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Rencontre en opération Sentinelle – Chapitre 1

Rencontre en opération Sentinelle - Chapitre 1



Je suis depuis quelques années militaire réserviste suite aux attentats de 2015. J’ai donc été déployé, après ma formation, en opération Sentinelle au mois de juillet l’année dernière.

Ce qui va suivre est une histoire vraie.

Je suis Zephyr, du moins, c’est le nom de terrain qu’on me donne à l’armée pour éviter de nous appeler par nos vrais noms dans la rue. Je mesure 1m80, pour 80 kilos, une carrure plutôt athlétique à force de marcher plusieurs par jour avec 30 kilos sur le dos.

Depuis maintenant 15 jours, je suis déployé dans une grande ville. Je patrouille le matin, le midi, le soir dans les rues de cette grande ville. Tous les deux à trois jours, nous avons une journée libre pour nous reposer.

J’ai décidé ce jour-là de sortir au cinéma, un grand multiplex, avec ma carte illimitée duo, dans l’optique d’inviter une personne sur place pour faire connaissance.

Une fois au cinéma, je remarque une personne seule qui attend. C’est une femme de 35/40ans, avec quelques jolies formes, brune, dans les 1m60.

Je m’approche d’elle et je lui demande, avec un air volontairement gentillet (ce n’est jamais rassurant d’être abordé par un inconnu comme cela) :

Bonjour, je suis désolé de vous déranger, mais j’ai une carte duo, et je n’ai personne avec qui voir le film, je peux vous offrir votre place si nous allons voir le même film, vous ne serez pas obligé d’être à côté de moi pendant la séance.

Je savais à ce moment-là que, peu importe le film qu’elle me dirait, j’irais aussi à celui-là.

Bonjour, euh… c’est très gentil, je vais voir ce film d’auteur là.

(Je ne me souviens plus du tout du nom pour être franc, juste que le film avait l’air déjà très ennuyant.)

Parfait ! Moi aussi ! Allons en caisse !

Dans la file d’attente, nous échangeons quelques banalités. C’est une sensation très bizarre de faire la queue avec une personne que l’on ne connaissait pas il y a encore 10 minutes. J’apprends qu’elle s’appelle Marie, et qu’elle a 36 ans, fiancée, mais celui-ci ne viendra pas, car il travaille.

Quand nous arrivâmes au guichet, le vendeur nous dit :

Bonjour, deux places pour le film d’auteur machin ? Ensemble ou séparé ?

Marie me jette un regard, et avant que je ne puisse répondre, elle dit "Ensemble, on s’entend bien !".

J’ai un Master d’Histoire, j’ai de la conversation, ce qui plaît généralement. La glace avait été brisée.

Nous nous asseyons dans la salle à nos places, nous sommes une vingtaine dans la salle. Nous parlons de tout et de rien, absolument pas de sexe.

Au début du film, je tente quelques approches très maladroites dignes d’un lycéen : je laisse traîner ma main, je l’effleure : à chaque fois, elle esquive ou elle fuit. Je me résigne un peu, et je regarde le film pendant 15 minutes.

Cela m’ennuie terriblement, je décide donc de jouer le tout pour le tout.

Je m’approche de son oreille qu’elle tend vers moi et je lui dis :

Je suis militaire, je repars dans une semaine. Je te trouve magnifique, et j’aimerais avoir une aventure avec toi maintenant. Tu n’entendras plus jamais parler de moi. Si cela te gêne, ce que je viens de dire, je pars immédiatement pour ne plus te mettre mal à l’aise.

Elle se retourne, me regarde l’air un peu abasourdi et hagard. Je me suis dit que je viens de me prendre un vent monumental. Je me lève et je commence à partir. Puis, dans un dernier espoir, je m’approche derrière son siège, et je lui redis à l’oreille "Maintenant, 15 minutes, on ne se revoit plus jamais". Je la vois sourire. Je lui tends la main, elle la prend, elle se lève de son siège.

Je crois honnêtement que je n’ai jamais eu un tel niveau d’excitation de ma vie.

Elle me dit tout bas en sortant de la salle "Mais où? J’habite loin et mon fiancé est chez nous".

Nous arrivons dans le couloir situé entre la salle et le grand couloir qui dessert toutes les salles. Ayant travaillé dans un cinéma en emploi étudiant, je sais que ce petit couloir n’est pas filmé.

Elle arrive dedans, je la plaque contre le mur et l’embrasse. Elle me rend le baiser avec un soupir de plaisir.

Nous commençons à nous tripoter. Elle reste un peu passive au début, se contentant de soulever son pull ou écarter les jambes. J’embrasse son coup, je lèche ses seins alors qu’il y a 30 minutes, c’était une inconnue dans le hall.

Rapidement, je commence à glisser vers sa culotte. Je lui caresse le clitoris et je reste à l’entrée, sans jamais la doigter. Au bout de quelques secondes, elle me prend la main et me force à aller plus loin dans mes caresses. Cela dure bien 3 minutes.

Je la sens se crisper autour de ma main, je descends alors et je lui fais un cunnilingus, elle est encore debout, jambes écartées. Je la sens jouir.

Je me relève, nous nous embrassons. Je saisis sa main et je la descends vers mon sexe. Elle l’empoigne et commence à le sortir et à me masturber.

Elle me glisse à l’oreille "Pas de pénétration stp, nous essayons d’avoir un enfant avec mon fiancé". Je lui dis "Bien sûr, mais j’ai le droit à une compensation du coup ?"

Comme si elle avait compris, elle commence à s’abaisser, et commence à me prodiguer une fellation. J’ose lui appuyer sur la tête, elle ne dit rien, je n’entends que quelques bruits étouffement quand j’y vais trop fort, je relâche la pression.

Je la sens s’appliquer comme une bonne élève, je sens sa langue jouer avec mon gland, puis prendre mon sexe en entier dans sa bouche, la sortir, l’embrasser, le lécher, et pour la première fois de ma vie, une femme joue avec mes testicules, les lèche et les gobe.

Elle me prend la main qui avait lâché la pression, et la met derrière sa tête comme pour me dire qu’elle aimait être dirigée. Elle gémit pour m’encourager. Ce n’est pas tendre ce qui se passe à ce moment-là, nous ne sommes que des animaux et nous le savons.

Au bout de 2/3 minutes, elle me masturbe en me regardant, elle arrête la fellation, et me dit : "Ne jouis pas sur mes vêtements, je rentre chez moi après". Je ne l’écoute pas, et je sens que ça vient. Mes muscles se crispent, et alors que je ferme les yeux, je sens la douceur de sa bouche m’englober le sexe. Elle ne voulait vraiment pas tacher ses vêtements. Je jouis fortement, elle continue sa fellation pendant ma jouissance.

Une fois terminée, je me permets de lui reprendre la tête et de la faire nettoyer mon sexe encore pendant une minute, chose dont elle s’acquitte sans se plaindre.

Elle se relève, on s’embrasse, on ne s’échange pas nos numéros. Elle retourne dans la salle, je sors, nous ne nous sommes plus jamais revus.

45 minutes avant, nous ne nous connaissions pas. 45 minutes après, elle revenait en salle avec mon goût de sperme en bouche.

Dans un dernier regard, je vois qu’elle a un peu de sperme sur son pull noir. Je ne dis rien, cela me fait sourire.

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