Depuis un peu plus de deux ans, je partage ma vie avec Malaurie, une jeune trentenaire comme moi rencontrée lors d’un séjour à la montagne pour un séminaire d’entreprises.
Pendant ces trois jours, nous nous étions un peu regardés en chiens de faïence’. Je trouvais cette jeune femme attirante, mais à l’époque, je sortais d’une relation tumultueuse et je n’avais pas l’esprit à batifoler… J’aspirais à une pause et je voulais prendre un peu de recul par rapport aux femmes et aux aventures sexuelles.
Mais j’avais conservé par-devers moi au milieu d’autres documents accumulés au cours du séjour la liste des divers participants sur laquelle figuraient les coordonnées des uns et des autres.
Je m’étais bien entendu avec Malaurie lors de travaux en groupe, car nous partagions beaucoup de points de vue communs sur les entreprises et la manière de gagner des parts de marché…
Au seuil de l’été et pour savoir ce qu’elle devenait, je l’avais appelée sur son portable en cours de soirée. Pas de chance… j’étais tombé sur sa boîte vocale où j’avais laissé un message en me disant : On ne sait jamais…
Il était plus de 23 heures quand son numéro s’est affiché sur mon téléphone !
J’ai répondu immédiatement et nous avons bavardé pendant plus d’une heure et au final, nous avons convenu d’un rendez-vous au cours du week-end à venir…
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’ai vue s’encadrer dans la porte du café où nous devions nous retrouver ! Elle avait fait couper ses cheveux (qui dans mon souvenir tombaient sur ses épaules) très courts, presque rasés sur les tempes et cela lui allait bien… ça la rajeunissait sérieusement. On aurait presque dit une adolescente… Elle était très légèrement maquillée et vêtue d’un ensemble qui mettait en valeur sa silhouette élancée. La jupe arrivait un peu au-dessous du genou et le buste était pris dans une veste un peu longue serrée à la taille par une large ceinture en cuir assortie à son ensemble. Bref… elle était d’une élégance certaine alors que je n’avais fait aucun effort vestimentaire : pantalon de velours, pull à col roulé sur une chemise, mocassins un peu éculés et blouson de cuir.
Nous avons poursuivi le bavardage débuté en milieu de semaine en faisant des commentaires sur tel ou tel participant au séminaire qui nous avait réunis à la fin février. Le dîner s’est passé trop vite à mon goût en face de l’animation du Quartier des halles… Cela n’avait plus rien à voir avec le trou’ de la première version de l’aménagement du quartier.
Mais à 23 heures, il était temps de se séparer ou de passer à autre chose ! Et ce soir-là, il n’y eut pas d’autre chose, car Malaurie devait partir de très bonne heure le lendemain pour aller voir ses parents en province…
En se quittant, elle m’a dit avec un sourire entendu :
Ne t’en fais pas… On se reverra… On garde le contact !
C’est ainsi que presque tous les week-ends, on s’est retrouvés pour des sorties culturelles, aller au cinéma ou au théâtre, faire de longues promenades au bois de Boulogne jusqu’au jour où j’ai réussi à entraîner Malaurie dans mon grand logement de célibataire pour… je vous laisse deviner !
Puis nous avons pris des habitudes…
Nous nous retrouvions chaque vendredi soir pour un dîner au restaurant (nous mangions légèrement en vue de l’après…) et nous rentrions à mon appartement où nous passions une grande partie du week-end.
Elle me disait souvent que j’avais bien de la chance d’avoir hérité de cet appartement en plein Paris alors qu’elle devait encore se contenter d’un studio, certes confortable, mais où elle n’avait guère de place.
C’est au cours d’un de ces week-ends que j’ai avoué au cours de la conversation avec Malaurie qu’il m’arrivait, quand je n’avais pas de liaison durable avec une femme, de fréquenter divers établissements coquins où ma belle gueule’ m’assurait des succès éphémères après des femmes qui fréquentaient également ces clubs échangistes.
Et tu n’as jamais été déçu ? On doit y voir plein de choses coquines comme celles que tu me fais vivre… On ne m’a jamais fait l’amour comme tu le fais…
Merci du compliment ! Mais ce n’est pas pareil… Quand on va dans un club échangiste, on sait ce qu’on vient y chercher… Avec toi, ce n’est pas différent !
Comment ça ? On se plaît bien et on baise quand on en a envie, et comme on veut avec plein de fantaisies !
T’as raison… T’es une belle poulette comme je n’en trouverais pas dans un club… La plupart des femmes sont soit des jeunettes qui veulent vivre une bonne fortune’ et se faire baiser éventuellement à la chaîne ou des couguars qui cherchent une aventure d’un soir, quitte à changer plusieurs fois de partenaire !
Et tu m’y emmènerais ? Tu sais, avant de te connaître, j’ai eu plusieurs amants et je me suis même fait prendre en double, et je dois aussi t’avouer que je suis bi… Une femme, ça ne me fait pas peur… Au contraire, j’aime leur douceur !
Waouh… Tu m’en diras tant ! Mais si on va dans un club, je n’aurai pas l’exclusivité, tu seras obligée de céder au moins une fois à un homme qui aura envie de toi !
Qu’à cela ne tienne… Tu pourras baiser de ton côté et après on se racontera tout !
Si tu vois les choses comme cela…
Ce soir-là, nous n’avons pas poursuivi cette conversation, car Malaurie, certainement émoustillée par nos échanges verbaux dans le lit, s’est intéressée à mon ’service trois-pièces’ pour me gratifier d’une fellation d’enfer avant de me demander de la prendre en levrette face au grand miroir de ma chambre.
Je veux me voir jouir ! Et voir ta belle gueule quand tu te lâches !
S’il n’y a que cela pour te faire plaisir… je ne vais pas me priver pour te faire reluire !
Vas-y… baise-moi en imaginant que tu baises une fille rencontrée en club !
Le week-end suivant, Malaurie remettait les clubs échangistes sur le tapis…
C’est bon… Puisque tu insistes, demain soir on ira dans ce club du Quartier des halles… Tu verras, c’est très convivial et les mecs sont cools en général.
Génial !
Je suppose que tu as des vêtements un peu coquins ?
T’inquiète… je savais que je finirais par te convaincre… J’ai ce qu’il faut avec moi !!! Regarde ce que j’ai acheté cette semaine !!! Laisse-moi deux minutes…
Deux minutes plus tard, Malaurie sortait de ma salle de bains et là, j’ai eu un nouveau choc… Elle portait un ensemble mauve fait d’un tanga en dentelle et un soutien-gorge redresse seins assorti qui laissait voir ses tétons bistre au-dessus de la dentelle. Et elle s’est allongée sur le lit en ouvrant largement ses cuisses : le tanga était fendu et on pouvait accéder directement à son sexe !
Elle ajouta :
J’ai même des chaussures à plateforme pour me grandir et camber ma taille… Tu sais, je ne suis pas si innocente que tu veux le croire… Je sais ce qui fait bander les mecs !
Je vois… Bon alors pour l’instant, ôte tout cela… Je vais te baiser… ou plutôt, c’est toi qui vas te baiser… Fais-moi dresser et ensuite tu t’enfileras ma bite comme une cavalière qui monte en selle !
Je sens que tu vas bien me remplir la chatte !
Oui, mais n’exagérons pas… Gardons des réserves pour demain soir !
Le lendemain soir samedi, nous nous sommes préparés pour aller dans ce célèbre club d’échangistes le No comment’ dans le quartier des Halles… Je connaissais déjà les lieux pour y être allé quelques années auparavant…
Malaurie a rasé son ticket de métro’ et elle avait désormais la chatte entièrement nue alors que ses tétons étaient entourés d’une auréole dorée collée. De mon côté, j’avais rasé les quelques poils indisciplinés poussant un peu au hasard dans ma raie et sur mes bourses que j’aimais bien sentir nues elles aussi ! J’avais aussi réduit la taille de ma toison…
Je savais ce que Malaurie portait sous sa robe courte dévoilant ses épaules et ses longues jambes… Elle était très élégante alors que moi, je m’étais fait un look de Bad boy’ avec un pantalon de skaï et un gilet sans manches avec des chaînes et des décors en métal sur un Marcel blanc… Je pensais que l’opposition entre nos tenues était bien trouvée…
Je passe volontiers sur la description de ce club bien connu dans la capitale pour en arriver à ce que Malaurie m’a confié à notre retour dans mon appartement alors que nous venions de baiser ensemble…
Tu as vu comment j’ai été abordée par ce couple au bar alors que nous prenions la coupe de champagne de l’accueil… Ils m’ont emmenée dans un coin à câlins’ où ils se sont occupés de moi et moi d’eux.
Dis-m’en plus… Je suis curieux, tu le sais !
La femme a commencé à m’embrasser et rapidement, elle a ôté ma robe… De mon côté, je ne suis pas restée inactive… j’ai dénoué les cordons qui maintenaient la sienne sur ses épaules et découvert sa poitrine nue… Et quelle poitrine… Elle ne portait qu’un redresse seins qui présentait ses globes comme sur un plateau… Ses tétons étaient ornés d’une petite barrette dorée qui les transperçait…
Humm… Sexy et coquin !
Oui… Très. Sa robe a continué de glisser et bientôt nous étions à égalité sous les yeux du mec qui se paluchait !
Il ne vous a pas touchées ?
NON… c’est arrivé plus tard ! Avec la fille, nous nous sommes étendues entièrement nues sur le podium et nous avons débuté un 69, Armelle au-dessus de moi… J’avais sa chatte aux lèvres gorgées de sang sous mes yeux et rapidement, j’ai eu envie de les lécher, de les sucer, d’aller débusquer son clitoris encore couvert par le capuchon. Dans le même temps, j’ai enfoncé deux doigts dans sa conque baveuse pour la branler…
Et toi ? Je pense qu’elle ne restait pas inactive ?
Oh… je ne sais pas d’où elle l’a sorti, mais en me caressant le sexe, elle a introduit un gode vibrant dans ma chatte… et nous nous sommes envoyées en l’air sous les yeux de son mec qui continuait d’entretenir une bandaison prometteuse. Et toi… as-tu trouvé ce que tu cherchais ?
Oui… en fait, j’ai fait le troisième larron pour un couple de quadras dont la femme voulait une double pénétration… Pendant que le mec (qui était son homme dans la vie…) la sodomisait, je lui pris la chatte et je lui ai donné ce qu’elle voulait ! C’est assez banal… Ils cherchaient certainement l’anonymat d’un club pour assouvir ce fantasme !
Et après ? Vous n’en êtes certainement pas restés là !
Pour me remercier, elle a enlevé le préservatif et s’est délectée de mon jus en me taillant une pipe d’anthologie avant de m’offrir une cravate de notaire entre ses seins sur lesquels je me suis vidé abondamment ! Et je ne pense pas que vous vous êtes satisfaits d’un 69 ?
Certainement pas ! Après notre première jouissance entre filles, le mec s’est approché et nous a rejointes sur le podium… Il bandait comme un cerf en rut, mais ne sois pas jaloux, sa bite était assez semblable à la tienne, dans la bonne moyenne, mais avec un diamètre aussi conséquent ! Il m’a demandé si je voulais être prise en levrette et devant mon approbation, il s’est placé derrière moi et m’a embrochée en faisant claquer son pubis contre mes fesses…
Et la fille ?
Elle avait toujours le gode en main et elle s’est allongée de manière à ce que j’aie sa fourche intime à portée de ma bouche ! Elle s’offrait d’une façon impudique de manière à ce que je lui fasse un nouveau cunni’ comme si celui que je lui avais fait avant ne lui avait pas suffi ! Ce n’est qu’après qu’elle m’a confié le fin mot de leur histoire : ils s’étaient rencontrés au bar du club où ils avaient fait connaissance. Elle faisait partie d’un groupe de trois quadras filles qui avaient fait le pari de se faire manger la chatte par le plus de mecs (et de nanas) possibles au cours de la soirée. Quant au mec, il m’a envoyée en l’air de belle manière !
Ça suffit, on en sait assez sur cette soirée… J’ai encore des réserves, mais là, plus de capote ! T’es partante ?
Oh oouuuiiii… j’adore quand tu te vides au fond de ma chatte !
On a baisé à la missionnaire’ et après avoir joui tous les deux, nous nous sommes endormis quasi instantanément pour nous réveiller au milieu de la matinée du dimanche !
La vie à deux s’est poursuivie ainsi, mais le sujet des clubs échangistes était clos… Malaurie avait vu et apprécié et ne souhaitait pas recommencer et moi, j’avais en Malaurie une maîtresse inventive à qui il ne fallait pas en promettre.
Quelques semaines plus tard, elle m’a dit avoir retrouvé par hasard ( ? ) une femme avec laquelle elle avait eu une liaison pendant un séjour à Djerba. Elle m’expliqua qu’elles faisaient partie d’un groupe de femmes entre 25 et 40 ans qui étaient parties faire la fête sans leur compagnon habituel et que si beaucoup de filles du groupe avaient chassé l’homme’, elles s’étaient trouvé des affinités sexuelles qu’elles avaient partagées pendant le reste de la semaine !
Elles avaient échangé leur numéro de téléphone, mais comme me l’a dit Malaurie, c’était une relation de vacances et elle ne l’avait jamais appelée !
Pourquoi ? Vous avez partagé de bons moments ?
Oui… C’est sûr… mais après elle, j’avais envie de passer à autre chose ! C’est ce que j’ai vécu dans le club libertin qui a réveillé mon envie…
Pourquoi ne l’inviterais-tu pas un de ces week-ends ? J’aimerais faire sa connaissance…
Et la mettre dans notre lit en passant ? Une brune typée après une blonde longiligne, je suis certaine que tu apprécierais…
Ça… c’est à toi de voir ! Si je comprends bien, elle est bi elle aussi ?
Oui… à fond… D’après ce qu’elle m’a confié, depuis une dizaine d’années, elle passe d’une fille à un garçon et inversement suivant ses envies !
Samedi après-midi, nous sommes passés chez le traiteur chinois où nous avons acheté tout ce qu’il fallait pour un dîner cool avec Anisa, la femme rencontrée par Malaurie quelques mois avant notre fameux séminaire…
Quand elle est arrivée, j’ai eu un choc… J’avais déjà eu des femmes belles, mais Anisa dégageait un sex-appeal torride. Presque aussi grande que moi (1m80, elle avait de longs cheveux noirs qui tombaient sur ses épaules jusqu’au milieu de son dos. Son visage à l’ovale parfait montrait une bouche aux lèvres gourmandes, légèrement fardées d’un rouge pâle détouré par un rouge plus vif, le nez droit était encadré par de grands yeux marron aux cils artificiellement allongés. Elle portait une robe fluide noire qui avait bien du mal à masquer des formes un peu opulentes qui étaient soulignées par une ceinture en cuir rouge serrée à la taille.
Malaurie s’était faite belle elle aussi… Elle voulait certainement être sur un pied d’égalité avec son amie avec un Top un peu décolleté sur sa poitrine menue dépourvue de soutien-gorge et une jupe en lainage qui lui arrivait aux genoux. Elle s’était remaquillée avec soin, ornant notamment sa bouche d’un rose fuchsia du plus bel effet.
Elle était passée chez sa coiffeuse en début de semaine et arborait toujours sa coiffure courte sur le dessus avec les côtés rasés… Elle était belle elle aussi, mais d’une manière plus discrète…
Au cours du dîner, elles ont beaucoup parlé et je les écoutais… Il s’était passé pas mal de choses dans la vie de l’une et de l’autre au cours des années écoulées… Pour Malaurie, j’en connaissais l’essentiel puisque nous nous étions retrouvés peu de temps après leur séjour à Djerba.
Pour Anisa, c’était un peu plus complexe… à l’entrée de l’automne suivant le séjour à Djerba, elle s’était retrouvée au chômage, licenciée pour une faute professionnelle et donc sans indemnité. Voyant ses économies fondre comme neige au soleil, elle avait trouvé un site coquin où des femmes s’exhibaient par caméra interposée devant des hommes (et parfois des femmes)… Sa belle plastique et son absence de tabous lui assuraient un revenu qui au fur et à mesure des mois était devenu appréciable… Puis, un réalisateur de films pour adultes l’avait contactée pour, avait-il dit, un casting destiné à voir ce qu’elle pouvait donner devant une caméra…
A 33 ans, Anisa n’avait pas refusé et avait tourné dans un certain nombre de séquences puis elle venait de décider de faire une pause et chercher un ’vrai travail’ ! C’est ainsi qu’elle avait pris contact avec Malaurie… en espérant qu’elle pourrait l’aider dans sa recherche.
Après avoir vidé une bouteille de champagne en apéritif, nous avions poursuivi le repas en buvant du saké et l’ambiance devenait de plus en plus chaude.
Anisa qui s’était esquivée momentanément pour aller aux toilettes est passée derrière Malaurie et a posé ses mains sur les épaules de ma copine en lui disant quelque chose à l’oreille. Puis elle a glissé ses mains dans le décolleté de la robe de Malaurie en disant :
T’as toujours les tétons aussi sensibles… je sens qu’ils sont érigés !
Oui… depuis toujours, j’ai les tétons sensibles et tu m’as fait découvrir combien cela était bon lorsqu’ils étaient sollicités des doigts ou de la bouche !
Serge, laisse-moi m’occuper de ta copine ensuite on se consacrera à toi… Tu n’es pas contre ? Tu auras deux femmes pour toi seul ?
Si je peux regarder, je suis pour !
Avec un bel ensemble, les deux femmes ont donné leur accord et nous sommes passés dans notre chambre où le lit king size’ semblait n’attendre que nous !
Malaurie et Anisa se sont déshabillées mutuellement… Ma copine ne portait qu’un string sous sa robe qui avait déjà glissé le long de son corps gracile devant sa chaise, mais Anisa nous a laissé découvrir ce qu’elle portait sous sa robe : un ensemble en dentelle beige qui tranchait sur sa peau de brune et dont le soutien-gorge avait bien du mal à maintenir ses seins opulents.
Elle était vraiment canon’ et ce qu’elle nous avait dit auparavant ne m’étonnait plus… Le succès sur le site coquin et les films tournés devaient être bien réels ! Mais il est évident aussi que tout ce qu’elle avait dit et le spectacle qui se préparait ne me laissaient pas insensible… Mon sexe était dressé depuis pas mal de temps dans mon boxer !
Les deux femmes se sont allongées tête-bêche sur le lit, Anisa au-dessus de Malaurie qui subissait son assaut… J’ai immédiatement pensé qu’Anisa devait être plutôt dominatrice et je ne m’étais pas trompé ! C’est elle qui avait pris les choses en main (si on peut dire) depuis qu’elle était revenue des toilettes, et elle continuait !
Vas-y… relève ta tête et bouffe-moi la chatte… Elle bave d’envie !
Et Malaurie obéissait… léchant et lapant la cyprine qui suintait entre les lèvres intimes d’Anisa… J’étais subjugué par ce que je voyais… et je bandais de plus en plus au point que je me suis déshabillé à mon tour, ne gardant que mon boxer pour emprisonner ma bite… C’était plus sur…
Anisa m’a demandé d’aller chercher sa besace qui était restée dans notre pièce à vivre et de lui passer le gode noir’ qui s’y trouvait. C’était un véritable monstre… je n’avais jamais vu de bite de cette taille, naturelle ou artificielle : au moins 25 centimètres de long avec des bourses saillantes et un gland rond d’une taille tout aussi respectable.
J’ai passé l’engin à Anisa qui a mis le système en route avant de l’introduire dans le sexe de Malaurie et d’aller et venir pour faire monter la jouissance de ma copine qui l’encourageait avec des paroles salaces…
Vas-y… démonte-moi la chatte… c’est boooon… Enfonce bien au fond… Je sens les vibrations… Tu vas me faire partir… Continue !
Et j’en passe… jusqu’au moment où Malaurie a été prise de mouvements incontrôlés, car elle jouissait sous cette pénétration hors norme.
Quelque temps plus tard, j’interrogeais Anisa :
Mais tu n’as pas joui… Tu t’es mise en retrait pour faire jouir ma copine ?
Sois tranquille… C’est toi qui vas me faire jouir ! Tu vas me baiser… Il parait que tu sais bien te servir de ta bite pour faire jouir une femme et même certains hommes d’après ce que m’a dit Malaurie de tes aventures d’interne au lycée !
Tu sais ça ?
Oh oui… on a passé un après-midi à l’hôtel et Malaurie m’en a beaucoup dit à ton sujet !
Je croyais qu’elle saurait tenir sa langue… effectivement, je suis un peu bi, mais je préfère les femmes…
Alors c’est parfait ! Entre bi, on est fait pour s’entendre !
Malaurie se remettait toujours de la jouissance qu’Anisa lui avait procurée et qui d’après ses dires, l’avait complètement dévastée. Pendant ce temps, Anisa s’était approchée de moi, avait fait descendre mon boxer et découvert mon sexe qui était dressé devant mon pubis.
Waouh… Malaurie ne m’a pas menti… T’es bien monté !
J’ai déjà vu plus fort !
Ouais… c’est sûr, mais tu sais ce qu’on dit ! J’espère que tu sais bien te servir de ton engin ?
Celles qui y ont goûté, et Malaurie en premier n’ont pas eu à se plaindre.*
Et les mecs ? Tu en as sodomisé quelques-uns avec ce rostre ?
NON… c’est moi qui offrais ma rondelle…
C’est bon à savoir… Suce-moi la chatte et ensuite tu me baiseras ! Ça fait trois semaines que je me branle avec mes godes !
La chatte d’Anisa était entièrement nue excepté une barrette dorée qui traversait le capuchon (particulièrement développé) couvrant le clitoris… Les lèvres intimes étaient très développées et pour accéder au plus profond de sa fente, je devais les maintenir écartées avec mes doigts. Sa cyprine coulait en abondance et humectait son périnée quand elle m’a dit que cela suffisait.
Je me mets en levrette, je sais que tu aimes ça, ouvre-moi la raie et glisse-toi dans ma chatte.
Tu veux que je me couvre ?
T’es malade… Rien n’est meilleur que de sentir un mec se lâcher dans ma chatte ! Je ne crains rien !
OK… si c’est comme ça ! Allons-y !
Dès qu’Anisa s’est installée au milieu du lit, la croupe levée bien haut et la tête posée sur les oreillers, je me suis approché en écartant ses belles fesses… Humm… une vue et une texture sympa ! J’ai joué quelque temps avec mon gland entre ses lèvres intimes puis je me suis introduit dans une fournaise humide ! D’un seul coup, j’étais tout au fond du sexe d’Anisa où je suis resté immobile quelques minutes pour apprécier la situation…
J’étais à genoux entre ses jambes et je commençais à aller et venir dans son sexe… Oh que c’était bon d’autant qu’elle savait jouer de ses muscles intimes lorsque j’étais complètement abouté en elle. Je la baisais tantôt rapidement tantôt je ralentissais pour entrer en douceur tout au fond… 0 sentir ses réactions, Anisa appréciait ma manière de faire, entrecoupant mon coït de pause qui permettait à mon excitation de retomber.
Soudain Malaurie nous a rejoints dans notre étreinte et s’est collée dans mon dos en me disant :
Laisse-toi faire… Tu verras… ça va être bon !
Que veux-tu faire ?
Ne pose pas de questions… Je t’ai dit de te laisser faire…
Et là, j’ai senti Malaurie écarter mes globes fessiers et injecter dans mon sphincter une bonne dose de gel. Mais ce que je n’avais pas encore deviné, c’est que ma copine s’était équipée d’un gode ceinture et s’apprêtait à me sodomiser !
Depuis des années, j’avais oublié les sensations que provoque la pénétration anale… et lorsque Malaurie a commencé les mouvements dans mon cul, elles sont revenues et cela m’a redonné de la vigueur pour baiser Anisa !
Quand Malaurie poussait le gode entre mes fesses, je poussais mon sexe dans celui d’Anisa et nous avons trouvé le rythme voulu pour prendre notre plaisir.
Quel trio !
Avoir un gode qui allait et venait dans mon boyau étroit a accéléré la montée de ma jouissance qui a déferlé en vagues dans le sexe d’Anisa qui a feulé de plaisir…
Encore embrochés l’un dans l’autre, nous avons basculé sur le côté sans nous désunir et nous nous sommes endormis ainsi…
Malaurie m’avait piégée… mais qu’est-ce que j’avais joui !