Depuis quelques jours Marc est le roi de la maison, dans la journée il a Manon et sa grand-mère et le soir il dort dans le lit de sa tante, ses besoins sexuels sont assouvis.
Cet après midi il est dans le salon devant la télé, Manon est en ville pour la journée et il est seul avec sa grand-mère, elle est dans la cuisine et fini de ranger la vaisselle de midi.
Elle vient rejoindre marc et prend place sur le divan à ses cotés, elle se blottit contre lui et regarde lémission avec Marc.
La main de Marc caresse sa cuisse et remonte sous sa robe, il trouve vite le fruit juteux et le travaille des doigts, elle ne porte pas de culotte et les jambes écartées lui facilitent le passage. Elle pose la main sur lantre jambes de son pantalon et en sort la virilité de Marc, cest elle qui vient sempaler sur lénorme vit et lui prend la bouche, elle monte et descend sur la colonne de chair, quand marc jouit en elle, elle sempale à fond pour jouir à son tour.
Il la prend une autre fois en levrette sur le divan, la faisant jouir et hurler son plaisir.
Ils sont dans les bras lun de lautre et se caresse tout en discutant.
— Tu vas me manquer Marc, je pars demain et je serais bien seule!
— Je viendrais te voir mamie, je peu venir le week-end et rester deux ou trois jours avec toi!
— Tu viendras pour les vacances si tu veux aussi, tu ne seras pas seul il y a souvent tes cousines et ma sur qui viennent me voir!
— Oui mamie! Promis cet été je viendrais passer quelques jours, tu me feras une place dans ton lit!
— Tu sais, il faudra être prudent quand tes cousines et ma sur seront là!
— Bien sur mamie nai crainte!
Les quinze jours de convalescence de marc prirent fin et il rentra chez lui, laissant Manon et sa tante éplorées, de perdre si vite leur tendre neveu et cousin.
Marc retrouva sa jolie maman et sa tante Lisbeth et ils reprirent leurs après midi récréatif très vite, le soir il dormait avec Edith et quelques fois sa tante ou même les deux ensemble.
Le week-end il allait voir sa mamie ou passer quelques jours chez sa tante et Manon et dormait dans le lit de sa tante ou celui de Manon.
Manon avait fait lamour avec sa mamie et Marc mais Marc ne savait pas si sa tante voudrait le faire avec Manon, un soir il demanda à sa tante si elle aimait les filles et celle ci lui répondit que oui et cest ainsi que Marc alla chercher Manon pour la nuit et que depuis ils passent leurs nuit à trois quand marc est chez elles.
Le temps passe vite et voilà déjà celui des vacances, marc va passer quelques jours chez sa mamie.
Il arrive en même temps que ses deux cousines et la sur de sa mamie qui a le même âge quEdith la maman de marc, ses deux cousines, Carmen 17 ans et Line 19, sont un peu turbulentes mais marc les aime bien et passe un peu de temps avec elle dans la piscine.
Ils jouent au volley et cet après midi, ils ont décidés une promenade, les voilà donc partis tous les trois, marc et Line ferme la marche et Carmen est loin devant, les deux jeunes gens discutent en marchant, Line tien la main de Marc, marc passe son bras autour des hanches de Line et au détour du chemin, il lui prend la bouche dans un baiser amoureux.
Il caresse sa cousine, passe la main sous le tee-shirt et prend un petit sein dans sa main.
Elle caresse la verge de Marc au travers du pantalon et bien sur marc a passé une main dans le short de Line et lui caresse la vulve, il a un doigt en elle et la branle copieusement.
Cela fait déjà quelques temps que Marc et Aline font lamour pendant leurs vacances mais avant il ny avait pas Carmen pour les suivre.
Ils ont oubliés sa présence et bien sur, ils sont dans lherbe verte, le short de line a rejoint celui de marc et la verge entre en elle, ils languissaient cet instant depuis leur retrouvailles et nont aucune prudence.
Ils font lamour, Line prend la verge de Marc dans sa bouche, lui, lui lèche le clitoris et la vulve, buvant son jus à grand coup de langue, il senfonce en elle, passe ses jambes sur ses épaules et dirige son pieu vers lanus.
— Vous faites quoi tous les deux, vous baisez ensemble?
La surprise est totale, marc se retire vivement et cherche à cacher sa nudité, comme Line qui ne sait plus que faire.
— Je vais le dire à maman!
— Carmen non, sil te plait ne dit rien ma chérie!
— Si je ne dis rien, alors marc me fait lamour aussi!
— Mais tu es trop jeune Carmen et tu es pucelle!
— Et alors! Tu crois que je veux le rester à vie? Tu étais bien pucelle toi avant?
— Demande à marc sil est daccord, moi ça ne me dérange pas mais après ne viens pas te plaindre!
— Me plaindre de quoi, comme ça on baisera tous les après midi et même la nuit on couche tous les trois au même étage, tu dis quoi Marc chéri!
— Moi je suis daccord si tu veux, comme ça on naura pas à se cacher!
Carmen eut vite quitté le peu de vêtements quelle avait sur elle et rejoignit son cousin et sa sur dans lherbe.
Elle était dune beauté à couper le souffle, ses petits seins pointus et son petit pubis ou poussait déjà un léger duvet brun, son ventre plat et ses hanches larges, ses jambes de jeune sportive au mollets bien galbés, un vrai corps de jeune déesse.
Elle se jeta dans les bras de Marc et lembrassa sur la bouche, celui ci lui caressait les seins, Line nétait pas en reste et caressait le pubis de sa jeune sur, trouvant le clitoris et le caressant doucement.
Les doigts ouvrent les jeunes lèvres et recueillent la cyprine qui en coule, pour lubrifier la branlette du petit bouton.
Marc donna sa verge à sucer à Carmen et elle la suça avec goût, faisant gémir Marc de plaisir.
La bouche de Line était sur la vulve de sa sur, sa langue titillant le clitoris, ses doigts travaillant la vulve pour louvrir à lénorme pieu de Marc.
Les deux filles étaient dans un bouche à bouche effréné, quand il présenta son vit devant la vulve de sa jeune cousine, le gland entra et cest en forçant un peu que Marc sintroduisit en elle, faisant sauter lhymen, elle mouillait tellement quil neut aucun mal à aller au fond du petit ventre, elle neut presque pas mal, Line lavait bien préparée.
Les vas et vient du pieu déclenchaient des contractions dans son ventre et le plaisir monta vite, elle se contracta et dans un soupir jouit sur la queue de Marc, elle jouit plusieurs fois de suite.
Il ne pouvait pas jouir en elle et cest dans le ventre de Line quil lâcha sa semence, après avoir pris longuement les deux filles.
Carmen vit le pieu de Marc senfoncer dans lanus de sa sur et voulu que Marc la prenne ainsi mais elle nétait pas encore assez dilatée et il eut beaucoup de mal à introduire sa verge dans cet orifice si étroit.
Elle avait mal et ne supporta pas la sodomie jusquau bout mais ce nétait que partie remise, ils le savaient tous les trois.
Carmen était une petite salope comme sa sur et il aurait tout le temps de visiter tous ses trous dici la fin des vacances.
Ils rentrèrent très tard, sa tante était inquiète et ils prirent un bon savon, même si Marc et line étaient majeur.
Carmen ne savait pas se tenir et au cour de la soirée elle ne quitta pas Marc dune semelle, elle était amoureuse de son dépuceleur et ne prit pas garde que sa mère le remarqua.
Cette nuit là marc prit une décision, sil voulait être tranquille ici avec sa grand-mère et ses deux cousines, il fallait quil baise sa tante aussi.
Il prit une douche, passa un peignoir de bain et alla frapper à la porte de la chambre.
Il entra et laissa tomber le peignoir, sa tante ne pouvais détacher les yeux de lénorme pieu qui la narguait.
Il savança nu vers elle et la prit dans ses bras, plaquant sa bouche sur la sienne, elle le repoussa violemment et lui administra une claque sonnante, quil lui rendit dans le retour et tout aussi sonnante.
La jeune femme vacilla en se tenant la joue.
— Tu me dis non mais tu ne me tape pas, sinon je tadministre une fessé et je te laisse le cul en sang salope!
Marc se retourna prit son peignoir et se dirigea vers la porte.
— Marc! Pas chiche!
Il fit demi-tour, elle était nue au milieu de la pièce, pied nus et offerte, aussi belle que ses deux filles.
— Tu veux une rouste?
— Pas chiche petit connard! Tu veux me baiser? Alors montre moi que tu es un mec!
Il la prit à bras le corps et la jeta sur le lit, il la tenait aux épaules et lui administra une fessé monumentale, on entendait résonner les claques et les cris de sa tante dans le couloir.
— Baise moi Marc ! Baise moi!
Il la mit en levrette, son cul rouge bien en lair, la mouille coulait entre ses cuisses, il senfonça en elle dun seul coup, allant buter dans lutérus et a chaque coup de pieu, lui administrait une claque sur ses fesses.
Elle jouit comme une dingue pendant 20 bonnes minutes, avant que Marc lui enfonce sont vit énorme dun seul coup dans lanus.
— Tien grosse pute, tu aime ça? Hé bien me voilà dans ton cul!
— Tu me fais jouir, tu me fais jouir, encore, encore, va au fond!
Il lencula comme cela jusqu’à lui décharger dans les entrailles, de toute la nuit il ne sortait de son cul que pour sintroduire dans sa vulve ou dans sa bouche et lui administrer quelques fessées.
La suite bientôt
Merci de me lire !
