Durant l’été qui suivit, Lorella voulut revoir la garde-robe d’Anna. Elles firent pendant de longues heures les magasins pour trouver des tenues que Lorella trouvait parfaites. Elle cherchait des vêtements qui mettaient bien en valeur la beauté qu’elle voyait en sa patronne. Anna, docile, essayait tout ce que Lorella lui proposait. La servante trouvait des tenues qui lui allaient très bien.
Un soir, après être rentrées de leur shopping, Lorella annonça à Anna qu’elles allaient recevoir un couple. Il s’agissait de potentiels investisseurs envoyés par Fabio parce qu’ils voulaient la rencontrer. Irene et Julio sont arrivés quelques minutes plus tard. C’était deux cinquantenaires propres sur eux, assez bien habillés et très gentils. Le repas se passa très bien et ils parlèrent longuement de la société du feu mari. A la fin du repas, Lorella dit à Anna de leur proposer un petit verre au salon. Irene s’installa sur le canapé, Julio prit place sur le fauteuil et Anna se mit sur le canapé à côté d’Irene, donc entre eux.
« En tous cas, votre époux avait bon goût, lâcha Irene.
— Oui, c’est lui qui s’est occupé de la décoration de la pièce.
— Je ne pense pas qu’elle parlait de ça, osa Julio.
— C’est vrai, je pensais qu’il avait bon goût pour autre chose.
— Les affaires ? Demanda Anna en espérant qu’ils ne pensaient pas à ce qu’elle croyait.
— Madame, je pense qu’ils parlent de vous, se permit Lorella.
— En effet, votre employée a très bien compris, dit Irene en s’approchant d’Anna. »
Anna se leva d’un bon en direction de la cuisine pour échapper au couple. Elle se retrouva dans les bras de Lorella en qui elle cherchait un soutien.
« J’ai peur qu’ils veuillent que je avec eux tous les deux
— En effet, Madame, je pense qu’ils veulent vous faire l’amour.
— Avec toi, d’accord. Avec Gianni, déjà c’est limite. Mais un couple
— Vous en avez envie, Madame.
— Mais non
— Alors pourquoi ne les renvoyez-vous pas ? »
Anna se rendit alors compte que sa servante avait raison. Son corps la poussait à retourner dans la pièce. Elle retourna au salon où elle retrouva Irene et Julio qui, visiblement, l’attendait avec impatience. Anna s’installa alors entre eux et Irene posa sa main sur la cuisse nue de la jeune femme.
Alors qu’Irene remontait pour passer sous la jupe, Julio caressait les seins d’Anna. Lorsque la jeune femme posa sa tête en arrière sur le dossier du canapé, elle donna le feu vert à ses deux amants du soir. Très vite, Julio ouvrit le chemisier de la jeune femme et sortit ses seins pour les embrasser à pleine bouche. Irene avait passé ses mains sous la jupe d’Anna et lui retirait doucement sa culotte. Après l’avoir débarrassée du petit vêtement, Irene glissa entre les cuisses d’Anna et lui écarta les jambes pour poser ses lèvres sur le sexe humide de la jeune femme. Irene se mit à lécher le sexe d’Anna qui frémissait de plaisir. La jeune femme chercha d’une main la braguette de Julio et usant de dextérité, extirpa le sexe déjà bien dur. Elle prit rapidement en bouche le sexe de Julio. Elle le suça avec avidité pendant que la bouche d’Irene faisait des merveilles sur son sexe trempé.
Alors que l’orgasme pointait le bout de son nez, Irene arrêta de lécher Anna pour s’allonger sur le canapé. Julio quitta la bouche de la jeune femme et l’installa à quatre pattes. Ainsi, sa bouche était contre le sexe nu et odorant d’Irene. Celle-ci posa sa main sur la nuque d’Anna et la poussa à venir lui lécher le sexe. Anna posa ses lèvres sur le sexe et commença à lécher les grandes et petites lèvres et à téter le petit bouton d’Irene. Pendant ce temps, Julio s’était positionné derrière Anna. D’un coup sec, sa verge investit le sexe d’Anna qui dégoulinait d’envie. Agrippé aux hanches d’Anna, Julio la besognait avec vigueur. LA jeune femme tentait de se concentrer sur le sexe ouvert d’Irene qui était face à elle. Elle s’emplissait du goût de femme que lui offrait Irene pendant que son mari faisait aller et venir sa verge entre les lèvres trempées de son sexe. Attrapant le visage d’Anna à pleine main, Irene fut prise d’un intense orgasme qui trempa le visage d’Anna. La jeune femme avala tout le jus qu’elle pouvait tandis qu’Irene semblait ne pas s’arrêter d’en émettre.
C’est à ce moment que Julio décida de changer de trou et, sans prévenir, investit l’anus d’Anna. Julio se mit à sodomiser Anna sauvagement. Irene passa sous le corps de la jeune femme et reposa ses lèvres sur le sexe d’Anna. Ainsi, léchée par Irene et enculée par Julio, Anna fut prise d’un puissant orgasme qui la fit s’écrouler sur le corps d’Irene sous elle. Julio continua quelques instants puis sortit son sexe de l’anus d’Anna pour jouir à son tour. Anna sentait le sperme de l’homme qui coulait sur sa cuisse et la langue d’Irene qui venait le déguster.
Se relevant, se rhabillant et félicitant Anna pour son hospitalité, Julio et Irene l’informèrent qu’il investirait dans la société. Car, selon eux, une femme « aussi ouverte et accueillante » ne pouvait pas avoir épouser un mauvais gestionnaire. Aussi bizarre que cela pouvait paraître, cette nouvelle enchanta Anna qui eut l’impression d’avoir user de son corps pour le bien de la société de son feu mari.
Et c’est donc tout naturellement qu’elle accepta de rencontrer d’autres investisseurs potentiels.
« Ce soir, nous recevons deux hommes, un couple, je crois, l’informa Lorella.
— Un couple ?
— Oui, Madame, c’est ce que monsieur Fabio m’a dit. Deux hommes ensemble
— Très bien. Cette soirée risque d’être sage, répondit Anna.
— Vous êtes déçue, Madame ?
— Non, c’est juste que Non, pas du tout… »
Anna tenta de se convaincre mais elle savait que c’était faux. Cette déception augmenta encore quand les deux hommes arrivèrent. Si l’un d’entre eux n’était pas vraiment à son goût, le second lui plu beaucoup. Durant toute la soirée, l’homme qui plaisait le moins à Anna semblait être entreprenant. Cela l’étonnait car Lorella lui avait dit qu’ils étaient en couple. Pourtant, les avances de l’homme étaient évidentes.
« Tu es sûre qu’ils sont ensemble ? Demanda Anna à Lorella.
— On m’a dit qu’ils partageaient tout, Madame.
— Mais ça ne veut pas dire qu’ils sont ensemble !
— Non, mais ça veut dire que, ce soir, vous les aurez tous les deux.
— Et puis quoi encore ?
— Faites-moi confiance. Essayez avec deux. Il paraît que c’est très bien Je suis sûre que Santino l’aurait voulu pour vous Laissez-moi votre culotte. »
Comme un robot, Anna retira son sous-vêtement et repartit dans le salon où elle retrouva les deux hommes. Sans un mot, elle s’installa entre les hommes. Celui qui lui plaisait le plus attrapa la jupe et la releva pour découvrir le sexe nu d’Anna. Le second quitta sa place du canapé et se mit entre les cuisses de la jeune femme. Il planta alors sa bouche entre les jambes d’Anna et se mit à lui lécher le sexe. La langue de l’homme passait entre les grandes lèvres d’Anna. Il lui léchait et lui tétait le bouton avec avidité. A leurs côtés, le deuxième homme ne bougeait pas. Il se contentait de regarder son copain lécher le sexe de la jeune femme. Il refusa même les tentatives de rapprochement d’Anna.
L’homme entre les cuisses d’Anna se releva ensuite devant elle. Il ouvrit sa braguette et sortit son sexe déjà bien bandé. Attrapant la jeune femme par la nuque, il l’attira vers sa verge. Tout naturellement, Anna ouvrit la bouche pour la laisser entrer. Elle suça avec application le sexe qui lui était offert. Elle usa et abusa de ses lèvres et de sa langue pour donner du plaisir à l’homme devant elle. Très vite, ce dernier sentit monter son plaisir. Il repoussa doucement Anna et l’invita à se lever.
L’homme se dénuda et s’installa allongé sur le canapé. Anna s’aperçut alors que le deuxième homme avait disparu. A la demande de l’homme, Anna ouvrit son chemisier et dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses seins. Puis elle grimpa sur l’homme qui l’attendait la verge droite à la main. Anna s’empala sur le sexe. Elle commença à bouger faisant aller et venir le sexe de l’homme en elle. Ce dernier lui tripotait les seins et lui suçait les tétons. Alors qu’elle commençait à gémir du plaisir que lui donnait cette pénétration, elle sentit sa jupe se relever sur ses hanches.
« Je n’ai jamais pu résister à un cul. » dit le second homme avant de positionner son sexe sur l’anus d’Anna.
Sans vraiment la préparer, il poussa fort ouvrant le petit trou de la jeune femme. Doucement mais irrémédiablement, la verge de l’homme s’immisça entre les fesses d’Anna. Une fois qu’ils furent tous les deux fixés au fond d’elle, les deux hommes commencèrent à faire aller et venir leur verge. Anna sentait bien fort les deux sexes qui la ramonait. Ses seins étaient maintenant malaxés par quatre mains. Le jeune femme sentait le plaisir monter en elle très vite. La bouche grande ouverte, elle laissait échapper des gémissements révélateur de l’approche de son orgasme. Celui-ci ne fut d’ailleurs pas long à venir et Anna fut secouée par un plaisir puissant.
Lorsqu’elle revint à elle, Anna se rendit compte que les deux hommes étaient encore en elle et bandaient toujours autant. Ils reprirent alors leurs mouvements. Rapidement un deuxième puis un troisième orgasme la prirent. Puis les hommes l’assirent sur le canapé avant de venir se masturber face à elle. De longs jets de sperme vinrent s’écraser sur les seins d’Anna. Sans un mot, les deux hommes se rhabillèrent et quittèrent la maison.
Anna, chemisier ouvert et les seins maculés de sperme se mit à pleurer. Elle fut vite consolée par Lorella.
« Alors, Madame, c’était comment ?
— Bien mais j’ai honte
— Il ne faut pas. Vous avez pris du plaisir, c’est le plus important. Vous méritez de prendre du plaisir. Je suis sûre que Santino serait d’accord avec moi. Et vous le comprendrez un jour… »
Dès le lendemain, Lorella entraîna Anna dans les magasin pour parfaire sa nouvelle garde-robe. Un jour, à la fin de l’été, elles partirent toutes deux en chasse d’une nouvelle tenue. Lorella voulait qu’Anna achète une paire de chaussures, une robe mais aussi des sous-vêtements. Elles commencèrent par une robe. Lorella choisit plusieurs modèles qu’elle passa à Anna pour essayer. La première, une rouge, lui comprimait un peu trop la poitrine. La seconde, noire, paraissait parfaite à Anna mais ne semblait pas convenir à Lorella. Lorsque Anna sortit de la cabine en portant la troisième, une bleue nuit, elle tirait un peu sur le bas de la robe.
« Elle est un peu courte, non ?
— Oui mais elle vous va très bien, Madame.
— Mais regarde, dit-elle en se retournant.
— Elle met bien en valeur vos atouts. Vos fesses, vos seins Elle est parfaite.
— Peut-être mais elle est un peu trop courte.
— Je ne suis pas d’accord. On la prend. »
Puis les deux femmes se dirigèrent vers un magasin de chaussures où elles prirent une paire d’escarpins noirs aux talons hauts. Les talons étaient plus hauts que ceux dont Anna avait l’habitude mais elle ne fut pas gênée. Pour conclure le shopping, Lorella entraîna Anna dans un petit magasin de lingerie, un peu à l’écart du centre-ville. Le choix de Lorella se porta sur un ensemble noir avec des broderies bleues. Anna essaya le soutien-gorge. Une fois enfilé, Lorella fit son apparition pour approuver son choix. En arrivant en caisse, Anna vit que deux autres articles étaient déjà emballés. Sans poser la moindre question, Anna régla la note et les deux femmes rentrèrent à la maison.
Le week-end suivant, Lorella invita Anna à aller prendre un bain pour se détendre. Ce bain fut ponctué des douces caresses de la servante qui aida sa patronne à « se laver ». Quand elle sortit de son bain, Lorella vint l’essuyer puis, quand aucune trace du bain ne restait, Lorella expliqua à sa patronne qu’elle lui avait préparé une tenue pour la soirée pour lui « faire plaisir ».
Anna entra dans la chambre et fut prise d’un rire nerveux en voyant la tenue préparée par Lorella. Aux sous-vêtements essayés par Anna, Lorella avait ajouté un porte-jarretelles assorti et une paire de bas résille. Elle enfila l’ensemble puis, sans se regarder au miroir car elle avait un peu honte, elle mit la robe. Elle se positionna devant le miroir pour découvrir que le décolleté de la robe laissait voir la dentelle du soutien-gorge et que, étant trop courte, la robe ne couvrait pas l’orée des bas de la jeune femme. Elle se sentit honteuse d’avoir une tenue aussi provocante. Cette sensation ne fut pas apaisée par les chaussures qui lui firent cambrer les reins et ressortir un peu plus les fesses. Mais puisqu’elle la voulait ainsi, elle décida d’en rajouter. Devant sa coiffeuse, elle se maquilla outrageusement forçant sur ses yeux et rougissant ses lèvres.
Elle descendit les escaliers pour retrouver Lorella dans le salon. Bien pimpante et provocante, à la limite de la décence, elle pénétra dans la pièce pour y découvrir un grand nombre de personnes Faisant un tour des visages, elle ne reconnut personne. Puis son regard fut attiré par un mouvement au fond de la pièce. Il s’agissait de Fabio. Anna tenta de cacher les formes de son corps mais elle savait que tout le monde avait vu sa tenue honteuse.
« Ne te cache pas, Anna Tout ça doit te paraître bizarre mais il y a une explication. Je ne vais pas te dire quoi que ce soit. C’est Santino qui va te le dire. »
Lorella s’approcha alors d’Anna et lui tendit une lettre qu’Anna s’empressa d’ouvrir pour la lire :
«
Très chère Anna, ma femme, mon amour, ma passion,
Si tu as cette lettre entre les mains, c’est que je ne suis plus à tes côtés. La maladie a eu raison de moi. Je suis donc parti trop loin de toi, trop vite. Je suis parti avec tout l’amour que j’ai pour toi.
Mais tu es jeune et tu es belle, magnifique à mes yeux. Je ne voudrais pas que tu t’enfermes, que tu t’isoles. Si je ne peux plus le faire avec toi mais je veux que tu continues à vivre. Je veux que tu fasses encore des sourires, ces sourires qui me font toujours tourner la tête.
Si j’adorerais que ton cur reste à moi, je ne veux pas que tu fasses de ton corps un mausolée à ma mémoire. Je veux que tu continues à vivre ta vie de femme, que tu continues à prendre du plaisir. Et, comme je ne veux pas que ça se fasse n’importe comment’, j’ai chargé Fabio de s’occuper de toi.
Aujourd’hui, il m’a présenté Lorella. Elle est parfaite pour toi. Elle saura te guider vers des chemins que tu ignores encore. Tu peux t’appuyer sur elle, la suivre, l’écouter. Elle sait. Elle te fera faire des choses qui te paraîtront anormales, bizarres, indécentes. D’ailleurs, si tu as cette lettre entre les mains, c’est que tu en as déjà faites.
Maintenant que tu me lis, je veux que tu saches que, à chaque fois que tu prendras du plaisir dans les bras d’un homme, d’une femme ou de plusieurs d’entre eux, ce sera pour m’honorer, me rendre heureux et me prouver que tu m’aimes.
Pour conclure cette lettre, je ne peux qu’ajouter que je veux que tu donnes ton corps à autant de personnes qui le veulent mais que tu continues à m’aimer. Car, peu importe où je suis, je t’aime encore de toute mon âme.
Je t’embrasse,
Santino
»
Anna, à la lecture de la lettre se mit à pleurer. Lorella vint la prendre dans les bras et déposa un baiser sur ses lèvres maquillées. Anna se sentait réconfortée par la présence et la tendresse de Lorella. Puis Anna sécha ses larmes et elle plongea les yeux dans le regard de Lorella.
« Je dois faire quoi ce soir ?
— Tous sont là pour toi. Fabio et moi les avons choisis. Fait honneur à Santino. Montre-lui que tu l’aimes. »
Puis la servante retourna Anna vers l’assemblée en l’embrassant dans le cou. Appuyant sur ses épaules, Lorella fit plier les jambes d’Anna. Toujours perchée sur ses talons, Anna fut contrainte d’écarter les cuisses pour garder de la stabilité. Ainsi positionnée, tout le monde avait une vue plongeante sur la petite culotte d’Anna encadrée par un joli porte-jarretelles. Trois hommes approchèrent alors d’Anna. Ils sortirent leur sexe qui dardaient déjà.
La soirée pouvait réellement commencer.