Bonjour,
Je m’appelle Samuel, 36 ans, marié et sans enfants. Je viens de découvrir ce site qui m’a remis en mémoire un (trop bref) épisode de ma jeunesse.
Nous vivions, mes parents, ma sur ainée Stéphanie et ma petite sur Delphine et moi dans un pavillon en banlieue parisienne.
Je venais d’arriver en seconde, Steph était en terminale et Delphine en 4ème. Nos parents étaient d’une régularité de métronome avec un enfant tous les 2 ans. Nous étions un mercredi après-midi vers la mi juin. Je sais plus le jour exact mais Stéphanie était en révision de BAC. Je glandais pour ma part, comme d’habitude sur ma console dans le salon tandis que les filles étaient à l’étage.
Après m’être battu en vain pour vaincre le boss de fin de niveau, je capitulai et éteignis la télé. Je pensai aller faire un tour à la piscine municipale histoire de se rafraîchir un peu. Je montai alors les marches 4 à 4 comme d’habitude et entrais dans la chambre de Steph comme d’habitude. Elle était assise devant son bureau mais avec la chaise tournée vers le lit où se trouvait Delphine. Cette dernière ma parue bien rouge et était occupée à mettre son teeshirt dans son short. Supposant qu’elle aussi avait chaud je lançais :
"Vu que tu as chaud toi aussi, vous voulez venir avec moi à la piscine ? On a le temps avant que les parents rentrent".
Stéphanie commença à pouffer et Delphine, rougissant encore plus l’imita d’un air complice.
"J’ai raté un épisode ou quoi ?, y’a quoi de drôle ?"
"Rien, rien répondit Delphine en finissant de glousser.
Je me jetai sur elle, et comme d’habitude entrepris de la chatouiller sous les aisselles et sous les pieds pour la faire avouer.
"Allez, dis !!!"
— Nan, nannnnn y’a rien…
-Tu vas avouer ??? Nous avons les moyens de vous faire parler !!" Ajoutai-je d’une grosse voix se voulant reprendre un accent allemand.
— Arrête…. Je vais faire pipi dans mon short parvint à dire Delphine entre deux rires."
Je continuai ma séance de torture, quand Stéphanie m’arrêta.
"Laisse là, c’est…. heu… juste que c’était pas la chaleur…."
Surpris, mais sans lâcher ma proie, je l’interrogeais du regard.
"C’était quoi alors ?
-Un truc de fille répondit Stéphanie.
Habitué à ces réponses qui n’avaient pour but que de m’expédier, j’insistai.
— C’était quoi ??????
— pffff, je lui dis ? " demanda Steph à Delphine ?
— Nannnnnnnnnnnnnnn répondit-elle alors que je reprenais mes chatouilles de plus belle
— Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii rajoutais-je derrière.
"Pfff t’es nul me lança Stéphanie, si tu veux tout savoir, notre petite Dedel nationale se demande si elle na pas des seins trop petits par rapport à son âge et si ça peut suffire pour plaire aux garçons…."
"Ah….." ne trouvais-je qu’à répondre, conscient qu’en effet je naurais pas dû insister, "Et t’as répondu quoi ?" relançai-je, histoire ne de pas laisser un silence pesant s’installer.
Delphine virait franchement en rouge et regardait ses pieds.
— Et bien si tu veux tout savoir, je lui ai dit qu’ils étaient très bien comme ça, et qu’à son âge les miens étaient moins gros, et que voila…"
— "Et ils sont toujours pas beaucoup plus gros maintenant" contrai-je histoire de pas rester le perdant de cette joute verbale.
— Tu vas voir toi !!!" cria Steph en rigolant et se jetant sur moi, "Aide-moi Del !"
N’étant pas particulièrement sportif et ne voulant pas leur faire mal en me débattant trop fort, je me laissais mollement faire jusqu’à me trouver cloué sur son lit, Delphine pesant de tout son poids sur mes poignets. Stéphanie se retrouva assise sur mon ventre en s’asseyant par saccade comme si elle était sur un cheval.
"Alors, ils sont pas gros, mes seins ?" dit-elle en les soupesant par le dessous pour les gonfler.
Stéphanie devait à l’époque faire un 90 B je pense de mémoire, mais c’était avant ses 2 grossesses qui m’ont donné 2 nièces.
"Mouais, boaf, à peine plus que Delphine…"
Cette dernière, tout en appuyant ses mes poignets, s’était étirée et le bas de son tee-shirt, sorti de sa ceinture, flottait librement au-dessus de mes yeux…
"Mais ça a poussé quand même un peu" ajoutais je en lorgnant ostensiblement sous le tee-shirt de ma jeune sur.
"Stéphanie !!!! hurla-t-elle, outrée de ma moquerie".
-Oh toi, tu vas le payer, tu crois ptet que ça a poussé là ? dit-elle en plaquant mon short contre mon pubis en le prenant au niveau des hanches pour l’écraser sur le lit ?
Profitant du fait qu’elle se penche en arrière, je lançais mon bassin en l’air, comme j’avais vu faire au catch pour se libérer d’un prise, ce qui a eu pour effet de la faire basculer en avant sur les genoux, écrasant cette fois, ses seins sur mon visage, et percutant Delphine qui se retrouva, contrainte de me libérer en tombant en arrière.
Je profitais de cette liberté retrouvée pour ceinturer Stéphanie au niveau des reins, l’empêchant ainsi de se redresser complètement. Elle repoussa néanmoins sur ses bras, étendant ainsi son tee-shirt toujours coincé entre nos deux corps, et faisant apparaître, la dentelle de son soutif à travers le col en V.
"- Ah, mais fallait dire que tu voulais les montrer" rajoutai-je, je t’aurai libérée.
-Ptit con, tu verras une paire de seins, le jour où tu n’auras plus honte de montrer ton asticot…"
Pris au vif, je répliquais :
"Mais quand tu veux, ma grande"
-Même pas cap !!!
Toujours prompt à relever tous les défis les plus cons (et je nai pas changé), je la lâchais aussi sec : Ok !
— Ben vas-y !!!!
Delphine restait sagement à l’écart, de la discussion mais était très attentive à la suite.
Un peu moins sûr de moi tout d’un coup, je me retournais, baissais le devant de mon short face au mur et le remontais avant de me retourner vers elle.
"Ah nan, ça compte pas, on a rien vu, hein Del ?"
Delphine rougissait mais ne pipait mot.
"Pfff…" vu tout ce que je trouvais à redire. Je restai cette fois bien face à elle et refis la même opération.
-Ah non, on a rien vu, et le caleçon ?
Pour la troisième fois, j’obtempérais embarquant cette fois le caleçon, baissant le tout moins d’une 1/2 seconde avec de ranger le matériel.
-T’as vu quelque chose Del ? Moi j’ai toujours rien vu, c’est tellement petit, qu’il faut du temps pour la trouver.
Cette fois, je saisis short et caleçon sur les côtés et baissait le tout jusqu’au-dessus des genoux.
-Là, voilà, t’es contente ?
-Tu vois Del, qu’est ce que je te disais, c’est tout petit….
Tout rouge, je me justifiai : "Ah mais là c’est au repos… si je pense à une jolie fille, ça augmente de volume…"
— mouais…. répondit Stéphanie pas convaincue…
Gardant toujours le caleçon, aux genoux, je rajoutais.
"Ya aussi des nichons, qui la font grossir, et ça tombe bien car j’en connais une qui doit me les montrer…."
— Il ne perd pas le nord lui…
-Tu t’y es engagée, alors fais-le…
-Delphine, enlève ton tee-shirt !
Un double "ha ???" suivi de près de mon "hey !!!" marquèrent notre désapprobation.
-Si, si Delphine, enlève ton tee-shirt.
Toute rouge, Delphine obtempéra en maugréant que ce nétait pas juste, qu’elle avait rien promis elle.
Vus de face, les seins de ma jeune sur étaient plutôt mignons, bien formés, une petite aréole brun clair pointait doucement.
— Mouais, je dois avouer, que c’est pas mal, mais c’est toi qui dois les montrer Steph, tu as promis !!!
-Ah nan, je t’ai dit que tu verrais des seins, t’en vois !
-C’est de l’arnaque, ils sont tout petits !
Delphine se jeta alors sur moi et faillit me renverser, handicapé que j’étais avec mon short au niveau des genoux. Je l’immobilisai en la faisant pivoter sur elle-même et elle se retrouva dos à moi, avec les mains croisées au niveau de la poitrine, bloquée par mes mains qui se retrouvèrent alors au contact de son sein gauche…
-Ah ben tu vois, mieux que de voir, tu peux même toucher railla Stéphanie….
— Tu parles, usant de ma taille et de ma force sur Delphine, je descendis ses deux poignets avec ma seule main droite et reposais directement ma main gauche sur son sein droit. Tu crois que ça compense ? Ça tient dans la main…. Allez zou ! Benne le tee-shirt…
Delphine arrêta de se débattre pour regarder Stéphanie qui passait enfin son tee-shirt par-dessus la tête.
-Et le soutif !!!
— Si je l’enlève, tu vas faire une attaque dit-elle en pointant du menton, mon sexe qui commençait à prendre de l’ampleur.
— Le soutif, j’ai dit !!! Allez !!!
— Oui, rembraya Delphine, c’est pas juste que je sois la seule à poil.
Stéphanie commença à dégrafer son soutif tout en maintenant l’ensemble devant les seins.
-Hey, t’es pas à poil, répliquai-je à Delphine. A poil c’est ça, et d’un geste brusque, je lâchais son sein pour attraper son short à l’arrière et le tirai d’un coup sec vers le bas. Le tissu résista un peu mais finit par descendre un peu dévoilant à Steph qui la regardait médusée, son absence de culotte.
Elle lâcha néanmoins son soutif, focalisée sur sa jeune sur :
— Ben alors, Del, on se ballade sans culotte ?
-Mais heu…. J’avais un short, et plus de culotte dans mes étagères, du coup ce matin j’ai mis directement le short et j’ai oublié d’en remonter quand j’ai pris le petit déjeuner, et après j’ai oublié….
J’avais toujours la main sur son short, me baissant le plus possible sans lui lâcher les bras, me trouvant ainsi la peau des bras contre ses fesses. Mon sexe prit encore un peu de volume et continua quand en remontant, mes yeux se fixèrent sur les seins de Steph…
— Ah ben voila, on arrive enfin à le faire grossir un peu….
Déconcentré, je lâchais un peu mon étreinte sur Del qui en profita pour se dégager brutalement en tentant de sauter sur le lit.
Je la rattrapais in extremis par le short mais elle poursuivit sa fuite, donnant des grands mouvements de jambes et finalement je ne gardais dans la main plus que son short, sans aucune Delphine dedans.
— Vengeance cria-t-elle en se rejetant sur moi.
Déséquilibré, je tombai à mon tour sur le lit, Stéphanie attrapa mon short et me l’enleva complètement.
— Et maintenant le tee-shirt !
On était face à face sur le lit, elle seins nus et moi en tee-shirt comme seul vêtement.
Delphine passa derrière moi et s’agrippa à mon cou, collant son corps du contre mon dos. Stéphanie plongea pour me plaquer au niveau des cuisses et arriva à me faire basculer en position couchée. Elle gardait les bras entourant mes cuisses et quand elle releva la tête, elle constata comme nous tous, que son visage se retrouvait plus qu’à quelques centimètres de mon sexe qui palpitait tout seul, par lexcitation de la situation.
— Allez, un bisou et au lit dit-elle soudain comme à un petit enfant. Elle avança la tête et déposa un petit bisou sur ma hampe maintenant gonflée à bloc. Elle tira alors fortement sur mes jambes pour me faire descendre vers le bout du lit, entrainant Del, qui bascula sur moi depuis sa position initiale. Je me retrouvais avec l’entrejambe de Del sur les yeux et elle même le visage près de mon sexe, comme pour un 69 qu’on aurait mal calé.
— Un bisou et au lit on a dit rajoutai je en posant un bisou entre le nombril et le pubis de Del en rigolant à moitié.
Delphine restait immobile à quelques centimètres de ma verge, ne sachant pas quoi faire.
-Bon ben… commença-t-elle… Un bisou et …. Elle glissa alors le long de mon corps pour poser à son tour un bisou sur mon sexe déclenchant un gros frisson chez elle. Se faisait, elle avait naturellement porté son pubis à hauteur de ma bouche et je me retrouvais avec son fin duvet brun, me chatouillant le menton.
— Un bisou, rajoutai-je à mon tour et je collais un smack bien appuyé sur ses lèvres qui fermaient encore l’entrée de son vagin.
Et de là ce fut un concours de bisous, elle en refaisait un, je m’y remettais, etc…. pour finir par rester collés l’un comme l’autre au sexe de l’autre. Je glissais alors timidement ma langue entre ses lèvres pour y chercher le clitoris que je titillais du bout de la langue.
De l’autre côté, Stéphanie s’était à son tour rapprochée, impressionnée par cette dérive sexuelle.
-Nan Del, il faut y aller plus doucement, et le prendre dans la bouche, comme ça….
Et là, je sus que la bouche qui venait de m’accueillir était celle de Steph. Elle augmentait le rythme et la profondeur, ralentissait par moment…
— A moi! dit Delphine au moment où je sentais que la jouissance était proche. Elle prit à son tour mon sexe dans sa bouche, mais plutôt comme un esquimau… Mon excitation retomba un peu mais les conseils de Stéphanie reprirent. "Là, plus lentement, va plus profond, caresse aussi avec la langue, avec ta main, caresse aussi les boules, les garçons adorent ça.
Le sexe de Delphine que je continuai de lécher inlassablement, pénétrant par moment ma langue le plus profondément possible dans son vagin, était maintenant dégoulinant. J’en avais plein le menton, mais c’était du pur nectar… Je la sentis se raidir un peu, resserrer les cuisses sur mes oreilles à plusieurs reprises signe de sa jouissance qu’elle avait essayée de tenir la plus discrète possible, comme si c’était mal. Elle relâcha mon sexe que Stéphanie reprit immédiatement en bouche. En quelques allers retours, je senti léjaculation arriver et après une faible "Je vais venir…", je me répandis dans la bouche de Stéphanie qui continuait à pomper de plus en plus fort jusqu’à en devenir douloureux pour moi.
Je me tortillais un peu, signe que je voulais mettre fin à ce supplice, claqua un dernier bisou sur le sexe de Delphine :
"On navait pas dit un bisou et au lit ??? En fait ça sera plutôt à la douche…".
Je me rassis sur le côté du lit, remettant le plus vite possible mon caleçon et short. Stéphanie remit elle aussi son soutif silencieusement. Seule Delphine restait nue et volubile :
"Trop fort !!! Faudra remettre ça hein ? C’était la première fois que je faisais ça"
— Je ne suis pas sûre Del, répondit Steph d’un ton pensif.
— Ca ne se fait pas, renchérissais je. On s’est bien amusé, mais ça reste une bêtise. Donc faut pas le dire, à personne, c’est bien compris ? Et surtout pas aux parents…
— D’un hochement de tête, Stéphanie confirma mes propos.
— Allez zou, file à la douche Del !!
— Alors tu vois que j’étais Cap, dis-je à Stéphanie en sortant de sa chambre.
— Ouais, j’ai vu, mais je ne me suis pas dégonflée non plus…
Il ne s’est plus jamais rien passé de sexuel entre nous après ça. Delphine est restée très proche de Stéphanie, lui confiant ses petits secrets et sa première relation avec une copine au lycée avant de finir par s’amouracher d’un gars en fac de droit.
Stéphanie s’est mariée, a eu deux enfants et à priori semble heureuse en couple. Et moi, je me suis marié voila 3 ans. Delphine a pris le micro lors du banquet de noce et a conclu sa prose par "un bisou et au lit…". J’ai croisé le regard de Steph et on s’est souri.
