Ouf, j’ai fini mes courses. La supérette ferme derrière moi. Heureusement, comme je suis infirmière libérale (et libérée dans ma vie privée), la caissière me pardonne souvent mes horaires de fin de journée. Je range mes courses dans le coffre de mon monospace. Je me suis garée au fond du parking à l’angle de la grosse haie de thuyas, juste à coté de l’abri pour les vélos. Encore un effort, ramener le chariot.
Crac, un cycliste que je n’avais pas vu, heurte mon chariot et tombe. Je n’ai pas respecté le balisage au sol, je me croyais seule. Je me précipite de suite pour le relever. C’est Mathieu, le commis boucher. Un jeune d’à peine vingt ans, très baraqué, beau comme un dieu, mais timide au possible. Je le sais car de temps à autre quand il me tend mon paquet, je m’amuse à lui tenir furtivement la main. A tous coups il rougit comme un coquelicot, baissant les yeux, il me bredouille un faible merci madame.
Son genou est écorché,en short et polo, il me semble encore plus musclé. J’ouvre mon haillon et je le fais asseoir au bord du coffre. Je vais chercher ma trousse pour le soigner. Il ne se plaint même pas. Je m’agenouille pour nettoyer sa plaie. Je sens son souffle sur moi. Je le vois sursauter à chaque passage de la compresse imbibée d’antiseptique. Mon portable sonne, c’est Max mon compagnon depuis douze ans. Je suis divorcée, trois ans de mariage m’ont suffi à comprendre que j’aimai la liberté, le sexe, et le plaisir. Avec Max, pas de tabou. Liberté totale dans tous les domaines pour moi comme pour lui. Il est l’exact opposé de mon ex-mari. Je baise avec, ou, quand , qui je veux. Il adore que je lui raconte ce que je fais avec mes amants.
Brièvement, je lui explique la situation pendant que mon blessé me regarde du haut de sa stature. Son bobo n’est pas très grave. La lumière du soleil couchant qui se reflète dans la vitrine du magasin, me permet de faire un bon travail. Confuse je continue de lui présenter mes excuses, et lui dit que s’il le souhaite, nous pouvons faire une déclaration à l’assurance en responsabilité civile.
— Je ne voudrai pas faire de misère à une femme qui aime les oiseaux.
— De quoi me parlez vous?
— Ce n’est pas un oiseau que vous avez de tatoué en bas?
Je comprends d’un coup que dans ma position, il a une vue imprenable sur mes seins, mon ventre et mes cuisses au travers de ma blouse de coton. Ma chatte s’emplie de mouille instantanément. Je reste dans la même position, accentuant ma cambrure pour qu’il observe mieux encore.
— Et alors, vous le trouvez comment cet oiseau?
— Je le distingue mal, il est trop loin.
Le parking est maintenant désert et le jour décline rapidement. Une grosse bosse s’est formée dans le short de Mathieu.
-Je pourrai en dire autant du votre.
Il me regarde avec des yeux étonnés. Il comprend que je lui parle de son sexe. Dans la contemplation de mon corps, il n’avait pas vu l’énorme déformation du bas de son ventre.
— Ben oui ton oiseau à toi il est loin aussi.
Comme j’ai posé un pansement léger sur son genou, ma main remonte maintenant sur sa cuisse. Je saisi son sexe au travers de son short. Il geint de plaisir. Sa bite est très dure et bien proportionnée. Elle me fait envie. J’ai un peu de mal à lui retirer son short tant il bande fort. Il est tout rouge et souffle son haleine fraîche dans mes cheveux. Sa bite droite et fière palpite, elle sent fort, elle est chaude.
— Mets toi bien sur le bord du coffre, je vais sucer ta belle queue mon petit chérie.
— Je n’ai pas l’habitude madame, ma copine ne veut jamais que l’on se touche.
— Un grand jeune homme comme toi, encore puceau.
Il rougit encore plus et moi j’ai le ventre en feu. J’embouche le gland et je descend lentement en le serrant légèrement avec les dents, il tressaille. Je ne peux descendre trop loin car il est bien monté. Le petit salop mouille aussi du gland. Je déguste, c’est bon et salé. Je lâche le gland je ne veux pas le faire partir trop vite. Je m’attaque à la hampe puis aux couilles. J’alterne pendant au moins dix minutes: gland, hampe, couilles. Il n’en peut plus je le sait. Il va tout me balancer dans la bouche. Je m’interroge sur le goût et la consistance de son jus. J’adore le sperme. De temps à autre avec Max et des inconnus je suce et j’avale toutes les bites crémeuses que l’on me présente.Je mouille copieusement mon indexe à ma chatte, titille sa rondelle et enfonce mon doigt dans son cul. Loin de se dérober, il avance ses fesses vers mon doigt que je double bientôt avec le majeur.
Il Râle, ça y est il part. Je reçoit tout son foutre dans la bouche. J’essaie de ne pas en perdre. Ouah c’est fort, très épais, puissant. Une, deux, trois et une quatrième giclée. Je manque m’étrangler tant il est abondant. Sa copine doit être une emmerdeuse qui ne sait pas ce qu’elle loupe. J’ai d’un coup un doute: va-t il continuer à bander ou va-t il mollir? Je continue de le sucer, pas d’inquiétude le gourdin est toujours fier et droit. Il ne débande pas.
Je me relève. Je lui montre mon colibri, mon tatouage. Il est plus intéressé par ce qui se trouve dans ma culotte. Le parking est désert, la chaleur est douce, la nuit est tombée, pas d’éclairage ou nous sommes: je me mets à poil. En enlevant ma culotte, des fils de mouille s’étirent mollement. Le fond de mon slip est détrempé. Ses yeux sortent de leurs orbites. Je prends ses mains je les pose sur mon corps. il me palpe de partout. Il est comme fou. Ma chatte ruisselle entre mes cuisses. Il veut m’embrasser, je le repousse gentiment. Il me plante un, deux doigts dans la chatte les ressorts et les lèche avidement. Il recommence, je le laisse faire, pour lui ce soir tout est nouveau. Je lui demande de s’asseoir sur le bord du coffre de la voiture. Sa bite est turgescente, magnifique.
Je me tourne, écarte les lèvres de ma chatte épilée et m’empale lentement. J’ai du mal à descendre jusqu’à ses couilles. Sa bite en entrant dans mon vagin chasse mon jus. Je suis obligée d’attendre que mon ventre s’habitue à ses grosses dimensions. C’a y est je suis à fond. je monte et descend lentement sur sa colonne pendant qu’il me triture les seins, son torse puissant collé à mon dos. Je lui inonde le pubis de cyprine. Je monte et descend, je prend mon temps. Je déguste la bite de Mathieu. Qu’elle est bonne. Je suis à fond sur lui et je serre et desserre en alternance les muscles du vagin sur sa queue en lui grattant les couilles. Sans bouger je le branle de mes muscles vaginaux. Son souffle s’accélère, A la première giclée qui me tape le fond du vagin je suis emportée par un terrible orgasme. J’arrive toutefois à garder suffisamment le contrôle de la situation pour me relever lentement au fur et à mesure qu’il me crache sa semence dans le ventre. Je veux me faire emplir la chatte au maximum. J’aime ramener un petit cadeau à mon homme. Max adore quand je reviens la chatte pleine, ça le stimule, je vous raconterai plus tard. Le plus dur va être de remettre mon slip et de resserrer ma chatte distendue par le gourdin de Mathieu en évitant au maximum de perdre le précieux nectar. J’enfile mon slip en serrant les cuisses le plus possible. L’entre jambe est froid, la mouille qui est restée sur le tissus du fond me tire des frissons. Je remet ma blouse sans la boutonner et sans mon soutien gorge. Mathieu est resté assis. Il ne comprend pas de suite que c’est fini. Il bande toujours. Avec affection et gourmandise, je nettoie sa bite de mon jus et du sien. Si j’avais sut qu’il était aussi performant, je me serrais d’abord enculer avec son engin, avant de me baiser dessus. J’aurai ainsi ramené deux rations de foutre à Max au lieu d’une. La, c’est trop tard, je ne veux pas perdre ce que j’ai dans le ventre.
Je tends la main à Mathieu pour le faire lever. Il prend cela pour une invitation et tente de m’embrasser. Je le repousse gentiment, et le remercie en le gratifiant d’une dernière caresse au paquet.
Il est temps de retrouver mon seul chéri. La nuit va être longue et chaude. Je parts le ventre en feu,pour tout raconter à mon homme.
