Lorsque je me dégageais, je vis que la bite de Fernand était déjà sortit de Marianne, cette dernière était affalée sur le torse de son mari, elle poussa une petite plainte quand mon gland sortit de son cul, puis elle embrassa son mari en lui disant « merci chéri, cétait très bon » et se redressant, un peu flageolante, elle se tourna vers moi, et membrassa à mon tour puis me dit « tu sais cest peut être la dernière fois que nous jouissons comme ça et cétait merveilleux, merci mon ptit poulet ».
Elle se dirigea vers la cuisine en disant je vais chercher un remontant, vous voulez quoi, Fernand et moi, en chur répondîmes « une bière bien fraîche ».
Installés sur la terrasse, autour de la table, toujours nus nous bûmes en silence nos rafraîchissements, et nous entendîmes une voiture qui ralentissait et sarrêtait, Marianne dit « cest notre connard de gendre qui déposer son colis chez ta cousine, va y avoir de laction »
Quelques minutes plus tard nous entendîmes des voix sur la terrasse puis Jeanine commença a gémir, mais je trouvais que ce nétait pas pareil que la veille avec moi et Marianne me le confirma « elle simule, je peux te lassurer, autant hier il était clair quelle prenait son pied, aujourdhui ce nest pas le cas », ceci dit Jeanine simulait bien, et on lentendait qui disait « oui, vas-y mon ptit facteur, mets la moi au fond, allez limes-moi la moule, déposes ton colis de foutre au fond de moi » mais tout ça sonnait faux, par contre de les imaginer et surtout de les entendre me fit rebander, et comme jétais assis à côté de Marianne, elle sen aperçu, elle demanda à Fernand « tu permets chéri, jen ai encore envie, il ma fait tellement de bien, et de le voir dans cet état me fait mouiller », Fernand lui répondit « ben de toutes manières, je dois aller prendre ma douche car dès quon a mangé jemmène cette salope en ville.
Fernand se leva et rentra dans la maison pendant que Marianne me faisait lever puis asseoir sur la table, elle se pencha et avala ma queue pour finir de la faire grossir, elle neut pas beaucoup de travail, par contre elle me suça de manière divine en appliquant ce que je lui avait montré une petite heure plus tôt, puis elle se leva et sappuyant sur la table de manière à faire face à la maison de mes cousins, me dit « prends moi en levrette mon poulet, fais moi du bien avec ta bite, mets la moi tout au fond », je vins me placer derrière elle, posais mon gland sur ses grandes lèvres, menfonçais dun coup de reins au fond delle et commençais à la limer alors que nous entendîmes Jeanine crier « non, pas maintenant merde, tu fais chier, taurais pu te retenir » cela me fit plaisir et jaccélérais mes mouvements dans la chatte de Marianne qui était toujours aussi silencieuse, puis je décidais de profiter delle pleinement, je sortais ma queue de sa chatte et dans un seul mouvement, la posais sur son anus et donnait un coup de reins en avant, lubrifiée comme létait mon sexe, il rentra dun coup et sans difficulté, par contre, pour la première fois une plainte sortit de la bouche de Marianne, dans un souffle elle me dit « encules moi, fort, défonces mon fion, je veux ton foutre tout au fond de moi » je men donnais à cur joie et commençais des mouvements de plus en plus rapides et puissants dans son cul, Marianne, quand elle jouit, pour la première fois gémit assez fort, en disant « putain que cest bon, continues, bourres moi », jobéissais à sa demande et continuais à la limer jusquà lexplosion de mon propre plaisir quelle reçu en jouissant une nouvelle fois, et cest avachi lun sur lautre et alors que la voiture du facteur démarrait que Fernand nous trouva. Marianne et moi allâmes prendre une douche chacun notre tour puis nous mangeâmes, toujours nus, sur la terrasse, et alors que nous buvions le café, le téléphone sonna, Marianne alla décrocher et on lentendit qui disait « mais oui ma chérie, tu peux venir, dailleurs, il y a avec nous un jeune homme dont tu as fais la connaissance hier soir, le café est passé mais si tu veux voir ton père dépêches toi car il ne va pas tarder à partir, il accompagne la femme de Bernard en ville » puis elle raccrocha et revint en disant « Micheline vient boire le café », puis me regardant « elle avait lair très contente de savoir que tu étais là », Fernand attendit 5 minutes puis se leva et dit « bon jy vais sinon Jeanine va être en retard » regardant lheure je compris pourquoi il était pressé, les cours terminaient dans ½ heure.
Je me levais en disant « je taccompagne à la voiture », Marianne dit « dans cette tenue ? » je souriais, jétais toujours nu et ça me plaisait, je lui répondis « je ne vois qui ça pourrait gêner, nous ne sommes que tous les trois et je crois que maintenant nous nous connaissons suffisamment pour que ça ne gêne personne, Marianne sourit et dit « cest vrai, tu as raison, mais si Micheline arrive et quelle te voit dans cette tenue, ça risque de la choquer de te trouver nu comme un vers chez ses parents » pensant à ce quil sétait passé la veille, je me dis que ça métonnerais quelle soit choquée, mais je répondis à Marianne « si jentends la voiture je reviendrais vite enfilé mon short, promis ».
Je suivis donc Fernand jusquà la voiture, une fois quil fut assis, je me penchais à la fenêtre et je lui dit « je voulais vous dire que jai beaucoup aimé ce quil sest passé aujourdhui msieur Fernand, vraiment beaucoup », il me regarda et dit « moi aussi, jai aimé ce que nous avons fait tous les trois », je le repris « je ne parlais pas que de ça » et passant mon bras par la vitre ouverte, je posais ma main sur son entrejambe et lui dis « jai adoré vous sentir grossir dans ma bouche, cétait vraiment très agréable » en même temps je massais doucement son entrejambe et je commençais à sentir une certaine raideur sous ma main, puis je rajoutais « au fait bonne promenade avec Brigitte », il fit létonné et avant quil ne dise quoi que ce soit je repris « stop, tu vas me raconter des conneries, jai discuté avec elle hier soir et elle ma tout raconté, dailleurs, juste une petite chose quelle ne ta pas dite, elle est vierge soit, mais son anus a déjà été visité et je suis sur que si tu insistes un peu, tu pourrais visiter ce petit tunnel sombre et ty perdre complètement au point de pleurer dedans », sur ce et alors que sa bite venait de faire un bon dans son pantalon, je me reculais et lui dit « allez, bonne promenade et profites en bien » il me regarda et me répondit « ne dis rien à Marianne sil te plaît, elle ne comprendrait pas, et merci pour linfo sur Brigitte » puis il démarra et je retournais auprès de Marianne.
Lorsque jarrivais sur la terrasse, Marianne se leva « tu veux un autre café », je lui pris les bras et la poussait doucement contre la table « non par contre je boirais volontiers autre chose »
Marianne : « quelque chose de frais »
Moi : « non plutôt quelque chose de chaud, et jai envie de le boire directement à la source », en même temps je la soulevais, lasseyais sur la table et commençais à déboutonner la blouse quelle avait passé pendant que jaccompagnais Fernand,
Marianne : « Micheline va arriver, ce nest pas raisonnable »
Moi : « peut-être, mais jai très envie de te fouiller avec ma langue et de te sentir jouir dans ma bouche »
Marianne, avec un sourire, ouvrant ses cuisses en grand, posant ses mains sur mes épaules et appuyant dessus « demandé comme ça, mais dépêches toi, fais moi du bien avec ta langue », je massis sur le banc et plongeais ma tête entre ses cuisses, je passais ma langue sur toute sa fente en remontant puis redescendis en appuyant plus fortement pour ouvrir ses grandes lèvres, Marianne gémit « cest trop bon ce que tu fais, tu me fais tellement de bien », je reculais pour retirer un poil de ma bouche, elle me dit « tu ne crois pas que si il ny avait pas de poils ce serait mieux, je vais essayer de trouver un truc à faire faire à Fernand demain matin et tu viendras me raser », sans répondre je replongeais entre ses cuisses et la fouillais avec encore plus de gourmandise pour la remercier de cette idée, tant et si bien quen quelques minutes elle se crispa et jouit sur ma langue en gémissant et alors que je continuais à la lécher elle me dit « ouiiii, mon poulet bois tout et essuies moi bien » et je fis ce quelle me demandait avec délectation.
Javais presque finis quand nous entendîmes une voiture arriver, Marianne se releva et ferma sa blouse en disant « cest Micheline » et me regardant « mon pauvre poulet, ne te lèves surtout pas dans létat ou tu es », effectivement je bandais, je passais mon short, et me rassies sur le banc afin de cacher mon érection. Micheline arriva, elle portait une robe avec des grosses fleurs dessinées dessus, elle fit la bise à Marianne et sapprochant de moi, elle posa une main sur mon dos nu et tournant le dos à sa mère, elle membrassa sur les lèvres tout en faisant descendre sa main, très doucement, jusquà la ceinture de mon short, ce qui narrangea en rien mon état, puis elle sassit à côté de moi et nous commençâmes à discuter tous les trois en buvant un café.