Elle monta l’escalier ainsi, juste devant moi, mes doigts bien au fond de sa chatte, et je la dirigeai ainsi là-haut vers la porte de gauche, celle de ma chambre.
Mon lit était ouvert, les draps bien repliés, et elle vit que je ne lui avais pas menti.
Me collant contre elle, serré contre son dos, lui palpant les seins sans vergogne et avec une excitation non feinte, je me remis à la galocher, et je lui demandai entre deux pelles, le souffle court, de m’ouvrir le pantalon et de s’occuper de mon slip.
Elle ne fit pas la fine bouche, et j’avoue que sentir ses jolis doigts fins me déboutonner n’était pas pour calmer mon excitation.
J’avais envie de cette jolie petite femme, et je savais que j’étais sur le point de la baiser à couilles rabattues.
Elle se montrait un peu maladroite, un peu gauche, peut-être un peu timide. Aussi, alors qu’elle extirpait la bête du sous-vêtement où elle se trouvait à l’étroit depuis un petit moment, je lui murmurai doucement, mais fermement, d’un ton qui ne lui laissait pas le choix :
" – Prends-la dans ta main."
Elle s’exécuta, la palpa, la serra dans sa menotte si féminine aux ongles rose brillants, et refermant ses doigts dessus, elle se mit à la caresser de mouvements de va-et-vient.
Mais les femmes sont souvent peu dégourdies dans ce domaine, et si sentir la chaleur de leur main est plutôt jouissif, ces mouvements sur un membre encore sec est loin d’être agréable.
Il fallait le lubrifier.
Alors je lui dis :
" – Je t’ai donné du plaisir, il est temps de me rendre la pareille. Ça tombe bien, j’ai envie de te voir à genoux devant moi comme une bonne petite salope.
Allez, descends et prends-la en bouche."
Elle hésita un peu, comme un peu déconcertée, mais se mit à genoux de bonne grâce et prit bien en main ma queue raide et arquée.
Elle regarda la bête d’un air circonspect et je réalisai alors qu’elle ne devait pas avoir l’habitude des pratiques buccales.
Mais je ne souhaitai pas la brusquer, préférant la laisser faire ; elle devait comprendre qu’à 58 ans il était temps de s’y mettre.
Et c’est avec ravissement que je vis disparaître mon gland dans sa toute petite bouche que j’avais envie de baiser depuis longtemps.
Elle improvisa peut-être, mais se montra plutôt pleine d’inspiration : elle se mit à me sucer la fraise en refermant bien ses jolies petites lèvres et me tétant avec application.
Je décidai donc de l’encourager, voire de la féliciter – c’était une bonne élève, qui se montrait aussi douée pour les prouesses buccales que pour la soumission.
C’était tout à son honneur de vouloir apprendre à son âge, et de faire des progrès dans les pratiques érotiques. Elle avait tout à y gagner, tant ma gratitude que la découverte de nouveaux plaisirs, et les bénéfices pour sa santé et son bien-être du plaisir intense.
Ça n’est pas une pharmacienne que j’aurais eu du mal à convaincre !
Je pris sa jolie petite tête dans mes mains, et encourageai ma belle pharmacienne si pleine de bonne volonté en lui caressant ses cheveux blonds, son cou, ses épaules douces.
Pas de doute, elle y mettait tout son cur ; elle arrondissait sa bouche au maximum, faisait ressortir ses lèvres.
A l’intérieur, sa bouche était soyeuse, sa langue faisait des merveilles.
Moi qui ne suis pas très sensible aux caresses buccales d’habitude, je sentais que ses efforts et son zèle produisaient son effet : mon plaisir montait lentement mais sûrement.
Je me mis à soupirer. Elle leva ses jolis yeux clairs vers moi, je vis comme un sourire de contentement dans son regard.
Ah, elle pouvait être fière, ma bonne petite élève, ma petite pharmacienne.
Je caressai ses joues et me retirai lentement de sa bouche. Et je lui intimai doucement mais fermement :
" – Allez, en position. Sur le lit, à quatre pattes, les genoux près du bord, le cul tourné par ici !"
Elle me regarda d’un air troublé, elle était très rouge, mais elle s’installa sans discuter.
" – Et on écarte les cuisses. Ça n’est plus la peine de jouer les femmes honnêtes, les pudiques. Vous êtes bien venue pour vous faire baiser, vous ne l’avez même pas nié.
Hum, quel délicieux spectacle ! Vous savez que vous êtes plus que bandante comme ça, ma petite pharmacienne. Vous avez des belles cuisses, et une vulve qui donne envie. J’aime vous voir ainsi prête, prête pour la saillie, avec vos délicieux petits nichons en obus, prêts à être pressés."
Et pour bien illustrer mon propos, je couvris de caresses passionnées son beau petit cul, je palpai avec contentement ses petits seins qui n’attendaient comme des poires que des mains pour les cueillir.
Je caressai un peu ses cuisses, puis lui entrouvrant les fesses ma langue descendit dans ce sillon intime où je léchai avec application quelques secondes le petit cratère secret, ma langue glissant ensuite jusqu’à la fleur ouverte, comme si son goût m’avait manqué, ou que je voulais vérifier qu’il n’avait pas changé depuis cinq minutes.
En tout cas, elle était toujours aussi trempée.
Me positionnant debout juste derrière elle, je lui fis fléchir davantage sa croupe vers moi jusqu’à ce mon nud soit juste en face de la cible.
Alors, lentement, je l’enfilai avec gourmandise. Elle m’accueillit avec un soupir de plaisir.
Son fourreau était tout lisse et brûlant comme l’enfer.
Je m’arrêtai en butée tout au fond de son ventre, puis coulissai en arrière, presque jusqu’à ressortir, et repartis en avant.
A un rythme lent je la besognai, savourant la sensation de sa chatte exquise et de la possession nouvelle.
Elle soupirait, gémissant de plus en plus fort, m’encourageant à accélérer, mais je n’étais pas pressé.
" – J’ai envie de prendre mon temps, petite chatte. Je vais te baiser longtemps, je vais te travailler au corps, je vais te fourrer ton petit cul, je vais te limer jusqu’à ce que tu demandes grâce.
T’inquiète pas, j’ai beaucoup baisé ces derniers temps, et je suis plutôt endurant. Tu vas t’en prendre plein ta connasse."
Tout en la bourrant délicatement et avec la même lenteur, je lui saisis ses petits roploplos et fis rouler de plus en plus fort ses pointes entre mes doigts. Elles étaient tout érigées, toutes durcies de désir, et le travail de ses fraises conjugué aux coups de bélier que je lui assénai tout au fond de son ventre fit son effet : je sentis une succession de deux-trois décharges lui secouer le bas-ventre, ponctué par des petits cris brefs et aigus.
Encouragé par ses réactions, je me mis rapidement à accélérer et je finis par lui défoncer la chatte tout en la maintenant par les épaules. Elle se mit très vite à hurler son plaisir, toute échevelée, agitant sa tête d’avant en arrière et de droite et de gauche.
Ma queue était de plus en plus dure, mais avec ce traitement je finissais par ne plus la sentir.
Je demandai à ma petite blonde de se retourner tout en restant à la même place.
Elle roula sur le côté, puis lourdement, se mit sur le dos, se plaçant bien en face de moi.
Je lui saisis brutalement les chevilles, lui écartai les jambes à fond et les montai le plus haut possible.
Surprise, elle poussa un petit cri.
Sa chatte était rougie par le coït effréné que je venais de lui faire subir, et plus bas je voyais le petit illet borgne.
Je mourrais d’envie de l’enculer, mais je ne l’avais pas du tout préparée. "On verra une prochaine fois" me dis-je.
Je me penchai, et tout en lui maintenant les chevilles, je la pénétrai d’une seule poussée et jusqu’à la garde.
Je me mis à la gratifier de grands coups de pine qui allaient très loin en elle, et rapidement ce furent des cris : elle se mit à jouir violemment sous mes coups de reins rageurs, perdant toute contenance, toute retenue. J’avais l’impression de voir une folle, une hystérique, une possédée.
Sa pudeur et sa bonne éducation sans doute ne lui permettaient pas de lâcher des jurons ou des grossièretés, mais sa sauvagerie s’exprimait totalement dans des ruades quasi animales, et des hurlements de démente.
Je continuai à la pilonner à un rythme soutenu et implacable, ses jambes désormais pliées sur mes épaules, tandis que je maintenais ses cuisses plaquées à la verticale contre mon torse, lui soulevant son petit cul, et chaque coup de reins, puissant et violent comme un bélier qui veut faire céder une porte, lui arrachait un cri désespéré.
Sa tête oscillait, elle se mordait la main, son menton montait et descendait en cadence, et je voyais à son air éperdu, ses yeux dans le vague, et ses mouvements désordonnés qu’elle déchargeait sans interruption.
Finalement, sentant le plaisir monter douloureusement comme une brûlure, je me retirai et lui envoyai, en râlant comme une bête, de puissants jets de foutre qui jaillirent en saccade et atterrirent sur ses seins, et même jusqu’à son menton.
Je restai ainsi quelques instants, ses cuisses contre moi, les caressant tendrement, tandis qu’elle reprenait peu à peu ses esprits.
Ce fut elle qui brisa le silence :
" Eh bien dis-donc, mon cochon, qu’est-ce que tu m’as mis… Tu m’as eue… Tu m’as tuée…
— Oui, je t’ai bien torpillée" lui dis-je dans un sourire, amusé de sa réaction.
J’avais souvent jusqu’alors eu l’habitude de petites femmes bien comme il faut, qui, une fois avoir fait les pires saloperies au lit avec moi, essayaient de retrouver contenance et vêtements, et s’enfuyaient presque, honteuses, et comme des voleuses.
Mais ces derniers temps je baisais des petites vicieuses, des petites salopes qu’on n’aurait jamais soupçonnées, qui se laissaient aller dans ma cuisine, dans mes bras et dans mon lit, et assumaient bien le plaisir qu’elles avaient pris, et retournaient à leur vie en apparence bien tranquille, se dépêchant de retrouver leur mari et leur allure de sainte-ni-touche.
Je lui offris ma douche, et avant d’y filer, s’étant levée et remis sur ses deux pieds, à ma surprise, elle m’enlaça de ses deux bras et m’embrassa langoureusement, me gratifiant d’une longue pelle passionnée et pleine de reconnaissance.
" – Tu m’as fait tellement de bien, tu m’as fait jouir si fort… Je revis" me murmura-t-elle avant de se détacher de moi et d’aller sous l’eau.
La petite souris ne traîna pas après sa toilette, elle sauta dans ses habits de petite pharmacienne de province, et d’un seul coup très pressée, elle m’embrassa tendrement mais brièvement avant de se diriger vers la porte.
Je reviendrai… Je reviendrai peut-être… Enfin si tu veux" dit-elle en s’arrêtant un instant.
" – Oui, sans problème. Mais préviens avant de passer la prochaine fois. Il se pourrait que je sois absent… ou occupé" répondis-je non sans malice. "Attends, je vais te laisser mon numéro de portable…
— Mais je l’ai. Je l’ai à la pharmacie. Tu es client" dit-elle en souriant, "tu as oublié ?
— Non, je n’ai pas oublié…
— Mais quand tu viendras, tu seras un client comme un autre, hein…" dit-elle avec un air légèrement inquiet et prudent.
— Mais oui, je sais bien. Je sais que tu travailles avec ton mari."
Elle mit son doigt sur sa bouche d’un air entendu puis s’éclipsa.
"Pourvu qu’elle ne donne pas le mot à toutes les femelles du quartier" me dis-je, "je vais finir par ne plus pouvoir fournir."