Ce week-end devrait logiquement marquer une pause dans les épreuves imposées par Thomas, puisque nous avons un repas de famille. La seule chose qui m’inquiète un peu, c’est que François sera là. Comment se passeront nos « retrouvailles » ? Notre famille se rendra-t-elle compte de quelque chose ?
Contrairement à ce que je craignais, notre arrivée se passe plutôt bien. Je dis bonjour à tout le monde (évidemment, nous sommes arrivés bons derniers), et je n’ai qu’à faire comme d’habitude avec mon frère. « Ce serait donc si simple ? » Ce qui ne l’est pas, c’est que François ne l’entend pas de cette oreille. Alors que je commençais à me détendre en réalisant que personne ne peut soupçonner quoi que ce soit tant que nous ne laissons rien paraître, une main sur mes fesses me fait rapidement sursauter. Je me retourne pour voir mon petit frère qui m’observe, goguenard, sa paluche toujours posée sur mon postérieur.
— Tu m’as manqué, surette, me dit-il.
— Arrête ça ! ordonné-je en virant la main intrusive. Quelqu’un pourrait nous voir.
— Relax, ils nous tournent tous le dos.
S’il a raison dans l’absolu, il y a néanmoins deux points qui me dérangent dans son jeu. Le premier, c’est que je ne veux précisément pas instaurer ce genre de relation entre lui et moi. Le second, c’est qu’à jouer avec le feu, on finit forcément par se brûler. Une main baladeuse vue par une personne qui se retourne brusquement, et c’est tout l’édifice familial qui s’effondre. Je ne suis pas prête à prendre le risque !
D’ailleurs une personne s’approche rapidement de nous ; c’est Chloé, la petite amie de François.
— Vous ne venez pas vers tout le monde ? nous demande-t-elle, tout sourire.
On s’est toujours très bien entendues avec Chloé, et je n’ose même pas imaginer ce qu’elle dirait si elle apprenait que son copain l’a cocufiée avec sa propre sur !
— Il faut qu’on discute de deux ou trois petits trucs avec Justine, répond François. On n’en aura pas pour longtemps, t’inquiète pas.
— OK, ça marche. Je serai vers les gâteaux apéros, nous lance-t-elle avec un air de conspiratrice en s’éloignant.
François ne perd pas de temps ; il me plaque contre le mur, me masquant ainsi aux regards. Ses mains glissent sous ma robe, caressent mes fesses absolument pas protégées puisque Thomas a insisté pour que je ne mette pas de sous-vêtements tandis qu’il m’embrasse dans le cou.
— Putain, surette, t’es trop bonne ! Si tu savais comme j’ai envie de toi
— Arrête, François ! lâché-je en tentant mollement de le repousser. Rappelle-toi où on est !
— Je m’en fous ! Il faut que je te saute, j’en peux plus
Ses doigts sont brûlants, ses lèvres aussi. Une de ses mains se pose sur ma poitrine, passe sous le tissu et m’attrape un sein, qu’il presse avec passion. Pendant ce temps, ses bisous dans mon cou me font frissonner, me rendent folle. Je réalise que la situation m’excite autant que lui.
— On ne peut pas protesté-je encore, pour la forme, alors que mes bras l’attirent à moi au lieu de le repousser.
— Non, on ne peut pas soupire-t-il.
Mais ses doigts se retirent de ma vulve ; son gland se pose contre ma fente, et c’est son sexe qu’il présente à l’entrée de mon vagin. Il pousse un peu et le voilà déjà à l’intérieur. « Mon Dieu, je suis trempée ! » Mon frère soupire de plaisir en me faisant l’amour, là, contre le mur de la maison familiale, alors que notre famille au complet n’est qu’à quelques mètres. N’importe qui pourrait s’inquiéter de notre absence et venir voir ce que nous faisons, mais la passion est plus forte que toute autre considération.
— Oh, Justine, j’en avais tellement envie halète déjà mon frère en me ramonant.
Il me soulève, me plaque contre le mur en me tenant par les fesses. Mes jambes sont positionnées de chaque côté de son corps, je ne touche plus le sol. Je sens que le désir le submerge : il risque de ne pas durer très longtemps. Et c’est tant mieux, parce que chaque seconde passée ici à baiser augmente nos chances d’être découverts.
— Je suis à toi, petit frère, baise-moi bien
Je joue le jeu, décidée à le faire venir le plus vite possible. Et aussi parce que ça m’excite
— Je je peux jouir en toi ?
— Oui soupiré-je à mon tour. Remplis bien ta cochonne de grande sur
Je sais que ce genre de phrase le rend fou, alors je fais tout ce que je peux pour hâter le processus.
— Mais ça va couler le long de tes cuisses halète-t-il, proche de l’orgasme.
— On se débrouillera : je veux sentir ton foutre brûlant en moi !
« Viens donc, petit frère, qu’on en finisse. Et ensuite le repas pourra se dérouler normalement. »
— Oh, Justine, j’ai tellement de chance d’avoir une sur comme toi !
— Je sais mon amour, réponds-je en lui caressant les cheveux.
« Plus que quelques secondes, et»
— Justine, François ! Vous êtes où ?
« La voix de notre mère, elle approche ! » Pris de panique, François se retire et remonte son pantalon, qu’il n’avait fait que descendre à ses genoux. Quant à moi, je n’ai rien d’autre à faire que replacer ma robe comme je le peux.
— Ah, vous êtes là ! nous lance notre mère en débouchant à l’angle de la maison. Qu’est-ce que vous faites ? Tout le monde vous attend !
« À quelques secondes près»
Nous la suivons sans un mot, François et moi, en échangeant simplement un petit regard frustré. Frustré pour lui, qui aurait aimé finir sa petite affaire. Et frustré pour moi, qui aurais bien aimé passer un repas tranquille ! « Comment va se terminer cette journée ? »
On s’installe à table en s’excusant pour notre absence, prétextant qu’on devait discuter de deux ou trois petites choses. Heureusement, personne ne pose de questions. J’ai pourtant l’impression que tout le monde soupçonne ce qui vient de se passer ! C’est stupide, bien sûr, mais la culpabilité et la honte me rongent si fort que j’ai le sentiment que ce doit être transparent.
Pour ne rien arranger, François me pose bientôt une main sur la cuisse. Personne ne peut nous voir hormis Thomas qui se trouve de l’autre côté de moi mais ça n’arrange pas mon trouble. Surtout lorsque sa main se déplace imperceptiblement vers ma vulve épilée, qu’aucun sous-vêtement ne vient défendre. Ses doigts le long de ma fente trempée me font déjà frissonner de plaisir.
Et Thomas, qui nous observe du coin de l’il, se décide à entrer dans la danse : il pose à son tour une main sur mon autre cuisse ! De quoi j’aurais l’air si quelqu’un me voyait ? Je suis en train de me faire tripoter par deux mecs, dont mon petit frère, devant toute ma famille ! D’ailleurs, François est chaud comme la braise : malgré le regard noir que je lui lance et une timide tentative pour repousser sa main, il va jusqu’à introduire un doigt dans ma petite chatte baveuse, m’arrachant un gémissement de plaisir que je maquille comme je peux en toussotement.
Il s’active en moi, de plus en plus vite ; j’ai donc de plus en plus de mal à cacher mon trouble. Il ne tarde pas à attraper ma main et à la poser sur sa queue, qu’il a extraite de sa braguette. Sait-il que nous sommes à un repas de famille ? N’importe lequel des convives qui se lèverait ou qui jetterait un regard sous la table verrait tout !
Bientôt il se penche vers moi pour me glisser à l’oreille :
— Viens, surette, suis-moi dans la maison. Il faut que je te baise.
— Quoi ? On commence à peine le repas ! Ils vont trouver ça étrange.
— Je m’en fous, j’en peux plus
Sans me laisser répondre, il se lève et se dirige vers la maison de mes parents. Je m’apprête à le suivre lorsque mon oncle Gérard m’apostrophe :
— Alors, Justine, comment se passe ton boulot en ce moment ? Ça fait un moment qu’on t’avait pas vue, dis donc !
Dépitée, je me résous à répondre tant bien que mal à tonton Gérard et tata Sylvie qui ont évidemment une centaine de questions à me poser. Ma chatte trempée et brûlante me supplie de rejoindre mon frère, mais je dois bien sauver les apparences ! Quand enfin je peux raisonnablement écourter cet éprouvant dialogue et me mettre en quête de mon frère, je n’arrive d’abord pas à le trouver. J’évite autant que possible de l’appeler, pour éviter d’attirer l’attention sur nous.
Au bout de quelques minutes, je découvre enfin où ce cache ce félon : il est dans la chambre d’amis de la maison familiale, en train de culbuter sa copine en levrette. Le salaud ! Il s’est sans doute dit qu’il n’arriverait pas à coucher avec sa sur, alors il s’est rabattu sur sa copine ! « Et moi là-dedans ? »
Je prends le temps de remarquer que sa copine, si elle a de beaux nichons qu’il malaxe d’ailleurs avec passion a aussi quelques kilos en trop qui lui font des fesses nettement moins jolies que les miennes. « Non mais ! » Quoi qu’il en soit des fesses des unes ou des autres, il est de toute façon hors de question de me passer de la bite de mon frère maintenant qu’il m’a chauffée toute la journée. Heureusement, j’ai un allié de poids : Thomas.
Je me précipite dehors, puis j’interpelle mon copain dès que j’arrive à proximité.
— Qu’est-ce qui t’arrive ? me demande-t-il en me voyant débouler comme une dératée.
— Il faut que tu appelles Chloé et que tu l’occupes. Et vite, il ne va pas tarder à jouir !
Je ne sais pas comment il fait pour comprendre ces explications débitées en vrac, mais apparemment il saisit l’essentiel. Il m’offre son plus beau sourire et se dirige vers la maison.
— Chloé ?! hurle-t-il. Viens voir, j’aurais besoin de toi !
Il se tourne alors vers moi avec une lueur curieuse dans le regard.
— Il te faut combien de temps ?
— Le plus possible.
Mon sourire s’accentue.
— Mais pas longtemps, à mon avis.
— Salope me complimente-t-il avec amour.
Chloé arrive dans le hall, aussi échevelée que je devais l’être tout à l’heure, et son air innocent est si forcé qu’il sonne faux à des kilomètres. Mais peut-être est-ce moi qui me fais des idées, puisque je sais ce qu’il en est.
Tandis que mon adorable copain l’occupe, je me dirige au pas de course vers la chambre d’amis avant que mon frère ne mette les voiles à son tour. Sans doute attend-il le retour de Chloé avec impatience.
— Ah, ça va, t’as été rap commence-t-il à mon intention, avant de se rendre compte que je ne suis pas Chloé.
— Dis donc, salopard ! l’apostrophé-je. Tu t’es dit que ce serait trop compliqué de me baiser, alors tu t’es rabattu sur ta copine. Et moi, alors ?
— Je je me suis dit que tu coucherais avec Thomas ce soir pour rattraper se défend-il.
Mais son sourire indique qu’il est ravi de me voir aussi jalouse.
— C’est ta bite que je veux ! rétorqué-je en attrapant le phallus en question.
— Oh, putain, oui lâche-t-il tandis que je commence déjà à le masturber doucement. Mais si Chloé revient ?
— Elle ne reviendra pas tout de suite, et de toute façon c’est une raison de plus pour me baiser MAINTENANT !
Il se redresse pour me saisir et probablement me retourner sur le lit, mais je le repousse. Je lui retire son caleçon avec tant de vigueur que je lui griffe légèrement la cuisse dans la manuvre, mais il est tellement fou de désir qu’il ne le sent même pas. Sa bite est dressée comme jamais.
— Je vais te montrer ce que c’est qu’une baise torride ; tu n’auras même plus envie de toucher à ta copine une fois que tu y auras goûté !
Je m’empale sur son membre turgescent et glabre, lui arrachant un râle de plaisir. Je n’ai même pas retiré ma robe, je le chevauche comme une furie. Mes mains sur ses pectoraux, je mène totalement la danse en me dandinant sur lui. La manière dont je fais onduler mes petites fesses le rend dingue, si j’en crois ses soupirs extatiques qui s’accélèrent.
— Alors, elle est comment ta grande sur ?
— Oh putain, Juju, c’est le pied ! J’ai jamais rien connu d’aussi bon, j’te jure
Mes fesses montent et descendent sur sa verge au gré de mes coups de bassin, de plus en plus rapidement. Sa bite est ainsi branlée dans un étroit fourreau trempé qui lui sied à merveille.
— Ton cul Oh putain, Juju, ton cul ! grogne mon frère en posant avidement ses mains sur l’endroit si convoité de son désir.
— Tu les aimes, mes fesses ?
— Si tu savais Oh, surette, si tu savais
— Ça te dirait de mettre ta grosse queue dedans ?
Ses yeux s’écarquillent de surprise, puis de plaisir lorsque son regard interrogatif croise le mien, qui confirme.
— Encule-moi, p’tit frère.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne se fait pas prier. Il se retire brutalement en me repoussant sur le côté, puis il me retourne pour se placer derrière moi.
— T’es sûre ? me demande-t-il une dernière fois.
— Pitié, frangin, défonce-moi le cul !
Il n’en peut plus. Il m’attrape les hanches, positionne son gland à l’entrée de ma rondelle, puis il s’insère en moi. Sa progression est lente, mais je sais déjà que ce ne sera pas long.
— Ah, putain, c’est étroit c’est merveilleux ! J’ai tellement rêvé de ça, et c’est encore mieux que ce que j’imaginais !
Et effectivement, il n’a même pas besoin d’arriver au bout que déjà il m’inonde les intestins de son sperme. L’excitation était trop forte.
— Justine, oh Justine soupire-t-il en vidant tout le contenu de ses couilles en moi. Merci, surette, merci pour tout Je t’aime
— Je t’aime aussi, p’tit frère. Vivement la prochaine fois !
Il se retire alors de moi et je me retourne pour lui faire face. Mes fesses dégoulinent de son sperme brûlant, qui me pique un peu au passage. Le surplus tombe sur le lit, souillant les draps. Il va falloir qu’il cache ça à Chloé, tout en trouvant une excuse pour ne pas la baiser !
Mais ce n’est pas mon problème.
— Justine me dit mon frère d’une voix douce.
Je l’observe ; ses yeux débordent d’amour.
— T’es une sacrée salope, ajoute-t-il, avec toujours autant d’amour dans la voix.
C’est amusant : c’est la deuxième fois qu’on me le dit aujourd’hui. Alors que j’ai passé toute ma vie à considérer ce mot comme une insulte, je le reçois aujourd’hui comme le plus beau des compliments.
— Oui, c’est vrai, acquiescé-je. Merci.
Le regard de François devient plus intense encore. Il s’approche de moi doucement.
— Je t’aime, Justine.
Puis il m’embrasse. Pas de manière sensuelle ou par jeu. Non, un vrai baiser d’amoureux. Et je le reçois avec plaisir ; je le lui rends, même. Nos langues se mêlent, se caressent.
Coucher avec mon frère est une chose ; l’embrasser ainsi en est encore une autre.
Jusqu’où tout cela va-t-il me conduire ?