Mon réveil sonne à 06h45. Je me lève péniblement. Je vais silencieusement à la douche, prendre mon café, m’habiller et part sans réveiller personne. Enfin je croyais car ma femme me rejoint sur le pas de la porte.
— Bonne journée chérie.
— Merci chérie et prends soin de toi.
Petit bisou chaste, et je pars.
J’arrive en avance à l’escadrille. Je dis bonjour à ceux déjà présent. Je vais me changer. A l’appel, toujours pas d’Isa. Je vaque à mes occupations et je vois la voiture d’Isa arriver. Elle vient vers moi.
— Putain, j’ai ramassé hier, enfin tu vois, Je n’ai pas pu me réveiller. Je t’expliquerai.
Elle me fait une bise à la commissure des lèvres et s’en va en trottinant vers son vestiaire. Quel cul, me dis-je. La Matinée se déroule calmement. La chaleur se fait de plus en plus forte au fur et à mesure que midi s’approche. On passe au bar de la base se rafraîchir. Isa est avec ses copines et moi avec mes potes. Elle me fait signe pour je la suive. Elle m’entraîne dans un petit coin du bar et me demande si je suis d’accord pour que je tienne avec elle le bar la semaine prochaine. Le président (Sous-officier qui représente les sous-officier de la base) cherche 2 gars.
— Je n’sais pas si notre chef acceptera.
-Le président s’occupe de tout. Allez, en plus de ça, on finit à 14h00… Allez.
— D’accord, sale chieuse…
— Oui mais que tu aimes bien quand même… Me répondit-elle en s’éloignant.
Je retourne auprès de mes camarades. J’apprends, le mercredi, que notre demande est acceptée. Isa est folle de joie.
La semaine passe vite. Le jour au boulot, le soir chez moi. Arrive le weekend. Ma femme, fidèle à elle-même, continu sa petite vie de mère bien attentionnée, oubliant celle d’épouse. Bien qu’elle fasse un effort vestimentaire, elle s’est même maquillée dimanche… Mais bon… On ne fera pas un cheval de course avec un âne. Je m’éclate avec mes fils dans la piscine, les initie à la joie de la pétanque. Bref rien de bien excitant, bien que je m’amuse avec eux. Il me manque quelque chose. Et cette chose, c’est Isa.
Je vais me coucher vers 23h00, ma femme m’attend dans le lit.
— Au fait chéri, ça c’est bien passé cette semaine avec Isa ?
— Euh… Oui, enfin normale.- Tu n’as pas succombé à la tentation ?
— Non.
— Je peux te demander quelque chose ?
— Oui…
— Elle baise bien au moins ?
Sa question me glace les sangs.
— Je vais être honnête avec toi. C’est une furie.
— j’aimerai apprendre à le devenir.
— Il ne tient qu’à toi.
— Enfin, vous n’aimeriez pas me l’apprendre ?
— Quoi, Isa et moi ? Tu me propose un plan à trois ?
— Je sais que c’est un de tes fantasmes.
— Tu m’embête. Bonne nuit.
Je m’endors des images érotiques plein la tête.
Lundi matin, je me lève plus tard. Notre « corvée » au bar nous autorise à engager à 9h00. Je ne passe pas par l’escadrille, je vais directement au bar. Isa est déjà là, avec le président en train de compter la caisse. Isa est charmante. Elle est habillée d’une chemise blanche et d’un short en jean noir. Isa me dit que c’est autorisé lors de notre semaine au bar. Puis le président s’en va nous laissant seul. Isa me saute au cou, et m’embrasse goulûment. Je réponds à son baisser. Je lui prends la tête entre les mains.
— Ecoute Isa, j’ai un truc sérieux à te dire. Il faut que tu m’écoute jusqu’au bout, sans m’interrompre.
— Ah, vas-y…
— Bon, ma femme est au courant de notre liaison. Elle a réussi à me la faire avouer. Ne t’inquiète pas, elle ne m’en veut pas. Bien au contraire, elle veut faire un plan à trois.
— Aïe… C’n’est pas vrai…
— Si. Elle m’l’a dit hier soir…
Elle se lève, met ses mains sur ses hanches, ce qui a pour effet d’accentuer sa croupe.
— Et que veux-t-elle ? ?
— J’n’en sais rien… Elle veut baiser comme toi… Enfin, réapprendre.
— Intéressant… Bon j’y réfléchis et j’te dis ça… Allez au boulot.
On prépare le bar pour accueillir les premiers clients, c’est-à-dire vers 11h00.
Le lundi c’est plutôt calme, tout le monde récupérant de son weekend. Isa et moi gérons fort bien et nous fermons à 14h00. Nettoyage du sol, des tables, de la vaisselle, du comptoir et la machine à café. Après cette tâche fastidieuse, on s’accorde un moment de repos avec un bon demi bien frais.
— Hervé, tu sais sur ce que tu m’as dit ce matin ?
— Oui, évidemment mais je ne t’en voudrais pas si tu n’acceptes pas.
— Non, gros bêta, j’accepte mais où et quand ? J’ai ma petite fille moi… mon mec je m’en arrange.
— Et j’ai trois gars.
— Ouais c’est vrai… Tu vois ça avec te femme et tu me dis.
15h30, on se sépare non sans s’être embrassé. Isa me dit qu’elle ne sait quoi penser de la proposition de ma femme et qu’elle craint le premier rendez-vous.
Je rentre chez moi. Les enfants ne sont pas là, ils ont centre aéré et rentrent à 17h00. Ma femme est sur la terrasse. Je prends une bière au frigo et la rejoint. Elle est encore fagotée comme un sac, comme à son habitude, vêtue d’un short en toile noir et d’un tee-shirt déformé.
— Bonjour chérie.
— Bonjour. Comment c’est passé ta journée.
— Bien, je suis au bar de la base toute la semaine, avec Isa.
— ah, avec Isa ? Et tu lui as parlé ?
— Oui.
— Ah et qu’a-t-elle dit ?
— Elle est d’accord mais qu’elle a une petite fille et que son mari, elle s’en occupée. Elle voulait savoir où et quand ce passerait notre premier rendez-vous.
— Je ne sais pas trop. Bin, Ici, chez nous. Je pourrais demander à notre baby-sitter de la prendre en plus des garçons.
— Tu penses à tout. Tu en as vraiment envie ?
— Oui, mais j’ai un peu peur…
— Elle aussi a peur. Quand alors ?
— Vendredi soir… qu’es ce que tu en penses ?
— OK, je lui en parle demain.
La soirée se passe sans que l’on reparle de ce sujet.
Le lendemain j’explique à Isa le topo. Les enfants, la baby-sitter, sa venue le Vendredi soir. Elle dit OK, que son mari avait prévu « une sortie entre potes » et qu’il ne devrait pas décuver du weekend. Elle lui expliquera qu’elle ira chez sa mère dès vendredi.
Le reste de la semaine est agréable, sans relation sexuelle entre nous. Elle veut me garder en forme pour la fin de semaine. Elle me dit de prendre deux pilules, que j’en aurais besoin. Avant de se quitter le vendredi, il était 14h00, elle me demanda la tenue vestimentaire à mettre. Je lui demande de s’habiller comme à la fête. Que pour sa fille c’était OK, la baby-sitter nous prenant que cinquante francs par enfant et pour les deux jours. Il fallait qu’elle soit là le plus tôt possible pour que les enfants fassent connaissance. On s’embrasse.
Chez moi, les enfants sont rentrés et jouent dans la piscine. Ma femme arrive vers moi et me pose moult questions. Je lui demande de se calmer et de me servir une bière bien fraîche en terrasse. Je vais prendre discrètement les deux pilules. Je me dessape totalement et plonge, en faisant « une bombe » pour rejoindre mes fils.
15h30, on sonne. Ma femme me demande d’aller ouvrir, craignant que ce soit Isa. Je sors et me sèche. Ma femme me fait remarquer ma tenue.
— Quoi ? Isa ma déjà vue nu ! Lui dis-je en rigolant.
— Oui mais sa fille !!!
J’avais oublié ce détail. J’enfile mon caleçon de bain. Lili s’installe en terrasse. Je fonce à la porte. Effectivement, c’est elle. Elle est resplendissante dans sa robe fourreau noire. Elle me fait la bise et me présente Gwenaël, sa fille âgée de dix ans. La petite entendant les garçons s’esbroufer dans la piscine nous laisse et s’en va les rejoindre.
— Bon, bin, je crois qu’il est inutile de faire les présentations. Dit-elle. Voilà ses affaires et les cinquante francs pour la baby-sitter.
— Non, ma femme à tout réglé. Allons la rejoindre. Tu bois quoi ?
— Une bière, si tu as.
Je lui demande d’aller rejoindre ma femme sur la terrasse. Je prends trois bières et vais les rejoindre. Lili et Isa sont face à face. Je m’installe entre eux. On sirote nos boissons.
— Putain que ça fait du bien. Dit Isa. Chouette votre maison.
— Villa, rétorque Lily, villa.
Elle se regarde et partent dans un fou rire. Je les laisse et plonge pour rejoindre les enfants qui ont fait connaissance. Ils jouent entre eux m’ignorant totalement. Tant mieux. Je regarde vers les filles, elles sont rouges pivoines, tellement elles rigolent. On sonne, Lili se lève pour aller ouvrir.
— Allez les enfants c’est Alex (la baby-sitter), on sort et on se sèche. Leur dis-je.
Ils sortent, tous les quatre, se sèchent, s’habillent et filent…
— Ma fille, je n’ai même pas eu droit à un bisou !!!
— Ils ont dû lui dire que chez Alex, il y a une piscine bien plus grande.
Lily revient en rigolant.
— Trop drôle ta petite, heureusement que j’ai pensé à donner son sac, elle partait sans… je vous sers un petit apéro ? J’en ai marre de la bière… Rosé bien frais, ça vous tente ?
On répond par l’affirmative. Elle rentre dans la cuisine. Ce qui nous laisse le temps de nous dévêtir. On entend le bruit d’un bouchon et de verres. Lili revient sur la terrasse. Elle a un moment d’arrêt et pose la bouteille et les verres. Isa se lève pour admirer notre villa. Lili n’en revient pas.
— Tu…Tu as un corps magnifique Isa.
— Merci, mais on n’est pas là pour se lancer des fleurs. Tu nous sers ? répondit Isa.
— Oui… Oui.
Elle nous sert tout en regardant le cops d’Isa. Entièrement bronzé, les seins hauts et fermes, les énormes fesses mais bien faites, les cuisses musclées, son ventre plat et son sexe glabre. Isa boit son verre debout. Lili ne la quitte pas des yeux. Pour être plus juste, elle la dévore des yeux. Les verres de rosé s’enchaînent, pour les filles, moi je tiens à garder tous mes moyens. Je vais chercher une seconde bouteille.
— Tu me files ta robe Isa, j’vais la mettre dans le salon.
Je rentre dans la cuisine et je peux les entendre. Le rosé ayant désinhibé les filles. Elles parlent plus fort.
— Lili, tu ne te mets jamais nue ?
— Pas devant mes fils.
— Mais là, ils ne sont plus là.
– C’est vrai….
Petit silence. Puis elles pouffent de rire.
— Pas mal, tu serais mieux entièrement bronzée, parce que là, ça frise le ridicule avec ces marques de maillots.
— tu crois ?
— Bin ouais. Et ton p’tit ventre tu pourrais le faire rentrer en faisant une dizaine d’abdos par jour.
Je reviens avec des petits fours. Je demande à ma femme d’aller chercher la bouteille de rosé. J’en profite pour demander à Isa comment cela se passe. Elle me dit que tout va bien.
Ma femme revient et nous ressert. Avant qu’elle aille s’asseoir, Isa la prend dans ses bras et l’embrasse. Choquée, Lili se laisse pourtant faire. Isa, d’une main lui bloc la nuque, de l’autre lui caresse le dos puis les fesses. Je me mets face à eux pour ne rien louper du spectacle. Lili, les mains sur les hanches d’Isa semble apprécier, puisqu’elle ferme les yeux. Leurs bouches se désolidarisent pour m’offrir à la vue un jeu de langue des plus torrides. Les langues virevoltent, les dents s’entrechoquent. Ma femme succombe. Ses mains remontent dans le dos d’Isa. Elle la caresse maintenant sans aucune retenue. Leurs tétons bandent. Ils se frottent les uns aux autres. Elles soupirent, leurs respirations s’accélèrent. Isa me fait signe de les rejoindre. Me prenant par le bas du dos, elle me rapproche, m’invitant à ce balai. Je, plutôt, on joue de nos langes. Nos bouches se soudent. Nos salives se mélangent. On en bave. Des filets se forment et tombent sur leurs poitrines. C’est le silence, mise à part le bruit des langues et de nos respirations. C’est obscène mais divin. Ma queue s’est redressée. Instinctivement, Je fais des mouvements de bassin. Isa quitte notre trio pour se mettre à genou. Elle me lèche la bite de haut en bas, me gobe les couilles, tout en me branlant lentement. Elle tire par le bras Lili qui, à son tour, s’agenouille. Elles me font une pipe à deux bouches. L’extase. Leurs deux bouches de chaque côté de ma verge alternent les mouvements. Elles m’avalent chacune un testicule. Je ne tiens plus.
— Putain, je vais venir…
— Viens sur ma langue…Dit Isa. Toi, continu à le branler.
Sortant sa langue de la taille d’une pelle à tarte, elle se place face à moi, à quelques centimètres de mon gland. Lili accélère le mouvement. Les yeux grands ouverts, Isa attend sa pitance, Lili regarde ma bite qui gonfle.
— ARGH, ARGH, ARGH, OUIIIIIII …
De puissants jets viennent atterrir au fond de la gorge d’Isa. Lili, qui a ralenti le mouvement, vise la langue.
— Hihihi… Rigole Lili en s’appliquant à ce que tous mes jets finissent là où ils doivent finir.
Je n’arrête pas de décharger. Une semaine d’abstinence dans la bouche d’Isa.
— PUTAIN, QUE C’EST BON…. ARGH…OUF…HA…la vache !!!
Le flot se tari. Isa ferme la bouche et fait signe à ma femme de me nettoyer la queue. Je reçois une décharge électrique quand elle me touche le gland avec le bout de la langue. Je hurle, Je gueule de ma jouissance. Elle s’applique à récupérer les dernières gouttes en me serrant la bite de toutes ses forces. Isa tapote sur l’épaule de ma femme. Elles approchent leur bouche et s’échangent la précieuse liqueur. Aucune goutte n’est perdue. Quant à moi, je vais m’asseoir. Elles jouent ainsi de longues minutes, Mon sperme passant d’une bouche à l’autre. Puis Isa fait signe, avec son index, à Lili de déglutir. Isa se lève et vient me chevaucher sur les cuisses. Elle ouvre la bouche et me fait signe si j’en veux. Jamais essayé, tant pis, je me lance. On tourne nos langues. C’est pas dégueu, Et puis dilué dans la salive, le gout doit être moins fort. Ayant tout notre jus en bouche, Isa avale à son tour. On éclate tous de rire.