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Les fantasmes de Caroline – Chapitre 8

Les fantasmes de Caroline - Chapitre 8



Chapitre 8 : Retour au bureau

( Corrigé par Athanason de La Baltique)

Je suis restée toute la nuit avec Daniel. Cest la première fois que je fais ça ! Et je ne suis pas amoureuse de cet homme qui pourrait être mon père, mais javais besoin dune présence, de me blottir contre son corps qui ma fait si bien jouir et ne pas penser à mon retour au bureau lundi et à cet enfoiré de Serge qui va sûrement abuser de moi. Je sens bien que je suis en train de me soumettre aux caprices sexuels de cet homme qui a une grande expérience dans ce domaine, mais avec lui je nai pas peur car il recherche avant tout le plaisir de la femme. Il ma dit quil aime me voir jouir intensément et il veut réaliser tous mes fantasmes. Mais jusquoù peuvent aller mes fantasmes. Quelles limites faut-il ne pas franchir ?

Ce lundi matin, jarrive de très bonne heure au bureau, en jupe rouge ultra courte, collant couleur chair, pas de slip, et sous ma veste, un teeshirt moulant parfaitement mes seins.

En passant devant le gardien jai droit à un regard très appuyé jusqu’à mon entrée dans lascenseur.

Je file rapidement dans mon bureau avant que mes collègues narrivent.

Ma copine Sandrine entre me dire bonjour quand elle arrive et si elle remarque mon haut moulant elle ne peut voir mes cuisses découvertes derrière le bureau.

— Houlà ! Carotu vas affoler les mecs du bureau avec un truc aussi moulant que ça ! Remarque, moi ça me plait bien. Mais fais attention au neveu du patron car il a les mains drôlement baladeuses.

— Ouijai remarqué. Cest un sale con prétentieux.

— Héil ta mis aussi la main au cul ?

— Heu, il a essayé mais je lai remis à sa place !

— Bon jy vais ! A tout à lheure pour un café ?

— OK, si jai le temps !

Une bonne demi-heure heure plus tard, Serge entre dans mon bureau et je vois au sourire qui saffiche sur son visage quand il vient de moi, quil apprécie ma tenue vestimentaire.

— Bonjour madame Delatour, vous êtes rayonnante ce matin. Vous avez passé un bon Week-end ?

Jai envie de lui répondre :

« Un merveilleux week-end ! Je me suis fait baiser comme jamais ! Par tous les trous ! Orgasmes sur orgasmes ! »

Mais ce nest sûrement pas le moment dexciter ce petit con.

— Bien, merci. Mettons-nous au travail. Ce matin nous

— Houlà ! Pas si vite Caroline ! Rien ne presse.

Il me tend une main et ajoute.

— Lèves-toi En arrivant jai vu Paul, le gardien, qui ma dit que tu es terriblement sexy ce matin. Il a même ajouté avec un clin dil « Elle ferait bander un mort ! » Montres-moi ça !

On peut dire quil ne perd pas de temps pour masticoter. Je ne bouge pas et ne lui réponds même pas.

— Bouge ton cul. Caro! Tas intérêt à me répondre quand je te pose une question et obéir quand je te donne un ordre ! Sinon

Il ouvre son portable et me montre quelques photos extraites du film que lui et son oncle ont pris récemment. Photos particulièrement pornographiques où lon me voit nettement en train de me faire sodomiser

— Tas bien compris ! Connasse !

Hélas, ouije comprends très bien cet enfoiré de première qui me traite comme une moins que rien. Je me lève et je ne prends même pas la peine de rabaisser ma mini-jupe qui était remontée encore plus sur mes cuisses en étant assise.

— Waouh ! Paul a raison ! T’es sacrément bandante ! Tournes-toi pour voir. Nom de dieu ! Quel cul ! Penches-toi en avant. Ouiiiii ! Super ! Et pas de trace de culotte. Tes une bonne chienne bien dressée !

Quelle humiliation ! Ce jeune pervers doit ne jouir rien quen traitant les femmes de putes, salopes ou chiennasses !

— Dis donc cette mini-jupe, elle nest pas neuve. Dis-moi, tu ne l’as pas achetée pour aujourdhui tu lavais déjà

Je ne réponds pas, je surveille la porte du bureau car je suis très tendue de peur quun collègue vienne me demander quelque chose.

— Réponds !

— Oui ! Je lavais déjà et alors quest-ce que cela peut faire. Cest bien ce que vous vouliez !

— Rien mais ça confirme que tu es bien une belle salope pour porter ce genre de fringue pour pouvoir montrer ton cul comme une pute ! Et ton mari…il est au courant que tu te trimballes avec ça ?

— Oui. Et lui au moins il nest pas grossier et trouve que cest sexy.

— Cest lui qui te la offerte ?

— oui

— Ahje vois Il est du genre à texhiber en public et tu dois aimer ça, heinRéponds !

— Non ! Et il ne mexhibe pas ! Je porte toujours quelque chose par-dessus pour sortir. Cest juste pour son plaisir personnel. Sauf quen nous sommes au restaurant où je suis obligée de retirer mon imper ou manteau. Ca lamuse de voir les serveurs tourner autour de moi et dêtre aux petits soins pour nous rien que pour mâter mes cuisses. Et parfois nous allons dans un PUB ou une boîte de nuit et il veut que j’en montre beaucoup plus. Ca l’excite!

(Mais quelle idiote ! Quest-ce qui me prend de lui raconter ça !)

— humm… bourgeoise la semaine et salope le week-end. La prochaine fois que tu sors dans cette tenue et que tu vas dans un pub, tu m’envoies un SMS avec le nom et l’adresse du pub. Je m’amuserai avec ton mari.

— Tu peux toujours attendre, pervers !

— Ok, OK Moi je crois plutôt que tu aimes ça ! Je vais même vérifier.

Il s’assied sur ma chaise et me dit.

— Approcheplus prêt ! Mets tes jambes de chaque côté des miennes.

Jobéis et je sens ses mains qui caressent mes mollets, remontent derrière mes genoux, sur mes cuisses, pour finir sur mes fesses en remontant ma jupe au-dessus de ma chatte.

— Humm toujours aussi doux tes collants. Huuummm belle chatte aux lèvres gonflées.

Même pas neuf heures du mat et je suis déjà en train de me faire peloter par ce petit vicieux, obligée de lui obéir par crainte de ce quil serait capable de faire pour détruire ma vie. Jambes écartées, je lui offre mon corps et il ballade ses mains partout. Une de ses mains sarrête sur ma chatte et un de ses doigts senfonce entre mes lèvres en poussant le tissu de mon collant à lintérieur. Petit frisson involontaire mais je ne bouge surtout pas. Son doigt fait quelques rotations et je me crispe légèrement.

— Et ouielle aime ça la bourgeoise ! Madame Delatour mouille vite quand on frotte sa belle chatte !

Je reste de marbre malgré son doigt qui frotte ma chatte et son autre main qui palpe mes fesses avec quelques doigts qui ségarent entre mes fesses.

— Dis-moi que tu aimes ça ! Ton collant est tout humide maintenant !

Je reste silencieuse mais quand ses doigts me frottent lanus et ma chatte par-dessus mon collant, je serre mes fesses en reculant.

— Nooonnnn !

— Menteuse !

Il me ramène vers lui et il passe ses mains sous mon collant, la gauche se plaque sur ma chatte et la droite glisse dans ma raie des fesses

— Huuummmhumide et toute chaude ! Écarte bien tes jambes, je vais te faire mouiller encore plus !

Plusieurs doigts sintroduisent dans ma chatte et dautres caressent mon anus. J’essaye de penser à autre chose que ses doigts fureteurs qui trifouillent mon sexe pour essayer de me faire jouir. Il me doigte un moment, le nez entre mes seins et il commence à faire vibrer mon corps. Mais je résiste à cette envie de me laisser aller malgré les contractions de ma chatte qui, elle, commence néanmoins à être excitée.

Je tiens un bon moment, mais ses doigts fureteurs continuent de s’amuser avec ma chatte et mon cul en me disant.

— Cest bon, hein tu mouilles de plus en plus Caro. Tu n’aimes peut-être pas que je te fasse ça…mais ta chatte toute chaude adore ça !

Son pouce frotte mon clito pendant que ses doigts sagitent dans mon vagin et lorsquun de ses doigts de sa main droite senfonce dans mon trou du cul, je ne peux me retenir de pousser un cri.

— AAAAAHHHHH.

Et je manque de tomber en arrière.

— Tu vois belle Carolineça texcite. Mais ferme-là ! Sinon tu vas ameuter tes collègues ! Accroches-toi à mon cou, écarte tes cuisses et je vais te donner du plaisir.

-Tu me feras peut-être jouir ! Mais sûrement pas par plaisir !

Ses mains recommencent à me tripoter et quand ses quatre doigts pénètre dans ma chatte, je fléchis des genoux pour être encore plus en contact avec ses doigts et son pouce sur mon clito.

— OOOOHHHHHHH.. NOOONNNN !

Ce nest pas par plaisir que je le laisse faire, mais ma chatte aime ça ! Elle doit vraiment aimer car mon cul ondule sur sa main pour mieux en profiter, et je maccroche même à ses épaules pour lui faciliter la tâche et quil me branle sans ménagement.

Ce petit con va finir par libérer la salope qui est en moi. Je ne sais plus si je dois jouir rapidement pour en finir, ou au contraire que ça dure, car les premiers symptômes du plaisir commencent à poindre dans mon bas ventre. J’ai beau serrer les dents, le traiter mentalement de dégénéré, de putain de salaud, de connard et autres mots insultants, je sens que mon corps va me trahir.

Mais cest lui qui va décider de mon sort. Il lâche mes fesses et mon trou du cul pour prendre un mini vibro quil vient de sortir de sa poche et il le place sur mon clito !

— AAAAHHhhhhhhhhnooonnnnPas çaaaaa !

Ma respiration devient haletante et je magrippe à son cou pour ne pas mécrouler sur lui. Quand le pouce de sa main gauche entre dans ma chatte et son majeur dans mon trou du cul, je gémis de nouveau en appuyant ma tête sur son front quand il me branle de nouveau.

— Alors ce nest pas bon ce que je te fais

— Nooonnnn Tu n’es qu’un sale con! OOOoohhhh…

— Embrasse- moi !

— Sûrement pas !

— Caro ! Embrasse-moi, sinon

Une nouvelle fois je suis contrainte de mexécuter et je lembrasse. Sa langue cherche la mienne et je réponds machinalement à son baiser car mon corps bouillonne et je sens que je ne vais pas tarder à avoir un orgasme. Je resserre mes jambes par pure réflexe, mais il me les écarte avec les siennes. Avec son vibro il excite mon clito tout en enfonçant ses doigts le plus loin possible dans mon cul et ma chatte et je jouis !

Tout mon corps se tend et je maccroche à son cou pour me maintenir quand mon corps entre en transes incontrôlables et que ma chatte et mon cul, se crispent sur ses doigts. Sa main droite est venue derrière ma nuque pour maintenir ma bouche contre la sienne et je jouis longuement pendant quil étouffe mes cris avec sa langue qui fouille ma bouche.

Je mouille tellement que je sens ma cyprine couler sur ses doigts et le long de mes cuisses !

Il retire enfin ses doigts et je mécroule sur lui, à califourchon, essayant de reprendre ma respiration.

— Alors Carocest bon de jouiret de se laisser aller

— Salaud ! Pervers ! Tes vraiment dégueulasse de me faire ça !

— Mais non Juste un peu pervers peut-être, mais tu adores ça ! Tu mouilles comme une chienne en chaleur ! Regarde !

Il me tend son doigt plein de cyprine, suce son doigt et il me le pose sur mes lèvres.

— Huuummm, délicieux ! Tiens suce ton jus, Caro ! Tu dois aussi sûrement aimer ça. Et nettoies le bien !

Et il enfonce son doigt dans ma bouche. Je le suce et je suis surprise de trouver ça agréable. Je tourne même ma langue autour de son doigt.

— Ooohhh mais tu suces bien ma cochonne ! Tes lèvres rouge autour de mon doigt son magnifiques. Tu sens ma bite sous ton cul Elle est bien dure et il va falloir que tu toccupes un peu delle.

Il me repousse de ses genoux, sécarte du bureau, sort sa grosse bite effectivement en pleine érection et me dit.

— Mets-toi sous le bureau. Jai toujours fantasmé quune secrétaire me taille une pipe en étant sous le bureau, entre mes jambes.

Je continue, contrainte et forcée, de lui obéir et je me retrouve entre ses cuisses avec son sexe devant ma bouche.

Je prends la base de sa queue dune main et je crache ma salive dessus pour bien la graisser, puis j’essaye d’en avaler le plus possible avant de monter et descendre ma bouche en même temps que ma main en dessous.

— OH OUIIIIICOMME CAContinue ma belle Caroline, fais-moi voir ton coté salope

Malgré mes longs doigts, jai du mal à faire le tour de sa queue.

Je commence à pomper son sexe pour quil jouisse rapidement et quon en finisse. Il grogne quand il sent ma langue courir en cercles sur la couronne de son gland et je le suce le plus loin que je peux.

Quand sa bite commence à avoir des fuites de liquide clair je sens mon corps de nouveau réagir et je me surprends à lécher avidement le liquide salé qui sort de la fente de son gland. Je passe mon autre main sous ses couilles et je commence à jouer avec.

Mais jentends la porte du bureau souvrir et une voix qui dit.

— Caroline nest pas là ?

Cest ma collègue Sandrine qui vient dentrer ! Serge ne se démonte pas et répond.

— Non, elle avait quelque chose durgent à faire. Mais ça ne devrait pas lui prendre beaucoup de temps. Revenez dans un quart dheure.

Je reste figée jusqu’à ce que jentende la porte se refermer et Serge me dire.

– Continue putain ! Montre-moi ton talent de pipeuse ! Si quelqu’un revient ne tarrête pas ! Cest encore plus excitant !

Pour le faire jouir plus vite je lui dis.

– Je vois bien que ça texcite ! Avec des couilles pareilles tu dois avoir des litres de sperme en réserve

— T’as raison, ma petite pute ! Et surtout nen perd pas une goutte !

Je le branle rapidement en gardant son gland dans ma bouche et je ne tarde pas à sentir sa bite tressauter et se mettre à cracher comme un volcan des giclées de sperme ! Je ne pouvais imaginer que des jets de sperme aussi puissants puissent sortir d’une bite ! Je ne bouge plus mais il m’ordonne de continuer à le branler, ce que je fais évidemment, et presque avec convoitise, car je garde entre mes lèvres son gland et ma langue tourne autour pour mieux sentir son éjaculation.

Je commence à avaler les giclées chaudes et épaisses de son foutre qui frappe ma gorge et comme dhabitude, dans ce moment-là, je joue avec mon clito palpitant, et j’avale ses interminables salves de foutre épais. En avalant chaque jet de sperme expulsé par son gland, ça déclenche en moi, dans ma chatte encore en feu, un nouvel orgasme qui me fait grogner avec lui. Je suis vraiment irrécupérableune salope !

En ressortant du dessous du bureau, il me regarde avec son sourire grivois et me dit.

— Tes une bonne suceuse Je vais avoir du mal à me passer de tes services. Dailleurs, à ce sujet, tu me rejoindras à 10H30 dans la salle des archives. Et sois à l’heure… sinon

A 10h30 pile, je ne suis pas descendue aux archives mais je reçois un mail sur mon ordi.

Jouvre et avec stupeur je vois une photo de moi, nue, les seins à lair, à plat ventre sur un bureau en train de me faire baiser par derrière par un homme sans visage. Le tout accompagné dun texte.

« On voit bien quelle aime ça, cette Caroline ! Tu es en retard ! Descend dans le bureau des archives au sous-sol. Tu as 5 mn sinon je diffuse sur les autres ordis dautres photos extraites dune vidéo très explicite sur tes talents cachés. »

Quel salaud ce connard de neveu ! Et un maître chanteur à 18 ans !

Je nai pas dautre choix que dobéir et je file prendre lascenseur pour descendre au sous-sol.

En entrant dans la pièce qui sert à gérer les archives, Serge est assis sur le bord du bureau, lair goguenard et me dit.

— Cest bien madame Delatour, vous êtes une bonne employée obéissante. Fermez la porte à clé.

Je me retourne pour fermer la porte et japerçois dans un coin le gardien qui me regarde avec des yeux tous ronds et excités !

— Ah ! NON ! Serge à quoi tu joues !

Je mapprête à déverrouiller la porte pour méchapper mais Serge crie.

— Attrapez-là Paul ! Je vais vous présenter Madame Delatour. Pas la Bourgeoise dédaigneuse, lautre Caroline, celle que je préfère.

Le gardien saute sur moi et me tire dans la pièce.

— Tenez là bien ! Je vais vous montrer les charmes de mon Maître de stage et comment je lai dressée.

Et serge va fermer la porte avant de me dire :

— En arrivant, Paul (le gardien) ma dit que javais de la chance de travailler avec toi car ce matin, quand il ta vu passer devant lui en jupe au ras des fesses il taurait bien fait sauter sur ses genoux.

— Devine ce que je lui ai répondu.

— Va te faire foutre ! Salaud !

— Je lui ai dit, Mais je peux arranger çaPaul. Venez à 10h30 dans la salle des archives. Et ce nest pas moi qui vais me faire foutre.

— Paul, Tiens la bien ! Attache-lui les poignets !

— Paulnon Pas vous ! Je vous en prie, ne lécoutez pas !

Mais le gardien ne mécoute pas et je ne me défends que faiblement quand après un bref moment dhésitation, il attache mes poignets avec une cordelette.

— Déshabille-la Paul. Je toffre la plus belle bourgeoise de la société qui adore se faire tripoter pendant le boulot.

Paul soulève mon teeshirt en disant.

— Les bras en lair.

Il soulève mon haut sur mes bras en sifflant quand il aperçoit ma poitrine. Mon soutien-gorge est tiré sous mes seins quil attrape pour les palper avec ses mains.

— Ooohhh, Quels seins ! Une merveille Madame Delatour !

Serge ajoute.

— Et tu nas encore rien vu ! Quand tu vas voir son cul, tu vas bander comme un taureau !

Paul lâche mes seins et soulève ma jupe ridicule pour la retirer par le haut mais sarrête à ma taille en disant.

— Merde ! Elle a un collant !

— Oui, Paul. Elle adore les collants cette pute. Mais reconnaît que ça lui va vraiment bien. Tourne-toi Carolinefais voir à Paulo tes belles gambettes gainées et ton joli cul

Je me tourne et le gardien émet un sifflement prolongé.

-Ah, la vache ! Quelles fesses elle a ! On ne voit même pas la marque du slip !

— Mais Paulelle nen porte pas !

Paul passe ses mains sur mes fesses, mes hanches, le bas de mon ventre, revient derrière, passe entre mes cuisses et sexclame.

— Ouais ! Cest vrai ! Huuummmm. Voyons ça de plus près !

— Arrêtez Paul ! Ça suffit ! Arrêtez ou je vais vous faire renvoyer par Monsieur Vallorbe !

Serge ricane et dit.

— Arrête ton cinéma Caroline ! Tu nen feras rien car tu sais ce que je peux faire ! De plus tu aimes te faire baiser ! Ne lécoute pas Paul, mon oncle la baise aussi et crois-moi elle aime ma grosse bite !

— Je la vomis ta bite ! Ce nest pas parce quelle est grosse quelle peut faire jouir une femme. Tu me dégoûtes !

— Moi, peut-être ! Mais pas ma bite ! Amène-moi la, Paul.

Paul me pousse vers lui pendant que Serge baisse son pantalon et son slip pour me présenter sa fameuse grosse bite.

— Suce ma belle !

-NOOONNNN !

-Paul, claque lui les fesses !

Paul lui obéit et il me balance une belle claque sur mes fesses pendant que Serge attrape ma tête pour la tirer au-dessus de sa bite dressée.

— Suce ! Fais ça bien, sinon tu vas le regretter !

Et forçant ma bouche il senfonce dedans en gueulant.

— Aaaahhh, putain ! Cest bon !

Derrière moi, Paul narrête pas de me tripoter par-dessus mon collant en insistant sur ma chatte et sur mon trou du cul. Ses doigts plongent entre la raie de mes fesses pour les écarter.

— Whaouuuu ! Elle mouille drôlement !

Cest plus fort que moi ! Ces deux salopards mexcitent et mon corps réagit !

— Alors quest-ce que tu attends pour la baiser !

— Heuuu, je peux

— Tout ce que tu veux ! Elle adore ça ! Baise-lui la chatte ou le cul. Elle jouit des deux côtés ! Vas-y défonce-la bien.

La bouche pleine, je ne peux rien dire car Serge me maintient la tête et me baise la bouche à men faire mal tellement sa bite est grosse.

Paul tire sur mon collant pour le faire descendre sur mes cuisses. Je sens son sexe qui sintroduit entre mes cuisses et Serge me dit.

— Sois coopérative Caro ! Guide-le ! Prends sa bite et fourre là où tu veux !

Avec mes deux mains liées, je prends la bite de Paul pour la positionner entre les lèvres de ma chatte plutôt sur mon anus. Paul sentant ma chatte humide souvrir sur la poussée de son gland, lenfonce dun seul coup jusquau bout !

— AAAAAHHHHHHHHH, SALAUD !

Sous cette sauvage agression jai tellement sursauté que la bite de Serge est sortie de ma bouche !

-Ferme-là ! Bon dieu ! Tu vas ameuter les environs ! Paul passe-moi son collant !

Paul se retire de ma chatte et môte mon collant pour le passer à Serge qui, après avoir fait un gros nud au milieu, le fourre dans ma bouche et me bâillonne.

— Assieds-toi sur la chaise, Paul.

Puis Serge me pousse vers lui en lui présentant mon cul.

— Prend-la par le cul ! Moi je moccupe de sa chatte ! Caro, prends-moi par le cou !

Matée et obéissante, je passe mes mains attachées derrière sa tête. Il me soulève en me prenant par le dessous des cuisses pour me mettre au-dessus de la bite de Paul.

— Tu y es Paul ?

Paul cherche mon trou du cul en la guidant de sa main.

— Jy suis ! Descends-la !

Je sens le gland évaser mon anus et passer la barrière de mon sphincter sans grosse difficulté.

— Ouais ! Mon gland est passé ! Sans problème ! Crie Paul.

Et ce con de Serge me lâche !

Je gueule, mais, sous mon bâillon, mes cris son étouffés. Je me retrouve empalée sur la queue du gardien de notre société ! Ça me brûle et il faut au moins 2 minutes avant que cette brûlure disparaisse pour faire place à cette sensation que maintenant je connais. Être remplie par une queue qui excite mes terminaisons nerveuses anales.

— Alors, Paulil est bon son petit cul ?

— Nom de dieu ! Oui ! Jaurais jamais pensé me la faire cette bourge !

— Ok ! Prends ses cuisses par en dessous et soulève les bien ! Oui, comme ça ! Écarte les plus ! Ne bouge plus !

Je vois Serge prendre son Smartphone pour prendre mon cul empalé sur une bite.

— Ça te fera un souvenir Paul.

La photo prise il me la montre.

— Regarde, Caro, superbenon

Je me vois les cuisses en lair, grandes ouvertes, sur les genoux dun homme caché derrière moi, avec une bite enfoncée dans le cul et horreurma chatte entrebâillée qui laisse couler ma cyprine ! Mon corps ressens du plaisir dans cette situation insensée ou deux hommes me forcent pour satisfaire leurs désirs pervers.

— Tu vois bien que tu es une chienne lubrique ! Une salope de bourge mal baisée qui veut de la belle queue ! Une grosse queue comme la mienne.

Il baisse mon bâillon sur mon menton et ajoute.

— Dis-moi que tu la veux ma queue !

— Sale petit con ! Ce nest pas parce que tu as une grosse queue que tu sais ten servir !

Jaurais mieux fait de la fermer ! Car il grogne et me fiche une gifle.

— Connasse ! Tu vas voir si je ne sais pas men servir ! Paulo, mets-toi debout avec ta bite dans son cul.

Le gardien se lève en me tenant toujours dans la même position, bite dans le cul et cuisses repliées sur moi.

Serge savance vers nous, me remet le bâillon entre les lèvres et prends mes poignets attachés pour les mettre derrière sa tête. Sa grosse bite en main, il frotte son gland sur ma chatte, de haut en bas, jusqu’à toucher la bite qui est profondément enfoncée dans mon cul.

Un court instant, jai peur quil ne veuille la mettre aussi dans mon cul avec celle de Paul. Mais il remonte un peu.

— Accroche-toi bien Caroline ! Tu vas la sentir passer !

Il me pénètre sauvagement, en repoussant les parois de mon vagin heureusement détrempées, pour enfiler toute sa putain de grosse queue en moi.

Je hurle derrière mon bâillon qui heureusement étouffe mes cris et, plantée comme une esclave soumise, jessaye de reprendre ma respiration.

Jessaye de me soulever en me tirant sur sa nuque mais je manque de force et Serge me maintient bien avec ses mains sur mes hanches. Elles glissent sous mon cul et il dit.

— Prends-lui ses seins, Paulo. Amuse-toi avec pendant quon la baise cette Catin. Vas-y ! Tu vas voir on va la faire gueuler de plaisir !

Les mains de Paul passent entre Serge et moi pour venir emprisonner mes seins. Ses doigts enserrent mes tétons tous durs, augmentant encore mon excitation générée par cette double pénétration.

Les deux salopards commencent à aller venir dans mes trous à bite complétements défoncés. Au début je ne sens que leurs queues frotter sur mes chairs vaginales et anales. Mais plus ils me baisent plus mon corps séchauffe et est excité par ce frottement ininterrompu.

Je finis par gémir de plaisir sous mon bâillon et Serge devine que, malgré laversion que jai envers lui et sa maudite queue, je commence à prendre du plaisir avec leurs deux sexes qui me baisent. Il rabaisse mon bâillon et me dit dans mon oreille en senfonçant bien à fond.

— Elle est bonne ma grosse queue, hein Caro !

-HHHaannnnnn

— Dis-moi quelle est bonne ma queue !

— NNNOOONNNN !

— Salope ! Dis-le ou je te la fourre dans ton petit cul ! Et crois-moi tu vas la sentir passer !

— NOOONNNNN ! Pas dans mon cul !

— Alors… Dis-moi que tu la veux dans ta chatte !

— OUIIIIIdans ma chatte.

— Mieux que ça !

Mon dieu ! Tout mon corps frissonne et ma chatte arrive même à se contracter sur sa queue monstrueuse et mon trou du cul se crispe sur la bite qui le défonce ! Il a raison je suis une salope qui adore ce quil moblige à faire

— Baise- moi Serge ! Baise ma chatte avec ta grosse queue ! Remplis-moi bien !

— Tu as envie de jouirCaro

— NOOONNNN !

Il me soulève et me laisse retomber sur sa bite

— OOOOOHHHHHH…OUIIIIIIIII FAIS-MOI JOUIR !

— Bien ! Tu vas téclater salope !

Et ils me reprennent en harmonisant leurs mouvements. Quand lun senfonce, lautre se retire J halète de plus en plus rapidement car je sens les prémices dun orgasme qui ne va pas tarder à éclater.

— Aaahhhaaah, AAAaahhhh, AAaaahhhhh

Le gardien me pince les tétons et Serge me mord dans le cou et jexplose !

— AAAAAAAHHHHHHHHHHHOUIIIIIIIIIIII ! ENCOOOORE ! ENCOOOOORE ! PLUS FORT ! OUIIIIIIIIIIIII.

Je narrête pas de jouir sous leurs coups de queue de plus en plus violents ! Une vague de jouissance balaye mon corps. Cest une mise à mort dune salope de bourgeoise qui gueule de plaisir malgré elle et qui en redemande.

— OUIIII ! OUIIIIIIIII CONTINUEZ de me baiser ! Vous êtes des Salauds ! Mais putain que cest bon ! OOOOHHHHHHH. OUIIIIIIIIII ! ENCOOORE !

Et quand tous les deux, ils grognent en éjaculant ensemble leur foutre de salaud dans ma chatte et mon cul en feu, je pousse un dernier cri et je perds la notion du temps pendant quils finissent de vider leurs couilles dans mes parties intimes.

Quand je reprends conscience, je suis allongée sur le bureau, jambes pendantes et Serge me met quelque chose dans ma chatte.

— Rhabille- toi, salope et garde bien dans ta chatte mon petit cadeau. Ne tavise surtout pas de le retirer ! Sinon je ten mets un deuxième dans le cul !

Avec le peu de force quil me reste, je remets mes vêtements et il remonte avec moi dans mon bureau.

Phantome.

Sacrée Caroline! Fantasme ou réalité?

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