique généreusement l’huile sur mon corps, n’en omettant aucune parcelle : je m’en retrouve enduite du front jusqu’aux pieds ! Et je me rends compte alors que l’aspect luisant qu’a pris mon corps lui donne un attrait très érotique !

« Tu es magnifique, ma chatte ! ». Son regard m’enveloppe. Je me sens encore plus nue. Puis, ayant remis l’huile solaire dans le sac, il en sort deux choses : un concombre et une banane.

« C’est pour manger ? » Dans un premier temps, je n’imagine pas ce qu’on pourrait faire d’autre avec un concombre et une banane. Mais avec lui

Il rit de ce qui ressemble à de la naïveté de ma part. En fait, je n’ose penser à ce qu’il a en tête à ce moment-là. Enfin, il s’explique et je suis sidérée:

« La banane, c’est pour te la rentrer dans la bouche et le concombre pour te l’enfoncer dans le vagin ! »

Rentrer enfoncer c’est parlant ! Comme à chaque nouveauté, je suis partagée : je trouve cela dégoûtant, mais s’il me le propose, c’est que, peut-être :

« Tu l’as déjà proposé à d’autres filles, ce genre de truc ? » Il s’empresse de répondre :

« Évidemment ! Et toutes celles qui l’ont essayé je peux te dire qu’elles ont joui comme des folles. Si elles étaient là, elles te diraient qu’un concombre c’est comme une grosse queue, et, en plus ça procure un orgasme monumental ! Et puis tu ne prends pas la pilule, je crois ? Alors un concombre, ou une banane, c’est l’idéal ! »

Le salaud ! Il vend bien sa salade. Je refuse de l’admettre, mais je suis en train de vaciller. Une petite voix me dit qu’après tout, je suis là pour expérimenter. Bon, ce qu’il veut que je fasse, c’est quasiment de me muer en objet sexuel, pour assouvir un fantasme qui doit lui procurer une excitation sans limites. Mais si ça me permet d’avoir un orgasme monumental

Je jette un regard sur la banane et le concombre :

« Est-ce qu’ils sont bien propres ? Tu sais que les Tchèques et l’hygiène, ça va ensemble ? » J’ose cette plaisanterie, accompagnée d’un petit sourire.

Il semble vouloir sauter sur l’occasion : « Un concombre, ça s’épluche et j’ai ce qu’il faut il montre un couteau- et la banane c’est encore plus facile ! »

Je soupire : « T’es un beau cochon, toi ! bon, je veux bien essayer »

Boris s’affaire aussitôt à éplucher le concombre qui doit faire une trentaine de cm et 4 ou 5cm de diamètre. Il s’amuse, en plus, à tailler de petites rainures le long de celui-ci. Mais, il me tend d’abord la banane, après avoir retiré la peau :

« Mets-la dans ta bouche ne la mange pas, hein ? C’est un jeu ! » Il reprend :

« Rentres la le plus loin possible dans ta bouche, puis tu la ressors, puis tu la rentres, à nouveau en faisant des aller- retour comme si tu suçais un bite ! »

Je commence à faire comme il me demande. Je suis toute nue, debout, au milieu d’un bois, à sucer une banane. Je suppose qu’il doit trouver ça terriblement érotique, à moins que ça ne le soit vraiment.

Il me laisse répéter la chose une vingtaine de fois, puis il me lance :

« Maintenant, rentre toi la banane dans la chatte ! » Je reste un peu interdite :

« Dans ma chatte ? »

« Ne fais pas la sotte ! Tu as parfaitement compris ! » Je rougis. Je regarde mon sexe. J’ai honte. La main qui tient la banane a du mal à descendre jusqu’au bas ventre. Je frissonne quand je suis amenée à poser l’embout de la banane sur l’entrée de ma vulve :

« Allez ! Pousse-la dedans ! J’ai choisi une banane verte, donc plus ferme ! »

Je finis par enfoncer la moitié de la banane dans ma chatte. Et si elle est entrée facilement, c’est que, J’ai honte de l’avouer, je mouille. Boris, ce cochon, s’en est aperçu aussi :

« Tu te fourres une banane dans le con et ça te fait mouiller, petite salope ! Ces Tchèques, elles font des manières, alors qu’elles se conduisent comme des putes ! Ramone-toi le con avec la banane, maintenant ! Imagine que c’est une bite ! Fais-toi plaisir ! »

Je commence à faire des allers-retours à la banane dans mon vagin. C’est terrible, parce que commence à éprouver du plaisir à sentir une banane coulisser dans mon vagin. J’entends Boris exulter quand je commence à haleter, à gémir. Je tiens la banane à pleine main et la fait coulisser dans mon antre secret. Mais Boris n’est pas pressé de me voir jouir :

« Arrêtes, ma chatte ! Je vois que ça t’a beaucoup plus et beaucoup fait mouiller Retire la banane ! » C’est presque à regret que j’obéis !!

« Et maintenant tu remets la banane dans ta bouche ! Avec sa couche de mouille, elle doit être délicieuse ! » Son regard exprime la lubricité.

Je porte la banane à mes lèvres. J’hésite. Je ferme les yeux. C’est légèrement visqueux, le goût est un peu salé. mais c’est MA mouille.

« Tu peux la manger, si tu as faim bien qu’elle soit un peu verte ! »

Je mords dans la banane, je la mange par petit bout, comme si je la dégustais. Quand j’ai tout fini, je lance à Boris, un propos bien cru. Un de ceux que je m’étais promis de lui dire, sachant combien ça l’excitait :

« Eh bien, tu as raison ! La mouille de mon con est vraiment délicieuse et c’est ta pute de Jana qui le dit ! » J’imagine bien l’effet que doit produire un tel langage sur Boris, l’excitation que ça provoque en lui.

« Cela t’a plu, hein ? Tu as changé d’avis sur les bananes et ce sera la même chose pour ça ! » Et il me tend le concombre. J’avoue que j’ai un peu peur, celui-ci étant au moins deux fois plus volumineux que la banane.

« Imagine que c’est une grosse bite, et tu aimes les grosses bites, n’est-ce pas ? Tu vas doucement te l’enfoncer dans le vagin »

Je suis morte de honte quand je pose l’embout le plus fin sur l’entrée de ma vulve. Je suis debout, les jambes écartées, empoignant l’autre extrémité du concombre avec mes deux mains :

« Attends ! Vas t’appuyer contre le tronc de l’arbre, à côté de toi ! Cela sera plus facile pour toi ! »

Je vais m’appuyer, debout, dos contre le tronc d’arbre, jambes toujours écartées :

« Allez ! Enfonce-le doucement ! Pousses avec tes deux mains ! » Boris me guide, et moi, je fais ce qu’il dit Normalement, je devrais fuir d’ici, mais je ne me reconnais plus c’est que, en l’enfonçant dans ma chatte, je provoque les prémices de l’excitation. Le pire, c’est que malgré moi, cette forme déviante de sexualité est une révélation !

Je suis parvenu à faire entrer près de la moitié du concombre dans mon vagin :

« Parfait ! Maintenant tu vas te ramoner le vagin avec cette grosse pine verte ! » Boris devient très excité et donc, très cru.

Je commence doucement. Les rainures taillées par Boris sur le corps du concombre frottent contre les parois du vagin et je trouve ça délicieusement excitant ! Je mouille à nouveau. Ma vulve est béante et je n’imaginais pas que mon vagin puisse accueillir un engin de cette taille.

Je commence à m’exciter. Boris me regarde m’activer. Je sais que cette fois, il me laissera aller jusqu’au bout. Le problème, c’est de parvenir à se concentrer sur la manipulation de ce petit monstre dans mon vagin, quand mon excitation croît inexorablement. Il ne tarde pas à s’en rendre compte :

« Laisse-moi faire, ma chatte ! Et laisse-toi emporter par ton plaisir ! Sûrement que tu trouves bien cochon ce que je te fais faire, mais je vois que ça t’excite comme une folle ! »

Boris saisit l’extrémité du concombre et reprend les va-et-vient dans mon vagin. Au début, il va doucement, mais entraîné par mon excitation grandissante, il se met à me pistonner un peu brutalement :

« Ma belle salope ! Tu aimes te faire défoncer par un gros concombre, hein ? Et ça te rend folle ! Si tu voyais combien tu es excitée, ma jolie petite pute ! »

C’est vrai qu’adossée à l’arbre, je ne me contrôle plus : je halète, je gémis, je glousse, je crie. Je me fais ramoner le vagin par un légume et j’adore ça. Et les frottements causés par les rainures ne font qu’amplifier mon excitation. Je me sens devenir folle. Je sens la cyprine mouiller ma vulve. Ça monte, ça monte. Boris me ramone le con comme un fou et tout explose : je lâche un gloussement rauque, presque bestial, mon bas ventre s’embrase, je vois les étoiles. Le concombre toujours enfoncé n’empêche pas la cyprine de s’écouler. Je viens de connaitre un monstrueux orgasme.

Les yeux mi-clos, je me laisse glisser le long du tronc pour m’assoir. Boris en profite pour retirer le concombre de ma chatte et le pose à côté de moi. Je me sens un peu essoufflée, je suis mouillée de transpiration. Jouir aussi fort avec cette chaleur Puis il m’apporte une petite bouteille de coca : c’est tiédasse, pas terrible, mais je bois goulûment, tant j’ai soif. Au bout d’un moment, je me lève ; je me sens sale, en sueur.

« On va aller à la rivière ! On devrait trouver encore de l’eau même à cette époque ! » Boris, prévenant, me prend par la main. Il me voit emporter le concombre. Simple souci d’ordre pour moi. Lui, imagine peut-être autre chose !

L’intérieur de la voiture, pourtant en partie l’ombre, est très chaud.

« Démarre vite ! Avant que je ne rôtisse ! » Ma demande l’amuse :

« Hummm ! Tu dois être délicieuse ainsi ! Bon, on va reprendre la route, et 5km plus loin on arrivera à un pont qui enjambe la rivière. On laissera la voiture et on ira s’installer sous le pont, près de l’eau et, bien à l’ombre ! »

Dix minutes plus tard, on traverse le pont et la voiture stoppe juste après, sur un petit parking en terre. Le lit de la rivière doit faire une dizaine de mètres de large, mais c’est à peine plus qu’un ruisseau qui coule, en cette saison. Pour atteindre le dessous du pont, nous descendons la pente. Dessous, il y a une banquette de pierres qui court sur toute la largeur du pont. On s’y assoit un moment. Boris a toujours son sac.

Je me lève. Le ruisseau fait à peine deux mètres de large et la profondeur ne dépasse pas 50 centimètres. L’eau est bonne. Je m’assois carrément dedans, laissant l’eau couler sur mon corps. C’est agréable. Je mouille mon visage. Je reste plusieurs minutes ainsi, avant de me relever et de m’assoir à côté de Boris, qui, entre temps a placé les bouteilles de coca qui restent, dans le courant.

Je dois l’exciter sans cesse avec ma chevelure blonde ébouriffée et mes seins laiteux qu’il mate sans vergogne. Mais comme je les exhibe en permanence

Je me rends compte que j’ai perdu la notion du temps : « Quelle heure peut-il être ? »

« Tout juste 16h10, ma chatte ! » dit-il en me souriant. Il ajoute :

« Le camping doit être à 10km environ. En partant à 16h45 ça sera parfait ! »

C’est alors qu’il me souffle à l’oreille : « J’ai une folle envie de t’enculer maintenant ! »

Je rougis presque malgré moi. Il me dit ça tout de go !

« Ici ? Et si quelqu’un vient pendant qu’on fait « ça »? Tu y as pensé ? »

« Justement, c’est excitant de pouvoir t’enculer en sachant que quelqu’un peut venir ! »

« Boris, c’est comme si tu disais que ça t’excite de m’enculer devant des voyeurs ! »

Je suis un peu embarrassée, mais je sens que Boris y tient, et que rien ne le fera changer d’avis :

« Bon mais tu te mets nu toi aussi, alors ! Autant être à égalité ! »

Je vois Boris se mettre tout nu, sans attendre. Il bande comme un âne, et malgré moi je commence à ressentir de l’excitation :

« Viens ma chatte ! » Il me pelote les fesses, puis m’entraîne sous le milieu du pont. Là, il me fait mettre en levrette, les mains posées sur la banquette. De fait, je ne vois rien d’autre que le mur :

« T’as un joli cul, ma chatte au fait, tu t’es déjà faite enculer ? »

Je réponds évasivement : « Quelques fois, déjà »

Je sens ses mains écarter mes fesses : « Tu as un adorable petit trou, ma chatte le trou du cul de Jana ! » ne peut-il s’empêcher d’ajouter. Je souris, malgré moi.

Il enfonce un doigt dans l’anus. Je me raidis. Puis il me ramone doucement, avant d’ajouter un second doigt. Il ne le voit pas, mais je suis un peu crispée. Puis il se penche. Sans la moindre hésitation, il me lèche le cul. Je trouve ça très agréable. Puis je sens son gland se poser sur mon orifice. Je me mords les lèvres. Il commence à pousser :

« Doucement, Boris, c’est un peu gros. »

« Masturbes- toi ! Tu vas t’exciter toute seule et je pourrais t’enculer en douceur, ou presque ! »

Encore à m’astiquer le clitoris ! Mais c’est tellement excitant !

Il pousse. Je commence à gémir. Boris est prêt à forcer le passage. Il commence à s’exciter :

« Tu es ma petite putain et je vais t’enculer à fond ! Je vais remplir ton trou avec ma grosse pine ! »

Je sens les parois de l’anus s’écarter. Sa bite, dure, se fraie un passage. Ce cochon viole presque mon cul, mais c’est ainsi qu’il parvient à m’exciter. Une fois sa pine enfoncée dans mon trou, il me ramone sans ménagement. Il est un peu brutal, secouant mon corps à chaque butée. Mes seins ballotent. Je geins, je crie même sans retenue. Il m’insulte, d’une manière inimaginable :

« Salope ! Putain ! Chienne ! Je te défonce ! Ton trou de balle est à moi ! Ton cul de putain tchèque m’appartient ! Ton trou du cul ! Ton trou à merde ! » Finit-il même par dire.

J’essaie de continuer à me masturber, mais avec les coups de reins de Boris, cela n’est pas facile.

Malgré cette brutalité, et peut-être à cause d’elle, je commence à être excitée de plus en plus : « Hmmm ! Ouiiiii ! J’aime ta grosse bite dans mon trou à merde ! ».

« Salope ! Pute ! Je me vide les couilles dans ton trou du cul ! Enculée ! Putain ! »

Je sens une giclée de foutre envahir mon cul. Je gémis, je halète, je râle de plaisir.

Boris s’est retiré de mon anus. Je me redresse, et je sursaute. Là, à deux mètres de moi, un chien semble m’observer :

« Hein ? Qu’y a-t-il ? Boris, que se passe- t-il ? Il y a quelqu’un ici ? » Je commence à paniquer.

« Calme- toi, Jana. Le chien appartient à ces deux hommes là-bas » il me désigne deux types qui viennent d’apparaitre à l’autre sortie du pont.

« Ils ont tout vu ils m’ont vu t’enculer ils ont entendu tes cris, tes gémissements tout ! »

Je suis sidérée ! Il s’est permis de me faire ça ! Je m’apprête à manifester ma mauvaise humeur, quand Boris m’interrompt :

« En fait, ça fait partie du jeu : expérience de voyeurisme ! Tu verras, ça t’excitera aussi de te faire sauter, en sachant qu’on te mate ! Que des mecs discutent de ta manière de baiser ou de te faire baiser, en te regardant faire ! »

Je ne sais plus que penser..évidemment, vu sous cet angle :

« Tu aurais pu me le dire avant, quand même ! » Je souris, un peu rassurée.

« Je n’étais pas sûre du tout que tu aurais accepté, si je te l’avais dit avant ! »

Nous sommes maintenant assis ; les deux quidams, qui jusque-là, n’avaient pas bougé, s’approchent de nous, et reprennent le chien en laisse.

« Boris, que veulent-ils maintenant ? » Je suis à nouveau inquiète.

Il affiche un sourire un peu contraint, mais j’ai l’impression qu’il sait très bien pourquoi ils sont là. C’est plutôt ce qu’il doit me dire qui le gêne finalement :

« Ils veulent leurs compensations Ils ont accepté de jouer les voyeurs, mais avec quelque chose en échange Et comme il me regarde sans cesse :

« Je comprends et c’est à moi de leur offrir cette compensation, c’est ça ? »

« Oui ! » il soupire, comme s’il s’était déchargé d’un poids. En plus, il me sent disposée à accepter. Je demande :

« Que veulent-ils ? » Boris énumère :

« Deux choses : tu es nue alors ils ont très envie de se masturber et d’éjaculer sur ta figure. Ensuite, ils veulent voir comment se comporte une fille nue, qui se fait.lécher la vulve par un chien »

« Quel programme ! Et bien sûr, je ne peux pas me dérober ! » Je finis par en sourire, au grand soulagement de Boris. Il faut dire que la petite séance zoo, proposée, a provoqué un déclic en moi : une expérience du même genre, m’attend peut-être à la maison, et avec Rex, en plus ! Pourquoi ne pas profiter de cet imprévu pour faire un essai ?

« Mets-toi à genoux, en écartant les cuisses le plus possible ! Ils veulent voir ta vulve, en même temps »

Boris me donne les instructions, tandis que je repère un coin de terre meuble pour m’agenouiller plus facilement. Les deux hommes sont face à moi, debout. Environ quarante ans, bien tenus. Je suis, malgré tout, un peu stressée. Ils défont leurs braguettes et me voici face à deux pines de taille moyenne, braquées sur mon visage, tels deux canons de revolver.

Ils commencent à se masturber, avant de s’interrompre et d’interpeller Boris : Ils aimeraient que je fasse la même chose, sans doute pour les accompagner. Mon clitoris a été bien sollicité, mais je ne peux refuser et avec l’index et le majeur, je me mets, doucement à astiquer mon bouton d’amour. Les deux glands décalottés sont à quelques centimètres de mon visage, mais je sens leurs regards pesants sur mes seins. Je commence à être excitée, du fait de ma masturbation. Quant à eux, ils respirent plus fort, halètent, ils sont congestionnés au moment où leur semence gicle. Eux aussi ont dû se réserver ! Chacun d’eux dégorge bien trois fois. J’en ai partout : sur les joues, le menton, le nez, les lèvres, le front, les cheveuxet le trop plein dégouline lentement sur les seins. Ils se reboutonnent, satisfaits, avec un petit pourboire : me tripoter les seins. Ils devaient en mourir d’envie !

Je me relève, le visage gluant de leur foutre. Ils veulent la suite, sans me laisser le temps de me débarbouiller. Ce qui m’ennuie, surtout, c’est que depuis un moment, ma vessie m’asticote et je voudrais bien me soulager tranquillement :

« Boris, je suis désolé de devoir te dire ça, mais j’ai envie d’aller aux toilettes de pisser, quoi »

Je vois bien qu’il est lui-même embarrassé, par la présence des deux types, mais c’est lui qui a été les chercher, non ? Finalement, alors que mon envie presse, l’un des deux types trouve la solution, et quand Boris qui doit traduire à chaque fois- me l’annonce, je suis abasourdie :

« Ils disent qu’ils ne peuvent pas attendre autant, et que le plus simple, c’est que tu pisses tout en te faisant lécher par le chien ! »

« Tu imagines ce qu’ils veulent ? C’est bien sale, non ? À moins que tu ne désires que j’expérimente cette grosse cochonnerie, pour savoir si je suis la plus vicieuse de toutes celles que tu as pu emmener en promenade ? »

Boris est si gêné que je trouve ça comique, et que j’en arrive à sourire :

« De toute façon, j’ai trop envie de pisser ! Finissons-en ! Où est le chien ? »

Ils amènent un labrador au pelage blanc et roux, tandis que Boris me fait assoir sur la banquette, les fesses près du bord, les cuisses bien écartées. Je me sens sale : le sperme sèche

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