Chapitre 6 : Une question d’autorité
Morgane se fit violence pour détourner son regard du superbe cul d’une de ses élèves qui écrivait au tableau. Ses ongles tapotaient nerveusement sur son bureau émettant une série de bruits plutôt agaçants mais qui l’apaisaient malgré tout. Elle parcourut sa classe des yeux et ne rencontra que des regards fatigués et ennuyés.
Elle donnait cours de français à une classe de redoublant. Étant assez douée pour captiver ses élèves, leur problème d’attention n’était pas dû à ses compétences mais plus à leur âge. En effet, ayant tous redoublé, ils étaient pour la plupart majeurs et avaient hâte de quitter l’école pour rejoindre les bancs de l’université.
La jeune fille se retourna et présenta sa réponse à Morgane. Celle-ci observa le tableau et sourit.
-Juste. Tu peux retourner t’asseoir Manon. Quelqu’un a-t-il des questions ?
Elle fronça les sourcils devant le silence qui accueillit sa question. Elle croisa les jambes et … les décroisa rapidement sentant que cette position ne lui était pas confortable. Elle se dit, après réflexion, que cette position ne lui sera plus jamais confortable …
-Houla … Mais qu’est-ce que vous avez aujourd’hui ?
-Bah, c’est juste qu’on croyait qu’on n’allait pas avoir cours quoi … répondit un jeune garçon affalé sur son banc. Et puis vous êtes arrivé à la dernière minute.
-Et sa te dérange tant que ça d’avoir cours avec moi, répliqua Morgane, touchée malgré elle.
-Non, non, ce n’est pas ça. On aime bien avoir cours avec vous … c’est juste que …
-Ce qu’essai de dire Louis, intervint une jeune fille du nom d’Alexia, c’est qu’on en a marre de l’école. Ça devient trop long …
Morgane acquiesça, compréhensive. Chaque année, ses étudiants se plaignaient de la trop longue durée de l’école. Elle connaissait ce problème pour en avoir longuement parlé avec des élèves, remplaçant parfois ses cours par de véritables débats. Les math sont-ils vraiment importants ? Pourquoi certains profs sont si méchants (Morgane ne préférait pas penser au mot qu’avait employé l’élève lorsqu’il avait posé la question … ) et d’autres si compréhensif ? Quelle est la meilleure méthode d’enseignement ? …
Toutes ces questions, Morgane tâchait d’y répondre avec le plus de justesse possible tout en laissant librement parler ses élèves afin de connaître leurs avis respectifs.
-Je suis désolé pour le faux espoir que vous a causé mon retard, j’étais … hum … je ne me sentais pas très bien …
Morgane rougit quand elle pensa à la queue de Simon en train de déchirer son cul en feu. Elle revit en un éclair la tête du chercheur coincée entre ses jambes qui tentait d’avaler toute la cyprine sortant de son vagin en déglutissant bruyamment.
La sonnette annonçant la fin des cours la tira de sa rêverie et elle rougit en voyant toutes les têtes de ses élèves tournées vers elle.
-Bon allez, dit-elle en se mettant à essuyer le tableau pour cacher son embarras, vous pouvez y aller. À demain.
Alors que ses élèves sortaient un à un de la classe, la directrice de l’établissement, madame Figide, se présenta dans l’embrasure de la porte en tapotant le sol de son pied pour montrer sa contrariété. Pour l’avoir souvent vu adopter cette posture, Morgane sût qu’elle allait se faire passer un savon…
-Oui ? demanda-t-elle innocemment.
-Ne me dites pas « oui » comme ça mademoiselle Shem ! Vous savez très bien ce qui ne va pas. Pourrais-je connaître la raison de votre retard de ce matin ?
-Je ne me sentais pas bien. Une atroce migraine me clouait au lit.
-Il me semble que ce n’est pas la première fois que ça vous arrive, n’est-ce pas ? Venez dans mon bureau je vous prie.
Morgane jura intérieurement. Depuis qu’elle était en cours elle avait une intense envie de se soulager. Et la vue de ses jeunes étudiantes habillées d’affriolant décolleté et de pantalon moulant à merveille leur cul rebondi avait grandement entamé ses résistances. Elle n’avait maintenant qu’une envie : foncer aux toilettes … En soupirant, elle suivit la principale à travers les couloirs jusqu’à son bureau. Cette dernière lui ouvrit la porte et la laissa entrer dans une salle aussi froide que sa propriétaire. Pas une décoration ne venait égailler les murs bleu pâle de la pièce et le bureau n’était entassé que de paperasse.
La jeune femme s’installa sur une chaise en croisant les bras. La directrice, quant à elle, resta debout. Morgane savait exactement ce qu’elle allait lui dire et se prépara donc pour un sermon d’un ennui mortel.
-Mademoiselle Shem, je ne passerai pas par quatre chemins. Je commence à en avoir marre de vos constants retards. Vous avez des élèves et vous ne pouvez pas vous permettre d’essuyer la moindre faute.
-Je comprends, répondit Morgane qui n’écoutait déjà plus. Je ferai plus attention la prochaine fois.
-Vous savez, reprit la principale, ignorant superbement la réponse de la jeune femme, nous faisons partie d’un établissement dans lequel je dois pouvoir compter sur chaque élément pour qu’il puisse fonctionner au mieux. Quand l’un de ses éléments ne se montre pas à la hauteur, mon devoir est de m’en débarrasser …
La directrice marchait tranquillement autour de Morgane, comme un aigle faisant des cercles dans le ciel avant de fondre sur sa proie.
-Vous comprendrez évidemment, poursuivit-elle en posant ses longs doigts sur les frêles épaules de la jeune femme, que je … que …
L’hésitation dans la voix de la principale surprit grandement Morgane. Madame Figide était une femme sûre d’elle et ne laissait aucune place au doute quand elle prenait une décision. À l’évidence, elle avait déjà réfléchi au sort de Morgane et tous ses beaux discours n’avaient pour but que de l’amener devant une sentence qu’elle avait choisie depuis longtemps.
-Que quoi ? Finit par demander la jeune femme que cet entretien commençait à énerver.
-Que je … je voudrais que … comme punition j’aimerais que …
Elle ne semblait pas trouver ses mots pour finir sa phrase. Morgane sentit ses doigts sur ses épaules trembler légèrement et commencer à doucement caresser la naissance de son cou. Ce changement de comportement inquiéta la jeune prof et elle se demanda ce qu’elle écopera comme sanction.
-Oui, s’impatienta-t-elle en se retournant.
Lorsqu’elle tourna la tête, elle eut la surprise de voir le visage de madame Figide à quelques centimètres du sien. Elle sursauta et déglutit péniblement. Mais qu’est-ce qui lui prenait ? Elle était tout d’un coup devenue étrange. La directrice l’observait avec une lueur bizarre dans le regard, comme de la lubricité …
Avant que Morgane ait pu faire quoique ce soi, la principale saisit son visage et l’embrassa farouchement. La jeune femme en fut littéralement tétanisée et ne pensa même pas à oser se dérober. Elle sentit les mains de sa supérieure glisser le long de ses épaules et venir pétrir sa poitrine. La situation et la façon dont cette dernière la pelotait excita énormément la jeune prof. Elle fut tout à coup terrifiée que la directrice découvre son secret et croisa les jambes sur le début d’érection qu’elle sentait poindre.
Le haut de la jeune femme fut rapidement enlevé par une directrice folle d’envie, dévoilant ainsi son opulente poitrine cachée par un soutien-gorge. Elle glissa ses mains sous celui-ci et s’empara avidement des seins fermes de Morgane. La principale les malaxait avec tellement d’impatience que ça en devenait sauvage. La jeune femme ne put s’empêcher de gémir sous l’intensité des caresses.
Soudain, elle décida de sortir de son hébétude et de prendre les devants. Elle se leva de sa chaise, déboutonna le tailleur de sa supérieure et, toujours en embrassant cette dernière, pétrit à son tour ses seins. Ils étaient plus petits mais suffisamment fermes et très agréables au toucher. Leur poitrine se touchait et se contacte électrisait la jeune femme qui avait de plus en plus de mal à garder sa queue sous contrôle.
La directrice prit la jeune femme par surprise en enfonçant soudainement sa main dans le pantalon de cette dernière. Morgane et la directrice crièrent quand des doigts se posèrent sur la bite de la jeune femme.
-Mais … qu’est-ce que … ? commença la directrice en retirant vivement ses doigts comme si elle avait agrippé une braise.
Morgane ne dit rien. Elle la regarda intensément tout en baissant lentement son pantalon. Lorsqu’il descendit jusqu’à la mi-cuisse, le sexe de la jeune femme sortit comme un ressort et se dressa entre les deux femmes, véritable pilier de chair. La directrice ne savait plus que faire. Elle ne semblait plus du tout maîtresse de la situation et semblait complètement perdue. C’est pourquoi Morgane prit les choses en main en s’avançant doucement, comme si, par un geste trop brusque, elle avait peur de faire fuir la femme en face d’elle. La jeune femme prit précautionneusement la main de madame Figide et la posa sur son sexe. Ce contact enflamma cette dernière qui parut se réveiller. Elle posa son autre main sur l’impressionnant sexe dressé et joua timidement avec celui-ci. Son changement de comportement amusa grandement Morgane. Où est donc passé votre assurance, se moqua-t-elle intérieurement.
Morgane déposa prudemment un baiser sur le mamelon devenu tout rigide de la principale. La voyant tressaillir, elle sourit et se mit à suçoter délicatement ce petit bouton rose. Avec ses mains, elle abaisse le pantalon de la femme en chaleur et vint titiller son sexe. Elle vit rapidement que son vagin était enduit de mouille. C’était le signe qu’elle attendait.
Elle prit la directrice par les hanches et la dirigea vers son bureau. Une fois là, elle appuya sur le haut de son dos pour quelle se plie en deux, ses seins écrasés contre toute la paperasse. Morgane caressa la raie de son cul à l’aide de sa queue.
-Alors, je n’ai pas été sage c’est ça ? Vous vouliez me punir, non. Demanda espièglement la jeune femme.
-N… Non, haleta sa supérieure. Je voulais juste te demander de … d’essayer … enfin si tu le veux bien … de venir plus tôt … si ça t’arrange, bien sûr.
Morgane ricana. Elle avait transformé le méchant loup qu’était la directrice de ce collège en un petit agneau serviable et docile.
-As-tu déjà eu une relation anale, Eugénie ?
Morgane se régala de l’expression outrée de la femme quand elle l’appela par son prénom.
-Quoi ? Mais … je ne te … permets …
La jeune femme enfonça un doigt dans son cul pour la faire taire. Mais au lieu de crier de surprise, la principale gémit bruyamment, comme si elle n’attendait que ça depuis le début de l’entretien. De plus, son trou était plutôt dilaté.
-Oh mais je vois qu’on a l’habitude, n’est-ce pas ?
La directrice ne répondit pas.
-Bon, puisque tu as l’habitude, cette séance ne sert à rien … je vais me rhabiller.
-Non, attends ! s’écria la pauvre femme couchée contre le bureau.
-Veux-tu bien me vouvoyer, ordonna Morgane en glissant un autre doigt entre ses fesses.
-Mmh … oui excusez-moi. Mais … Est-ce que vous voudriez bien … me …
-Te quoi ?
Morgane jubila intérieurement, sachant pertinemment ce qu’allait lui demander sa supérieure.
-Enculez-moi … finit-elle par soupirer. S’il vous plaît.
À peine avait-elle fini sa phrase que Morgane, armée de son imposante queue, s’enfonça dans le cul de la directrice. Celle-ci hurla en s’accrochant au bord de son bureau. La bite glissa en elle sans rencontrer de résistance. Elle était comme aspirée dans les tréfonds de sa supérieure. Morgane poussa sans pouvoir s’arrêter jusqu’au moment où ses hanches vinrent percuter les fesses rebondies d’Eugénie. Toutes deux en furent ébahies. Morgane parce qu’elle n’avait jamais pensé que son sexe entrerait entièrement et la directrice parce qu’elle n’avait jamais eu quelque chose d’aussi gros dans son cul.
-Oh ouiiiii ! Gémis cette dernière.
-Waouw ! Ton cul est si profond ! Comment ça se fait ?
-Regardez dans le tiroir, là-bas sur la droite, dit-elle en pointant du doigt une section du bureau.
Morgane se pencha, poussant davantage sur le cul d’Eugénie qui gémit de plaisir. Celle-ci s’accrochait vainement au bureau pour tenter d’endiguer les vagues de plaisirs qui menaçait de la submerger à tout moment. La jeune femme tira sur le tiroir et tomba sur un éventail de sex-toys tous plus farfelus les uns que les autres.
-Mmh, je vois que madame la directrice s’ennuie dans son bureau… Se sent-elle seule ? Souhaiterait-elle un peu plus de compagnie… ?
-Je …
Morgane, sans attendre la réponse, se retira du cul de la principale jusqu’au gland et y replongea violemment. Cette dernière hurla de plaisir.
-Je vais prendre ça pour un oui … susurra Morgane à son oreille.
La jeune femme encula sa supérieure durant une bonne vingtaine de minutes, faisant crier de bonheur cette dernière. Heureusement pour elles, le collège était vide et le concierge n’arrivait que le soir. Elles avaient toutes l’après quatre heure …
Morgane n’avait jamais espéré avoir un entretien pareil avec sa directrice. Elle profitait pleinement de la situation tandis que sa hampe s’enfonçait profondément dans la grotte chaude et moite d’Eugénie Figide, faisant gémir de bonheur cette dernière.
-Qu’est-ce que c’est bon ! Je vous sens tout au fond de moi ! Plus vite, je vous en prie … plus vite !
-Ton trou gobe ma queue toute entière ! C’est délicieux !
-votre bite est incroyable ! Vous explosez mon anus !
En plus d’être incroyablement grand, le sexe de Morgane sécrétait une substance qui le lubrifiait entièrement, rendant la pénétration anale d’une facilité et d’une douceur extrêmes. C’était une des raisons pour lesquelles la jeune femme avait eu si facile d’aller jusqu’au fond du cul de la principale. Les autres raisons étant le fait que l’anus en question ai vu un grand nombre d’objets (pas toujours identifiés… ) défiler en lui …
-Oh mon Dieu ! Je sens tous mes intestins remuer. Sodomisez mon cul plus fort !
La jeune femme répondit aux suppliques de sa supérieure en accélérant le rythme. Sa queue coulissait merveilleusement bien entre les parois du trou maintenant très élargi. Elle remarqua que le sexe d’Eugénie coulait abondement de liquide séminal, détrempant ses jambes. Elle était sur le point d’avoir un orgasme …
Quand la directrice jouit, les contractions de sa rondelle déclenchèrent l’éjaculation de Morgane qui arrosa copieusement les entrailles de sa supérieure.
-Oh Eugénie, je jouiiiiiis !
-Oh oui, moi aussi putain ! Remplissez-moi ! Je veux déborder de votre foutre. Inondez-moiiiiii !
Morgane ne s’arrêtait pas d’éjaculer. Son sperme remplissait rapidement le cul de sa directrice. Le niveau montait de plus en plus quand soudain, le flot de semence se stoppa et Morgane sécroula sur le dos d’Eugénie, exténuée. Lorsqu’elles eurent toutes deux récupérer leur souffle, la jeune femme se retira doucement, faisant à nouveau gémir la dame qui gisait toute nue sur le bureau. Elle sourit d’extase en voyant les ravages qu’avait faits sa queue à l’anus de madame Figide. Celui-ci était béant et luisant du liquide lubrifiant qui tapissait sa bite. Dans les recoins sombres de cette magnifique grotte largement ouverte, la jeune femme pouvait apercevoir un peu de liquide blanc remuer … Elle fut ébahie de constater que le cul de sa supérieure, bien qu’éclaté, ne débordait pas. Avec la quantité de sperme qu’elle lui avait mis, son cul devrait être littéralement en pleine éruption anale !
-Bon, commença Morgane en cachant sa stupéfaction et en se dirigeant vers le tiroir à sex-toys, pour la suite des événements, je vais mettre en place quelques règles qu’il faudra bien entendu suivre à la lettre.
-La suite … ?
-Bien sûr. Tu n’entendais quand même pas t’en tirer à si bon compte alors que tu as voulu me punir.
Morgane choisit dans le tiroir, un objet à forme conique dont la base se terminait par une boule faisant office de manche.
-Ce « bouchon » sera idéal pour la première règle qui est : « pas une seule goutte de sperme ne doit sortir de ton cul. » tu voulais que je te remplisse et c’est bien ce que je compte faire …
La principale gémit intensément quand son anus, déjà bien irrité, accueillit en lui le sex-toy jusqu’à la garde.
La seconde règle est : « tu me vouvoies ». Mais ça, ça tombe sous le sens… Et enfin, la troisième est : « On ne s’arrête pas tant que je n’ai pas dit que c’est fini … »