Quand je me suis mis en ménage avec ma compagne, cette dernière avait un caniche et se charmant petit animal tirait sur toutes les chiennes du quartier. Combien de fois rentrait-il complètement épuisé.
Toujours est-il que nous nétions pas franchement copain, souvent il me grognait dessus quand je mapprochais de sa maîtresse, de plus il avait prit lhabitude avant que jarrive de coucher sur le lit et bien évidemment quand nous nous couchions, il se mettait systématiquement entre nous, autant dire quil nétait pas très content quand je le virai pour faire un câlin à sa maîtresse.
Étant infirmier il marrivait relativement souvent de travailler de nuit et je rentrais à la maison vers 7h30 quand mon amie partait au boulot, je me couchais dès son départ.
Un matin pas différent des autres le caniche (Hector) est monté dans la chambre et il sest couché à coté de moi, cétait étonnant. Lhistoire que je vous raconte date dune vingtaine dannées, tout cela pour dire quà cette époque nous ne connaissions pas particulièrement la zoophilie (internet nexistant pas).
Jai tendu la main vers lui et nayant pas sommeil je lai longuement caressé, il semblait heureux. Je ne sais pourquoi, mais à force de caresse ce dernier cest mis sur le dos les pattes en lair. Jai continué mes caresses sur son ventre et sans le vouloir je suis descendu jusquà son sexe qui était encore dans son fourreau. Je lai un peu branlé et là jai vu sortir son sexe tout rose qui grandissait de plus en plus. La taille mimpressionnait pour un caniche (royal peut-être, mais quand même). Sa bite était douce et jai continué le branle, à force un liquide transparent partait par giclées, une boule grossissait à la base de son sexe, je lai serré dune main pendant que je le branlais de lautre, il commençait à faire des mouvements de rein de plus en plus violent et là un liquide plus consistant sapprochant du sperme humain parti par de longue giclées qui semblaient ne plus sarrêter. Je sentais les saccades de sa bite dans ma main, puis son sperme sarrêta de couler et il se lécha le sexe et les poils qui étaient plein de sa semence. Je nen revenais pas de se que javais fait, mais cela mavait excité, je lai laissé au calme et je me suis endormi.
Rien ne sest passé de la semaine, mais le lundi suivant alors que je dormais le matin en chien de fusil à moitié dans le lit, à moitié sur la couette, je fus réveillé par la langue dHector qui me léchait la raie des fesses et au lieu de le virer je me suis mis sur le ventre et jai écarté les jambes. Cétait bon il était doué, javais la bite qui durcissait à vu dil. Pour être sur quil me lèche le plus loin possible je remontais mes fesses et les écartais des deux mains, je navais jamais rien connu de pareil, mais jen voulais encore. Je mis de la salive sur ma main droite et je me suis enduit lanus avec, afin de pouvoir faire coulisser un ou deux doigts dans mon cul, jai répété lopération plusieurs fois et quand je trouvais louverture assez lubrifié, jai incité Hector à venir sur mon dos. Il ne sest pas fait prié et après quelques coups de bites désordonnées sur les fesses, jai senti sa queue senfoncer dans mes entrailles. Bien que métant sodomisé plusieurs fois avec des objets divers et variés, cétait la première fois que je me faisais enculé par une bite vivante. Les saccades de la bite dans mon cul étaient très rapide, je me faisais démonter le cul par le chien de ma copine, le plaisir était trop fort pour moi et je déchargeais mon foutre dans les draps, pendant quHector arrêtait ses allers et retours. Bien quil ai arrêté, je sentais sa bite battre dans mon cul et surtout il avait dû entrer la boule à la base de son sexe dans mon anus car je sentais ce dernier sécarter de plus en plus. Nous sommes resté ainsi pratiquement un quart dheure et puis les contractions de mon anus lon fait sortir dun coup. Jai mis mes doigts sur mon anus doù sortait tout le sperme quil avait déchargé.
Cétait vraiment très bon, autant vous dire que jai souvent recommencé lopération avec Hector dans diverses positions, nous sommes devenus les meilleurs amis du monde au grand désarroi de sa maîtresse, quil délaissait.
A la longue je me suis même laissé aller d’abord à le lécher puis toujours un peu plus loin pour lui prodiguer de longues fellations jusqu’à se qu’il me décharge dans la bouche. Les premières fois j’ai été un peu dégoûter du goût de son sperme qui ne ressemblait à rien de se que je pouvais connaître, mais l’excitation aidant j’y prit goût à la longue.
Notre idylle dura plusieurs années sans que sa maîtresse ne découvre notre relation, mais malheureusement il se fit renverser par une voiture lors de ses sorties nocturne.