Toute la journée, j’ai repensé à cette soirée formidable.
J’arrivais sur le pas de la porte et rentrais, je fus surpris de voir une amie de ma tante assise sur une chaise dans le salon.
Son corps magnifique était légèrement éclairé par le soleil couchant.
Cette beauté mesurait 1m70 pour 62 kg, un petit cul combiné à de superbes gambettes, la seule chose à reprocher à cette brunette c’était sa paire de seins en forme de poire.
— " Bonjour! " dis-je en m’avançant et lui faisant la bise. Je m’asseyais et prenais un verre d’eau après avoir fait un bisou à ma tante.
— " Sur ce Sylvia, je vais y aller. " lançait Michelle, l’ami de ma tante.
— " Ok et penses à ce que je t’ai dit. "
Je la regardais filer par la porte du salon et je scotchais carrément sur ses jambes gainées d’un collant noir.
Je bandais comme un taureau rien qu’à l’idée de pouvoir l’avoir dans mon lit mais ce n’était que pure rêve.
" J’espère que t’as bien maté, Éric.
— Oh oui, Tatie mais c’est toi que j’aime tu le sais !
— Que veux tu manger ce soir ? "
Je me levais et venais me coller à elle en lui touchant ses cuisses.
— " Toi ma tante adorée. "
Elle me repoussait et me disait de calmer mes ardeurs.
— " Eh dis donc contrôles toi je suis ta tante et par la même occasion de ta famille, on frise l’inceste. Ce que je fais hier, je n’aurais pas du et j’étais prise par l’excitation, excuses moi. On n’en fera pas plus. Je me suis confiée à Michelle.
— Oh non, la honte pour moi ! Je passe pour quoi ?
— Mais non elle t’a trouvé mignon sur les photos que je lui ai montré. Elle aussi adore jouer et faire l’amour en collant et …
— Et quoi ?
— Elle voudrait prendre du plaisir avec toi, je n’ai pu m’empêcher de lui parler de ton membre impressionnant. Elle aime les gros engins chose que son mari ne peut lui apporter.
— Non tu me charries là … quelle histoire.
— Elle vient après demain toute la journée avec diverses tenues que tu devrais apprécier.
— Mais Tatie je ne vais pas assurer, tu as vu comme je suis parti hier soir, apprends moi, inities moi. Je ne sais même pas brouter le fruit défendu, je vais passer pour un idiot. "
Sur ce je me levais et partais me cloitrer dans ma chambre.
Une demi-heure plus tard, Sylvia frappait à ma porte.
" Entres " lui dis-je.
Quand la porte s’ouvrit elle se tenait là, sur le palier dans sa robe flottante et fleurie.
— " Ok, je vais t’initier mais il n’y aura pas de pénétration de quelque sorte !
— Oh oui, Tatie. "
Elle s’approchait puis s’asseyait près de moi, elle me retirait mon jean et caleçon en même temps :
— " Laisses toi aller " me disait elle.
De sa main droite elle sortait un bas de la pochette de son chemisier qu’elle dépliait.
D’un mouvement de droite à gauche, elle me caressait mon pénis, le frottement léger du nylon me faisait triquer à mort.
" Respires et contrôles toi, Éric. "
Elle stoppait net le frottement et se déshabillait à côté du lit ne se retrouvant qu’en collant de couleur noir satiné et à ma plus grande joie elle ôtait son soutif faisant tomber ses énormes seins ronds.
Elle s’allongeait sur moi et venait frotter mon sexe sur son collant à hauteur de son intimité cachée par une petite culotte noir.
Elle bougeait comme si je la pénétrais, ses mouvements me mettaient hors de position tellement l’excitation me gagnait.
" Prends mes seins, me criait-elle, occupes toi d’autre chose si tu veux durer un peu plus, mon garçon. "
Je prenais ses seins à pleine bouche les suçant, baisant, mordillant et au bout de quelques minutes,le frottement de son collant eu raison de moi.
Mon sperme gicla respectivement sur mon ventre et le sien
" Ouh ouh, quelle purée, mon ami. " disait elle en rigolant.
Elle se levait et me dit qu’elle allait prendre une bonne douche.
— " Non, Tatie. S’il te plait je veux apprendre à lécher correctement. "
Alors qu’elle n’avait pas répondu, je la tirais sur le lit, lui arrachais le collant et écartais sa culotte dévoilant une chatte bien rasée, je me mettais à l’ouvre de suite, introduisant ma langue dans sa fente.
— " OOOOOOHHHHHHH calmes toi pas comme ça. "
De ses deux mains elle repoussait ma tête en arrière…
" N’entres pas ta langue de suite. Lèches d’abord mon clitoris.
Je m’y employais et ses râles de plaisir me faisaient comprendre que je m’y prenais bien. Je caressais en même temps ses cuisses qui redonnait de l’allant à mon pénis épuisé.
Ma léchouille devenant furieuse, elle me lâchait un orgasme, m’arrosant légèrement le visage.
Je me relevais net, mon pénis tendu, sa chatte entrouverte de plaisir me donnait envie de m’y enfoncer.
Ma tante resserrait ses cuisses aussitôt et se levait du lit ayant vu mon regard médusé sur sa fente ruisselante.
" T’es prêt Éric mais on aurait pas du. Ça a été trop loin, j’ai cru que tu allais me pénétrer… euhh bonne nuit. "
Elle ne croyait pas si bien dire j’attendais avec impatience de ravager Michelle avant de m’occuper d’elle…
A suivre