Papy Raymond était heureux de pouvoir se rincer l’il chez ses voisins libertins, mais aussi de pouvoir assouvir ses envies. A son âge, malgré son expérience, il avait plus de mal à convaincre les jeunes novices de lui faire des gâteries.
Il voulut changer un peu leurs habitudes et invita sa jeune cochonne, chez lui. Elle hésita, mais à l’idée de ne plus pouvoir être léchée par son papy adoré, Anna céda. Elle s’habilla comme il aimait : un imperméable beige moulant ses formes, des escarpins vernis, des bas noirs à dentelle, un porte-jarretelles, sa chatte nue pour qu’il puisse y avoir accès facilement, deux caches tétons argentés et cloutés, avec ses cheveux relevés. En dernière minute, elle avait inséré des boules de geisha.
Tu es magnifique ma petite chienne !! s’exclama-t-il, en pensant déjà aux plaisirs à venir.
Anna lui sourit. Papy ferma la porte et défit son peignoir dévoilant son membre en début d’érection au milieu des poils blancs.
Caressant les fesses d’Anna à travers le tissu, il inséra lentement sa langue dans celle de sa petite salope. Elle le suivit dans l’appartement et ils rentrèrent dans une grande pièce réservée aux plaisirs de son papy. Elle observa une armoire avec des déguisements érotiques, un lit avec des miroirs, un large canapé aux formes ondulées, une table basse en verre. Un autre meuble trônait au milieu de la pièce. Très courbé et bas, il permettait de bien maintenir les fesses en l’air et écarter en levrette et les jambes bien ouvertes sur le dos. Des rubans permettaient de maintenir les poignets pour une parfaite soumission au plaisir.
Papy fit glisser l’imperméable, dévoilant les superbes formes de la jeune fille.
Le meuble au milieu de la pièce, je l’appelle mon « PERFECT ». J’aime quand les trous de mes salopes sont bien accessibles et ce meuble est idéal !! Allonge-toi dessus, ma cochonne, tout de suite !
Anna obéit à son papy vicieux. Il sortit son portable.
J’aime partager les belles chattes sur les sites de cul. J’aime aussi filmer et mater des chattes. Pour l’instant, je n’ai pas photographié la tienne, mais si tu veux encore que je te lèche, tu feras ce que je te demande, compris ?
Oui, mon papy !
Allongée sur le dos, Anna remonta ses pieds sur deux étriers, dévoilant toute sa chatte. Cette position faisait ressortir à merveille son ticket de métro, juste au-dessus de son clitoris déjà gonflé. L’anneau des boules de geisha ressortait. Papy Raymond prit son temps pour photographier les seins, la belle chatte offerte, il joua avec l’anneau des boules.
C’est bon mon papi cochon !! Continue !
Touche-toi plutôt ma salope ! Joue avec ta chatte que je puisse en faire profiter les copains !
Anna caressa du bout des doigts son clitoris et après avoir joué avec les boules, elle les enleva.
Je t’en supplie papy, doigte-moi !!
Il s’exécuta du bout des doigts, l’obligeant à pousser les hanches pour mieux le sentir. Ses cuisses s’ouvrirent encore et il ne manqua pas de filmer la chatte en mouvement.
Descends de là et mets-toi à 4 pattes par terre en fermant les yeux !!
Anna s’exécuta un peu fébrile. Papy fouilla dans un tiroir et lui glissa quelque chose au cou : un collier en cuir noir clouté avec une boucle.
Tu m’as prouvé que tu es une vraie chienne en chaleur alors je veux que tu le sois totalement en te faisant saillir par un chien !!
Oh non papy, s’il te plaît, ne fais pas ça. Je ne peux pas !!!
C’est à cette seule condition que je t’accorderai mes faveurs. Si tu refuses, je dis tout à ton beau-père. Il sera en colère.
Anna baissa la tête et accepta au plus grand plaisir du papy vicieux. Il amena la jeune fille dans la cuisine et elle découvrit un chien loup de grande taille, au pelage magnifique.
Papy Raymond sortit du lait concentré et le tendit à Anna qui s’en saisit fébrile. Le chien avait levé la tête puis avait refermé les yeux, peu intéressé.
La jeune chienne suivit les instructions de son papy. Elle s’approcha et caressa le chien. Sa main descendit de la tête vers la bite sauvage. Le chien se laissa faire, semblant avoir l’habitude. Le fourreau commença à apparaître rose, plus long et doux. Anna écarta ses cuisses et présenta sa chatte recouverte de lait concentré au chien. Il renifla puis du bout de la langue, se mit à laver la vulve. Anna gémit vite sous la langue râpeuse. Elle ne s’attendait pas à ressentir autant de bonheur. Papy Raymond prenait des photos de la chatte en chaleur sous les coups de langue. Puis, elle se pencha et recouvrit le membre de lait. La jeune cochonne s’allongea sur le côté, très excitée, et se mit à lécher la bite du chien. Papy Raymond en profita pour recouvrir à nouveau la chatte de lait au plus grand plaisir du chien et d’Anna qui gémissait de bonheur, sans aucune retenue ou honte.
Jugeant qu’il était temps de passer à l’étape suivante, Papy Raymond lui demanda de retourner dans la pièce des plaisirs. Le chien la suivit de très près, la truffe sur ses fesses. Son sexe dur et rose avait besoin de saillir.
Anna s’installa à 4 pattes sur le « PERFECT », le chien continuant de la lécher, nerveux. Il lui tournait autour.
J’ai envie de te photographier en train de te faire saillir comme une chienne en chaleur par Champion. Ça va être merveilleux de pouvoir t’observer.
Il attacha les poignets d’Anna avec les rubans pendant que Champion commençait à vouloir saillir sa chienne, mais il n’arrivait pas à trouver le jeune trou. Papy Raymond trouva la position parfaite, avec cette chatte bien ouverte et offerte, les fesses bien en hauteur.
Papy enfila les chaussettes à Champion, dont le membre dur venait taper les fesses d’Anna dont la chatte ruisselait. Anna devenait impatiente à l’idée de se faire saillir.
Vite, je ruisselle, viens lui planter sa bite sauvage en moi s’il te plaît !! gémissait-elle.
Le chien loup monta sur elle. Raymond attrapa la bite dans sa main et la dirigea vers son trou alors qu’elle suppliait et gémissait. Le chien rentra d’un coup dans sa chienne, et elle poussa un cri face à sa force. Il la soumettait totalement, sauvagement avec des coups brusques, réguliers. Pour la première fois, elle se sentit vraiment chienne. Elle eut un orgasme d’excitation en sentant le sperme crémeux couler en elle et le long de ses cuisses. Un pur bonheur. Il resta bloqué en elle, un temps qui lui parut long.
Quand il se dégagea, Papy était très excité. Lui aussi voulait saillir sa cochonne.
Je vais te défoncer ton petit trou ma petite salope ! Tu étais magnifique avec mon Champion. Les copains vont aimer.
Papy enfonça sa bite puis la ressortit.
Suce ma chienne, après, je t’encule pour la première fois !
Anna s’exécuta et goba cette bite qu’elle aimait tant. Elle découvrit le goût du sperme de chien avec délice. Papy se retira et remit sa bitte pour la lubrifier et ajouta du lubrifiant sur le trou du cul. Il était bien dur et terriblement excité. Il força donc le passage sans attendre qu’il soit bien souple. Anna gémit sous la brusquerie, mais elle aimait cette sauvagerie. Il jouit très vite. Anna sentit le sperme de son papy couler dans son trou, avec plaisir. Elle s’appliqua à bien le nettoyer quand il lui présenta sa bite. Un vrai délice, ces deux spermes mélangés.
Papy la détacha et Anna regarda le chien se lécher la queue pour la nettoyer regrettant de ne pas avoir eu le temps de le faire.
Anna sut qu’elle allait renouveler cette expérience…
