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Dans le parking… – Chapitre 1

Dans le parking... - Chapitre 1



Je venais de commencer un nouveau travail courant juin, et je ne connaissais encore personne. Avec lété, les chaleurs, les gens shabillaient de manière légère, les femmes étaient belles et désirables. Javais repéré lune delles, jeune et jolie, elle travaillait dans le même immeuble que moi. On sétait déjà croisés plusieurs fois, salutations mais rien de plus. Et puis un matin, on se retrouva côte à côte dans le métro et fîmes le reste du trajet ensemble. La jeune femme arborait un tel décolleté que je narrêtais pas dy plonger les yeux. Une fois arrivés au travail, nous prîmes lascenseur. Je montais au 4ème, la jeune femme au 8ème. Elle surprit mon regard sur sa poitrine, alors que la porte se refermait. Elle me lança un regard glacial et me dit sur un ton légèrement agacée : « vous voulez les voir peut-être ? ». Ce qui se passa dans ma tête à ce moment-là, nul ne le sait ; mais je regardai la jeune femme et, calmement, répondis : « chiche ». Silence. La porte souvrit au 4ème étage, je mapprêtais à sortir, mais la jeune femme me saisit le bras. « Attendez, montez avec moi au 8ème ». La porte se referma, et je vis la demoiselle relever son top et son soutien-gorge. « Chiche », me dit-elle avec un grand sourire. Elle se rhabilla, et en sortant de lascenseur, lâcha un « bonne journée ».

Nous nous sommes croisés plusieurs fois par la suite, au travail, mais aussi dans le métro. Comme ce matin. Elle portait une jupe assez ample, nous étions assis face à face, et la jeune femme se tenait dans une telle position que javais une vue imprenable sur le haut de ses cuisses. Elle dut sen apercevoir, car elle sourit et bougea légèrement, laissant entrevoir quelques instants un morceau de tissu bordeaux, avant de remettre sa jupe comme il faut. Quelques minutes plus tard, elle recommença, me laissant en profiter un peu plus longtemps, en écartant un peu plus les jambes. Arrivé au pied de limmeuble, elle me tendit une carte :

« Je mappelle Laura, voici mon numéro, on pourrait déjeuner ensemble un de ces jours non ?

Oui, avec plaisir, dis-je en donnant mon numéro.

Et on se dit « tu », daccord ?

Daccord Laura.

Bonne journée », me dit-elle avec un clin dil.

Quelques minutes plus tard, je reçus un sms de Laura auquel je répondis, et jéchangeai ainsi avec elle toute la matinée. Peu à peu, les messages se firent un peu plus personnels, et je finis par écrire « jai été un peu décontenancé quand tu mas montré tes seins, ceci dit je les trouve magnifique ». Silence, long silence. Puis une réponse : « il ne faut pas me lancer de défis, tant mieux si tu as aimé, moi ça ma plu de le faire dautant que tu es plutôt mignon ». Suivi dun autre message « jespère que ce que tu as vu ce matin aussi ta plu ». Je répondis oui, même si je nen avais pas vu beaucoup et josai demander à Laura sil sagissait dun string, dune culotte, dun tanga, dun shorty « Réponse plus tard, jai faim, tu me rejoins au rez-de-chaussée dici 5 minutes ? ».

La porte de lascenseur souvrit, je vis Laura sourire en mapercevant. Elle se dirigea vers le couloir qui donne sur larrière du bâtiment, puis ouvrit une porte menant au parking. Sans comprendre où elle allait, je la suivis. Nous entrâmes dans le parking, désert et fîmes quelques pas. Laura bifurqua à gauche dans un box plongé dans la pénombre. Lorsque jarrivais à sa hauteur, Laura me plaqua contre le mur, et membrassa fougueusement. Je sentis une main se poser sur mon torse et descendre jusquentre mes cuisses, puis me caresser. Leffet ne se fit pas attendre.

« Jai adoré ton regard sur mes seins lautre jour, et jai pensé toute la matinée à celui que tu avais en mâtant sous ma jupe »

Laura glissa ses mains sous mon tee-shirt, de sa langue elle me titilla les tétons et glissa sur mon torse, tout en défaisant la ceinture de mon pantalon, avant de passer sa main sous le tissu du jeans.

« Humm, fit Laura, jai lair de te faire de leffet, dis donc si jen juge la grosseur de ton sexe sous mes doigts ».

Avant que jaie le temps de répondre quoi que ce soit, la jeune femme sortit du boxer le sexe tendu, et je sentis la langue et la bouche avides de Laura sen emparer. Je regardai Laura, accroupie, me suçant avec gourmandise ; elle redressa légèrement la tête pour planter son regard dans le mien. De sa main libre, elle sortit ses seins de son soutien-gorge en dentelle bordeaux. Puis, toujours en me suçant, elle me caressa bourses, avant de glisser sa main entre ses cuisses. Mon sexe tendu de désir entre ses lèvres, Laura se mit à se caresser, en soupirant légèrement, avant de faire place à de petits gémissements.

La situation était très excitante, un peu dangereuse aussi, je fis remarquer quon pourrait nous surprendre, mais Laura ne sarrêta pas pour autant. Elle me suça de plus en plus goulument, au rythme de ses gémissements qui sintensifièrent. A tel point que je sentis peu à peu monter le plaisir. Jinformai Laura quà ce rythme elle risquait de me faire jouir, histoire de ne pas venir dans sa bouche. Elle sinterrompit un instant et me fixa dans les yeux avec un sourire coquin : « je tai dit par sms que jai faim, non ? » puis elle me reprit en bouche tout en se caressant. Je ne résistai pas longtemps à un tel traitement, et prévins Laura une nouvelle fois avant de jouir. Un premier jet se répandit dans la bouche de la jeune femme, et je la sentis se contracter en gémissant : elle jouissait elle aussi. Elle dirigea mon sexe sur son menton et ses seins pour y recevoir le reste de ma semence, avant de me nettoyer méticuleusement. Elle plongea une main dans son sac, en ressortit un paquet de mouchoirs et sessuya, avant de se relever et de se rhabiller. Puis elle se colla contre moi et membrassa tendrement.

« Jespère que ça ta plu, parce que moi jai trouvé ça très excitant, dit-elle.

Moi aussi, rassure toi. »

Nous nous dirigeâmes vers lescalier pour revenir au rez-de-chaussée, et sortîmes déjeuner. Juste avant quon se sépare dans lascenseur, Laura glissa une main dans la poche de mon jeans, en me disant « cadeau, mais à regarder juste quand tu seras seul ». Je menfermai dans les toilettes, glissai la main dans ma poche et en ressortis un string bordeaux. Humide. Je souris et envoyai un sms à Laura pour la remercier de ce cadeau. Elle me répondit : « voilà maintenant non seulement tu sais ce que je portais, mais en plus tu peux voir à quel point jétais excitée ».

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