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Parties de jambes en l'air avec une Miss – Chapitre 2

Le comte Moch - Chapitre 3



En me voyant revenir, mon cousin qui avait sali mon chemisier quelques minutes plus tôt accourt vers moi pour se confondre une nouvelle fois en excuses. Je le rassure aussitôt en lui disant que ce n’était pas grave puis je vais me servir un grand verre d’eau que je bois, tout en parlant avec une de mes tantes.

Cependant, tout en lui tenant le crachoir, mon regard se dirige de temps en temps vers la piste de danse sur laquelle Romane est une nouvelle fois en train de se déchaîner et, cette fois-ci, quand mon regard se pose sur elle, des bouffées de chaleur envahissent tout mon corps. Je me ressers donc rapidement un deuxième verre d’eau que j’avale d’une traite, mais cela ne change pas grand-chose. C’est là que je réalise ce qui est en train de se passer : je suis excitée, tout simplement, preuve que ce baiser ne m’a pas laissée indifférente, même s’il provenait de ma cousine.

Cette fois-ci, quand mes yeux se dirigent à nouveau vers Romane, son regard croise le mien et, en sentant mon cur battre la chamade, cela confirme ce que je suis en train de ressentir en ce moment même. Seulement, alors que je préfère m’éloigner un peu pour pouvoir penser à autre chose, je sens quelqu’un m’attraper la main et me tirer vers elle.

Hop hop hop, tu vas où, surette ? Viens donc danser avec nous ! sexclame Anaïs en m’emmenant vers la piste de danse.

Ne voulant pas qu’elle perçoive ma gêne, je lui réponds par un sourire suivi d’un petit rire puis, pendant la demi-heure qui suit, nous dansons et chantons à tue-tête en famille sur les plus grands tubes des années 80. De temps en temps, je regarde Romane, mais cette dernière est tellement emportée par la musique qu’elle ne semble pas prêter attention à moi. Ou alors elle fait exprès d’éviter mon regard pour faire comme si de rien n’était, ce qui ne m’étonnerait que guère.

Au bout d’un moment, alors que je suis en train de danser bras dessus bras dessous avec deux cousins, je vois Romane glisser quelques mots à l’oreille de sa mère avant de s’éclipser en direction de la maison. Après quelques secondes, j’en fais de même en annonçant à Anaïs et aux autres que je m’absente aux toilettes et, en arrivant dans le salon, un bruit à l’étage m’indique que Romane doit être dans sa chambre provisoire.

Ni une ni deux, je monte l’escalier à la va-vite puis, sans frapper, je rentre dans la chambre et referme la porte derrière moi.

Je peux t’aider ? demande aussitôt Romane qui est assise sur le lit, occupée à recoiffer sa belle chevelure rousse.

Pourquoi t’as fait ça ?

Pourquoi je me recoiffe, tu veux dire ? Désolé, c’est un toc que j’ai, et…

Je parlais pas de ça…

Ah bon ? De quoi, alors ?

Ne fait pas l’innocente, Romane : pourquoi tu m’as embrassée, tout à l’heure ?

Ah, ça…

Romane pose aussitôt sa brosse sur son lit puis, elle s’approche de moi sans me lâcher des yeux, tout en tortillant légèrement son petit fessier.

J’en avais envie et toi aussi, non ? répond-elle avec provocation.

Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

Tu crois que j’ai pas remarqué que tu n’arrêtais pas de me mater depuis ce midi ? Même tes cousins sont plus discrets que toi quand ils le font !

N’importe quoi…

Ah ouais ? Et quand tu m’as vu en soutif, tout à l’heure, pourquoi t’es devenue rouge pivoine en trois secondes ?

À présent, son visage se trouve à quelques centimètres du mien, et j’ai du mal à rester de marbre devant une telle provocation.

Parce que… parce que je m’y attendais pas, et…

Menteuse ! Je te plais et tu me plais, donc pourquoi faire semblant ?

Je sais pas, peut-être parce qu’on est cousines, non ?

Et alors ? Personne ne sera au courant, tu sais…

Elle rapproche davantage son visage du mien et, en voyant nos lèvres se fleurer dangereusement, je comprends aussitôt que je m’apprête à faire une grosse bêtise, mais, après tout, que serait la vie sans un petit brin de folie ?

Tendrement, Romane m’attrapa le visage avec ses mains puis, sans plus tarder et sans résistance de ma part, nos bouches se scellèrent d’abord tendrement, puis plus intensivement quand nos langues commencèrent à se mélanger. Aussitôt, sans rompre ce baiser, Romane me plaqua doucement contre la porte de la chambre, et mes mains se posèrent aussitôt sur ses fesses que je mis à peloter pendant quelques secondes avant de les remonter sur ses hanches.

T’embrasses bien, me fit remarquer Romane entre deux baisers.

Je te retourne le compliment, ma jolie.

Et encore, t’as rien vu…

Elle enleva aussitôt ses mains de mon visage puis, toujours en m’embrassant, elle commença à déboutonner mon short.

Tu fais quoi ?

Que du bien, promis, laisse-toi faire…

Elle me dépose ensuite un rapide dernier baiser sur les lèvres puis, elle se mit à genoux face à moi, baissa mon short jusqu’aux mollets, en fit de même avec ma culotte puis, sans plus tarder, elle se mit à me lécher délicatement le sexe d’abord de bas en haut, puis ensuite dans tous les sens.

Ne m’attendant pas à me faire manger de la sorte, je ferme les yeux et me cambre aussitôt sous l’effet des coups de langue de ma cousine qui fait ça non seulement bien, mais surtout avec beaucoup d’application.

Je n’en reviens pas. Non seulement ma cousine est en train de me bouffer la minette, mais en plus, elle le fait dans la chambre de ma sur, alors qu’une grande partie de la famille pourrait nous surprendre à n’importe quel moment. J’ai envie de sourire en pensant à tout ça, mais, en sentant le bout de la langue de Romane titiller mon petit bouton de chair, j’ai du mal à me retenir de pousser un petit gémissement de plaisir.

Alors qu’elle continue de me lécher, je sens les mains de Romane remonter le long de ma cuisse, puis passer ensuite sous mon chemisier pour caresser mon ventre avant d’attraper mes seins pour les malaxer à pleine main. Afin de lui rendre la tâche plus facile, je déboutonne mon chemisier et, aussitôt, Romane fait une pause pour me regarder avec appétit, avant de passer sa langue sur ses lèvres humides.

Ça va ? me demande-t-elle.

Oh que oui, tu fais ça bien…

Je t’avais prévenu, et tu sais quoi ?

Non ?

Je pourrais faire ça pendant des heures !

Elle se redresse aussitôt, m’embrasse à nouveau à pleine bouche, mélangeant ma cyprine avec nos deux salives puis, après avoir débarrassé mes seins de leur carcan de dentelle, elle retourna s’affairer entre mes jambes, tout en s’amusant à me tripoter les tétons du bout des doigts.

Moi qui avais pourtant très envie de lui rendre la pareille, je me laissai à nouveau faire sans broncher, et je passai mes mains dans sa belle crinière rousse pendant qu’elle continuait de me laper le sexe.

T’es vraiment… une… belle petite… cochonne, lui dis-je, la voix saccadée à cause des décharges électriques qui m’envahissent le corps.

Si moi je suis une cochonne, toi tu es quoi ? me demande Romane.

Une… petite… salope !

Une grosse salope, tu veux dire ! rectifie-t-elle avant de reprendre mon sexe en bouche, tout en me regardant en souriant.

Je lui réponds par un sourire puis, alors que je la sens me mordiller doucement le clitoris, une fois retenti au rez-de-chaussée, nous interrompant brutalement dans nos ébats.

Les filles, vous êtes où ?

Reconnaissant aussitôt la voix d’Anaïs, je fais signe à Romane de se taire puis, après avoir repris un semblant d’esprit, je hausse la voix.

On est en haut, on arrive dans deux minutes.

OK, répond Anaïs.

Nous restons muettes pendant quelques secondes, attentives au moindre bruit qui pourrait provenir de derrière la porte puis, Romane se redressa.

On va vraiment s’arrêter maintenant ? me demande-t-elle.

On a pas trop le choix, il me semble…

Dommage…

Elle se pencha aussitôt vers moi pour m’embrasser à nouveau puis, après avoir déposé un dernier baiser sur mon Mont de Vénus, elle m’aida à remettre ma culotte et mon short pendant que je remballais ma poitrine et fermait mon chemisier.

C’était vraiment super, dis-je une fois rhabillée.

Oui, mais j’en ai pas terminé avec toi, ma jolie !

J’espère bien, ce serait trop facile !

Dis-moi où et quand, et je m’en donnerais à cur joie !

Ça par contre, je sais pas, et ça risque d’être compliqué, mais je suis sûre qu’on trouvera une solution…

Elle me répond par un sourire puis, alors que je m’apprête à ouvrir la porte pour quitter la chambre, elle me plaqua à nouveau contre le battant pour m’embrasser goulûment.

À plus tard, ma salope !

Nous quittons aussitôt la chambre et retournons dehors, comme si de rien n’était. En voyant une partie de ma famille qui continue de danser et une autre qui est assise autour de la table à boire du champagne, je me dis que, s’ils savaient ce qui venait de se passer dans cette maison, ils auraient beaucoup de mal à le croire.

Et pourtant, malgré les quelques minutes intensives que nous venons de passer ensemble, Romane et moi arrivons à faire comme si de rien n’était et à se comporter normalement avec tout le monde alors qu’intérieurement, elle comme moi, nous sommes toutes les deux bouillantes.

Quand nous retournons sur la piste de danse, nous avons tout de même du mal à ne pas nous bouffer des yeux, mais, par peur de nous faire bêtement griller, nous réussissons quand même à prendre sur nous, même si j’ai l’impression que cela nécessite un effort colossal de ma part.

Ainsi, pendant l’heure suivante, nous alternons à nouveau danse, puis petite pause pour boire un verre, et à nouveau danse, etc.

La seule fois où Romane et moi nous nous retrouvons assises côte à côte à table, cette coquine profite que tout le monde regarde pour me caresser la cuisse à quelques reprises. Je lui fais comprendre d’un regard des risques que cela représente et elle me répond par un petit sourire qui me fait vibrer de tout mon être.

Aux alentours de deux heures, plusieurs personnes décident d’aller se coucher, et nous ne sommes plus qu’une douzaine à danser autour de la piste. Comme la fatigue se fait également ressentir chez la plupart des derniers noctambules, nous baissons la musique, puis débarrassons les tables et allons remplir le lave-vaisselle. Dès que c’est fait, tout le monde s’embrasse et va se coucher, certains dans les tentes, d’autres dans un camping-car, et d’autres dans la maison. Lorsque Romane s’approche de moi pour lui faire la bise, c’est avec un nud en ventre que je lui embrasse la joue puis je la regarde se diriger vers la maison sans rien dire, déçue que cela se termine ainsi.

Quelques minutes après, Anaïs et moi rejoignons notre tente et, après avoir enfilé des vêtements légers pour la nuit, nous nous enfonçons dans nos duvets. Évidemment, je ne trouve pas le sommeil, l’esprit beaucoup trop accaparé par mon aventure avec Romane et, en y repensant, des petits papillons se réveillent dans mon ventre.

Soudain, alors que je m’apprêtais à glisser ma main dans mon duvet afin de me caresser le sexe, une voix retentit dehors.

Vous dormez, les filles ?

En reconnaissant la voix, je ne peux m’empêcher de sourire, et je me redresse. À travers la toile de tente, je vois une faible lumière ainsi qu’une ombre accroupie.

C’est toi, Romane ?

Oui, c’est moi, je peux ouvrir ?

Je regarde Anaïs qui affiche une grimace pour avoir été réveillée en sursaut puis :

Si tu veux, dis-je.

Presque aussitôt, le bruit de la fermeture éclair de la porte retentit, puis la crinière rousse de Romane apparaît dans l’entrebâillement.

Oups, désolé, dit-elle à Anaïs en voyant qu’elle n’avait pas l’air d’être contente d’avoir été réveillée.

Pas grave, qu’est-ce qu’il y a ? demande-t-elle.

J’arrive pas à dormir et j’ai l’impression qu’il fait une chaleur à crever, là-haut. Ça tente quelqu’un une nuit à la belle étoile ?

Comprenant aussitôt que cette proposition m’était surtout adressée, je saute sur l’occasion.

Je suis partante, dis-je en me redressant sur le matelas.

Super…

C’est une blague, vous allez vraiment faire ça, les filles ? demande Anaïs.

Bah oui, pourquoi pas ? Tu peux te joindre à nous, si tu veux…

Sûrement pas, je serais mieux ici…

Comme tu voudras. Bon, bonne nuit, surette…

Je dépose un rapide baiser sur la joue d’Anaïs puis, après avoir attrapé mon duvet et une lampe tempête, je sors de la tente, referme derrière moi, puis me tourne vers Romane qui m’adresse déjà un grand sourire qui en dit long.

Tu veux aller où ? murmurai-je.

Je sais pas, comme tu veux…

Je regarde alors autour de nous à la recherche d’une idée, mais, en voyant toutes les tentes, je sais pertinemment que nous ne serions pas à l’aise ici pour pouvoir poursuivre nos ébats. Du coup, il n’y a qu’une solution.

Suis-moi…

Nous nous dirigeons aussitôt vers le portail, silencieuses comme des ombres, et, après l’avoir escaladé, nous prenons le chemin que nous avions déjà pris quelques heures plus tôt pour aller nous balader.

Dès que nous sommes suffisamment loin de la maison, je laisse tomber mon matelas et ma lampe par terre puis, je me jette sur la bouche de Romane qui, visiblement, n’attendait que ça. Nous nous embrassons donc au beau milieu de ce chemin pendant de longues secondes, laissant nos mains se balader sur nos corps brûlants d’excitation puis quand nos bouches finissent par se séparer, nous ramassons nos affaires et continuons notre route, main dans la main.

C’était pas con de proposer ça, dis-je à Romane.

Oui, j’avais tellement envie de toi que ça ne pouvait pas attendre demain…

Pareil, alors trouvons-nous vite un petit coin tranquille et ensuite, tu pourras me faire ce que tu voudras, ma chérie…

Tout ce que je voudrais, ah bon ? Intéressant…

Elle m’adresse ensuite un clin d’il puis nous continuons notre chemin. Heureusement, la Lune est bien remplie et produit encore assez de lumière pour que nous puissions nous passer de la lampe.

Je ne savais pas que tu aimais aussi les femmes, dis-je à Romane après quelques secondes de silence.

C’est assez récent, me répond Romane. J’ai d’abord été hétéro pendant longtemps et, quand j’étais Miss Régionale, disons que… j’ai testé d’autres horizons !

Vous avez fait des cochonneries entre Miss, tu veux dire ?

On peut dire ça, oui.

Intéressant…

Et toi ? Je suis ta première amante ?

Première, non, mais la plus entreprenante, sûrement !

Romane me répond par un sourire puis, nous continuons notre marche. Après quelques minutes, nous arrivons devant l’entrée d’un champ et nous nous y engouffrons sans la moindre hésitation. Nous longeons les côtés pour nous éloigner un peu du chemin puis, une fois suffisamment loin et à l’abri d’éventuels regards indiscrets, j’installe le duvet par terre, puis allume la lampe tempête en réglant sa lumière presque au minimum.

Votre lit est fait, Madame, dis-je à Romane en m’approchant d’elle.

Elle me répond par un nouveau sourire qui me fait vibrer puis elle m’attire doucement vers elle pour m’embrasser tendrement, pendant que mes mains se glissent sous son tee-shirt. Alors que j’atteins ses seins nus du bout des doigts, Romane se débarrassa de mon étreinte buccale puis, après avoir fait un pas en arrière, elle senleva son tee-shirt qu’elle roula en boule avant de le balancer près du matelas.

Je regarde aussitôt ses petits seins et ses tétons qui pointent et, en la voyant si court vêtue, avec ses beaux cheveux roux qui tombaient en cascade sur ses épaules, j’ai terriblement envie d’elle. Je m’approche donc d’elle, mais elle me repoussa gentiment.

Allonge-toi, ma jolie, j’ai pas été rassasiée, tout à l’heure, m’ordonne-t-elle.

Moi aussi j’ai envie de m’occuper de toi !

Tu le feras, t’en fais pas, la nuit est pas terminée…

Sans hésitation, je me couche sur le duvet puis, Romane s’accroupit face à moi, attrapa les extrémités de mon short de nuit, et me l’enleva.

Quelle belle petite chatte, fit-elle en admirant mon sexe.

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