Histoire de feu n?3 ou une bouche de rêve.
Je sortis et elle me suivit. On arriva dans le hall. Elle me dit ? prend-moi maintenant ! ? Trop facile pensais-je. Je n?avais jamais vu ma femme si chaude, c?était au tout début de nos sorties mais là j?étais impressionné. Je décidais de la chauffer un peu et je lui dis qu?elle devait patienter. ? Pourquoi ? ? Me demanda Virginie toute déçue. ? Parce que ce soir tu m?appartiens et que tu vas m?obéir ? lui dis-je. ? Compte là-dessus ? répondit-elle.
C?était la phrase de trop, je décidais de prendre le dessus et remarquais la sangle de la galerie de toit et m?en saisis. Je lui pris les poignets et les attachaient devant en laissant un bon mètre de sangle pendre. Elle protesta mais je saisis le bout de la sangle et lui dis ?suis-moi ?. On passa le hall et arrivâmes dans le salon. Je m?assis dans le sofa et tirais Virginie vers moi, elle semblait un peu perdue mais acceptait le jeu. Je lui dis ? mets-toi à genoux ! ?.
Elle s ?exécuta, déposa ses mains attachées sur mon genou droit et attendais, je tenais toujours la sangle dans ma main gauche et elle s?adressa à moi.
Virginie : ?que veux-tu que je fasse ? ?
Moi : ?ce que tu n?as pas fait chez Sylvain ?
Virginie : ?c?est à dire ? ?
Moi : ?Je veux que tu me suces ! ?
Virginie : ?mais? ?
Moi : ?il n?y a pas de mais, tu t?exécutes maintenant ! ?
Virginie avança ses mains vers mon pantalon, défit un à un les boutons de ma braguette, abaissa mon caleçon et sortis ma verge qui vu la situation était déjà en érection. Elle la prit dans ses mains. Virginie hésita mais avança sa tête lentement vers mon membre. Je mis ma main droite dans sa nuque et commençais à la caresser tendrement. Je lui dis : ? vas-y doucement, prends ton temps, j?ai envie d?une belle gâterie ce soir ?.
Elle approcha lentement vers ma queue avec une bouche gourmande, Bien adossé dans le sofa, je me décontractais. Je sentais une vague de petits baisers sur le dessus de mon gland et des petites succions rapides, petites lichettes à peine appuyées.
Visiblement, elle n?osait pas l?engloutir goulûment comme elle en avait à la fois l?envie et de l?appréhension. Il faut dire que soumis à ce traitement de faveur, mon dard s?était tendu correctement.
En petits mouvements rapides du bout de sa langue, elle remonta le long de ma pine et se mit à en suçoter le bout. Mon gland était à la fête et moi aux anges.
Je sentais la chaleur de ses lèvres et de sa langue, c?était fantastique ! La bouche de Virginie redescendit vivement jusqu?à la base de ma tige et remonta en léchant à grands coups de langue. Le bout de ma queue vibrait dans l?air. Virginie s?en aperçut et la bouche goulue de mon ardente rouquine vint se placer sur le dessus de ma verge. Ses lèvres enveloppèrent l?extrémité de ma queue qu?elles embrassèrent très délicatement.
A ce moment je sentis l?excitation monter. Elle m?avait chauffé pendant le souper, elle n?avait qu?à assumer. Ma main droite toujours présente dans sa nuque se fit plus ferme et d?un mouvement j?avançais la tête de Virginie vers ma verge. Je lui enfournais en bouche toute ma tige excitée. Surprise Virginie ne put qu?écarter les mâchoires au maximum pour éviter de me blesser avec ses dents mignonnes.
Impérativement j?appuyais toujours avec ma main dans son cou. Cette fois-ci on y arrivait, elle avait enfin accepter de me pomper le chibre. Elle avança d?elle-même, engloutissant une grosse partie de ma queue. Sa bouche emplie de mon dard, elle commença des mouvements d ?avant en arrière, ma queue glissant entre ses deux lèvres chaudes, quelle sensation, sentir cette bouche humide et chaude m?aspirer, sentir sa langue jouer avec mon bâton d?amour, c?était divin ! Je lui demandais de me branler avec sa main.
Virginie prit ma verge et tout en me suçant me branla. Elle débuta avec de long va et vient, amples, doux, voluptueux et puis de minutes en minutes elle accéléra la cadence pour terminer avec des succions rapides et plus appuyées. Elle me tenait bien ma chienne et par le bon bout encore. Je lui imprimais la cadence avec ma main, ses yeux mi-clos, joues creusées par la succion, elle allait et venait ma goule. Cette jolie goule soudée à mon pieu qui ne désirait qu?une seule chose : me prendre.
Je me laissais aller totalement. A partir de ce moment elle ouvrit ses yeux pour me regarder prendre mon pied. C?était très excitant de voir ma femme me faire une fellation et en même temps la regarder constater par elle-même les effets de sa bouche sur ma queue.
Je me dis qu?il fallait lui donner ce qu?elle voulait. Je la pris à la nuque pour l?empêcher de se retirer et lui demandais de me branler plus vite, ce qu?elle fit avec excitation.
D?un seul coup je me laissais partir, une énorme giclée de sperme chaud jaillit de ma queue et englua tout le fond de la gorge de Virginie. Elle savait non seulement bien me sucer mais elle avalait aussi ma rouquine parce qu?elle se dépêcha d?engloutir le tout et respira à fond. Virginie apparemment bien disposée ce soir était encore penchée sur mon instrument de plaisir d?où sortait encore en brève éjaculation le reste de ma liqueur d?amour, ce fabuleux sirop de corps d?hommes qu?elle aimait tant. Elle m?étonna lorsqu?elle enveloppa de ses mains douces et câlines mes burnes les malaxant pour en extirper tout le suc à petits coups, amoureusement elle aspira les dernières gouttes au fur et à mesure qu?elles apparaissaient.
Moi, je ne bougeais plus, je laissais ma femme terminer de prendre son dessert et profitais du magnifique moment de détente que cela m?avait apporté.
Elle m?avait un jour avouée qu?une amie lui avait dit qu?elle avait une bouche à pipe hé bien, cette amie, avait raison parce que non seulement elle avait une bouche à pipe mais en plus elle savait s ?en servir ! C?est parfois dans ces conditions que l?on s?aperçoit que l?on à de la chance par rapport à d?autres hommes dont la femme est inactive et ne veut pas entendre parler de la fellation et encore moins d?avaler. Ah ! Si Sylvain avait su ce qu?il manquait. Nous restâmes un moment sans bouger mais la présence de ma femme si soumise ce soir m?excitait.
Je me mis de nouveau à bander au grand contentement de Virginie. Je ne l?avais pas remarqué mais pendant que je récupérais, elle en avait profité pour se doigter la chatte humide. Elle était intenable ce jours-là mais cela me plaisait.
La suite dans histoire de feu n?4