Je venais de rejoindre ma nouvelle affectation, et tout comme il y a des pots de départ le directeur de l’agence avait organisé un pot d’arrivée. Cela me permit de faire connaissance de tous mes futurs collègues, une trentaine environ, moitié femmes et moitié hommes dont les âges allaient de 20 à 50 ans. Parmi eux il y avait Laura.
Comme on dit, entre Laura et moi le courant est de suite passé ; nous avions des atomes crochus.
Laura était une jeune femme de 24 ans, brune, cheveux courts, célibataire et ne semblait avoir aucune attache sentimentale. Certains disaient qu’elle avait mauvais caractère, je dirai plutôt qu’elle avait du caractère et savait ce qu’elle voulait. Je l’ai découvert par la suite.
C’était le temps où les horaires de travail étaient 8h-12h et 14h-18h. J’habitais à environ 40 kms et je restais sur place à midi, à part manger un morceau il me fallait tuer le temps entre 12h et 14h.
Un jour à midi alors que je sortais de l’agence, derrière moi j’entendis Laura :
— Tu manges où à midi ?
— Je sais pas trop, je change un peu tous les jours.
— Si tu veux on mange ensemble chez moi.
— Je voudrais pas t’embêter.
— Rien à craindre je suis seule et j’habite à côté.
Effectivement Laura habitait à 300 mètres tout au plus dans une petite résidence. Elle occupait un 3 pièces – cuisine. Nous avions grignoté assez vite dans la cuisine, et face à son plan de travail Laura me tournant le dos, je lobservais. Un peu plus petite que moi, dans son pantalon vert clair, je la trouvais bien proportionnée, les reins cambrés faisaient bien ressortir son joli petit cul, et de face son chemisier cintré mettait en valeur sa petite poitrine avec des seins qui devaient bien remplir chacune de mes mains. Avec l’excuse bidon de vouloir ranger un ustensile, je me collais à elle. On aura dit qu’elle n’attendait que cela, tournant la tête elle me tendait ses lèvres entre ouvertes. La prenant par la taille je lui fis faire demi-tour, l’attirai contre moi lui faisant sentir mon début d’érection. Les bras autour de mon cou Laura répondait à mon baiser. Le mouvement de son ventre contre mon sexe en érection ne prêtait pas à confusion concernant la suite des évènements.
Toujours debout contre son plan de travail j’ai ouvert son pantalon et plongeais ma main droite dans sa culotte, enveloppant bien sa motte. Laura n’était plus une novice et écarta de suite ses cuisses pour me donner accès à sa vulve. J’écartais les bords de sa fente, elle était trempée et l’entrée de son vagin bien ouvert, Laura était disponible. Pour avoir cette attitude, elle devait être en retard " d’affection " et je devais lui plaire. Nos respirations étaient haletantes ; je délaissais sa chatte quelques instants pour ouvrir son chemisier, dégrafer son soutif et faire connaissance avec ses seins.
Très vite dans sa chambre je lui retirai chemisier et soutif. Elle avait deux beaux petits seins en poire bien ferme, des auréoles très brunes et des tétons comme la première phalange de mon petit doigt, un délice pour sucer. L’allongeant en travers de son lit je fis glisser son pantalon et sa petite culotte avant de me mettre à poil et de lui exhiber mon sexe en érection. Ses cuisses écartées m’offraient une superbe vision sur son triangle de fourrure et sa vulve déjà bien juteuse. Me mettant à genoux entre ses cuisses prêt à m’allonger sur elle, Laura, avec un petit sourire coquin, comme beaucoup d’autres femmes par la suite, avança sa main pour me palper les couilles, un peu comme pour s’assurer qu’elles étaient pleines.
J’avais une méchante envie de son ventre offert à ma bite bien tendue. Tout en lui suçant le bout des seins, le gland bien placé dans sa corolle je m’enfonçais en elle jusqu’à venir m’appuyer bien à fond de toute ma longueur. Laura était bien ouverte. Vu son soupir elle n’attendait que cela, un peu comme une délivrance. Cramponnée à moi, les jambes croisées dans mon dos Laura gémissait à chaque fois que je remontais en elle. Elle n’extériorisait pas trop son plaisir, seul un long gémissement étouffé dans mon cou me fit comprendre qu’elle venait de jouir. Sans attendre mon reste, après quelques va-et-vient, à mon tour me bloquant bien à fond je jouissais, lui faisant bien sentir mon éjaculation. Planté en elle jusqu’à la garde j’y suis resté tant que j’ai eu des contractions dans la queue, me vidant de toute ma semence jusqu’à ce que je ramollisse.
Les yeux dans les yeux Laura m’embrassa longuement.
— Faudrait peut-être penser à retourner au boulot
Un tour dans sa salle de bain pour s’essuyer avant de se rhabiller, Laura se colla dans mon dos :
" Merci, c’était bon " dit-elle.
Sur le chemin du boulot :
— T’inquiète pas pour tout à l’heure, je prends la pilule.
De ce jour-là nous avons commencé à nous retrouver chez elle presque tous les jours entre midi et deux, du lundi au vendredi pour faire l’amour.
Laura ne me suçait pas beaucoup, si elle me suçait c’était pour pousser mon désir d’elle ou me faire reprendre de la vigueur sitôt après avoir joui. Les rares fois où elle m’a pompé jusqu’à la moelle c’était sur ma demande. Elle n’était pas friande de semence mais m’avalait quand même jusqu’à la dernière goutte.
Le vendredi en fin daprès-midi après le boulot Laura partait chez ses parents pour les aider dans leur commerce le week-end et revenait le dimanche soir. Lors d’une discussion anodine, elle m’avait fait comprendre qu’il n’était pas question pour elle d’avoir un homme sur le dos le soir en rentrant chez elle. Cela avait le mérite d’être net et précis au cas où j’aurais pu me faire des idées.
De mon côté tout était pour le mieux, ayant toujours bien séparé ma vie de famille d’avec ma vie professionnelle et ses à-côtés, j’avais en quelque sorte une femme la semaine et une autre les week-ends.
Y avait-il des sentiments entre nous ? Je ne le pense pas, mais une grande affection réciproque sans doute.
Cela faisait pratiquement 6 mois que Laura et moi entretenions cette liaison qu’un jour après avoir fait l’amour :
— Ta femme ne se doute de rien ?
— Non je ne crois pas, la connaissant, il y a longtemps que j’aurai eu un retour de flamme.
— Ca fait combien de temps que tu es marié ?
— Pratiquement 7 ans.
– Et vous avez toujours pas d’enfant ?
— Non
— C’est chez toi que ça va pas ou chez elle ?
— Je sais pas, nous n’avons jamais fait d’examens médicaux elle ou moi.
Et là je pris un coup de massue sur la tête, les bras autour de mon cou, de sa petite voix :
— Si tu veux je peux arrêter de prendre la pilule dès aujourd’hui et tester tes graines.
J’étais sans voix, Laura voulait un enfant. Le temps de digérer ses paroles :
– Je croyais que tu voulais rester célibataire ?
Avec une logique toute féminine, Laura me répondit du tac au tac :
— C’est pas parce que je veux pas de mec chez moi que je ne veux pas d’enfant.
Tout se bousculait dans ma tête.
— De toute façon si c’est pas avec toi ce sera avec un autre, et je le veux en étant jeune.
L’ultimatum était lancé. Cela avait le mérite d’être clair et sans détour ; et pour moi de savoir qui de ma femme ou moi avait un problème sans avoir recours à tout un tas d’examens médicaux.
Laura arrêta le jour même de prendre la pilule. Juste avant ses règles, comme elle avait encore des jours de congé à apurer elle partit en vacances chez ses parents pratiquement 3 semaines.
Le jour de son retour, nous nous sommes retrouvés chez elle ; comme Laura ne disait rien, je n’abordais pas le sujet. Nous avons fait l’amour, après 3 semaines ça faisait du bien.
— Tu sais, je n’ai rien fait pendant mes congés.
J’allais l’embrasser
" J’ai 10 jours de retard, ça ne m’est jamais arrivé, je crois que tes graines sont bonnes " dit-elle avec un sourire de satisfaction en me faisant caresser son ventre.
— Rassure-toi je ne te demanderai rien
Pendant 8 mois j’ai vu son ventre s’arrondir. Quand son ventre fut bien rond, je ne la prenais plus qu’en levrette ou alors elle me chevauchait empalée sur ma bite pour se faire jouir.
Début du 9e mois elle m’annonça qu’elle allait aller chez ses parents pour accoucher et qu’elle avait demandé sa mutation.
Laura accoucha d’un petit garçon que j’eus l’occasion de voir plusieurs fois. Elle obtint sa mutation.
Elle ne m’a jamais rien demandé, moi non plus.
Elle qui voulait rester célibataire se maria quand même, eut un 2e enfant (un autre garçon) et divorça 3 ans après.
Aujourd’hui Laura est grand-mère, moi grand-père par la même occasion.
Laura, presque 40 ans après est une des 2 seules femmes avec qui j’ai gardé contact. On se téléphone 1 ou 2 fois par an et on échange quelques mails de temps à autre.