Quand maman arriva dans la pension ce vendredi après-midi, je sentis que cela n?allait pas se passer comme elle le voulait, en effet, mes bourreaux étaient trop calmes, trop sûres d?elles pour être honnête. Ma mère Monique, 48 ans, en tant que chef d?entreprise, ne s?en laisse pourtant pas compter, mais ce qui allait suivre m?a laissé sans voix. La directrice Madame B nous fit entrer dans son bureau avant d?envoyer chercher Julie, Laurence et Coralie. Quand elles sont entrées dans le bureau, elles étaient très calmes, ma mère s?est levée et les a apostrophés en les traitant de tous les noms, mais Madame B intervint en lui disant de se calmer; ce a quoi ma mère répliqua:
?Vous voulez que je me calme… Alors que ma fille s?est faite violer par ces 3 dépravées…?
?Vous savez, dit Madame B, Il faut goûter avant de dire je n?aime pas… Vous n?avez jamais essayer… Pourtant votre mari doit vous manquer… non??
Ma mère se tourna vers la directrice et lui jeta à la face qu?elle allait porter plainte; alors Madame B me saisit par le bras et en se rasseyant à son bureau, dit aux 3 autres:
?Allez les filles… Faites voir à Madame comment on prend son pied… Baisez-la, cette bourgeoise… Elle peut crier… Il n?y a plus personne pour le week-end…?
Ainsi Madame B était le maître que les 3 filles m?avaient cachée. Mme B retira sa robe, s?assit dans son fauteuil et m?ordonna de lui lécher sa chatte qui est complètement rasée, Julie et les autres s?emparèrent de ma mère, lui enlevèrent sa veste; maman cria mais rien n?y fit, elle reçut une gifle, puis une deuxième. Les filles lui arrachèrent ensuite son chemisier, son soutien-gorge; sa jupe et son slip lui furent retirés et elles apparut, en dim-up, et chaussures à talons hauts. Ma pauvre mère pleurait et mit sa main devant son sexe poilu, ses seins en forme de poire pointaient malgré elle. Je remarquai que maman était bien conservée pour son âge, ventre plat, fesses et poitrine fermes. Elle les supplia de la laisser mais elles n?en avaient rien à faire et Mme B les excita encore plus; elle la regarda en souriant:
?Allez les filles…A vous!… Et toi, regarde ta mère ce qu?elle va prendre… Elle va aimer ça tu vas voir… Dans peu de temps, elle va même en redemander…?
Maman se remit à crier de plus belle quand on la porta sur la table basse du bureau. Les filles enfilèrent rapidement des godes ceinture et Laurence fut la première à pénétrer maman. D?où j?étais, je vis ma mère ouvrir en grand la bouche pour chercher sa respiration sous cette intrusion, mais Laurence s?activa dans la chatte de maman jusqu?à la faire crier de plaisir. Cela dura 10 minutes, puis en sueur, elle laissa sa place à Julie qui se mit à pistonner maman à toute vitesse; elle vit bien que la résistance de ma mère diminuait car elle ralentit sa cadence, se retira, regarda le sexe de maman et dit:
?Et bien ça y est Monique… Tu vois bien que tu mouilles… Allez cochonne, fais nous voir comment tu bouges… Fais voir à ta fille comment tu jouis… Hein, salope de bourge…?
Maman fut enlevée de la table, mise à genoux sur un des fauteuils, un genou sur le coussin et l?autre sur l?accoudoir, et ainsi écartée, reprise une nouvelle fois. Les pénétrations se succédèrent dans cette position, jusqu?à ce que Laurence lui ayant craché dans la raie des fesses, ne la sodomise. Ma mère cria et se mit à pleurer, pendant que les autres riaient, Mme B enfila également un gode ceinture, s?approcha de ma mère et lui fourra dans le cul, elle la tint aux hanches et s?activa en poussant des grands ??han??, maman gémit de plus en plus fort jusqu?à avoir un orgasme et Mme B lui caressa les fesses en disant:
?T?as un beau cul Monique… Super doux et bien ferme comme je les aime… on va aller manger maintenant…Et comme tu aimes ça, on remets ça après… La nuit va être longue…?
On attacha les poignets de ma mère dans le dos et on gagna, entièrement nues, les cuisines…