Le ménage à trois dura un certain temps. Tout le temps que j’étais présent dans le duplex, je réservais les nuits à Dalila et les matinées à sa mère. Comme je voyageais beaucoup pour mon travail, je n’occupais le logement que la moitié du temps. Mais cette moitié de mon temps, je la vivais pleinement avec mes deux amantes. Les nuits, je laissais ma jeune étudiante me raconter ses fantasmes et les vivre pleinement avec moi, prenant toujours plus de plaisir ; et m’en donnant autant. Les matinées, c’est la maman, qui venait me réveiller (pendant que sa fille allait à l’université pour ses cours), me préparer un copieux petit-déjeuner, me le servir au lit et transformer ce dernier en champ de bataille pour amoureux.
C’est à l’occasion d’une de nos mémorables séances d’amour torride, qu’est apparue dans ma vie la deuxième fille de Fahima. Celle-ci, qui s’appelait Feriel, avait deux ans de moins que sa grande sur. Elle était maintenant en dernière année de lycée et préparait un bac sciences. Elle était plus petite que Dalila, environ 1,65 mètre, plus mince, avec un joli petit minois tout rond et très expressif. Elle avait de grands yeux noirs, qu’à son âge, elle maquillait déjà de manière experte, pour accentuer la profondeur du regard. Elle avait un regard troublant, mi-rieur, mi-sérieux et parfois provocant. Sa bouche était beaucoup plus petite que celle de sa sur. Les lèvres étaient pleines, ourlées et fermes. Tout comme sa sur, elle ne fermait jamais totalement sa bouche. Elle gardait ses lèvres légèrement entrouvertes et faisait sortir assez régulièrement le bout de sa langue pour les humecter. Ce geste, probablement inconscient, était chargé de sensualité. On aurait cru qu’à chaque fois qu’elle le faisait, elle pensait à des choses érotiques qui l’excitaient.
Ses cheveux étaient très noirs, mi-longs et très fortement bouclés, comme c’était la mode en ce temps-là. Sa coiffure lui donnait l’air d’une sauvageonne, qu’accentuait sa manière de se vêtir, très différente de sa grande sur : toujours un jean serré qui mettait en valeur sa taille fine, ses jambes bien dessinées et surtout un petit fessier bien rond. Elle devait porter des strings parce que, malgré les pantalons serrés, on ne voyait jamais le dessin du contour d’une culotte. Le haut, par contre, n’était jamais vêtu serré ; c’était soit un pull large, toujours trop grand, dans lequel elle semblait nager ; soit une veste, elle-même en jean, qui s’ouvrait sur une large chemise en coton qui dépassait de dessous la veste. Elle semblait avoir adopté ce look d’adolescente pour paraître sexy et sérieuse à la fois. En réalité elle portait des hauts larges pour essayer de cacher une poitrine qu’elle trouvait trop petite pour pouvoir être mise en valeur par un tee-shirt ou un chemisier serré ; encore moins par un décolleté, même discret.
Elle en faisait un complexe, qui ne la quittera que beaucoup plus tard, quand elle s’aperçut que ses seins étaient très beaux (même s’ils n’étaient pas volumineux), bien plantés, dressés vers le ciel et fermes. Leur forme oblongue, ainsi que leur couleur bien blanche avec des tétons marron et pointus leur donnaient une sensualité, qu’une poitrine plus imposante n’avait pas.
Je l’avais rencontrée plusieurs fois, mais je n’avais encore jamais flashé sur elle. Elle était encore trop jeune quand j’avais fait la connaissance de sa grande sur. D’autre part j’avais l’esprit accaparé par mes relations avec Dalila et Fahima qui avaient longtemps suffi à mon bonheur. C’était la manière dont notre première rencontre érotique s’était déroulée qui avait tout déclenché. C’était un matin ; il devait être neuf heures et je venais d’être réveillé par Fahima qui, comme à laccoutumée, m’avait préparé et ramené un copieux petit-déjeuner au lit (elle l’avait aussi préparé pour Dalila qui l’avait pris dans la cuisine, avant de partir pour l’université). Je mangeais doucement tout en regardant Fahima, qui me regardait aussi. Elle semblait heureuse de s’occuper de moi ; elle avait un petit sourire béat sur les lèvres. Je me sentais bien, ainsi entouré par la fille et la mère. Je terminai de manger, lui rendis le plateau qu’elle posa sur une table à côté. Je lui demandai de se rapprocher de moi pour que je lui donne un grand baiser de remerciement.
Comme toujours avec elle, le gentil baiser de remerciement se transforma très vite en un baiser torride et mouillé qui déclencha en nous le processus érotique qui mène à la fellation, l’encônnage et l’enculage, sans lesquels notre relation ne serait rien.
Ce fut au moment où elle était agenouillée par terre devant moi, en train de sucer goulûment mon pénis, qu’apparut sur le seuil de la chambre Feriel, tout essoufflée et ébouriffée (elle avait dû monter tous les étages à pieds) nous surprenant dans cette position pour le moins gênante. Je l’aperçus au moment même où elle s’engagea dans la chambre et s’arrêta net (je sus par la suite que son école avait fait grève et qu’elle avait donc décidé de revenir à la maison pour y travailler son bac ; comme elle n’avait pas les clés de la maison, elle savait où trouver sa maman pour les récupérer). Un instant je fus pris de panique : j’avais peur du scandale et de la détérioration des relations mère/fille. Fahima qui ne se doutait de rien, continuait méthodiquement son travail d’aspiration de ma queue. Je pris sa tête entre mes mains pour l’empêcher de se retourner et de voir sa fille ; je fis semblant de l’aider dans le mouvement de va-et-vient que faisait sa bouche sur mon membre, dont la raideur n’avait pas souffert de l’apparition de Feriel.
Au lieu de crier, hurler ou s’enfuir, Feriel était restée là debout, à regarder la scène. Cela ne semblait pas la troubler outre mesure ; elle devait bien sûr connaître la nature nos relations, entre sa maman et moi. Elle regardait la scène, sa maman les fesses à l’air et la bouche pleine d’une queue de dimension respectable et moi debout devant elle me faisant sucer avec délectation. Une idée bizarre m’était tout de suite venue à l’esprit : je voulais lui faire admirer ma queue que l’excitation avait fait gonfler et allonger considérablement. Mais pour cela, il fallait que je la sorte de la gorge de sa maman la passe par-dessus sa tête pour la rendre visible à la fille, tout en maintenant la tête de sorte qu’elle ne se retourne pas ; j’y réussis avec difficulté ; mais j’ai été rapidement récompensé en voyant l’effet que ma grosse bite, toute dure, mouillée et luisante avait eu sur la fille. Elle ouvrit légèrement la bouche, passa le bout de sa langue sur ses lèvres et eut un sourire énigmatique ; elle avait le regard brillant d’une fille très fortement excitée et le souffle de plus en plus court.
Je remis ma queue dans la bouche de ma maîtresse et la laissai l’aspirer et reprendre le mouvement de va-et-vient. Après un léger moment, Feriel se mit à mimer dans le vide le geste que faisait sa mère avec sa bouche et sa main ; visiblement elle s’imaginait à sa place et goûtait au fruit défendu d’un beau vit bien gros, long, raide et dur comme de la pierre. Elle me regardait fixement avec ses yeux luisants et me fit un sourire provocateur qui eut pour effet immédiat de me faire bander encore plus fort. Son sourire était une invitation silencieuse à lui faire la même chose ; visiblement, ce que nous faisions sa mère et moi ne la choquait pas ; elle appréciait le spectacle et elle aurait bien voulu en profiter. C’était du moins comme cela que j’interprétais son comportement.
Mon excitation était à son paroxysme. Je me mis à faire moi-même le mouvement de va-et-vient dans la bouche de ma maîtresse. Fahima comprit très vite que j’avais très envie d’éjaculer et se servit de sa langue et de sa main pour tiller mon gland à chaque fois qu’il revenait à leur niveau et forcer ainsi l’éjaculation. C’était trop bon la maman qui suce comme une déesse, la fille qui regarde silencieuse mais participe par la pensée à l’acte et moi qui allait avoir un immense orgasme, que mentalement, je dédiais à Fériel. Elle aussi comprit que j’allais jouir dans la bouche de sa maman ; elle haletait de plus en plus fort ; se caressait le bout de ses seins, une main à l’intérieur de son vaste chandail ; se caressait entre les cuisses par-dessus le tissu de son pantalon. Je voyais ses lèvres se relâcher et son regard se voiler ; elle eut un long gémissement de jouissance, qu’heureusement sa mère n’entendit pas, recouvert qu’il était par le long râle de plaisir qui sortit de ma bouche, quand mon sperme se répandit dans sa gorge en longues giclées épaisses et chaudes.
Je continuais à garder la tête de ma maîtresse serrée entre mes mains pour qu’elle ne se retourne pas et lançais un regard suppliant à la fille, pour qu’elle quitte la chambre. Elle me fit un sourire coquin et quitta la chambre en ondulant son petit cul bien serré dans son jean, pour m’exciter encore plus. Je relâchai l’étreinte de mes mains sur la tête de Fahima et la fis se lever. Elle ne s’était doutée de rien. Feriel revint quelques minutes après ; cette fois-ci, elle sonna à la porte d’entrée (qui était bien sûr ouverte), attendit quelques secondes et l’ouvrit elle-même en appelant sa maman. Elle la trouva sur le seuil de la chambre, ayant remis un peu d’ordre à sa tenue. Elle lui demanda les clés de l’appartement et s’en alla sans un regard pour moi. La maman ne tarda pas à la rejoindre.
Je mis beaucoup de temps à me calmer ; à calmer mon excitation pour cette fille qui se mit depuis à occuper totalement mon esprit ; même quand j’étais avec sa grande sur ou avec sa maman. Il fallait absolument qu’elle m’appartienne ! Mon instinct de prédateur s’était réveillé. Je me mis à échafauder toutes sortes de plans, plus biscornus les uns que les autres, pour la séduire et l’amener à m’appartenir. J’ai fini par me dire que le plus simple était de demander à sa maman de me l’offrir, comme elle m’avait déjà offert (vendu ?) Dalila. Un matin que l’on venait de faire l’amour (moins bien que d’habitude, par ma faute, tant mon esprit était plein de Feriel) je lui ai susurré à l’oreille :
— Je veux que tu me fasses un superbe cadeau, qui prouvera ton amour pour moi !
— Tout ce que tu veux ! me répondit-elle.
— Feriel ! lui dis-je dans un souffle.
Elle en fut estomaquée et resta longtemps silencieuse, certainement à réfléchir à la réponse cinglante qu’elle allait me faire. Et puis au bout d’un moment, elle me dit :
— Pourquoi Fériel ? Dalila et moi ne te suffisons plus ?
Je ne savais plus quel argument lui donner ; lui dire la vérité ? Lui inventer une quelconque histoire de besoins physiologiques ou psychologiques ? Finalement je lui dis que depuis que je l’ai vue l’autre jour dans l’appartement, je n’arrivais pas à la faire sortir de mon esprit et que même mes relations avec elle et Dalila commençaient à s’en ressentir.
— Même quand je baise avec toi et avec Dalila, elle est toujours présente !
Au début, elle ne voulait rien entendre : elle m’avait même proposé de m’offrir une très jolie fille qui venait d’emménager avec ses parents dans un appartement voisin.
— Une jeune vierge, très sensuelle dont le rêve est de se faire dépuceler par un homme comme toi, riche et généreux.
— C’est Feriel que je veux, personne d’autre pour le moment ! lui assénai-je, avec violence.
Finalement elle comprit que rien ne me fera changer d’avis, pas même la menace qu’elle et Dalila (qu’elle me menaça de mettre au courant) me quittent. Environ un mois après l’évènement, elle arrêta de bouder ; visiblement elle avait parlé avec Feriel et celle-ci l’aurait convaincu que la situation lui convenait totalement ; que je lui plaisais et qu’elle était d’accord pour me partager avec elle et Dalila. C’est du moins ce que je compris de l’exposé touffu qu’elle me fit dont je ne retins que ceci : elle était d’accord pour me faire le cadeau que je lui demandais ; cela lui coûtait beaucoup et c’était la preuve irréfutable de son amour pour moi. Elle me dit bien sûr de ne pas informer, pour le moment, Dalila. J’acceptai avec empressement et nous nous mîmes à échafauder un plan pour que Fériel vienne passer la nuit avec moi à un moment où Dalila serait absente.
Cette situation se présenta quelques jours plus tard ; Dalila devait passer la nuit chez une copine étudiante pour réviser avec elle les examens de fin de semaine (en réalité elle venait de tenter une expérience homosexuelle avec cette copine et elle y avait pris goût : le prétexte des révisions nous arrangeait tous les deux). Feriel se présenta chez moi en début de soirée. Je ne l’avais plus revue depuis l’épisode de la fellation avec sa mère. Elle était toujours la même : elle ne semblait pas impressionnée, ni même gênée par la situation. Elle était habillée de la même manière que ce fameux matin (c’était peut-être fait exprès pour me rappeler l’épisode et maintenir la pression sur moi). En fait, je crois que c’était moi, le plus gêné des deux ; j’avais un peu honte de moi. Mais sa vue, le souvenir qui me restait d’elle en train de mimer une fellation, la jouissance qui s’ensuivit aussi bien pour elle que pour moi, commençaient à réveiller mes sens.
Je lui pris la main et la fis entrer dans l’appartement sans un mot. Je la fis avancer devant moi pour admirer sa démarche ondulante et sa croupe de petite pouliche. Elle était super-bandante, même habillée comme cela: jean serré et chandail ample. Je la fis asseoir sur le divan et pour me donner un peu de contenance, je lui proposai une boisson. Elle fit non de la tête et me fit signe de m’avancer vers elle ; ce que je fis sans comprendre où elle voulait en venir. Quand j’arrivais à sa hauteur elle posa sa main sur mon pantalon à hauteur de l’entrecuisse et commença à caresser mon sexe, qui jusque-là était resté très sage. Au contact de sa main ma queue commença à s’émouvoir et à grossir. Très rapidement elle atteint sa dimension d’érection qui fit une bosse volumineuse au niveau de la braguette.
— Je veux voir ton zob ! » Dit-elle dans un souffle.
Mais au lieu d’attendre que j’ouvre moi-même la braguette, elle entreprit de défaire ma ceinture, dégrafer les boutons de mon pantalon, ouvrir la braguette, abaisser le pantalon et le slip sur mes genoux et mettre à l’air libre mon énorme bite qui se dressa immédiatement à la verticale. Elle faisait tout cela avec des gestes nets et précis, sans aucune hésitation, comme si elle avait fait cela toute sa vie. Mon excitation était à son comble. Elle prit ma queue dans sa petite main et se rendit compte qu’elle n’arrivait pas à l’entourer.
— Je me demande bien comment elle pourra rentrer dans ma chatte ! Elle va me déchirer ! dit-elle dans un souffle.
Sans attendre de réponse, elle se mit à genoux par terre et avança sa tête vers mon gland boursouflé ; elle se mit à promener ses lèvres à demi ouvertes tout autour de lui en donnant de temps en temps des coups de langue pour le titiller un peu plus. Puis tout à coup, elle ouvrit toute grande sa bouche et essaya d’y introduire le bout de ma queue ; elle dut l’ouvrir encore plus, pour qu’il entre : elle avait une toute petite bouche. Au bout d’un tout petit moment elle trouva la formule idoine pour que la pénétration se fasse bien, sans qu’elle ne me morde et sans qu’elle ne s’étrangle avec une queue aussi énorme. Sa bouche épousa parfaitement la forme de mon pénis ; j’eus l’impression qu’elle avait été moulée sur la forme et la dimension de mon sexe en érection.
Je sentais une agréable sensation de chaleur moite dans cette bouche paradisiaque. Je me posais la question de savoir si j’allais entreprendre le mouvement de va-et-vient dans sa bouche ou si je devais attendre qu’elle en prenne elle-même l’initiative. Comme si elle avait entendu ma pensée, elle se mit à avancer sa tête vers mon bas-ventre jusqu’à faire totalement disparaître ma queue dans sa bouche ; elle eut un petit hoquet, s’arrêta un moment et reprit le mouvement en sens inverse. Elle fit sortir mon manche de sa bouche, le regarda, le lécha sur toute sa longueur et le remit à l’intérieur en poussant doucement pour qu’il la pénètre jusqu’au fond de la gorge. Elle refit la manuvre plusieurs fois, tout doucement comme pour habituer sa bouche et sa gorge au mouvement de va-et-vient. Mon excitation n’arrêtait pas de grandir ; mon sexe continuait à grossir dans sa bouche. Je sentais mon corps en entier frémir comme s’il recevait des petites décharges d’électricité très agréables. Elle semblait deviner mes sensations ; elle accéléra tout à coup le rythme du va-et-vient en recouvrant de temps en temps le gland tuméfié avec sa langue.
Au bout d’un moment, je sentis mon membre éclater et envoyer avec violence une grosse giclée d’un sperme épais et brûlant au fond de sa gorge. Cela la surprit un moment ; elle ne connaissait pas cette sensation d’avaler un liquide visqueux, dru et chaud. Très vite elle reprit le mouvement de va-et-vient pour faire expulser le reste de mon liquide, qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte ; elle eut un réflexe irrépressible de vomir, mais se reprit rapidement et remit tout à l’intérieur de sa gorge et donc de son estomac.
Je sortis ma queue de sa bouche et lui relevai le visage pour la regarder. Elle me lança un superbe sourire, comme pour me dire « tu vois, j’ai réussi mon examen ! ».
— J’ai été bien ? me dit-elle.
— Plus que cela, tu as été divine !
— Tu veux que je recommence ?
— Non pas tout de suite ! Je vais d’abord te faire l’amour.
Je la fis asseoir sur le divan et commençai à l’embrasser. (Je me rendis compte à ce moment-là que je ne l’avais pas encore embrassée, ni même caressée ; nous étions passés directement à la fellation, sans aucune préparation ! Je posai ma bouche sur la sienne et forçai ses lèvres à s’ouvrir sous la pression de ma langue. Elle ouvrit sa bouche, me rendit très longuement mon baiser ; ma langue se mit à chercher la sienne à l’intérieur de sa bouche ; elle la trouva très vite et se mit à la lécher ; je bus avec délectation toute la salive qu’elle m’envoyait et elle fit de même en venant chercher ma salive à l’intérieur de ma bouche. Sa langue était agile, chaude et humide. Elle était pleine d’électricité. Ses baisers mouillés avaient le don de faire bouillir mon sang. Comme si elle ne venait pas de jouir quelques minutes auparavant, ma queue se réveilla d’un seul coup et redevint énorme.
Je pris la main de ma compagne et la posai sur mon sexe pour lui faire comprendre qu’il attendait la suite avec impatience. Elle comprit que j’avais envie de la tirer là, tout de suite. Elle commença par enlever son chandail ; elle n’avait rien en dessous. Je me trouvai tout à coup en face d’une poitrine juvénile, avec de petits seins en forme de poire bien fermes et dressés vers le ciel. J’en pris un dans une main et y mis une légère pression. Elle poussa un petit gémissement de plaisir. Elle était très excitable à cet endroit me fit-elle comprendre. Je recommençai à la palper doucement ; puis je pris ses tétons entre les doigts de mes deux mains et je me mis à les rouler doucement entre eux. Ce geste la fit frémir ; elle commençait à gémir doucement en me prenant les mains pour les forcer à continuer le mouvement.
— Je mouille ! me dit-elle dans un souffle. Continue !
Je continuais un moment en la regardant se trémousser et l’entendant ronronner tout doucement de plaisir. Une main quitta lentement son sein et descendit le long de son ventre pour aller vers son pantalon ; elle alla se blottir entre ses cuisses et se mit à caresser son sexe à travers le tissu. Cela eut pour effet de faire tendre tous ses muscles et de lui faire relever ses hanches pour mieux garder le contact avec mes doigts.
— Enlève ton pantalon ! lui ordonnai-je.
Elle déboutonna son jean, souleva ses hanches et d’un geste rapide fait descendre son pantalon jusqu’à ses chevilles. Elle portait un string d’un blanc immaculé qui était en harmonie avec la blancheur laiteuse de sa peau.
Je l’aidai à se débarrasser totalement de son pantalon et m’agenouillai devant elle, en lui écartant les genoux pour me positionner en face de sa chatte que je désirais regarder et admirer. J’écartais le tissu du string qui cachait sa chatte et découvrit le jardin du paradis. Elle était totalement épilée, y compris au niveau du pubis, qu’elle avait brillant et bombé. Ses grandes lèvres étaient fines et ouvertes ; elles laissaient voir les petites lèvres luisantes d’un rouge très vif. Le clitoris était tout petit mais déjà dressé et dur sous l’effet de l’excitation. Le string me gênait ; je le lui arrachai violemment en lui arrachant un petit cri de douleur. Je lui écartai les jambes de manière à avoir sa chatte totalement offerte à ma vue et à ma bouche.
— Je vais te bouffer la chatte ! lui murmurai-je dans un souffle.
Je posai ma bouche entre ses grandes lèvres et suçai goulûment les petites lèvres, puis le clitoris et plongeai ma langue à l’intérieur du canal vaginal, sombre et étroit. Elle prenait un immense plaisir à se faire sucer la chatte ; elle poussait des petits gémissements et me tenait la tête pour la maintenir en place et l’empêcher de s’en aller ailleurs. Elle prononçait des mots incompréhensibles qui voulaient certainement dire «Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! » Elle bougeait son bassin au rythme du va-et-vient de ma langue dans son vagin et continuait à couler abondamment. Je bus tout son jus avec délectation. Il avait le goût et l’odeur d’une fille vierge, un peu visqueux, acide et salé. Une merveille pour mes papilles ! Je continuais à la lécher longtemps, arrêtant de temps en temps le mouvement de ma bouche, de mes lèvres et de ma langue, pour qu’elle ne jouisse pas tout de suite. Je voulais faire durer le plaisir pour que sa jouissance finale soit paroxysmique, phénoménale. Je sortis un moment de sa chatte pour aller lui titiller l’anus avec ma langue.
Elle avait un petit anneau brun très serré. Je le léchai un moment en le mouillant avec ma salive, tentant d’y introduire un doigt. C’était difficile, tellement la rondelle était serrée. Je retournai dans sa chatte en continuant à la lécher et sucer son clitoris jusqu’à ce qu’elle se mette à gigoter comme une folle et à crier :
— Baise-moi ! Baise-moi ! Mets-moi ton gros zob à l’intérieur ! Défonce-moi la chatte !
Je ne l’écoutais pas. Je voulais d’abord qu’elle jouisse grâce à ma bouche et à mon doigt dans son cul. J’accélérai le mouvement de ma bouche et de ma langue dans son vagin et sur son clitoris ; je mouillai un doigt avec le liquide qui sortait de sa chatte et en lubrifiait l’anus pour qu’il s’ouvre et le laisse pénétrer. Je poussai un peu pour forcer l’entrée et l’introduisis à demi dans l’orifice. Elle poussa un petit cri de douleur, puis trouva la manuvre très agréable et excitante à souhait. En même temps je suçais goulûment ses grandes et petites lèvres, ainsi que son clitoris et je faisais pénétrer ma langue dans son vagin jusqu’à ce qu’elle rencontre l’hymen. Je suçais sa chatte en y prélevant tout le liquide qui y émanait. Le tout, en faisant tourner doucement mon doigt incrusté dans son anus. Elle se sentait défaillir tant l’excitation était forte et forte l’envie de jouir et de décharger. J’accélérai la manuvre en la suçant de plus en plus fort et en introduisant plus en avant mon doigt dans son anus et en le faisant tourner un peu plus vite.
Je la sentis se tendre comme un ressort et pousser un long râle rauque très sonore, avant d’éclater comme un tonnerre et décharger, en criant, dans ma bouche et sur ma main.
— Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! dit-elle dans un souffle en se relâchant totalement et en s’affaissant sur le fauteuil.
Je retirai ma bouche de sa superbe chatte et mon doigt de son anus, tout en continuant à admirer les deux orifices qui s’offraient encore à ma vue. Je bandais comme un âne et si je m’écoutais je la défoncerais sans plus attendre, tellement ma queue était tendue et mon bas-ventre douloureux à force de désir encore inassouvi.
Elle ouvrit les yeux pour me regarder et comprit très vite que j’étais encore très excité et que j’étais capable de la dépuceler sans ménagement. Cette idée semblait la faire rêver. Elle me lança un superbe sourire aguicheur en me disant, dans un souffle :
— Dépucèle-moi à la levrette !
Merveilleuse Feriel ! Même vierge et novice, elle trouve le moyen d’épater un homme comme moi ! Il ne m’est encore jamais arrivé de dépuceler une fille dans la position de la levrette. C’est une position qui ne permet pas de s’y prendre avec précaution et d’adoucir le dépucelage, déjà douloureux de nature. Mais rien qu’à cette pensée, je sentis mon membre, déjà à l’apogée de son développement, grossir un peu plus. Il était devenu monstrueux à force de désir et d’attente. Je lui ai dit :
— D’accord ! Retourne-toi !
Elle se mit à quatre pattes, la tête bien calée contre le dossier du fauteuil, les fesses très hautes et bien ouvertes. Comme cela, j’avais un aperçu panoramique de son cul et de sa chatte en même temps. Je me posais la question de ce qui était le plus plaisant : lui défoncer l’anus ou l’hymen. J’optai pour l’hymen en voyant des gouttes de liquide sortir de sa chatte. Elle continuait de mouiller et sa chatte déjà bien lubrifiée était en attente de la saillie. Je lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis derrière elle. Je présentais le gland bouffi et violacé de mon membre à l’entrée des petites lèvres et lui fis faire un lent mouvement de caresse des bas en haut en appuyant légèrement sur le clitoris et de haut en bas toujours en revenant sur le bouton. Elle aimait ces caresses faites avec mon sexe dur, mais doux au toucher. Elle commençait à bouger son fessier en suivant le rythme que j’imprimais à mes caresses. De temps en temps pour jauger la largeur du vagin et la résistance de l’hymen, j’introduisais mon membre avec délicatesse et allais buter sur l’hymen, sans forcer.
Le vagin était très étroit, mais parfaitement lubrifié ; mon membre n’éprouvait aucune difficulté à aller et venir à l’intérieur ; il se refermait sur la partie de la hampe qui pénétrait et l’enveloppait comme une gaine. Je ressortais doucement et reprenais le mouvement de caresse sur la fente de ma belle et sur son clitoris. Elle continuait à gigoter et gémir de plaisir, se crispant de temps en temps quand elle sentait mon membre la pénétrer pour aller cogner légèrement sur son pucelage. Chaque fois elle s’attendait au choc qui allait la déchirer et lui faire atrocement mal. D’un côté elle avait peur du geste et de la douleur qui allait s’ensuivre, d’un autre côté elle était en attente de la saillie qu’elle voulait voir arriver immédiatement. Elle était en chaleur comme une chienne et rien ne pouvait y mettre un terme que cette pénétration brutale qu’elle souhaitait et craignait en même temps. J’étais conscient de son état d’esprit ; au mouvement de ses hanches, à ses gémissements saccadés, à ces paroles incompréhensibles qui sortaient de sa gorge, je savais qu’elle attendait avec impatience la poussée qui allait la délivrer.
Moi-même je n’y tenais plus. Je sentais mon membre gonfler chaque fois qu’il pénétrait, même imparfaitement dans le vagin, chaud, doux et visqueux. Il voulait aller plus loin, sans plus attendre. Chaque fois que je me retirai, je le sentais déçu. Et puis n’y tenant plus, en la tenant par les hanches pour qu’elle ne bouge plus, je lui enfonçai brusquement mon membre tout au fond en défonçant la fragile barrière constituée par lhymen. Elle poussa un long cri de douleur et chercha à expulser mon sexe en retirant sa croupe. Je la maintins fermement et restai un long moment sans bouger pour l’habituer à la présence de mon engin dans son ventre. Puis je me mis à remuer doucement mon membre à l’intérieur de son vagin étroit sans encore entamer le mouvement de va-et-vient qui me fera jouir mais qui lui fera encore très mal. Le petit mouvement de mon membre tout au fond de son sexe eut pour effet de réveiller son désir et de le porter à son paroxysme. Elle recommença à gémir et à bouger sa croupe.
Je lui pris la tête d’une main pour la retourner et l’embrasser ; elle me regarda par-dessus son épaule, me laissa l’embrasser sur la joue et sur le seul coin de la bouche auquel je pouvais avoir accès.
Elle me fit un petit sourire d’animal pris au piège et me dit d’une voix à peine audible : « je t’aime ! » Je continuais à bouger doucement au fond de sa grotte ; puis je fis le mouvement de sortir tout doucement ; arrivé à l’endroit de la déchirure la douleur revint et elle cria, plus faiblement cette fois. J’entrepris de retourner au fond du vagin puis de revenir à l’entrée avec des mouvements d’abord très lents, puis de plus en plus rapides. Maintenant elle criait franchement, sans que je susse si c’était de douleur ou de plaisir. Probablement les deux à la fois. Je ne faisais plus attention à ses cris ; en fait ils émoustillaient mes sens et satisfaisaient mon côté pervers. Il me plaisait beaucoup qu’elle souffre sous mes coups de boutoir. Je ne prenais plus aucune précaution ; je l’empalais avec force et j’en tirais un immense plaisir. Feriel criait et moi j’ahanais comme un bûcheron. Tout à coup elle se mit à hurler qu’elle allait jouir et m’ordonnait de continuer, de ne pas m’arrêter.
Je sentais à ses cris, sa respiration et le mouvement de ses hanches qu’elle n’allait pas tarder à avoir un orgasme très fort et qu’elle allait décharger toute l’eau de son corps. Cette idée mit le feu à tout mon corps ; je sentis mon membre gonfler et éclater au fond de son vagin ; en même temps qu’elle s’était mise à jouir et décharger, mêlant son liquide à mon sperme.
Je continuai le mouvement, toujours violent, de va-et-vient de mon membre et eus encore deux ou trois giclées qui m’ont totalement vidé. Je me retirai de son vagin et vis mon membre tout rouge, taché de son sang. Un peu de sang se mit à couler le long de ses grandes lèvres et menaçait de tomber sur le divan. Elle prit bien vite sa culotte et essuya le sang avant qu’il n’arrive sur le tissu du divan. Elle se retourna, s’allongea sur le dos et relâcha tous ses muscles dans un long gémissement de lionne rassasiée.
— Merci d’avoir fait de moi une femme !» me dit-elle en me tendant ses lèvres pour un baiser d’amoureuse.
Je me surpris à penser alors « Merde, on n’a pris aucune précaution pour la grossesse ! ». Je le lui dis. Elle eut un petit rire coquin et me dit qu’elle n’a aucune chance de tomber enceinte : elle allait avoir ses règles le surlendemain au plus tard. Nous prîmes ensemble une douche froide rapide en flirtant un petit peu, sans plus. Puis nous allâmes nous coucher pour nous remettre de nos émotions. Elle farfouilla dans la penderie pour trouver quelque chose à se mettre. Elle dénicha une de mes chemises à manches courtes et l’enfila en guise de robe de nuit. Elle était superbe dans cette chemise beaucoup trop grande pour elle ; elle lui arrivait aux genoux. Elle se blottit dans mes bras pour y passer la nuit. Je mis très longtemps à m’endormir, évitant de trop bouger pour ne pas la réveiller. Elle dormait comme un bébé, un sourire heureux sur les lèvres. Moi je passai la nuit entre veille et sommeil, prenant soin de ne pas la déranger. J’étais dans un état de béatitude complète. Elle dormit très longtemps d’un profond sommeil, certainement rempli de rêves coquins ; de temps en temps, en effet, elle poussait un petit gémissement révélateur et rapprochait un peu plus sa croupe contre mes cuisses ; ce contact agréable de sa croupe contre mon bas-ventre créait en moi une sensation très agréable qui titillait mon sexe, sans le réveiller réellement.
L’envie était encore là, mais elle était douce et supportable ; mon membre avait eu son comptant pour la nuit et pouvait donc attendre le lendemain pour se réalimenter.
Fahima, comme à son habitude avait préparé un petit-déjeuner copieux. Elle frappa à la porte de la chambre et entra avec un grand plateau sur les bras. Elle nous trouva Feriel et moi, assis sagement sur le lit, le dos bien calé contre le dossier du lit et de gros coussins moelleux. Moi j’étais nu sous le léger drap qui recouvrait nos intimités ; elle portait toujours ma chemise qu’elle avait boutonnée jusqu’au col, tout en étant toute nue en dessous. Fahima posa le plateau sur le lit, en silence en nous examinant longuement. Ses yeux paraissaient tristes et elle semblait fatiguée. « Comment ça va ?» lui dis-je pour détendre un peu l’atmosphère.
— Tu n’as pas l’air très en forme, ce matin !.
— Je n’ai pas fermé l’il de la nuit, répondit-elle d’une voix qui me semblait distante.
— A cause de nous ?
Elle mit un long moment à me répondre ; puis comme si elle avait décidé de crever l’abcès, elle se lança dans une longue diatribe qui mêlait morale, jalousie et désir. Elle avait passé la nuit à cogiter sur ce que sa fille et moi étions en train de faire toute la nuit. D’un côté elle en était un peu jalouse et d’un autre elle s’excitait toute seule à imaginer toutes les choses que je faisais à sa fille (à aucun moment elle ne s’était dit que sa fille savait manuvrer un homme et qu’elle était la maîtresse d’uvre d’au moins une partie du scénario). Ses sens finirent par se réveiller et tout son corps se mit à frémir et demander du plaisir. Son mari dormait à côté d’elle d’un sommeil profond et bruyant. Elle essaya de le réveiller en lui caressant son sexe ; sans aucune réussite. Elle passa donc la nuit à se caresser et eut quelques petites jouissances qui n’ont pas calmé son ardeur. Elle disait tout cela d’une voix monocorde en nous regardant manger avec un appétit d’ogre. Elle reprit le plateau qu’elle posa à côté sur la petite table et vint s’asseoir sur le bord du lit, en nous regardant l’un et l’autre avec curiosité ; elle n’osait pas poser la question qu’elle avait sur le bout des lèvres.
Je devinais ce qu’elle voulait savoir.
— Elle est merveilleuse ! lui dis-je en montrant Feriel. Elle a de qui tenir ! Elle est courageuse et dure à la douleur. Elle est totalement orientée amour et sexe et ouverte à tout !
La maman eut un sourire triste, tout en regardant sa fille qui a tendu un bras pour m’enlacer, comme pour dire à sa mère : « il est à moi ! ». Dans un geste de défi, elle fit entrer une main sous le drap et la posa sur mon sexe qui commençait déjà à donner des signes de fébrilité. Elle le caressa longuement, lui faisant prendre des proportions gigantesques. Elle continuait de me caresser, tout en défiant sa mère du regard. Poussant le bouchon encore plus loin, elle introduisit sa tête sous le drap et alla déposer un petit baiser sur le gland de mon pénis. Elle s’arrêta, ressortit sa tête et fit un sourire moqueur à sa mère qui semblait bouillir intérieurement. Elle recommença le manège mais cette fois en suçant goulûment mon gourdin et surtout en rejetant le drap pour montrer toute la scène à sa mère. Elle fit pénétrer la totalité du membre jusqu’au fond de sa gorge, tout en me caressant les couilles qui venaient cogner contre ses lèvres. La manuvre dura longtemps ; j’étais au bord de l’extase prêt, à éclater dans sa bouche.
Fahima ne l’entendait pas de cette oreille ; elle se dressa brusquement, tira sa fille par les cheveux en la faisant crier de douleur et, telle une furie, lui cria que la matinée c’était pour elle.
— Tu l’as eu toute la nuit pour toi ! Moi il ne peut m’appartenir que les matinées comme celle-ci ! Alors dégage de là et en vitesse !
Joignant le geste à la parole, elle releva les pans de sa robe, mit à nu sa chatte et vint se mettre à califourchon sur mes cuisses. Elle prit mon gros gourdin dans une main et le dirigea d’un seul coup sur sa fente. Sa chatte dégoulinait déjà ; mon sexe n’eut aucune peine à pénétrer dans son vagin ; elle s’assit complètement sur lui faisant même pénétrer les couilles. Elle prit appui sur mon ventre et commença une série de mouvements verticaux, et de temps en temps circulaires, pour que toutes les parties de sa chatte profitent du frottement. Elle y allait de bon cur, avec violence. On dirait qu’elle voulait se venger de quelque chose qui l’avait fait souffrir. Telle une furie chevauchant un étalon, elle faisait monter, descendre et tourner ses hanches. De plus en plus vite ; de plus en plus fort. Un moment, elle s’arrêta pour souffler et m’ordonna :
— Mets mois deux doigts dans le cul !
Je m’exécutai en commençant par mouiller les doigts avec le liquide visqueux qui sortait de sa chatte et les introduisit dans son cul en y allant au plus profond que je pus, compte tenu de la position. Mes doigts sentirent la présence de mon pénis, à travers la paroi du rectum. J’avais l’impression de me masturber en même temps que je baisais un énorme vagin tout chaud et visqueux. J’étais au paradis.
Feriel entre-temps entreprit de manifester sa présence ; en même temps qu’elle regardait sa mère s’empaler avec furie et extase sur mon gourdin, elle se mit à genoux sur le lit en me faisant bien face pour que je ne perde rien du manège, ouvrit complètement la chemise, avança son pubis pour bien montrer sa superbe petite chatte, et commença à se caresser, tout en mettant en mouvement ses hanches. Elle commença par sucer son doigt pour bien le mouiller et le posa sur ses grandes lèvres qu’elle entreprit d’écarter pour s’attaquer à son petit bouton rose. Elle se caressait comme si elle était encore vierge ; elle n’introduisait pas franchement ses doigts dans le vagin ; elle caressait superficiellement, comme si elle avait peur de se dépuceler. Elle était de plus en plus excitée ; d’une part à cause de la scène presque surréaliste à laquelle elle participait ; d’autre part à cause des cris de plus en plus forts et obscènes de sa mère qui continuait de chevaucher mon membre ; ensuite à cause de ce membre qu’elle ne quittait pas des yeux chaque fois qu’il réapparaissait de dessous le vagin de sa maman ; et enfin à cause du fait que je la regardais se masturber avec délectation.
Elle était tendue comme un arc ; elle bavait de plaisir et laissait inconsciemment couler de la salive de sa bouche. J’aurai aimé pouvoir recueillir cette salive et la boire ; mais le poids de sa mère m’en empêchait.
Tous les trois nous étions au bord de l’évanouissement. Chacun de nous sentait qu’il allait exploser, mais voulait que le plaisir dure encore longtemps. La mère était la première à céder. Elle poussant un long râle de jouissance, tout en accélérant le mouvement pour me faire jouir en même temps qu’elle. Mes deux doigts dans son cul continuaient de la creuser et de frotter sur mon membre à travers la fine membrane de séparation. J’accélérais le va-et-vient de mes doigts. Nous explosâmes tous les deux en même temps ; elle déchargea toute son eau sur mon membre et sur mon bas-ventre ; je lui envoyai plusieurs longues décharges de sperme épais, chaud et visqueux au fond de son vagin ; elles ressortirent presque immédiatement pour aller rejoindre le liquide de ma maîtresse sur mon pubis, mes couilles et le lit. Feriel aussi se mit à jouir, de manière moins bruyante que nous : elle ramassa entre ses doigts une partie du liquide que sa jouissance a dégagé et me donna sa main à lécher. Je le fis avec empressement et avalais goulûment le liquide au goût salé et acide.
La maman s’affala brusquement sur moi, à bout de forces. Elle relâcha tous ses muscles et passa un long moment ainsi allongée, sa tête à côté de la mienne, sa poitrine étalée sur mon torse, le cul en l’air et les jambes écartées de part et d’autre des miennes. Elle releva la tête, me regarda avec un sourire qui avait perdu la tristesse qui l’habitait quelque temps auparavant. Elle semblait heureuse ; elle avait retrouvé son amant. Elle me donna un très long baiser plein d’amour et de reconnaissance. Elle se leva pour regarder le fruit du coït sur mon pubis et mes cuisses, eut un petit rire et se baissa pour lécher tout cela : mon sperme et son liquide mêlés. Elle avala quelques gorgées, puis, prise d’une soudaine inspiration, elle demanda à Fériel de venir en faire de même. Feriel n’hésita pas une seconde, montrant par là qu’elle était bien la fille de sa mère. Toutes deux entrèrent alors en compétition pour savoir laquelle allait avaler le maximum de liquide.
Quel spectacle délicieux !
Le ménage à quatre continua ainsi longtemps et donna à chacun de nous une grande part de bonheur, qu’aujourd’hui encore, des années après, je garde au fond de moi comme un trésor profondément enfoui. Dalila s’est mariée et est devenue une mère de famille responsable : elle me donne régulièrement de ses nouvelles par mail ; elle continue d’après ce qu’elle écrit à avoir quelques écarts de conduite, en prenant son pied avec sa copine, à l’insu de son mari.
Fériel a terminé ses études et est partie en France pour une post graduation. Elle a déniché un petit ami français bien gentil et doté d’un énorme sexe, m’écrit-elle.
— Tu sais il m’aime et me traite comme une reine ; sauf quand on fait l’amour, où là, je suis sa chienne ! Je prends tellement mon pied avec lui !
Fahima s’occupe maintenant exclusivement de son mari qui est tombé malade. Elle est devenue un peu bigote ; croyant que la maladie de son mari est une punition divine, à cause de son comportement immoral. Je crois qu’elle ne tardera pas à faire le pèlerinage de la Mecque pour laver tous ses péchés !
— FIN –