Le matin fut dédié aux courses et l’après-midi, piscine, toujours piscine.
Pour faire plaisir à mes petits cousins, je leurs achetai des objets gonflables. Ils s’amusèrent comme des petits fous toute la matinée.
Je terminai enfin les divers travaux de bricolage dans la matinée, sous la bienveillance de ma tante.
L’après-midi, j’emmenai mes neveux dans un parc d’attractions. Ils firent ce qu’ils voulurent, ils furent les rois et me remercièrent mille fois. Sur le retour, ils me firent part de leur tristesse de voir leurs parents séparés et de leur rancur tenace envers leur père. Ils ne comprirent pas non plus pourquoi leur mère restait seule et ils ajoutèrent qu’elle ferait mieux de faire comme papa, rencontrer un jeune homme (!). Je modérai leurs propos comme je pus.
En fin d’après-midi, Véro prépara leurs affaires, son ex les cherchant le lendemain pour 11heures.
Une fois notre dîner fini et les enfants couchés, nous primes pour habitude de traîner en bavardant, terminant notre verre de rosé faisant office de digestif. Devenu stratège, je poursuivis la même ligne de conduite le soir même en restant passif. Véro fut en peignoir et contrairement au soir précédent, elle portait une nuisette relativement transparente. On pouvait allègrement apercevoir ses seins détendus.
Elle observa le l’eau bleutée de la piscine, scruta le ciel et se fit pensive.
— Patrick, je me sens bien avec toi. Dit-elle en tirant une bouffée sur sa cigarette.
— Ah mais je vois ça ma chère Véro et même bien à son aise !
— Il fait une chaleur écrasante et ce n’est pas la première fois que tu vois une femme en tenue légère ! Ajouta ma tante en faisant référence à notre après-midi.
— Non en effet, elle a de l’allure ma quadra.
— Merci et merci pour tous les travaux que tu as fait depuis ton arrivée.
Véro éteignit sa cigarette en croisant ses jambes. Elle reprit son petit rôle agaçant d’allumeuse, sachant ma folle envie de vouloir la sauter. Elle esquiva encore une fois une de mes remarques sur son physique.
A mon tour je me débarrassai de mon haut, exhibant mon torse poilu devant ma tante. Elle m’avait complimenté sur mon physique et sans être dupe, j’avais croisé son regard plusieurs fois en maillot de bain, la voyant admirative elle aussi de mon anatomie. Observant ma tante croiser puis décroiser ses jambes graciles, ma patience atteignit ses limites et je ne vis qu’une solution peu téméraire, la fuite à défaut de devenir lourdaud.
— Véro, cette journée a été épuisante.
— Oui pour moi aussi, je vais jeter un coup d’il pour voir si les enfants dorment, attends-moi. Dit-elle en quittant la table.
J’entendis Véro dire bonsoir à ses enfants, je fumai ma dernière cigarette quand elle fit son apparition. Toujours aussi lumineuse, elle avait abandonné son peignoir, gardant sa nuisette bien transparente pour se présenter face à son neveu. Véro à nouveau assise reprit son tic en manipulant son rond de serviette, elle avait en tête quelque chose quand elle le faisait.
— Patrick, j’ai beaucoup aimé ton massage hier et tu m’as proposée un massage californien, c’est bien ça ?
— Oui c’est exact. Dis-je attentif.
— Euh je peux te demander de m’en faire un, c’est si relaxant. Me demanda-t-elle relativement embarrassée.
— Oui mais dans ce cas il faut t’allonger, veux-tu le faire dans ta chambre ? Lui proposai-je en sachant pertinemment qu’elle refuserait.
— Pas dans la mienneavec les enfants à coté, je préfère être allongée sur ton lit par exemple, si tu es d’accord ?
— Ok mais amène la crème.
Ma tante fit comme hier et revint sur la terrasse, la voir au loin avec sa petite nuisette m’affola intérieurement. Elle arriva tout sourire, son tube de crème en main avec sa tenue au vent.
Je lui tendis la main et je l’accompagnai dans ma chambre. Devant le lit, elle fut prise au dépourvu, ne sachant que faire.
— Comment fait-on Patrick ? Dit-elle confuse de se retrouver à peine vêtue face à moi.
— Allonge-toi tout simplement et relève ta nuisette à hauteur des cuisses que je ne te mette pas de la crème dessus.
— Tu ne m’as pas dit que tu me masserais au niveau des fessiers et dans le dos ?
— Bon, je ne suis pas un étranger alors je me retourne et tu l’enlèves. Dis-je avec un ton calme et rassurant.
— Patrick, mais je vais te montrer mes fesses ?
— Alors va mettre un slip et un soutien-gorge. Rétorquai-je.
— Bon je l’enlève mais retourne-toi. M’ordonna-t-elle.
Véro eut un petit rire nerveux tandis que je me mis face au mur. Une fois étendue, j’examinai avec attention le corps de ma tante.
Merde (!) dire qu’elle avait 42 ans, elle était belle comme une fleur et force fut de reconnaître que certaines femmes avaient été plus gâtées par la nature que d’autres, que certaines possédaient cette faculté de traverser le temps en s’épanouissant. Je fus en face d’une de ces femmes, ma tante Véronique mère de deux enfants.
— Mets tes bras le long du corps. Lui demandai-je en me gardant de la complimenter sur sa plastique de rêve.
— Ouh là là ! J’ai affaire à un professionnel ! Ajouta-t-elle enthousiaste.
Les mains couvertes de crème, je débutai par de longs mouvements lents et fluides sur l’ensemble de son dos et de ses épaules, pour lui permettre une profonde relaxation physique et psychique. Je terminai en passant par ses bras jusqu’à ses mains.
Partant d’effleurages doux, enveloppants et relaxants, mes manuvres s’enchaînèrent en progressant vers le bas du dos. En intensifiant mes mouvements, je voulus faire surgir et libérer en elle des émotions cachées, inscrites dans sa mémoire corporelle. Sans me gêner, une noisette de crème fut déposée sur chacune de ses fesses pour lui signifier mon intention de les toucher.
Pour la détendre davantage, j’entamai une conversation.
— Comment te sens-tu ? Lui dis-je en passant mes mains sur son dos pour finir sur l’ensemble de ses fesses.
— C’est très agréable ce que tu fais, ça me détend. Soupira-t-elle en omettant de me faire remarquer mon attitude désormais intimiste.
— N’écoute que ma voix, sens mes mains qui effleurent ta peau, qui passent le long de ton corps, qui épousent tes épaules. Sens comme elle glisse le long de ton corps, ton corps qui s’apaise, qui devient plus léger. Dis-je d’une voix douce et légèrement enjouée.
— OuiDit-elle en respirant profondément.
— Tu ressens des émotions nouvelles, agréables et tu deviens légère comme une plume, tu aimes mes mains qui effleurent l’ensemble de ton dos, de tes jambes et de tes piedsPoursuivis-je en faisant désormais de grands passages sur son corps fabuleux.
— Oui c’est bonDit-elle en fermant les yeux.
Mes mains prirent possession de son corps, je passai de sa voute plantaire en remontant jusqu’à ses épaules en formant une enveloppe tout en redescendant le long de ses bras. Je m’attardai sur sa nuque, pour la soulager de diverses contractures puis j’entendis sa respiration s’amenuiser. Je massai, enfin je caressai à proprement parler l’intérieur de ses cuisses par de grands mouvements circulaires. Je n’eus qu’une idée, effleurer ses lèvres intimes mais de peur de tout gâcher, je me résignai à poursuivre ledit massage natif de Californie.
Je terminai en lui pétrissant les muscles au niveau des épaules, plus précisément les trapèzes. Cela eut pour but de la réveiller.
— Oh comme je suis bien Patrick, c’est de la folie ce massage. S’enthousiasma-t-elle.
— Je te l’avais dit.
— Mais j’ai l’impression que je me suis presque endormie.
— Tu étais transportée par mon massage relaxant et tu t’es abandonnée, tu t’es complétement décontractée et là, tu vas super bien dormir. Conclu-je en abandonnant son corps somptueux.
Elle se mit debout, les mèches dans le visage et spontanément elle se serra contre moi. Je lui passai les mains dans le dos en la frottant, comme pour la réconforter et elle posa sa joue contre la mienne. Petit moment de tendresse. Sur le point de partir, elle se retourna.
— Patrick, c’était purement génial, merci mille fois pour tout ce que tu fais pour moi.
Elle revint me dire bonsoir et curieusement elle posa ses mains sur mes épaules et se colla contre moi. Elle respira fortement, je lui glissai un baiser dans le cou pour mieux m’éloigner.
— Oh PatrickGémit-elle.
— Oui bonne nuit ma Véro.
Cette fois elle joignit ses mains en forme de cur sur le pas de la porte et me fit un clin d’il.
Je me couchai heureux, mais connaissant ma tante je savais qu’elle allait se mettre à culpabiliser de ce massage, étant donné que mes caresses s’étaient égarées sur une partie interdite de son corps.
Le matin j’arrivai en boxer dans la cuisine, en voyant Véro déjà sur la terrasse devant sa tasse. Elle m’entendit et accourut vêtue de son peignoir uniquement.
— Bonjour Patrick. Dit-elle en approchant sa joue.
— Bonjour Véro, tu as bien dormi ?
— Oui extraordinaire ! S’exclama-t-elle.
Je la pris par la taille mais ses lèvres se dérobèrent quand les miennes approchèrent de sa bouche et mon baiser se termina sur sa joue. Par crainte de voir les enfants arriver, elle s’éloigna et me proposa un café. Comprenant sa position, je pris la tasse et l’accompagnai à l’extérieur en réalisant que rien n’était acquis.
— Bon je vais prendre une douche, tu pourras t’occuper des enfants Patrick ? Me demanda-t-elle sur un ton désabusé.
— Compte sur moi. Répondis-je avec une banalité déconcertante.
Bah ce n’était pas encore dans la pochepensais-je.
Les garçons attendirent leur père, il fut pile à l’heure.
Pas pure politesse, je vins le saluer et notre conversation tourna autour des enfants, des activités de ces derniers jours.
Ma tante essuya une larme discrète au moment du départ, quand Oscar et Jules firent de grands signes à travers les vitres de la voiture.
Une fois partis, Véro me proposa de l’accompagner faire les courses. De retour du supermarché, nous discutâmes de choses et d’autres.
— Qu’aimerais-tu faire cet après-midi Patrick ?
— Je termine les rayonnages dans la cave.
— Ah non, c’est le week-end alors détente. Dit-elle affirmative.
— Oui mais je pars lundi et il me reste peu de temps.
— Tu n’as pas pris ton billet, ça attendra. Une fois les courses rangées, nous pourrions visiter un château qui propose de grands crus, tu verras l’endroit est merveilleux. Me proposa-t-elle.
— D’accord mais après piscine !
— Oui Patrick, on se baignera ensemble et tu me feras des démonstrations avec tes plongeons ! S’exclama-t-elle.
— C’est marrant, tu me parles comme un gosse. Plaisantai-je.
Véro rigola de bon cur et une fois les courses rangées et le déjeuner fini, nous partîmes visiter ce domaine. Sur place, je restai ébahi devant les vignes à perte de vue.
Il nous fallut déguster le vin de la propriété et j’offris un coffret de six bouteilles à ma tante. Elle refusa catégoriquement au départ mais vu mon insistance, elle céda et me remercia mille fois en me demandant ce que j’aimerais manger le soir.
Je ne cédai pas à la blague douteuse qu’elle seule me suffirait en plat de dégustation.
De retour en fin d’après-midi, je me mis en maillot et attendis ma tante, au beau milieu de la piscine. Elle se présenta avec une serviette à la taille et se sachant observée, elle s’allongea sur le transat puis se libéra de ladite serviette.
Je vins près d’elle, prenant soin de m’essuyer.
— Patrick, tu peux me mettre de la crème ?
— Bien sûr.
J’en pris une noisette et l’étalai sur son dos, puis sur ses jambes sans faire un geste mal interprété. À mon tour, je commençai à me badigeonner le torse.
— Attends je vais te le faire. Me proposa Véro.
— Volontiers.
Elle se mît debout face à moi et étala la protection autant devant que dans le dos. Je sentis ses doigts fins parcourir mon dos, d’ailleurs je précise qu’il fut nécessaire de rester ainsi, mon sexe devenant bien agité. Une fois fini, elle se remit sur son transat et en voyant l’expression de son visage, quelque chose la tracassait.
— Patrick ?
— Oui ma tante ? Dis-je avec une pointe d’ironie en l’appelant ainsi.
— Je repense à hier, c’était dingue ton truc !
— Je t’ai massée, rien de plus. Dis-je sans évoquer notre baiser furtif raté.
— Oui mais ça me turlupine, j’ai l’impression que j’étais ailleurs.
— Tu étais bien, légère et tu t’es abandonnée complétementDis-je pour attiser son attention.
— Ah bon ?
— Tu as eu de longs soupirs. Ajoutai-je volontairement.
Son portable sonna et en l’écoutant, une amie à elle se proposa de passer prendre l’apéritif avec son mari. Véro revint m’expliquer la situation.
— Il y a Patricia, une amie de longue date qui vient avec son mari Paul. Ils croyaient que j’étais seul alors je leurs ai dit de rester diner avec nous. Ça ne te dérange pas ?
— Tu es chez toi ! Alors au travail et demande moi ce que tu veux.
Véro sourit en m’écoutant et me demanda de dresser la table sur la terrasse. Elle s’affaira dans la cuisine pour préparer l’entrée, du saumon. En tablier, elle me sollicita pour éplucher un oignon, puis des carottes et ensuite des courgettes. Véro était une fine cuisinière et savait recevoir.
Durant cette fin d’après-midi, je redevins son neveu, ma tante me commandant pour chaque tâche puis vers 19h, elle monta s’habiller. L’occasion fut trop belle pour l’aider et elle choisit une jupe courte avec un chemisier bleu pâle.
Elle me décrit le couple, lui étant chef d’entreprise dans la climatisation et elle responsable marketing-développement au sein d’une multinationale. Ils arrivèrent avec un puissant 4×4 allemand.
Je montai m’habiller en vitesse pour redescendre les rejoindre à l’apéritif. Vêtu d’une chemise blanche avec un jeans et le temps de me peigner, je ne fus qu’admiratif de mon bronzage ressortant à merveille avec la blancheur de ma tenue. Je les saluai poliment et Patricia, jolie brune d’une quarantaine d’années, très bronzée s’exclama devant ma tante.
— Tu m’avais caché ce joli garçon sous ton toit ! Dit-elle en me faisant un grand sourire.
— Il m’aide le temps des vacances à faire quelques travaux.
— Ah moi aussi j’ai des travaux, un tas de bricoles. Tu t’appelles Patrick ?
— Oui et vous c’est Patricia ? Lui demandai-je sous le regard inquiet de ma tante.
— Oh tu peux me dire tu ! La région te plait ? Tu ne t’embêtes pas trop ici ? Demanda-t-elle curieuse.
— Oui nous avons visité un domaine ces derniers jours et pour les occupations, il y a la piscine.
— Bon nous allons passer à table, Patrick tu me donnes un coup de main ? Me demanda ma tante pour stopper cette conversation qui l’agaçait entre Patricia et moi.
Une fois dans la cuisine, je lui fis observer le côté cougar de Patricia, un brin provocateur. Elle ne répondit pas, visiblement vexée de voir l’intérêt qu’elle me portait.
Je n’en rajoutai pas plus et amenai les entrées.
Paul, fort sympathique évoqua l’ex de ma tante, son comportement irresponsable de l’avoir quittée, il conclut par une pirouette que son ex avait perdu au change (!). Nous continuâmes par le gratin de courgettes avec un rôti délicieux et les hôtes de ma tante la couvrirent de louanges.
Durant le repas, Patricia n’arrêta pas de s’intéresse à moi, à priori je fus loin de lui déplaire ce qui eut le don d’exaspérer ma tante.
Nous terminâmes par un bon décaféiné, Véro et moi étant les seuls à fumer une cigarette.
— Merci pour ton délicieux repas Véro et content de te connaitre Patrick. Dit Paul en s’apprêtant à nous quitter.
— C’est très gentil à vous deux d’avoir pensé à moi, ça me va droit au cur. Répondit ma tante en les raccompagnant.
— Nous serions très heureux de t’avoir à diner et si Patrick est disponible pour me donner un coup de main avec les tuiles du garage. Rajouta Patricia.
— Ne l’embête pas avec cela. Dit Paul.
— Bien au contraire, tu appelles Véro, je suis dispo sans problème. Répondis-je à Patricia.
— Ah bah super alors, je te passe un coup de fil demain matin ! Aouta Patricia en me jetant un regard insistant que ma tante remarqua.
— Oui. Rétorqua ma tante.
— J’ai été ravi de faire votre connaissance, vous êtes charmants. Dis-je pour conclure.
Il fut 22h et une fois la cuisine rangée, je me proposai à ma tante de se relaxer sur la terrasse, mais avant elle alla se changer pour être plus à l’aise. Elle revint avec un débardeur, faisant apparaitre ses épaules gracieuses avec un short et une paire de tongs.
Elle ramena deux verres avec une bouteille de mon rosé. Elle me pria de le déboucher et je fis le service.
— Pas mal du tout ce rosé ! Ils sont sympas tous les deux. Dis-je en entamant la conversation.
— Oui surtout Patricia qui t’as dévoré toute la soirée, j’en étais gênée pour toi. Dit-elle irritée par le comportement de son amie.
— C’est un style qu’elle se donne. Soupirai-je l’air désabusé.
— Oui enfin de là à te proposer que tu passes la voir si tu vois ce que je veux dire. Poursuivit-elle en buvant un coup.
— Oh mais il te faudrait un petit massage comme hier, tu m’as l’air bien énervée avec cette Patricia, la cougar dans toute son horreur !
Véro faillit avaler de travers avec mes derniers mots tant elle se mit à rire.
Vache, comme elle fut séduisante avec ses grandes mèches blondes et son débardeur dont l’absence de soutient gorge retint mon attention.
Certains le disent autrement, mais elle avait une belle paire de loches et elle s’était démaquillée, la rendant encore plus sensuelle que d’habitude.
Je décidai de changer de stratégie, l’envie de me la faire l’emporta et avec son attitude après ledit massage, il fut clair qu’elle ne ferait pas le premier pas avec cette barrière tante-neveu.
— T’es vachement sexy avec ton débardeur.
— Tu trouves ? Me demanda-t-elle en manipulant son paquet de cigarette à défaut du rond de serviette.
— Ah oui, à coté de Patricia tu as plus d’élégance et plus de charme, en fait tu es très sensuelle Véronique. Lui lançai-je en lui jetant un regard intimiste.
Elle ne baissa pas les yeux et devint songeuse, réfléchissant à ce qu’elle allait me dire. La confusion régna dans son esprit, que vais-je lui répondre ? je me jette à l’eau ? Ah non je suis sa tante ! quand même avec mon neveu (!) il est quand même beau mec (!) et si j’oubliais qui je suis ?
— Bah c’est gentil Patrick et tu es si attentionné avec moi, c’est vraiment du bonheur de t’avoir près de moi.
— Ah quand je pense que tu as 42 ans et quand je vois d’autres femmes à 20 ou 25 ans, t’as pas un poil de cellulite et je sais de quoi je parle. Dis-je en avançant mes pions.
— Ouitu m’as vu presque nue. Ajouta-t-elle confuse au possible.
— Et alors ? Tu as un cul superbe !
— Oh Patrick
— Bah nous sommes seuls, les enfants ne sont pas là, alors où est le problème Véronique ? Dis-je en y allant directe.
— Bon Patrick, je voudrais te poser une question et ça n’est pas facile
Véro cherchait les mots, ne sachant comment formuler ce qu’elle avait en tête. Elle voulait se lancer et conscient de sa fébrilité, je décidai de rester muet, attentif à ce qu’elle allait enfin me dire. Ca s’agitait sec dans sa tête et cette fois, le dénouement se fit proche, très proche. Elle regarda aux alentours, réalisant que nous étions seuls, pas d’enfants, rien que nous deux. La barrière tante-neveu se fracturait dans sa tête, il y avait ce fameux "et puis merde" qui résonnait, qui frappait à sa porte.
— Alors voiladepuis que tu es là, tu es aux petits soins avec moi. Etah c’est pas facile mais depuis ton massage enfin dis quelque chose PatrickM’implora-t-elle.
— Tu aimerais que je te fasse un massage dans ta chambre Véro et tu aimerais que l’on soit plus proche. C’est bien ça ?
— Ouibon je débarrasse les verres. Bredouilla-t-elle gênée au possible.
Nous allâmes dans la cuisine et Véro nettoya les deux verres dans l’évier. Je décidai de prendre l’affaire en main si je puis dire, ma tante étant incapable de me le demander.
Je me mis derrière elle et lui fis des baisers dans le cou.
Je passai ma main sous son débardeur pour y caresser son ventre et remonter à la base de ses seins, je ne fis que les effleurer.
— PatrickMurmura-t-elle.
— Laisse-toi faire Véronique. Lui chuchotai-je dans le creux de l’oreille.
Ma tante poussa un long soupir et une fois les verres terminés, elle se retourna.
— Tu sais Patrick, c’est pas évident pour moi.
— Détends-toi. Répondis-je.
— Ouimais si on va plus loin, je n’oserais plus regarder Anne, enfin ta mère en face. Dit-elle presque angoissée à cette idée.
— Véro je monte te faire un simple massage. Lui soufflai-je.
— Oui si tu veuxDit-elle évasive.
— Viens
— Oui. Répondit-elle quelque peu craintive.
Je suivis ma tante avec sa nuisette transparente en me disant que pour la décoincer, ça n’allait pas être facile. J’avais deux choses à faire, ne pas être brusque premièrement et ensuite la libérer du poids de notre relation incestueuse une bonne fois pour toute. Pour cela, il fallait qu’elle en oublie que je sois son neveu.
Arrivée à sa chambre, Véro se dirigea vers sa salle de bains
Je la rejoignis pour prendre l’initiative devant ses hésitations multiples.
— Approche un peuLui ordonnai-je.
Ma tante approcha, les bras le long du corps en me fixant dans les yeux. Je la saisis par les hanches et ne sachant que faire de ses bras, elle me les posa sur les épaules. Je soulevai sa nuisette, l’idée de la lui ôter me parut saugrenue voire précipitée. Je passai mes mains sur ses fesses en lui faisant de belles caresses, amples et sensuelles. Véro contre toute attente se serra contre moi en passant ma main dans les cheveux et me susurra.
— Tu me fais juste un massage Patrick. Insista-t-elle.
— Oui que veux-tu que je fasse d’autre ? L’interrogeai-je dans une totale hypocrisie.
Je regagnai la chambre conjugale avec une gaule infernale.
La connaissant je mis la table de chevet au sol, rendant une lumière tamisée plus favorable à son goût.
Elle arriva enfin, parfaitement démaquillée, naturelle à souhait, bref dégageant une sensualité propre à elle. Je fixai ses jambes longilignes avec sa nuisette masquant sa poitrine arrogante, elle fut sexy, hyper sexy. Véro se présenta avec une petite mine, à nouveau un sentiment de gêne fit son apparition et elle se posa de multiples questions en se culpabilisant de notre situation. Il me fallut la dévergondée au plus vite, devinant chez elle un appétit sexuel au-delà de la normale.
Elle se dirigea vers le lit, de son côté habituel. Du coup, je m’installai à la place vacante, prêt pour son massage.
— Bon il faut que j’enlève ma nuisette je suppose ? Demanda-t-elle innocemment.
— Tu supposes bien et tu as la crème ?
— Oui juste là. Répondit-elle presque désabusée.
Au moment où elle souleva ses bras pour se dégager de sa tenue, mon cur se mit à battre en voyant son dos et sa belle chute de reins.
Une fois allongée sur le ventre, j’observai sa plastique rêvée. Rien ne manqua à l’appel.
A genoux à ses côtés, mon sexe cria famine face à son festin présent devant lui.
Une noisette de crème dans les mains, je débutai mon massage californien. Je fis une sorte l’effleurage permettant de prendre contact avec l’ensemble de son corps avec des mouvements amples et circulaires. Au fur et à mesure, le bas de son dos fut dans mon viseur, enfin à la portée de mes mains. J’entamai des manuvres de pétrissage de ses fesses, afin d’éliminer son stress. J’avoue que cette zone m’interpella plus que le reste. Une dernière noisette entre ses jambes et cette fois, mon pseudo-massage prit un virage hautement érotique.
De son cul féerique, mes mains déambulèrent à l’intérieur de ses cuisses pour frôler par un pur hasard l’extrémité de ses lèvres intimes. Véro réagit à sa manière, faussement surprise par mes gestes intimistes.
— Dis Patrick, tu t’écartes de ton massage ? S’insurgeât-elle.
— Pas du tout, je suis en train de t’enlever ton stress, je te détends. Répondis-je en laissant mes doigts posés sur ses lèvres déjà humides.
— Tu as une drôle de manière de me détendreDit-elle s’en s’offusquant de la position de mes mains.
— Je te sens très tendue, alors je continue. Poursuivis-je en l’incitant à écarter les jambes.
Véro resta stoïque, ne sachant que faire.
Il fut clair que ma tante avait envie de se faire baiser mais incapable de prendre les devants, je les pris à sa place.
— Véro, pour un massage plus approfondi et si tu le souhaites, il faudrait que tu te retournes. Lui conseillai-je.
Je ne terminai pas ma phrase, ne sachant pas quoi prétexter. J’enlevai mes doigts sur cet endroit interdit pour un neveu et attendis que ma tante réagisse. Elle n’eut aucune réaction. Dans l’intervalle, je me mis nu pensant que cela atténuerait son attitude défensive.
— Retourne-toi VéroniqueMurmurai-je en passant ma main sur la peau lisse de ses fesses.
— Patrick, ça me gêne. Répondit-elle en jetant un bref coup d’oeil à mon anatomie bien portante.
— Laisse-toi un peu aller. Rajoutai-je en la prenant par l’épaule.
Elle se mît finalement sur le dos en fuyant mon regard, gardant les bras le long du corps.
Je fus pris d’une légère émotion à la vue de sa poitrine flamboyante, de ses épaules graciles, de son ventre si plat et de ses cuisses bien galbées.
La barrière tante-neveu me fit face mais mon sexe s’en contre ficha. Il me fallut bien passer à l’action, ainsi je caressai avec soin la base de ses seins. Véronique émit un soupir dans un silence de cathédrale.
Evitant de l’embrasser, c’eut été prématuré, je penchai ma tête sur sa poitrine en dispersant quelques baisers.
Je saisis finalement l’un de ses seins majestueux en l’enveloppant, comme un bien précieux.
Le feu vert arriva lorsque Véro me caressa la nuque en laissant couler sa main le long de mon dos, comme pour me montrer qu’elle s’abandonnait à moi.
Ainsi, j’enflammai sa poitrine avec une facilité déconcertante en faisant de grands mouvements circulaires, comme si je la massais. Ma langue ne se précipita pas sur son mamelon, se contentant de passer sur son aréole.
Sous l’effet ressenti, elle se mit à se tortiller et une fois son téton bien mûr, je le pris en bouche en l’aspirant, le suçant, le mordillant. Ma belle quadra gémissante se fit encore plus avenante en me laissant descendre bien plus bas. Je me mis pour la première fois de ma vie face à elle, elle replia ses jambes et je pris ses genoux dans chaque main.
— Tu te sens bien avec ton Patrick ? Dis-je en omettant de prononcer le mot neveu.
— Oui ça va. Dit-elle encore fragile.
— C’est dingue ce que tu me plais, écarte tes jambes ma belle Véro Dis-je sur un ton plaisant.
Avec de telles paroles, ma tante ne put que m’adresser un petit sourire, ravie de se savoir désirée, de recevoir un tel compliment d’un jeune homme. Toujours tourmentée, elle surmonta l’obstacle en s’ouvrant à moi, mon pouls s’accélérant subitement à la vue de son sexe flamboyant. Tout s’embrouilla et je restai médusé devant la beauté de ma tante conquise. De haut en bas puis de bas en haut je fus observateur de son corps, ou plutôt de la perfection que j’allais sauter.
— Patrick Soupira-t-elle si mal à l’aise de me faire voir son intimité éclatante.
— T’es magnifique de partout ! M’exclamai-je.
Véro se mit à rougir, honteuse de s’offrir de la sorte à son neveu, le fils de sa sur. Elle me fuit du regard, du coup je posai des questions brutes tout en m’approchant de ses lèvres roses, plaisantes à l’idée de les déguster.
— Tu aimes te faire lécher ? Demandai-je en baisant l’intérieur de ses cuisses.
— Pas maintenant Patrick, tu me demandes déjà beaucoup tu sais. Répondit-elle très émue.
— Alors je vais te câliner.
Elle répondit par un hochement de la tête.
Mes doigts se promenèrent le long de ses lèvres roses, ils s’imprégnèrent de son humidité naissante pour atteindre son crépuscule.
Ma tante respira fortement et posa sa main sur mon avant-bras.
Véro crevait d’impatience de se faire sauter tant elle fut excitée, mais l’idée de la doigter disparut immédiatement lorsqu’elle prononça des mots qualifiés de magique.
— Viens Patrick. Me répondit Véronique avec une voix faible.
Je me mis face à elle, entre ses cuisses somptueuses et pour ma plus grande joie, j’eus droit enfin à un large sourire de ma tante qui me fixa intensément.
Je fus le mâle conquérant, faisant face à Véro qui balança son bassin, m’intimant de la pénétrer au plus vite.
Mon sexe souverain effleura ses lèvres trempées et se positionna à l’entrée de son orifice impérial.
— J’en rêvais de te voir sourire Véro. Lui confiai-je en pleine béatitude.
— Alors viens, j’en ai tellement envie Patrick. Avoua-t-elle.
— Sens-moi en toi. Murmurai-je en plongeant mon gros pénis aux veines gonflées dans son vagin encore étroit.
En principe, on parle peu dans ce genre de moment, mais je voulus la décoincer à un tel point qu’il me fallut établir un contact intimiste entre nous, lui faire ressentir mes propres émotions et réciproquement.
Ma tante me dévisagea, je démarrai délicatement en devinant que par la suite un rythme infernal l’emmènerait au 7ème ciel, comme on dit.
Avide de sensations perdues ou enfouies dans sa mémoire, je vis sa mine réjouie à l’entame de mes mouvements, des mouvements paresseux pour la voir apprécier de m’avoir en elle.
— J’aime Patrick. Dit-elle en me caressant le dos.
— T’en crevais d’envieAffirmai-je en accélérant mon allure.
— Oui et tu le sais.
— Je vais te baiser ma VéroniqueAjoutai-je en prononçant son prénom en entier.
— Oui Patrick. Lâcha-t-elle en restant sur ses gardes.
Je martelai ma tante avec des coups abondants, appuyés pour l’emporter vers l’ivresse du plaisir. Du dos, ses mains descendirent sur mes fesses en se plaquant contre elles.
Elle recevait son neveu entre ses jambes et désormais, elle ne rencontrait plus aucune retenue, chaque entrée en elle lui arrachait un petit cri, l’extase fut à sa porte. Elle se laissa baiser remarquablement, je la sentis ouverte, disponible, réceptive. Elle fut ma femelle docile, m’entourant avec ses jambes, soulevant son bassin pour se faire pénétrer plus profondément.
— HummGémit-elle sans émettre un mot.
— C’est bon, dieu que c’est bonLui dis-je espérant une parole.
Ma tante émit de longs râles lors de mes va et vient puissants, elle aimait se faire baiser en douceur au début, puis en force par la suite.
Quel bonheur se fut d’être dans une telle harmonie durant notre premier acte.
Je ne suis guère pratiquant, mais en y regardant de plus près, aimer autant baiser ma tante me fit croire qu’elle fut programmée pour moi en arrivant sur terre
Véro me sentant arriver, elle se mit à jouir avec une férocité remarquable, me plantant ses ongles dans mon derrière. Je me joignis à mon tour dans le plaisir et nos deux corps unis, allongés l’un sur l’autre se complétèrent dans un accouplement animal. De baisers dans le cou, mes lèvres se rapprochèrent des siennes mais ma tante fut ailleurs, bouche ouverte cherchant de l’air en plein orgasme.
— Oh mon PatrickS’exclama-t-elle en prononçant enfin ses premiers mots.
— Oui ma belle Véro. Répondis-je sentant ses contractions vaginales intenses.
— Humm Continue !!! S’exalta-t-elle au plus fort de son orgasme.
— Jouis ma belle ! Lui ordonnai-je avec des coups de reins à répétition.
— OuiiiOuiouiDit-elle foudroyée du plaisir de sentir mon sexe la pénétrant inlassablement.
Je baisai ma tante avec une délectation sans borne, l’entrainant vers une béatitude plus intense que je ne l’avais envisagée.
Au plus fort de notre coït incestueux, elle tourna son visage en m’accordant sa bouche, ses lèvres tant désirées. J’accolai les miennes et d’un naturel déroutant, ma langue plongea dans son palais rejoignant la sienne aussitôt. Nous échangeâmes une pelle digne de mon adolescence, sans modération. Véro m’embrassa sans arrière-pensées, totalement libérée de ses interdits.
— Comme c’est bon de t’embrasser. Dis-je euphorique.
— Ouiii. Répondit-elle en reprenant de plus belle pour enrouler habilement sa langue avec la mienne.
J’atteignis mon premier objectif, décoincer ma tante, la voir détacher des barrières qui nous entravaient. Ma tante fut libre.
Malgré ma jouissante passée, Véro se laissa encore baiser plusieurs minutes en passant ses mains sur mes fesses et mon dos frénétiquement.
— OuiOuiiiLâcha-t-elle dans un dernier soupir.
Je me détachai d’elle peu à peu, tout en continuant notre baiser sexuel en oubliant la tendresse.
Rassasiée physiquement, Véro, malgré l’heure tardive me proposa de descendre fumer une cigarette et je devinai en elle une envie soudaine de bavarder avec moi. Heureuse comme une collégienne, elle enfila sa nuisette et m’entraina vers le salon avec la vision de son joli cul en prime.
Véro fut en face de moi, installée sur le canapé, les jambes repliées en fumant sa cigarette.
— Tu m’as fait un bien fou, ça fait si longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien ! Déclara-t-elle épanouie.
— J’étais sûr que ça fonctionnerait à merveille avec toi. Alors plus de remords ?
— Disons que j’évite d’y penser mais pourquoi dis-tu que tu étais sûr que ça marcherait à merveille ? Répondit-elle bien curieuse.
— Tu représentes la féminité absolue pour moi, je te sens réceptive au possible, ta sensualité m’emporte et quand je te saute, c’est un accomplissement tant j’aime te faire jouir, te voir jouir Véro.
— Bahça en fait des choses ! Euh disons que pour moi, c’est si nouveau et en plus avec toi, mais je dois avouer que je ressens aussi une forte émotion, je dirai des sensations très fortes quand tu me fais l’amour. Avoua-t-elle.
— Ce n’est qu’un début !
— Si tu savais comme j’ai honte. Dit-elle en baissant la tête.
— Tu as pris ton pied, alors ?
— Alors rien. Soupira-t-elle en terminant sa cigarette.
Véro croisa ses jambes, je me crus en plein rêve en regardant cette femme, certes elle était ma tante mais elle représentait mon absolu.
Sans le lui dire, je fis une fixation sur son cul, pure merveille et l’idée d’aller y jeter un coup d’il commença par m’obséder, sans savoir si l’endroit avait connu un visiteur. Je verrais cela plus tard avec ellepensais-je.
Je revins à notre conversation avec quelques précautions d’usage.
— Mais n’oublie pas Véronique, c’est une relation purement sexuelle, aucun sentiment entre nous.
— Ah mais je le conçois aussi, en tout cas tu es très doué avec moi, je n’ai pas peur de te le dire Patrick, tu me fais très bien l’amour. Dit-elle en masquant sa déception sur l’absence de sentiments.
— Bon on va d’abord faire une bonne nuitDis-je en me levant.
Véro se leva et je l’attrapai au vol, la serrant contre moi pour lui rouler une belle pelle.
— Là aussi tu es très doué Patrick ! Rigola-t-elle.
— Je suis une sorte de père noël.
Véro explosa de rire, un rire libérateur de ses angoisses mais aussi de cette joie infinie de se sentir redevenir femme.
— Allez viens, on va se coucher et tu te blottiras près de moi. Lui murmurai-je dans le creux de l’oreille.
— Non pas encore, je ne suis pas prête, je préfère que tu dormes dans ta chambre. Laisse-moi du temps. Me confia-t-elle.
— Je comprends. Répondis-je en l’embrassant à nouveau.
A la fin de notre baiser, ma tante posa sur moi des yeux respirant le bonheur, le désir, le bien-être. En fait elle était à nouveau heureuse et presque amoureuse à la vue de son expression.
Je restai songeur, certes j’avais accompli une partie de mon fantasme en baisant ma tante, mais ses lèvres si sensuelles et son cul délirant m’appelaient à d’autres délires avec elle.
Et dire que je n’avais pas pu déguster son sexe épilémais je savais que Véro, là en haut devait cogiter sec et qu’il lui faudrait un temps certain pour accepter cette relation avec le fils de sa sur.
Désormais il me fallait la convaincre de passer à des étapes supérieures, notamment son derrière de rêve (et le mot est faible) qui m’interpellait au plus haut degré.
Je m’endormis en songeant à demain