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Fantasme professionnel – Chapitre 18

Fantasme professionnel - Chapitre 18



Georges et son homme de main entrèrent dans le bureau de Rosalie. Maître Pittet frappa dans ses mains.

Bravo, Maître Frei ! Je ne vous savais pas aussi pleine de ressources et de perversion. Notre ami StormX et moi avons vu la scène. Inutile de vous dire que nous sommes encore tout endurcis. Après ce que vous avez fait, j’imagine que les hommes forts doivent vous manquer… Occupez-vous de moi, Maître.

Pour vous, ce sera « Mademoiselle ». De plus, vous semblez oublier StormX dans votre calcul.

Je n’apprécie guère les trios. Par conséquent, StormX, vous devrez patienter encore un peu, le temps d’une nouvelle mission pour vous.

StormX brûlait de déception. Son employeur lui coupait l’herbe sous le pied en usant de sa position pour l’éloigner de Rosalie. Cependant, en professionnel, le jeune homme ne laissa rien paraître.

En quoi consiste cette mission ?

Rattrapez monsieur Wachsen et assurez-vous qu’il rédige le contrat aujourd’hui même. Dites-lui que s’il ne le fait pas, je diffuserai la vidéo dans les médias. Une fois le contrat rédigé, apportez-le-moi pour que je le signe. Ceci fait, vous partirez avec monsieur Wachsen chez mon épouse et vous lui direz de se débrouiller pour rester dans son appartement. Pendant ce temps, vous tâcherez de récupérer le plus d’instruments possible dans la cave et de me les rapporter. Assurez-vous que Charlotte remarque le vol après votre départ. Ensuite, si tout cela se passe bien, vous serez récompensé. Au fait, encore un petit détail : dites à monsieur Wachsen de se changer ! Il ne sentait pas très bon lorsquil est sorti

Bien, Maître.

StormX sortit du bureau de Rosalie et se dirigea vers le siège du Crédit Suisse. À son arrivée dans la succursale, le jeune homme trouva sans peine le bureau d’Andreas. Il frappa à la porte ; le banquier lui répondit d’entrer.

Encore vous ! Mais que me voulez-vous ?

Juste m’assurer que vous exécutez votre part du marché. Ordre de Maître Pittet : rédigez le contrat d’embauche et signez-le. Nous l’apporterons à mon employeur pour qu’il le signe, puis nous partirons chez Maîtresse C. Débrouillez-vous pour rester dans son appartement, le temps que je prenne des instruments dans la cave. Une fois cela fait, il se peut que vous ayez votre utilité un peu plus tard. Et surtout : changez-vous !

C’est déjà fait, jeune homme. Je m’occupe du contrat.

Andreas rédigea le contrat et y apposa sa signature, puis il ordonna à sa secrétaire d’annuler tous ses rendez-vous de la journée. Les deux hommes prirent la direction du cabinet de Georges Pittet.

Quelques minutes plus tard, StormX frappa à la porte du bureau de son employeur et entra dans la pièce, suivi d’Andreas.

Voici le contrat, Maître, dit StormX en lui tendant le papier.

Parfait. Je vais le signer.

Maître Pittet apposa son paraphe sur le contrat.

Je suppose que mon coursier vous a déjà informé de la suite des opérations, Monsieur Wachsen ?

Oui, Maître.

Eh bien, allez-y dans ce cas !

StormX et Andreas tournèrent les talons et prirent la direction de l’appartement de Charlotte. Après avoir traversé la rue des Alpes, les deux hommes arrivèrent à destination. Andreas sonna à la porte ; la voix de Maîtresse C. se fit entendre dans l’interphone :

Mot de passe ?

Petit cochon.

La porte émit un grésillement et les deux compères se glissèrent dans l’ouverture. Dans le salon dattente, Andreas se déshabilla et mit le masque sur son visage tandis que StormX entrait silencieusement dans la cave. Le banquier neut pas à attendre longtemps avant que lépouse de Georges Pittet apparaisse.

Mais cest mon petit cochon Encore toi ? Décidément, tu ne peux plus te passer de moi !

Cest vrai, Maîtresse ; vous me comblez tellement que je ne fais que penser à vous.

Et tu viens chercher ta punition ?

Le gros homme hésita ; il aurait bien voulu se livrer à nouveau aux sévices de sa dominatrice, mais il avait déjà joui peu de temps auparavant entre les mains expertes de Rosalie.

Cest que, Maîtresse, euh je ne sais pas comment vous le dire, mais vous mobsédez ; vous mobsédez à tel point que je souhaiterais devenir votre esclave. Votre seul et unique esclave, cela va de soi ; pour cela, je suis prêt à vous verser une rente mensuelle. Importante, bien entendu

Hmm cest à réfléchir. Mais en attendant, baisse ton pantalon et mets-toi à genoux, là, dans le coin.

Andreas sexécuta et prit la position exigée.

Mais tu ne comprends donc rien Cul nu ! Et les mains au-dessus de la tête !

Elle accompagna sa phrase dun coup de cravache bien senti sur le postérieur adipeux, faisant trembloter la cellulite, puis elle lui introduisit dun coup sec un gros sextoy dans le fondement en en régla les vibrations au maximum.

Attends-moi comme ça, et ne tavise surtout pas de bouger ! Jai à faire.

Maîtresse C. tourna les talons et se dirigea vers lescalier qui menait à son salon.

Pendant ce temps, StormX réunissait silencieusement dans la cave transformée en donjon le maximum dinstruments quil pouvait mettre dans le sac de voyage quil avait apporté ; par manque de place, et sachant que le temps lui était compté tout au plus une quinzaine de minutes il ny plaça que les godes et les cravaches. Comme nous étions à la période de Pâques, il pensa bien emporter la croix de Saint-André sur son épaule : les voisins le prendraient pour un pénitent ; mais cette disparition pourrait éveiller les soupçons de Maîtresse C.

Ladolescent quitta la cave avec son butin ; au moment où il passait devant le salon dattente, il vit le gros homme, toujours agenouillé avec le gode planté dans le cul, souiller le mur dune traînée de sperme en émettant un râle de satisfaction. Sans sattarder, il quitta les lieux et se rendit au lieu convenu pour attendre Andreas, à quelques pâtés de maisons de là.

Au bout de quelques minutes, StormX vit Andreas débouler à toute allure. Le jeune homme ne comprenait pas

Que se passe-t-il, Monsieur Wachsen ? Les quinze minutes ne sont pas encore écoulées.

Courons, mon ami : Maîtresse C. se doute de quelque chose ; elle m’accuse de complicité de vol.

Les deux hommes se rendirent rapidement au cabinet de Maître Pittet ; ils entrèrent comme des courants d’air dans le bureau de Georges, où se trouvaient également Rosalie et Emmanuelle. En les voyant aussi essoufflés, l’avocat fut pris de curiosité :

Alors, Messieurs, que vous arrive-t-il ?

Votre épouse s’est doutée de quelque chose. Elle a certainement constaté le vol.

Parfait. Beau travail, Messieurs. Tout se passe comme je l’avais prévu. Lorsque mon épouse arrivera ici, une belle surprise l’attendra !

Comment cela, Maître ?

Rosalie, je vous laisse l’honneur de leur expliquer mon plan d’action.

La jeune avocate prit la parole :

Maître Pittet compte attirer Charlotte ici afin qu’Emmanuelle et moi l’humilions comme elle nous a humiliées. C’est pourquoi il fallait que tu ailles chercher les affaires de Maîtresse C., StormX. Ensuite, une fois que nous en aurons fini avec elle, Charlotte servira de soumise aux clients du cabinet et à leurs invités qui attendent impatiemment dans mon bureau. Au fait, Maître, n’aviez-vous pas quelque chose à proposer à Monsieur Wachsen ?

Oui, en effet. Bon, Monsieur Wachsen, écoutez-moi. Un homme dans votre position ne peut se permettre d’être soumis envers qui que ce soit ; c’est pourquoi je vous propose ceci : Emmanuelle, ici présente, est médecin praticien à l’hôpital cantonal. Elle disposera bientôt de sa propre clinique, dont je financerai moi-même la construction et les équipements. Étant donné qu’il vous faut éliminer toute raison d’être soumis, je vous propose une opération chirurgicale destinée à agrandir votre verge. Cela vous convient-il ?

Oui, Maître ; bien sûr.

Parfait ! Rosalie, Emmanuelle, allez vous équiper. Quant à vous deux, Messieurs, vous profiterez du spectacle avec moi.

Les deux jeunes femmes partirent se changer en attendant impatiemment l’arrivée de Charlotte Pittet.

[ à suivre ]

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