Dans ma première histoire (Bruno, mon amant) je vous ai brièvement présenté Bruno, beau brun viril de 46 ans. Ce que je ne vous ai pas dit c’est que nous nous sommes rencontrés au boulot… Il a été embauché en septembre 2014 en tant qu’agent technique de maintenance dans le collège où je suis prof de maths depuis 6 ans maintenant. Tout de suite, le feeling est bien passé entre nous, je faisais appel à lui lorsque j’avais des petites réparations à effectuer dans ma salle de classe… j’avoue que j’ai même parfois "abusé" car j’avais besoin de prétextes pour le croiser… A priori, ce type n’étais pas pour moi car Bruno est marié et père de 2 grands enfants, mais je sentais bien qu’il était réceptif à mes avances… avec le temps nous nous sommes rapprochés et sommes devenus amants. Cette histoire, tout comme les précédentes, est romancée mais belle et bien inspirée de faits réels.
Aujourd’hui, comme tous les lundis matins, j’ai une heure de libre de 10h05 à 11h00. Après la récréation, comme à mon habitude, je quitte la salle des profs et rejoins ma salle de classe pour corriger des copies. C’est une routine que Bruno connait très bien et ce matin il a décidé de me faire une petite gâterie… Arrivé devant la porte de la B202, je mets la clé dans la serrure et j’ouvre la porte. Je la referme derrière moi puis m’installe à mon bureau, prêt à travailler. Caché sous le bureau, Bruno ne tarde pas à passer sa main sur mon entrejambes. Je sursaute de surprise mais je n’ose rien dire, je le laisse dégrafer la ceinture et le bouton de mon pantalon. Il sort alors ma bite toute molle et commence à la lécher, à la prendre en bouche… elle gonfle sous la fellation endiablée que me prodigue mon amant. Je me mors les lèvres pour ne pas gémir… et puis d’un coup je repousse Bruno en arrière : quelque chose ne va pas, je suis chiffonné, surpris de le trouver ici, vexé sans doute. Je veux l’envoyer promener, pas d’imprudence au boulot, c’est trop risqué en effet.
— Qu’est ce que tu fous là? Ça va pas non?
Mais Bruno ne se démonte pas, il insiste :
— Avoue que tu en meurs denvie, Chris.
— Où vas-tu chercher ça? Je suis en plein boulot. J’ai pas le temps pour ces conneries.
— Laisse moi faire…
— T’es fou! Pas ici! Et si quelqu’un rentre?
— Tu n’as qu’à fermer la porte mon chou.
— Attends moi là!
Bruno se relève et pose ses fesses sur mon bureau pendant que je me dirige vers la porte de ma salle de classe que je verrouille, au cas où… Je tremble de désir quand je reviens vers mon amant. Il m’attire alors dans ses bras pour me rouler une pelle et me susurrer à l’oreille :
— Suce moi!!
Il m’agenouille à ses pieds, je noffre pas de résistance. Il sort sa bite de son slip et il passe sa queue sur mon visage : j’ouvre aussitôt grand la bouche et la gobe. Je le suce drôlement bien, avec avidité et gloutonnerie. Au diable les copies à corriger! En fait je n’attendais que ça… la pause kit kat! Je m’applique à lécher chaque cm de sa verge qui grossit à vue d’oeil sous l’effet délicat de ma langue.
Puis Bruno passe sa main sur mon dos, descend lentement vers mes fesses pendant que je continue à le pomper. Il glisse sa main dans mon caleçon, sa main s’aventure vers ma raie. J’en bafouille de plaisir et frémis quand un doigt me chatouille l’anus et s’introduit d’un petit cm. Bruno entreprend alors de me doigter amoureusement. Dans le même temps, sous l’effet de ma langue experte, je sens le désir monter dans son sexe. Je suis une vraie chaudasse, j’ai envie que mon amant me prenne sans plus attendre. Ça tombe bien, lui aussi!
— Lève toi! C’est assis sur ta chaise de prof que je veux t’enculer aujourd’hui.
J’obéis, je me redresse, j’ôte mon pantalon et mon caleçon. Bruno sinstalle à mon bureau, empoigne sa verge qui est toute dure et se branles un instant. Je me retourne face à lui, pose mes mains sur ses larges épaules et j’enjambe la chaise pour me positionner au dessus de son obélisque dressé fièrement. Son gland s’appuie contre mon oeillet, je me laisse descendre lentement… Cette introduction déclenche un frisson qui me parcourt des pieds à la tête. Peu à peu le chibre de Bruno s’immisce en moi, jusqu’à m’asseoir complètement dessus, avec un soupir de satisfaction.
— Aaah !
J’embrasse mon amant pendant que je mon trou coulisse de bas en haut, puis de haut en bas, sur sa belle grosse bite. Elle est bien large, dans mon petit cul serré… cela décuple nos sensations. Après 5 minutes de sodomie à cheval ainsi sur cette divine queue je me lève et me retourne pour m’empaler de dos sur ce chibre. Prenant appui sur la tablette du bureau, je monte et descends sur ce cylindre de chair pendant que Bruno me laisse faire. J’aime cette position car je peux conduire létreinte à ma guise, à mon rythme. Aujourdhui je veux jouir au maximum de lintroduction. Je me soulève jusquà sentir le gland sortir et me rassois dessus avec un feulement de fauve assouvi. Les lents va-et-vient exaspèrent la jouissance de mon amant, c’est très excitant et Bruno a du mal à retenir la monté du sperme…
Il veut reprendre les rennes de nos ébats : d’un coup de rein, il m’oblige à me relever, libérant ainsi son sexe. Bruno se redresse sur ses jambes, debout, puis il me plaque contre mon bureau. J’ai juste le temps de repousser les copies sur le côté avant qu’il ne me dispose à son gré et que je me retrouve à plat ventre sur le bureau. Je frémis en sentant le bout de son sexe tourner autour de mon anus et sintroduire de quelques millimètres. Un mouvement involontaire me fait reculer dessus… et le gland pénètre.
— Mmmh !
Surpris par cette facilité, Bruno accentue la poussée et sa verge senfonce en totalité. Me prenant par les hanches, il me bourre de coups de rein. Je résiste comme je peux aux coups de boutoir, je magrippe aux bords du bureau, tandis que lui poursuit la sodomie. Je ressens un énorme bien-être de recevoir une queue qui me dilate le sphincter ! Mon étalon pose une main sur ma bouche pour m’empêcher de hurler, il y a cours dans la salle d’à côté. Épuisé par tant de force, je subis avec plaisir cette étreinte, soulagé de me sentir ainsi dominé. Pour me pilonner encore plus, Bruno décide de me baiser sur le bureau : il se retire de mon trou, me retourne et m’y allonge sur le dos. Les yeux fermés, je me laisse faire, je ne suis plus que désir et impatience. Bruno écarte mes jambes et s’introduit en moi…
— Oh! Vas y Bruno.
Redoublant de vitalité, ses vas et viens sont très puissants, il se penche alors complètement sur moi et colle ses lèvres aux miennes pour m’embrasser et m’empêcher de crier. J’enroule mes jambes autour de ses hanches et l’enlace avec mes bras… pour ne faire qu’un avec son corps viril. Mon amant me fait l’amour comme un dieu, je suis au 7ème ciel.
Cela fait maintenant près de 45 minutes que l’on baise sauvagement dans ma salle de classe… Bruno se retire de mon trou pour éjaculer sur mon ventre. Mais plus le temps d’en profiter, la sonnerie retentit. Bruno prend une lingette dans un tiroir du bureau et me nettoie avant de s’essuyer également la verge, puis il jette la lingette dans la corbeille à papier. Nous nous rhabillons rapidement, juste un dernier baiser, une dernière tape sur mes fesses et Bruno me lance :
— A ce soir. On se voit à la soirée bowling Chris.
— Oui, à tout à l’heure, Bruno.
Mon amant ne file discrètement en laissant la porte ouverte derrière lui… Je m’installe à mon bureau en attendant les élèves, je suis désormais détendu, apaisé…on peut dire que j’avais besoin de cette petite visite improvisée…
