-2- Jean
Jean, le grand-père de Marine a fait une chute dans lescalier et sest fêlé plusieurs côtes. Il est veuf depuis un an. Son épouse, Marie est décédée dune bronchite mal soignée. Chaque fois quil bouge le torse des élancements traversent sa poitrine. Il est obligé de prendre son mal en patience. Aujourdhui il se sent seul. Marie lui manque. Elle savait le réconforter avec de savantes caresses. Sa verge gonfle à lévocation. Il ny tient plus. En se calant contre le dossier du fauteuil il parvient à extraire son sexe et à se masturber sans martyriser ses côtes. Un mouchoir reçoit son offrande. Un peu calmé il sendort sans sêtre complètement réajusté
Marine décide de lui rendre visite car en ce moment elle est en vacances. Personne ne répond à son coup de sonnette, son grand-père doit faire la sieste. La porte nétant pas fermée à clé, elle entre.
Effectivement Jean est affalé sur son fauteuil dans les bras de Morphée. La braguette ouverte et le mouchoir souillé sont suffisamment éloquents quant à son occupation avant de sombrer dans le sommeil. Il change de position. Son slip gonfle. Cela amuse la jeune fille.
— Sacré Papy, murmure-t-elle !
Elle touche la bosse du doigt. Immédiatement elle double de volume !
— Waouh ! Il est drôlement sensible !
Marine glousse. Elle ne le connaissait pas sous cet aspect mais se rappelle que sa mère avait toujours parlé de sa réputation de joyeux luron ! Par jeu elle promène le doigt sur la protubérance. Un petit gémissement de plaisir sourd des lèvres de Jean. Cela réveille la libido de la jeune fille : actuellement elle na pas de petit copain et ses parents sont absents depuis trois semaines !
— Le pauvre, murmure-t-elle, il doit être sevré de sexe surtout ces temps-ci avec ses côtes fêlés ! Si josais
Son grand-père émet un ronflement.
— Il a lair de dormir profondément.
Elle pose la main sur la protubérance. Un sourire béat éclot sur les lèvres du dormeur.
— Il fait un songe érotique ! Et si jintervenais dans son rêve ?
Elle décide de participer. Par prudence elle nextrait pas le sexe et se contente den éprouver la forme à travers le tissu
Une sensation de bien être réveille à moitié Jean. Il flotte dans un demi sommeil et na pas envie de bouger ni douvrir les yeux. La douleur dans les côtes suite à sa malencontreuse chute sest estompée. Il rêve que Marie le masturbe comme elle savait le faire. Il a lillusion que des doigts courent sur son sexe, tournent autour du gland. Il sent quil bande comme ce nest pas permis ! La force de limagination est stupéfiante ! Il a limpression que sa femme est réellement là Réellement ? Il ouvre une paupière. Horreur il ne rêve pas : cest Marine sa petite fille qui le caresse !
Jean se redresse brusquement mais les côtes fêlées se réveillent !
— Aïe !
Surprise, le premier mouvement de Marine est de senfuir mais très vite elle pense que Jean a compris ce quelle faisait. Elle se dit quau point où elle en est, perdu pour perdu quest-ce quelle risque ? Que son grand-père ne veuille plus la voir ? Elle décide dassumer ses pulsions.
— Quest-ce que tu as Papy ? Tu as mal ?
— Que Que fais-tu ?
— Tu naimes pas ? Pourtant jusquici tu avais lair dapprécier.
Elle ne cesse pas les attouchements. Il nécarte pas la main qui le caresse.
— Euh Là nest pas la question. Ce nest pas bien que Avec moi tu Euh Tu es ma petite fille. Ce serait
— Ce quon appelle des relations incestueuses, je sais. Je ne suis pas une oie blanche, Papy. On nous bassine avec ça au collège et au lycée. Et alors ?
— Cela ne doit pas se faire Aïe !
Il fait un faux mouvement qui lui arrache un rictus de douleur.
— Tu vois, tu as mal quand tu remues. Reste tranquille !
Elle continue la caresse. Jean devrait larrêter, ce quils font est répréhensible mais dun autre coté sil bouge les élancements dans les côtes reprendront. En réalité au fond de lui-même il na pas envie quelle cesse. Depuis quelle est adolescente il rêve en secret de Marine. Que de fois a-t-il bandé en la contemplant en bikini ! Que de fois a-t-il rêvé de la caresser, de lui faire lamour ! La crainte de la choquer et la peur du quen dira-t-on lont retenu. Et voilà quaujourdhui elle prend linitiative ! Il fait taire la voix de la morale en se disant quelle est majeure et quelle a pleinement conscience de ce quelle fait ! Néanmoins il tente une timide objection.
— Mais
— Il ny a pas de mais qui tienne ! Javais envie de te caresser et tu aimes ça Ose nier !
— Euh
— Que faisons-nous de si mal ? Na-ton pas le droit de faire plaisir ?
Elle na pas tort pense-t-il. Il capitule et sabandonne aux doigts diligents.
— Je vois quil est inutile de mentêter, tu ne changeras pas davis. Fais comme tu veux, lui dit-il avec un zeste dhypocrisie.
Marine sagenouille. Elle a quelques difficultés à extraire le sexe comprimé par le slip.
— Waouh ! Quel engin !
Sa paume entoure la queue, décalotte le gland, fait glisser le prépuce sur la tige. Il jouit de la caresse sans arrière pensée. Elle prétend en avoir envie, de quel droit lui refuserait-il ce plaisir ? Il étend le bras pour la remercier par un câlin.
— Aïe !
Il a eu tort, ses côtes fêlées se rappellent à son bon souvenir.
— Pardon Papy, je te fais mal ?
— Pas du tout ! Jai simplement fait un faux mouvement. Mes côtes me font toujours souffrir.
— Evite de bouger tant que tu nes pas guéri.
Elle reprend sa douce manipulation. Il a limpression de navoir jamais autant bandé. La jouissance envahie son bas ventre.
— Ooh !
Des lèvres chaudes se referment sur le gland ! Après quelques succions il ne résiste pas à la montée du plaisir et sépanche dans la bouche. Le sperme nétant pas trop abondant, la jeune fille déglutit sans difficultés.
— Aarrgghh ! Excuse-moi chérie je nai pas pu me retenir.
— Ce nest rien, dit-elle en sessuyant du revers de la main.
Elle replace son attirail et referme le pantalon.
— Jétais venu voir si tout allait bien. Je tai surpris en plein rêve érotique. Excuse-moi mais prise dune impulsion subite jen ai profité. Tu men veux ?
— Jai honte.
— Mais non Papy tas pas à avoir honte, je tai donné du plaisir de bon cur.
— Si ! Jai honte que tu maies caressé sans que je puisse te rendre la pareille à cause de ma côte.
— Ce nest pas grave. Je saurai patienter jusquà ce que tu sois rétabli. En attendant si tu veux que je recommence nhésite pas.
Elle dépose un léger baiser sur sa joue râpeuse et senfuie.
Il entend la porte se refermer. Il réalise à peine ce qui vient de se passer. Sacrée Marine ! Lui qui avait des scrupules et se traitait de porc lubrique quand la femme quelle devenait le faisait fantasmer ! Sil avait su Les regrets sont superflus, la prochaine fois quelle viendra le voir il profitera de ses bonnes dispositions et sollicitera ses bons offices !
Les cours à la faculté de droit nayant pas encore commencé, Marine est revenue rendre visite à son grand-père Souvent Chaque rencontre se termine par une délicieuse fellation. Jean adore. Davoir avec sa petite fille des relations incestueuses ne le perturbe pas mais il enrage que ses côtes fêlées mettent tant de temps à guérir. Jusquici, malgré son envie, la douleur la arrêté quand il voulait lui rendre les caresses. Ah, vivement quil puisse à son tour la faire jouir !
Aujourdhui il pense quil en sera capable. Lorsquil tourne ou se penche la souffrance, toujours présente, est supportable. Ce nest plus les coups de poignards qui lui faisaient tout lâcher. Pourvu que Marine ne décide pas de ne plus venir !
Elle est arrivée. Après les baisers de bienvenue elle se penche pour ouvrir la braguette.
— Comment se porte mon petit oiseau cet après-midi ?
Il en profite pour passer la main entre ses jambes. Elle lève les yeux et lui sourit.
— On dirait que tu vas mieux Papy !
— Il était temps ! Javais hâte de te donner moi aussi du plaisir. Tu veux bien nest-ce pas ?
— Jattendais ce moment avec impatience.
Elle extrait le sexe, commence à le masturber pendant quil écarte le tissu de la culotte à la recherche des lèvres intimes. Marine espérait ce geste depuis longtemps. Pour elle les caresses doivent être réciproques. Le dessous est superflu ! Elle arrête de soccuper de la verge et se lève :
— Excuse-moi Papy jen ai pour une minute. Ne bouge pas.
Elle séclipse pour revenir quelques secondes après et reprend le sexe.
— Voilà, je suis prête.
Il glisse la main sous la jupe, un large sourire illumine sa figure : La coquine a ôté sa culotte, rien nentrave ses investigations ! Les doigts de Jean parcourent la vulve, sintroduisent à lorée du vagin, décapuchonnent le clitoris. Marine le remercie en sactivant sur la queue
— Tu suces comme une déesse.
— Cest
Elle sarrête in extrémis : elle allait dire que sa mère lui a appris ! Les relations incestueuses avec ses parents doivent rester un secret même si son grand-père et elle
— Que veux-tu dire, questionne Jean ?
Elle ne répond pas. Au même moment ses caresses atteignent leur but et ils jouissent ensemble.
— Mmmmh !
— Aarrgghh !
Il est fier de lui avoir procuré cet orgasme, preuve quil est encore bon à quelque chose ! Elle sort se rincer la bouche et revient se blottir dans ses bras.
— Merci, merci Papy !
— Cest moi qui dois te remercier pour le plaisir que tu me procures Tout à lheure, tu voulais me dire quelque chose ?
— Euh Je ne sais plus, ça ma échappé de lesprit
Les cours à luniversité ont commencé, Marine est forcée de ralentir le rythme de ses visites. Pendant une de leurs séances de caresses, Jean lui fait part de son fantasme refoulé depuis de nombreuses années : lui faire lamour. Cela la fait sourire, les hommes sont tous les mêmes !
— Au point où nous en sommes, jaurais mauvaise grâce à te le refuser.
Elle est un peu déçue, son grand-père est moins habile que son père ! Heureusement il comprend très vite quil nest pas à la hauteur des exigences de la jeune fille et se limite généralement aux caresses simultanées auxquelles il croit lavoir initié Sil savait !
A suivre