A peine ma salope d’épouse a t’elle lâché la queue de Michel qu’elle pivote sur ses genoux pour venir se placer entre mes jambes.
-Donne-moi ta queue, me fait-elle, haletante. J’ai encore envie de bite!
Je fais sauter le bouton de mon jean puis Hélène s’empresse d’achever la tâche et de sortir ma pine gonflée à bloc. Tout cela m’a sérieusement excité. Ma femme commence alors par lécher mon gourdin de haut en bas tout en la reniflant bruyamment. Je regarde Michel qui observe la scène, sa queue redevenue molle toujours à l’air. Il a les yeux dans le vague et semble incrédule, reprenant son souffle.
-T’aime ça la queue hein ma chérie, lui dis-je, faisant un clin d’oeil à Michel.
-Ouais…Ouais j’aime ça! J’adoooore ça même…Bordel, ça fait si longtemps que j’ai pas été excitée à ce point!
Ces paroles prononcées elle entreprend de pomper mon gland du bout des lèvres, me regardant droit dans les yeux. Soudain, le téléphone d’Hélène sonne. Je m’en saisis. C’est un SMS de Mohamed."Peux pas venir ce soir, suis en week-end dans ma famille! Amusez vous bien, dis à ta femme qu’elle perd rien pour attendre!".
J’annonce la mauvaise nouvelle à Hélène. Elle arrête de me sucer un instant, gardant cependant toujours ma tige dans sa pogne.
-Merde, soupire t’elle, déçue… Il me baise si bien! En plus ce soir j’ai une de ses soifs de bite!
-T’as envie d’être vilaine?
-Ouais…
-Très vilaine?
-Carrément!
-L’idéal, pour Hélène, fais-je alors à Michel, c’est d’avoir trois queues sous la main.N’est-ce pas ma chérie?
-C’est clair, me répond-elle tout en se retournant pour sourire à Michel… Même plus…
Michel ne dit toujours pas un mot. Je comprends que tant de révélations sur des amis de longue date le scotchent un peu. Soudain, la sonnerie du téléphone se fait à nouveau entendre. C’est l’accusé de réception du MMS que j’ai envoyé au chef de rayon d’Hélène. Elle continue à me branler machinalement et me lance un regard interrogateur. Que faire? Lui mentir? Elle le saura bien de toute façon… Et j’ai envie qu’elle le sache…Et ça m’exciterait tellement que ma femme se fasse baiser sous mes yeux par son supérieur… Un vieux fantasme macho sûrement…
-Tu me fais confiance, ma chérie?
-Euh… Oui… Enfin, pourquoi?
-Tu la veux ta troisième bite?
-Oh que oui!
-Il n’y a pas que Michel qui vient d’apprendre que t’es une pute…
-…
-Le film, je l’ai envoyé à quelqu’un d’autre…
Je la mate avec un sourire pervers. Elle cesse un instant de me masturber. Son expression est mêlée de curiosité et d’appréhension. D’excitation aussi, j’en suis sûr…
-A qui?
Je lui réponds par une question:
-Dis-moi… Ton chef, Gérard Grangeot… Tu m’avais pas dit que tu le trouvais plutôt beau mec?
Elle a un mouvement de recul, écarquille les yeux et lâche ma bite.
-QUOI?! T’as pas fait ça quand même?
-Si!
Je rigole, attendant la suite de sa réaction!
-Mais t’es vraiment trop con!
-Je croyais que tu voulais de la bite!
-Mais…Mais…
Elle est estomaquée, met quelques temps à trouver ses mots avant de continuer:
-Mais je vais passer pour quoi, moi, au taf?
-Ben… Pour une salope! C’que t’es, non? Et entre nous, t’as pas hésité trop longtemps à pomper Michel.
Là je touche un point sensible. Même s’il est vrai que j’ai quand même bien insisté, je sais que ça lui a finalement plu. Mais à cet instant je ne sais pas comment va réagir Hélène. Ca va être quitte ou double. Ou j’ai foutu la soirée par terre, ou ça va être une nuit mémorable. Je suis aux anges quand j’entends Hélène me dire:
-Et d’abord… Qu’est ce qui te dit que Gérard va être dispo? Et peut-être qu’il n’en aura pas envie!
-Aaaah? Donc finalement tu envisages qu’il puisse te baiser?
-Qu’est ce que tu veux que je te dise? Tu lui envoies un film de moi où je me comporte comme la dernière des catins! C’est un peu trop tard pour faire machine arrière, non?
Connaissant bien ma femme, je sais que cela veut dire oui, même si elle ne l’avoue qu’à demi-mot. Et j’entends bien que sa voix chevrote, non de peur, mais d’excitation. Elle transpire l’excitation. Mais cette réponse ne me plait guère. Je veux un oui franc.
-Donc, tu ne serais pas contre?
-…
-Tu veux que je propose à Gérard de venir oui ou merde? Tu sais, ce message ne lui était pas adressé… Il a sûrement cru qu’on lui avait envoyé par erreur… Ca m’étonnerait qu’il appelle! Alors que je suis sûr qu’il crève d’envie de niquer une belle salope comme toi…C’est à toi de voir…Si tu veux ta troisième bite…
Elle met deux ou trois secondes avant de me répondre:
-Vas-y… Fais-le! C’est toi qui l’auras voulu… Tu veux que je sois une chienne aux yeux de tout le monde? T’as gagné, fais le!
-T’en crèves d’envie!
-…
-J’me trompe?
-Bordel! Je crois bien que je suis née salope…Ca doit être ça… Oui… C’est sûrement mon destin de vider des couilles bien juteuses…
Puis dans un soupir elle rajoute:
-Vas-y… Appelle…
-Michel… Mon vieux, je crois qu’on va bien s’amuser ce soir!
-Vous vous emmerdez pas, quand même! répond-il en se marrant…
Il semble enfin détendu, et a compris qu’il n’ ya pas de raison de se prendre la tête…D’ailleurs il n’a pas remballé sa bite qui semble se gorger de sang à nouveau.
J’appelle Gérard, et mets le micro pour que tout le monde entende. Ma femme, sans que je le lui aie demandé, se jette à nouveau sur ma queue qui menaçait de se mettre en berne.
-Trois sonneries, puis Gérard décroche.
-Allo?
-Allo, Monsieur Grangeot.?
-Oui?
Sa voix est un peu hésitante.
-C’est le mari d’Hélène Dubois au téléphone…
-…
-Vous m’entendez?
-Oui,oui… Je vous entends…
Il est méfiant. Il ne me connait pas. Et il ne connaissait pas Hélène sous l’angle que je viens de lui faire découvrir. Je décide de ne pas tourner autour du pot, et prends volontairement un ton très amical et rassurant:
-Dites moi…Vous avez bien reçu le petit film que ma femme vous a envoyé?
Hélène, sans cesser de téter ma tige me lance un regard du genre "tu exagères", en entendant ce mensonge. A l’autre bout de la ligne Gérard Grangeot émet un petit rire nerveux:
-Oui… J’ai bien reçu le message…Mais je ne crois pas qu’il m’était destiné…
Il ne se livre pas alors que je suis sûr que ça l’a excité.Ca l’a forcément excité.
-Mais détrompez vous, rétorqué-je, comme ce "Momo" n’était pas disponible ce soir, ma femme a absolument tenu à ce que l’on vous envoie cette invitation… Voyez-vous, cette pute m’a avoué qu’elle mouillait constamment, au boulot, en imaginant que vous la baisez!
Entendant comment je l’insulte devant son patron, Hélène se met à pomper plus avidement encore. L’humiliation, décidément, est son pêcher mignon et le détonateur le plus efficace de sa libido.
-Eh bien… Je ne sais que dire… Attendez une minute, restez en ligne, me fait Grangeot.
J’entends un bruit de porte que l’on ferme, puis il reprend:
-Ce n’est pas si simple, Monsieur Dubois… Je suis Marié…
-Trouvez un prétexte…Attendez, je vous passe ma femme…Vous savez pas ce que vous perdez!
Je passe le portable à ma femme en disant bien fort:
-Eh, cochonne! Dis lui comme t’es chaude!
Hélène est maintenant surexcitée, son regard est pétillant de lubricité. Elle joue le jeu à font, brisant les dernières barrières de son amour propre. Elle prend la voix lascive que je lui connais:
-Tu sais Gérard…J’ai vraiment envie de ta queue…J’ai trois orifices… Pour seulement deux bites…Fais un effort… Franchement…Ca te dis pas de venir me sauter là…
-Ok, ma salope… C’est ce que tu veux? Ben si je m’attendais à ça!
-Cool! fait Hélène.
-Je serai là vers dix heures… Je vais trouver une excuse bidon… Mais prépare toi… Je te savais pas si salope, mais toi, t’imagines même pas comme je peux être un gros porc… Je te préviens, je vais pas faire le déplacement pour rien!
-Hmmm tu m’excites Gérard… Ne tarde pas trop!
-A tout à l’heure.
Hélène raccroche et entreprend de me sucer à nouveau. Je l’en empêche:
-Je me garde pour tout à l’heure ma p’tite pute…Vas plutôt nous nous servir.
Elle se relève, remballe ses loches dans son top. Elle se dirige vers la cuisine.
-Attends, lui fais-je. Ta culotte!
Très sensuellement, sexuellement même, elle se débarrasse de son string léopard de putain, et le jette sur la table, devant moi. Je le saisis. Il est trempé comme une éponge. Je le hume et souris avant de le jeter à Michel qui fait de même.
Le moins que l’on puisse dire, c’est ce que repas est étrange. Nous mangeons, et buvons, un peu trop certainement, comme si de rien n’était. Nous avons des conversations presque banales, rions beaucoup, pourtant la tension est palpable. Nous sommes tous impatients.
21h45. Nous venons de finir le plat principal. Je sens Hélène nerveuse.
-On passe au dessert ? nous demande-t-elle. J’ai acheté une glace.
-Ah, bon ? C’est pas toi le dessert, lui réponds-je ?
Tout le monde se marre. Puis je propose :
-On a qu’à attendre Gérard, ce sera plus sympa. Y’en aura bien pour trois. De la glace, je veux dire !
-Si tu veux , me dit Hélène.Bien. En attendant, je vais aller me refaire une beauté. Je sais pas pourquoi je me sens poisseuse.
Elle me fait un clin d’oil et disparaît, nous laissant, Michel et moi. Je nous ressers un verre de vin. Il fait bon maintenant, rien à voir avec la canicule de la journée, et un petit vent frais vient atténuer la moiteur de l’air.
-Je commence à en tenir une bonne, me dit Michel.
-Moi aussi ! Eh, tu vas assurer j’espère !
-T’inquiète. Une salope pareille, ça ferait bander un mort ! Euh.Quand même, t’es sûr que ça la dérange pas que je la traite comme ça ? Moi ça me plait mais.
Je l’interromps immédiatement :
-Mais non ! Combien de fois faudra que je te le dise. Elle aime ça ! Elle veut ça ! Et c’est une salope ! un point c’est tout ! Si tu savais toutes les saloperies qu’on fait. Et elle en veut toujours plus !
-Ah ouais ? Par exemple, me demande-t-il, curieux ?
-Il y’a tellement de choses à raconter. Entre autres, elle adore aller faire la pute.
-La pute ?
-Ouais, la pute ! Elle s’habille comme une pouf’, et je l’emmène tapiner sur un parking la nuit. Ou dans un bois. Elle se fait troncher par des inconnus, pour un euro symbolique. J’ai filmé plein de trucs. Je te montrerai. D’ailleurs, ce soir, je crois que je vais filmer aussi.
Michel est sur le cul. Il finit son verre d’un seul trait.
J’entends le bruit d’une voiture qui remonte l’allée de la maison.
-Tiens. Voilà ce cher Gérard.
On sonne. Je me lève et me dirige vers la porte pour aller ouvrir. En passant dans le hall, je gueule :
-Ma chérie ! T’es prête ?
-Encore cinq minutes !
Je jette un oeil à ma montre. Ca fait un quart d’heure que ma chérie m’a dit :"cinq minutes". Ca nous a laissé le temps de faire connaissance, avec Gérard. Effectivement, c’est un mec plutôt beau. La quarantaine, brun, cheveux courts, grand et bien bâtit. Je comprends que ce type ne laisse pas Hélène indifférent. Il a tout de suite été à l’aise, et même plutôt sûr de lui. Tant mieux, Hélène aime ça, et ça a complètement décomplexé Michel. Je les ai laissés discuter tandis que je débarrassais la table pour apporter les assiettes à dessert.
Nous sommes maintenant tous les trois attablés, sirotant un verre de vin rouge. Nous attendons. Les propos graveleux sur ma femme vont bon train. Ca me fout une trique dingue. Puis Gérard me sort, assez directif:
-Bon, qu’est-ce qu’elle fout ta cochonne? Je croyais qu’elle voulait de la bite? Elle se dégonfle ou quoi? J’ai pas raconté des couilles à ma femme pour rien j’espère…
Je lui réponds avec un sourire rassurant:
-Je vais la chercher.
Je les abandonne et me rends à l’étage. Je sais très bien ce que fait Hélène. Elle se bichonne. Dans ces moments, elle se veut parfaite. Sur le pallier je prends à gauche la porte du bureau, pour y chercher mon caméscope numérique. Puis je vais à la salle de bain. Ma femme est face au miroir, achevant de se maquiller. Je l’admire, la détaille, tandis que peaufinant son rouge à lèvres, elle me regarde du coin de l’oeil, exprimant un air libidineux.
Hélène a détaché ses cheveux. Elle porte ses grandes boucles d’oreilles en anneau. Elle a encore plus insisté sur l’eyeliner et le mascara que tout à l’heure. En plus du gloss rose, elle est en train de rajouter un fin liseré couleur prune sur le pourtour de ses lèvres. Elle a fini. Elle se retourne vers moi et me sourit. J’adore. Elle fait salope, très salope. Mais ce qui me rend fou de désir, c’est surtout la tenue qu’elle a choisie. Elle est uniquement vêtue de noir, de "vêtements" que nous avons achetés dans des sex-shops. Un bustier de vinyle très serré à la taille, qui s’arrête sous sa poitrine et laisse nus ses nibards, les soulevant et faisant pointer ses tétons. Ses seins sont déjà gros. Là, ils paraissent énormes, d’autant plus que le bustier lui donne une taille de guêpe. A la guêpière, qui s’arrête juste au ras de sa fente surmontée d’un triangle bien délimité de poils drus, et au quart supérieur de sa croupe que mon épouse a laissée nue, est intégré un porte-jarretelles, auquel sont suspendus une paire de bas noirs aux larges résilles. Elle a chaussé ses bottes de cuir très pointues et au fin talon aiguille. Et, pour parachever le tout, elle a mis un collier. Ou plutôt devrais-je dire "le" collier. Le collier de chien orné de pointes de métal. Ce dernier détail fait toute la différence. C’est un code entre nous. C’est Hélène, et uniquement elle qui décide quand elle veut le mettre. Et quand c’est le cas, cela signifie qu’elle m’appartient, totalement, et sans condition. Elle livre donc son corps à mon esprit tordu.
Je pointe le caméscope sur ma femme et commence à filmer.
-Alors, mon amour… Parle-moi un peu… Comment ça se fait que t’es accoutrée comme ça?
Elle ne parle pas tout de suite. J’en profite pour la filmer de plain pied, puis je zoome sur son visage. Elle me répond alors d’une voix assez grave qu’elle se force à contrôler:
-Eh bien… Puisque je vais me faire sauter par mon boss et ton meilleur ami… Autant mettre les petits plats dans les grands.
-Onhon… Continue ma chérie…
Elle se lèche les babines et poursuit, s’approchant de la caméra.
-J’ai trop envie là…Envie de baiser… De me faire baiser comme une chienne…
Je la laisse parler.
— Tu sais mon chéri… Si ça se trouve, à cause de toi, c’en est fini de ma réputation…Définitivement… Michel va sûrement parler… Et peut-être que Gérard va raconter à tout le monde au boulot quel genre de traînée je suis.
Elle me nargue, tourne sur elle même et se penche en avant, accoudée au lavabo. Tournant la tête vers l’objectif, elle enchaîne:
-Qu’est-ce que t’en penses? Ca te plaira que je passe pour la salope du quartier? Que tout le monde pense que t’as épousé un sac à foutre?
-Mais tu es la salope du quartier ma chérie… Et tu es un sac à foutre.
-Hmmm…Oui… C’est ce que je suis… Et tu sais quoi? Ca me plait…
Hélène me tend encore plus son cul, écarte largement les cuisses. C’est affolant comme la guêpière fait paraître son fondement encore plus plein et généreux.
-C’est ça ma cochonne… Tends-moi bien tes miches… Ton gros cul à sodo… Reste comme ça… Ne bouge plus.
Je pose la caméra sur le meuble de la salle de bain. Je vérifie le cadrage et laisse tourner l’enregistrement. Je m’approche d’Hélène. Je lui pince une fesse, assez fort. Elle sursaute. Puis je palpe sa moule, sans douceur.
-T’es trempée… Cochonne…
-Oui… Ca mérite une punition non?
En disant cela elle désigne la mallette noire qui est au pied du lavabo. Je la saisis et l’ouvre. Parmi les ustensiles qui s’y trouvent, je prends la laisse de cuir, et la cravache. J’attache la laisse au collier. J’ai envie de lui fouetter le cul, là, tout de suite. Mais ce serait égoïste. Il faut que les invités en profitent.
-Prends la mallette, ma chérie, et descendons.
Au passage je récupère d’une main le caméscope qui filme toujours. De l’autre, je tiens la cravache, et ma femme devant moi en laisse.
Quand une minute plus tard nous arrivons à la terrasse, nos invités en restent bouche bée.
A suivre.