Mon dépucelage
Tout d’abord, je me présente : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans.
Pourtant, cela faisait maintenant plusieurs années que j’avais une envie frénétique de sexe sans vraiment savoir en quoi cela consistait exactement. Je sentais bien la chaleur envahir mon bas-ventre lorsque des garçons « jouaient » avec moi, en me caressant les fesses sans y laisser paraitre
Moi, je mouillais ma culotte sans savoir non plus vraiment d’où cela venait, mais cela me procurait beaucoup de bien. J’aimais cela, c’était sûr. Mais comment faire « pour en savoir plus » ?
Plus les années passaient et plus mon envie grandissait. J’étais très demandeuse mais les garçons ne me prenaient pas au sérieux, jusqu’au jour où
A cette époque, j’habitais la cité des 4000 que les franciliens connaissent au moins de réputation. Une cité qui à cette époque n’était pas aussi glauque qu’elle le fût sur la fin.
Dans cette cité, il y avait des caves et mes parents m’avaient toujours interdit d’y aller. Mais les interdits ont souvent une saveur particulière lorsqu’ils sont transgressés.
Un jour d’avril, pendant les vacances scolaires, je défiais un groupe de 6 jeunes hommes en leur disant que j’avais entendu dire que les blacks (c’est comme cela qu’on les appelait sans connotation raciste) avaient « des attributs particulièrement avantageux ». Le problème, c’est que, toujours vierge, je ne savais même pas ce que le mot « attributs » signifiait. J’avais entendu ma mère dire cela un jour à une de ses amies.
Le groupe de garçons a dû se sentir quelque peu flatté et n’a pas pu s’empêcher de répondre que « pour vérifier, il fallait venir avec eux dans les caves de l’immeuble ».
Ne voyant pas où était le mal, je leur dit OK, sans vraiment trop savoir ce qui allait se passer.
A l’époque, je mesurais un mètre soixante-quinze et je pesais 65 kgs. J’étais brune et j’ai toujours pensé que j’avais un très joli petit cul et des seins qui ne laissaient indifférents ni mes copines (peut-être un peu jalouses), ni mes copains ou même encore les hommes que je croisais régulièrement dans la cité.
Pourtant, il ne s’était jamais rien passé avec un garçon. Eh bien là, sans le savoir, les choses allaient considérablement changer.
Le groupe de blacks passe devant moi et me demande de les suivre si j’étais toujours OK pour vérifier mes dires. Nous marchions en direction des caves de l’immeuble lorsque nous sommes rentrés à l’intérieur. C’était des immenses caves. Un vrai labyrinthe.
Je découvrais les lieux lorsqu’à peine rentrée, je sentais déjà des mains me parcourir le corps : plusieurs mains sur mon petit cul, mes seins y avaient droit également alors que les plus téméraires me caressaient l’entre jambes.
Largement consentante, je n’ai rien fait pour empêcher cela. C’est alors que je me suis aperçue que ma petite culotte était trempée. On s’arrêta tous devant une cave que mes nouveaux amis semblaient connaitre particulièrement bien. En rentrant, pas de lumière.
Pourtant, je ne savais toujours pas en quoi consistait « des attributs particulièrement avantageux ». Je n’allais pas tarder à le savoir.
Mes nouveaux copains blacks se sont disposés tout autour de moi et ont allumé une lampe de camping pour bien voir. Un matelas au sol, pas très propre, m’a fait pressentir que je n’étais pas la première à venir dans cet endroit.
En regardant de plus près, je m’aperçois qu’ils ont tous sorti leur sexe. Ils ont tous une taille presque démesurée malgré la jeunesse de mes compagnons et bien qu’encore au repos.
Ils me demandent de magenouiller, ce que je fais sans savoir ce à quoi je m’engageais en exécutant leurs instructions : le premier vint près de moi et me tend son sexe pour que je le suce.
Pas experte en la matière mais plutôt demandeuse, je prends ce sexe en bouche et je le sens gonfler de plus en plus alors que ma culotte devient de plus en plus humide, pour ne pas dire complètement détrempée. Surtout que les autres black ne restent pas inactifs : ils me caressent le cul, les seins, la chatte, mon clito. Je prends une bite dans chaque main pour branler mes amis les Blacks.
Tout y passe ! Mon dieu que c’est bon. Je n’en avais pas idée jusqu’à maintenant, mais je sentais monter en moi une force venant de l’intérieur qui semblait me pousser à aller encore plus loin. C’était super bon !
L’un des black me redresse et me retire ma culotte, sans que je m’arrête de sucer. Il constate l’humidité de ma culotte. Il ne manque pas d’en faire part à ses potes : « Putain, la salope. Elle mouille comme une chienne. Regardez sa culotte dans quel état elle est ! » Les autres, ne manque pas de venir vérifier, certains vont jusqu’à la sentir, d’autres n’hésitent pas à me fourrer un, puis deux doigts dans la chatte. L’un dit aux autres : « je pense qu’elle est encore pucelle car elle est étroite ». Un autre répond : « c’est pareil pour son cul : il est très serré ». Le mec en question essayait de me fourrer 3 doigts dans le cul et mes gémissements leur ont laissé penser, à juste titre, que j’aimais ça.
Il m’enlève ensuite ma jupe qui était déjà courte et qui ne me servait plus à cacher grand-chose. Je me retrouvais donc à poils devant ces 6 mecs.
Pendant que j’en suçais un, un autre a présenté sa bite à l’entrée de ma chatte. Il a frotté son gland sur ma mouille et plus ça allait, plus je mouillais. Je devrais plutôt dire que je dégoulinais. Je sentais du liquide chaud descendre le long de mes cuisses. J’ai été obligée de lâcher un des deux bites que je branlais car la position devenait difficile à tenir et je commençais à fatiguer.
Celui qui a baissé ma culotte m’a demandé si j’étais vierge. Je lui ai répondu que non car je ne voulais pas paraitre niaise. Heureusement que j’avais entendu parler mes copines de ce terme car jusqu’à il y a peu de temps, je n’avais aucune idée de ce que cela signifiait, en tout cas, sexuellement parlant. Avant, je ne connaissais que la vierge Marie !
Le Black qui était derrière moi a enfoncé d’un seul coup sa grosse queue dans ma chatte. Les larmes me sont montées aux yeux et j’ai eu l’impression que l’on me déchirait de l’intérieur. Je ne savais pas si ça me brulait, si ça faisait mal ou plutôt du bien. Je n’osais pas crier pour ne pas contredire mon statut de « plus vierge » que j’avais annoncé un peu plus tôt. Puis, après quelques allers/retours dans ma chatte, son pieux m’a apporté une chaleur à l’intérieur de mon bas ventre, si bien que plus il me pilonnait, plus je commençais à gémir.
Le black dit à ses copains : « Putain ! Elle est bonne la salope. Elle aime la bite ! ». Je pensais en moi-même qu’il avait vraiment raison. L’autre black que je suçais dit : « Je vais décharger mon foutre ta bouche, salope. Et tu vas tout avaler, petite pute. »
Le 3e mec que je branlais a déchargé sur moi. J’en avais sur le dos.
Tous ces mots crus ne faisaient qu’augmenter mon plaisir. Je me sentais un jouet entre leurs mains. Et ils jouaient bien avec, les salauds. Un 2e prit la place libre dans ma bouche. Je n’avais pas encore avalé et sa queue, bien gonflé par le désir en attendant son tour, est venue se tremper dans le sperme de son copain. En fait cela glissait encore mieux, même si ma bouche était plutôt accueillante. Pendant ce temps, celui qui me limait la chatte ne perdait pas son temps : il me titillait le clito, les autres me pelotaient les seins et me caressaient partout où ils pouvaient. D’un seul coup, sans savoir pourquoi ni comment, mon corps s’est mis à trembler, à se contracter et ma chatte s’est liquéfiée. Je venais de jouir. Putain que c’était bon. Mais je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin. Dans le même temps, le black qui était dans ma chatte a joui. J’ai senti pour la première fois le jet puissant du sperme qui vient heurter le fond de mon vagin. Puis il retire sa bite qui a perdu un peu de sa dureté et se ramollie.
Elle reste malgré tout un sacré morceau, même en semi-repos.
Ma chatte libérée, je commence à cambrer mon cul. Un autre de mes nouveaux amis se positionne à l’entrée de mon cul. Il met son gland près de ma rondelle et commence à pousser. Je sens la pénétration centimètre par centimètre. Il s’arrête lorsque le gland est entré intégralement, le temps pour moi de reprendre ma respiration. D’un seul coup, il pousse sa queue au fond de mon cul. Une douleur intense me déchire le cul. Le gars reste bien au fond de mon cul le temps que je m’habitue à son gros calibre. Au bout de quelques minutes, il reprend son pilonnage en règle et mon cul commence à apprécier cette « maltraitance ». Je sens le mec décharger cette fois-ci dans mon cul et le foutre se répandre dans mes intestins. J’en veux encore, c’est trop bon !
Le mec se retire de mon cul. Il en reste 3 qui n’ont pas joui. L’un de ces trois s’allonge sur le matelas et me dit de venir m’empaler sur sa queue, toute droite et qui n’attend plus qu’une chatte à défoncer. Ça tombe bien car comme chatte à défoncer, il y a la mienne.
Mais ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est qu’une fois empalée sur sa queue, le mec m’a allongée sur lui, libérant ma petite rondelle pour un autre de ses potes.
J’ai senti un mec se positionner derrière moi, puis une queue se présenter à l’entrée de mon cul. Je jouissais tellement que je n’ai pas eu mal quand sa bite m’a enculée. Je me faisais prendre par les deux côtés en même temps. C’était un pied extraordinaire. Après m’avoir défoncée dans les règles de l’art, les deux mecs ont déchargé leur foutre, l’un dans ma chatte, l’autre dans mon cul. C’est un instant que je n’oublierai jamais tellement c’était bon.
Les mecs me traitaient de salope, de pute, de sac à foutre, ils me disaient que j’étais bonne et que la bite ne me faisait pas peur. Ils avaient raison.
Ah. J’ai failli oublier : le troisième qui n’avait pas joui a déchargé sur moi pendant que je me faisais prendre en double pénétration. L’un de ses potes en a pris sur lui aussi et il a engueulé l’auteur.
Pour une première, mes orifices ont pris cher par 5 mecs quasiment en même temps. En attendant, il ne leur a pas fallu longtemps avant que leurs queues ne reprennent de la vigueur.
Je me suis relevée, tant bien que mal. J’avais du sperme partout sur le visage, dans les cheveux, dans le cul, dans la chatte, le long de mes cuisses, sur les seins, sur le dos.
J’ai voulu épater mes copines que je devais retrouver dans la cité. Je me suis rhabillée puis je me suis présentée à elles pleine de foutre. Elles étaient stupéfaites. Elles pensaient que j’étais une sainte nitouche.
Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences.
Elles m’ont posée pleins de questions et je me suis faite un plaisir de leur raconter en détail cet après-midi.