Le lendemain après-midi fut consacré aux préparatifs pour le bal du 14 juillet. Plus tôt dans la journée, ma tante avait été souriante au petit-déjeuner, ne laissant rien paraître des événements de la veille. Avait-elle décidé de passer l’éponge sur mes petites bêtises ? Je fouillais ma valise en quête de vêtements pour la soirée quand ma tante m’appela :
— Tu peux venir s’il te plait ?
— Oui tata, où es-tu ?
— Dans ma chambre, j’ai besoin que tu m’aides
En arrivant dans la pièce, je vis ma tante de dos face à son miroir. Elle avait passé une jolie robe moulante, mais dont la fermeture éclair était ouverte dans le dos, laissant deviner un soutien-gorge en dentelle fine.
— Tu peux m’aider s’il te plait ? Je n’arrive pas à l’attacher.
— Oui bien sûr, que dois-je faire ?
— Il faudrait que tu remontes la fermeture éclair. Attends je remonte un peu la robe.
Elle écarta ses bras jusqu’alors croisés sur sa poitrine pour remonter sa robe. Je pus observer pendant une fraction de seconde ses deux magnifiques seins moulés dans une lingerie quasi transparente.
La voix de ma tante me sortit de ma rêverie.
— Alors qu’attends-tu ? dit-elle en souriant
— Euh.. rien, je m’y mets.
Le temps sembla alors se dilater. Je posais une main dans le creux de ses reins pour mieux saisir la fermeture. Je la remontais lentement, puis ma tante dégagea ses cheveux de sa nuque d’un geste sensuel. Sa peau était fine et douce, j’avais le visage quasiment plongé dans son cou et les effluves de son parfum me firent frissonner. Puis ma tante remit lentement ses cheveux en place et se retourna vers moi en souriant. Qu’elle était belle et désirable ainsi habillé et apprêtée ! Elle se rapprocha encore de moi à tel point que je sentis ses seins tendus frotter contre ma poitrine.
— Merci mon neveu, me dit-elle en m’embrassant sur la joue. Tu es doué de tes mains, rajouta-t-elle en souriant, me laissant là, pantois, ne sachant que dire.
Plus tard dans la soirée, le bal battait son plein. Mon oncle se tenait à la buvette avec ses amis chasseurs et agriculteurs depuis le début de la soirée. Les tournées succédaient aux tournées. Ma tante, elle, se déchaînait sur la piste de danse. Elle devait avoir rudement besoin de se lâcher. Il faut dire que le quotidien d’une femme d’agriculteur n’est pas vraiment exaltant.
Soudain, alors que le DJ lançait une série de slows, elle se dirigea vers moi les mains tendues en avant.
— Tu m’invites à danser ?
Comment décevoir un aussi joli minois ? Je pris ma tante par la taille et elle enserra ses longs bras autour de mon cou.
— Alors tu passes une bonne soirée ? me demanda-t-elle.
— Oui ma tante.
— Moi aussi, je ne sais pas si c’est l’alcool, mais j’ai envie de faire des folies ce soir.
Puis nous nous arrêtâmes de parler. Ma tante se serra un peu plus à moi, sa joue pratiquement posée sur ma poitrine, et ses hanches collées aux miennes. J’accompagnais le mouvement en positionnant mes mains plus profondément dans le creux de ses reins. C’était peut-être le fruit de mon imagination, mais j’eus l’impression de sentir les pointes de ses seins contre ma poitrine. De mon côté, une érection monta et gonfla dans mon pantalon. Si ma tante s’en aperçut (et je doute qu’il ait pu en être autrement), elle n’en montra rien. Elle continua ses mouvements d’ondulation du bassin contre mon membre.
La série de musiques suivante mit fin à notre rapprochement. Mais malgré cela, mon sexe resta dur comme l’acier au point d’être douloureux lorsque nous rentrâmes en voiture.
De retour, à la maison, je me précipitais aux toilettes pour mettre fin à cette crampe. Quelques gouttes de liquides au bout de mon gland. Il ne fallut que quelques va-et-vient pour avoir un orgasme intense et me faire gicler dans la cuvette des WC. Mes bourses en furent soulagées, mais il fallut plusieurs dizaines de minutes pour que mon sexe dégonfle.
Dans la nuit, je repensais à cette folle journée allongé nu sur mon lit. La nuit était chaude et la lune éclairait ma chambre à travers la fenêtre ouverte.
Je fus soudain sorti de mes pensées par un léger raclement de gorge. C’était ma tante qui passait la tête dans l’entrebâillement de la porte. Je relevais aussitôt le drap sur moi et répondit :
— Oui ? fis-je.
— Tu ne dors pas ? demanda-t-elle en ouvrant plus grand la porte
— Non j’ai trop chaud.
— Moi non plus je n’arrive pas à dormir. Je peux entrer ?
— Oui bien sûr.
Je me redressais en gardant le drap sur moi.
Elle vient s’asseoir sur le bord du lit, vêtue d’une légère nuisette un peu décolletée.
— Ah, quelle soirée! ça m’a fait du bien de danser. Et je te remercie, tu as été un excellent cavalier.
— De rien, c’était un plaisir pour moi aussi.
— Tu sais j’ai repensé à ce qui c’est passé hier. Je suis désolée de m’être fâchée. Je ne t’en veux pas, mais j’ai eu peur que ton petit cousin tombe sur cette, euh revue. Tu comprends il est encore bien jeune pour ces choses-là.
J’acquiesçai de la tête.
— Toi ce n’est pas pareil, tu as grandis, je m’en aperçois maintenant. Tu es devenu un beau jeune homme. C’est normal que tu t’intéresses à ce genre de choses. Je reconnais d’ailleurs que certaines photos peuvent être excitantes, mais je trouve quand même que ça donne une mauvaise image de la femme.
Tiens, ma tante avait feuilleté le magazine, curiosité malsaine ? En tous cas ça m’émoustillait de l’imaginer faire. Elle poursuivit :
— Et puis ces peaux nues, épilées et ces seins refaits, on dirait des poupées en plastique. Ça ne correspond pas vraiment à la réalité, tu ne crois pas ?
J’acquiesçais.
— Tu as une copine ?
— Oui, enfin plus ou moins, ce n’est pas très sérieux
— Et vous avez déjà fait des choses ensemble, je veux dire plus qu’un simple baiser ?
Les questions devenaient indiscrètes et je pris un fard, caché heureusement par la pénombre de la pièce.
— Euh, non pas vraiment
— Bon et bien, raison de plus pour ne pas t’imaginer des choses erronées. Tu risquerais d’être déçu ! Dans la vraie vie les femmes sont naturelles. Comme moi ! lança-t-elle en mettant en avant sa poitrine.
Un grand sourire s’affichait sur son visage. Je me sentais plus détendu, elle avait réussi à dédramatiser la situation.
La lune éclairait son corps dans un clair-obscur mettant encore plus en relief son décolleté opulent. C’est vrai qu’elle était belle et désirable sans aucun artifice…
— Je sais, tata, je sais. D’ailleurs je préfère le naturel, je trouve ça moche quand elles sont refaites.
— Tu me fais plaisir là ! Je suis rassurée, dit-elle en posant sa main sur ma cuisse couverte par le drap. Les garçons de ton âge ont trop tendance à considérer les filles comme des objets.
La douce pression de sa main sur ma jambe ne tarda pas à faire son effet. J’étais déjà excité par sa tenue légère dévoilant la forme de ses seins et ses longues jambes minces, je ne pus retenir l’érection qui semparait de mon membre. Je tentais de remonter la jambe libre pour cacher l’inévitable bosse, mais en vain. Ma tante devina rapidement ce qui se tramait sous les draps.
— Quelle ardeur ! me dit-elle en regardant en direction de mon entrejambe. Dommage que ton oncle n’en a plus autant à mon égard, soupira-t-elle. Tu l’entends ronfler ? Il ne sait plus faire que ça…
En effet, j’entendais nettement les vibrations sonores qui venaient de l’autre bout du couloir. Bizarrement, j’étais flatté que ma tante évoque avec moi ses problèmes de couple. Elle me valorisait en faisant cela. J’eus soudain envie de la prendre dans mes bras, l’embrasser, la caresser. Je la fixai du regard depuis une seconde, perdu dans mes pensées coupables quand je m’aperçus que sa main avait glissé sur mon sexe. Ce faisant elle s’était légèrement penchée vers moi et j’avais une vue imprenable dans son décolleté.
Ma tante plongea son regard dans le mien. Son sourire devint séducteur et je sentis un désir en elle.
— Tu veux que je te montre quelque chose ?
J’eu à peine le temps d’intégrer cette désarçonnante question, que, sans prévenir, elle saisit ma main, la glissa sous sa nuisette, entre ses jambes et la posa sur sa toison intime.
— Comme ça au moins tu sauras ce que ça fait un sexe de femme au naturel.
Complètement estomaqué, je ne sus quoi répondre et restait bouche bée. Mon premier réflexe fut de retirer ma main, mais je ne dus pas être très déterminé, car elle resta sous son emprise.
— Tu es gêné ? Ça te dérangeait moins, l’autre fois, pendant ma sieste.
Là, je devins rouge pivoine ! Elle était au courant de mon attouchement. Malaise En même temps elle n’avait pas protesté, du coup j’étais perdu. J’eus rapidement une réponse à mon désarroi :
— Ne t’inquiète pas, j’ai trouvé ça assez mignon et agréable aussi.
Tout en disant cela, elle reprit ma main et la plaça de nouveau sur son intimité.
— Tu peux continuer à explorer. Je préfère que tu apprennes comme cela plutôt que dans des revues. Et puis, il faut toujours finir ce que l’on a commencé…
Me voyant toujours hésitant, elle ajouta :
— Ne t’inquiète pas, cela restera entre nous deux.
Bon sang quelle occasion à ne pas manquer ! Je me détendis un peu, déglutis et décidais de me laisser faire. Mes doigts se mirent à bouger dans ses poils.
Elle écarta un peu ses jambes. Sa main toujours sur la mienne me guidait.
— Si tu descends un peu, tu trouves les lèvres. Tu sens comme elles gonflent sous l’effet de tes doigts ?
Elle fit passer mes doigts le long de ses lèvres. Elles étaient chaudes.
— Le mieux c’est de les mouiller, continua-t-elle.
Elle porta ma main à sa bouche, lécha deux de mes doigts puis les repositionna sur sa vulve en reprenant les va-et-vient. C’est vrai que ça glissait mieux et les lèvres étaient maintenant bien développées et s’ouvraient de plus en plus. On aura dit une fleur qui éclot.
— Attends, comme ça tu pourras mieux voir.
En disant cela, elle se rapprocha et remonta sa nuisette en écartant franchement ses jambes. Je vis sa toison éclairée par la douce lumière nocturne. Elle guida de nouveau ma main vers son intimité. Après quelques caresses, je sentis une forte humidité au bout de mes doigts. Ils furent comme aspirés entre les lèvres qui s’étaient écartées pour de bon.
— Mmmmh, tu sens comme je suis toute mouillée ? C’est bon
Ma tante ferma les yeux. Je bandais comme un âne. Encouragé par ses gémissements, je continuais à frotter son sexe offert.
— Remonte un peu maintenant, vas sur mon petit bouton.
Je m’exécutais et tombais effectivement sur ce que je savais être son clitoris. C’était donc ça ? Je n’avais qu’une envie : caresser cette petite chose. Je dus mal m’y prendre, car la main de ma tante restée au contact me guida de nouveau plus fermement.
— Tourne autour sans trop appuyer. Oui comme ça, mmmh continue
Pendant ce temps, ma chère tante ne resta pas inactive. Elle avait lâché ma main pour glisser la sienne sous les draps à la recherche de ma queue gonflée. Les draps glissèrent offrant ma tige à sa vue. Ma tante ouvrit les yeux quelques secondes pour la contempler et finalement la saisir dans sa main.
— Mmm c’est drôlement dur tout ça !
Puis, elle referma les yeux en gémissant et en se tortillant sur mes doigts. Cela eut pour effet de la liquéfier littéralement. Savoir ma tante excitée par la vue et la caresse de mon membre rajouta encore plus à ma propre excitation.
Elle ondulait son bas ventre pour accompagner mes caresses. Elle faisait aller et venir mes doigts entre son clitoris et l’entrée de son vagin de plus en plus ouvert. Un mouvement plus fort de son bassin fit tout à coup rentrer deux de mes doigts à l’intérieur.
— Oh oui ! Vas-y ! m’encouragea-t-elle en serrant mon sexe encore plus fort.
Elle ne me branlait pas vraiment, comme je l’aurais fait moi-même, avec toute la concentration nécessaire pour appliquer le bon geste et le bon rythme. Non, ma tante était concentrée sur son propre plaisir et les mouvements saccadés sur mon sexe n’étaient pas vraiment volontaires. Ils étaient plutôt le fruit de ses propres agitations, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. La vision de cette femme se donnant du plaisir avec mes doigts était le plus beau cadeau qu’elle pouvait me faire.
Elle ne parlait plus, mais haletait de manière appuyée et émettait des petits cris à chaque pénétration digitale. Ses ondulations étaient de plus en plus amples et appuyées, de telle sorte que deux de mes doigts rentraient désormais entièrement à l’intérieur de sa matrice.
J’eu peur, un bref moment, que les bruits que nous émettions (surtout ma tante) ne réveillent la maisonnée, mais il n’en fut rien.
J’étais au bord de l’explosion quand elle pressa puis pinça fortement un sein de sa main libre en étouffant un cri. C’en était trop pour moi et je giclais puissamment sur mon torse.
De son côté elle se crispa et serra ses cuisses autour de ma main en émettant un râle de plaisir. Je compris qu’elle était en train de jouir. Son vagin se contracta fortement plusieurs fois en rafale autour de mes doigts pendant que je lâchai mon dernier jet de sperme sur les draps.
Nous restâmes comme cela un long moment sans rien dire à reprendre notre respiration.
Ma tante fut la première à briser le silence.
— Non seulement tu es un bon cavalier, mais tu sais drôlement bien donner du plaisir à une femme Merci J’espère que ça t’a plus aussi.
Je répondis d’un oui timide.
Puis désignant les draps mouillés autour de moi, elle ajouta.
— Ne t’inquiète pas, je ferai une lessive demain.
Elle se pencha pour m’embrasser sur le front. J’avais la tête dans ses seins.
— Bonne nuit mon neveu !
— Bonne nuit ma tante !
Elle retourna se coucher discrètement aux côtés de mon oncle qui n’avait cessé de ronfler, me laissant abasourdi par ce qui venait de se passer. J’eus du mal à m’endormir, des images et des sensations tourbillonnaient dans mon cerveau en ébullition. Finalement, le sommeil me gagna tard dans la nuit et je sombrai dans le néant jusqu’au petit matin.