Au supermarché, en semaine, j’accompagne mes parents. Ma mère s’attarde au rayon des sous-vêtements féminins. Elle choisit quelques culottes sexy et un soutien-gorge qu’elle montre à mon père visiblement content de ses choix. Je dois suivre ma mère jusqu’aux cabines d’essayage. Je porte au bras un jean pour tromper la vigilance de la caissière. Je me retrouve avec ma génitrice derrière la même porte à verrou. Nous sommes les seules personnes à l’essayage. Maman ôte son chemisier et sa jupe, elle ne porte rien en dessous. J’ai un début d’érection vite contrariée par la douleur de l’appareil de contention que je dois garder 24 heures sur 24, désormais. Je suis affolé par le corps splendide de cette femme qui m’a donné la vie et qui s’offre, sous toutes les coutures, si perversement à mon regard, à mes mains. Cette salope prend bien soin de se pencher en avant pour déposer ses fringues sur le banc de la cabine. Je peux voir sa croupe si accueillante, ses cambrures naturelles, le grain de sa peau mate et lisse. Elle fait, un temps durer la provocation, en écarter délibérément ses fesses à deux mains pour davantage me permettre de mater, par derrière. Je meurs d’envie de lui bouffer la chatte!
Elle se retourne et se redresse. Je dois l’aider à enfiler les culottes, l’une après l’autre. Mes doigts frôle son corps, ses hanches fines, ses jambes galbées et soyeuses….Elle prend le temps de se regarder au miroir et me demande mon avis:
_Tu crois que c’est assez sexy, assez bandant pour ton père?
-J’aime les culottes transparentes en dentelles. Elles te vont bien, maman.
Elle écarte les cuisses et insiste:
_On la voit bien, ma chatte? Et mon cul, regarde!
_oui, maman, c’est vraiment bien. Tu es vraiment très belle, tu sais.
_On ne te demande pas ton avis, petit salaud…Eh! bas les pattes! …Regarde ce que tu as fait!
Ma mère me montre l’auréole de cyprine qui macule le tissu à lentrecuisse. Je l’aide à changer de culotte et à agrafer le soutien-gorge. Je me risque à lui caresser les seins et les fesses, fou d’excitation. Elle tolère mes mains qui s’égarent et finit par me rouler une pelle en se doigtant la chatte. Elle s’est fait jouir rapidement et se rhabille, un peu calmée, en m’ignorant superbement. Elle sort rejoindre mon père. Je la vois, de loin, lui dire des choses. Elle doit sans doute lui confier son degré d’excitation. Les courses se poursuivent et, une fois le chariot plein, on se dirige vers les caisses. Mon père me saisit alors sèchement par le bras et m’entraîne vers la galerie marchande, laissant à ma mère le soin de s’occuper des provisions familiales.
Je suis maintenant enfermé avec lui dans les toilettes publiques pour hommes, agenouillé entre ses jambes. Papa a très vite baissé son pantalon et je devine une envie pressante de se soulager après ce que ma mère lui a mis en tête. Il me saisit les tempes et me tient fermement la figure à hauteur de sa grosse pine bien raide qui lubrifie abondamment et, sans même un mot, il m’entreprend sauvagement. Il me pistonne sévèrement la glotte , se servant de mon orifice buccal comme d’un vulgaire moyen de se libérer d’une trop forte et soudaine tension. J’adore ça! Ces parties de défonce buccale paternelle à la sauvette….J’ouvre grand malgré la vigoureuse séance de branlette que mon père se tape, sans ménagements pour moi. Je frôle l’étouffement, mais je tiens bon pendant cinq longues minutes d’un défonçage non-stop où, certainement pressé de juter, mon paternel finit par laisser échapper un râle sourd synonyme d’explosion imminente en bouche que je connais bien.
A suivre.
