Je t’aime mon amour et j’ai envie de te faire plaisir. J’ai cherché pour toi un film qui pourrait te procurer autant de plaisir que j’en ai eu avec le film que tu as choisi spécialement pour moi. Ce choix m’a confirmé, s’il en était besoin, à quel point tu es sensible à mes désirs, mes fantasmes, ma structure identitaire.
C’est une preuve d’amour magnifique !
Au gré de mes échanges sur les tchats, les forums, j’observe, je regarde, je pose quelques questions polies. J’essaie de comprendre ce monde de "libertin". Je cherche l’idée qui pourrait décupler ton plaisir à l’extrême, mais j’avoue être assez déçue.
Je relis le tome 1 Entretien avec un vampire, subjuguée par la relation entre Armand et Lestat. Cette relation faite d’emprise, de plaisir, de douleurs, de don de soi. Je m’endors et, dans un sommeil agité, peu à peu Armand prend vie sous tes traits et Lestat sous les miens.
Je me réveille très excitée car je sais que j’ai eu plusieurs orgasmes nocturnes et je suis surtout excitée car la nuit m’a apportée la réponse que j’attendais.
Je sais comment te faire plaisir, comment décupler tes sensations pour notre plaisir à tous les deux.
Pour cela je vais devoir me mettre en mode Louve. Je suis un caméléon J’ai la journée devant moi. Je me branle à plusieurs reprises en imaginant déjà ce qui va se passer.
Vers 18h je t’envoie juste un petit message avec une consigne particulière, tu me fais confiance, tu ne poses pas de questions.
Sous ma robe patineuse, j’ai enfilé ce magnifique corset avec des bas nylons, à l’ancienne.
Comme souvent, quand je sors, je me filme pendant que je me prépare tout en t’exposant mon plan via la cam. Je lisse et plaque mes cheveux, je peins ma bouche. J’enfile mes talons. Je suis dans mon rôle.
Chasseuse
Je sors ! Direction les boites branchées du beau Paris. Au passage j’appelle Pablo, c’est toujours mieux d’arriver accompagnée.
Pablo est ravi mais il sait qu’il rentrera probablement sans moi. Il connait la règle Pablo ! Je me couche et je me réveille seule ! Pas d’hommes dans mon lit.
Nous prenons un verre ensemble et très rapidement je sens que mon Pablo a fait son choix !! Il a raison, elle est magnifique. Il me quitte pour sa nouvelle conquête, moi je scrute la salle à la recherche de ma proie.
Quelques inopportuns tentent malhabilement une approche. Un seul regard et je les tiens à distance.
Je décide de me déplacer jusqu’au bar où j’espère avoir une meilleure vue. Je regarde ces corps se déhanchaient, ses bouches s’embrassaient, ces couples qui s’aiment, ou qui s’ignorent. Je ne peux pas m’empêcher de penser, d’imaginer, de construire. Je saisis, un détail, une bribe de phrase, un regard coulé en douce et c’est tout un scénario qui s’élabore dans mon cerveau.
J’ai toujours aimé ça ! Regarder !!!
Soudain je l’aperçois ! Elle est là ma proie !
Magnifique ! J’ai trouvé ce que je voulais ! Exactement comme je l’imaginais !! J’en ai des palpitations !!!
Elle te plaira Corto je n’ai aucun doute.
Un double de moi ! En rousse, cheveux mi- longs, de larges boucles, une peau laiteuse et des yeux troublants, presque la couleur de sa chevelure.
Je l’observe depuis le bar ! Elle a l’air d’être mal à l’aise et de s’ennuyer. Visiblement elle est venue accompagnée d’un groupe d’amis qui la délaissent. Je me dirige vers elle, le pas assuré, souriante je m’installe à ses côtés. Je me baisse vers elle pour lui dire que c’est décidément bruyant et que mon cavalier m’a oublié. D’un signe de tête je lui montre Pablo plongé dans le décolleté de sa plantureuse enfoncée dans un des fauteuils bien moelleux du fond de la salle.
Elle s’étonne de ma réaction " ça ne vous fais rien ?" Je lui souris et lui répond que quand il en aura marre il reviendra, qu’il revient toujours à ma bouche, à mes seins.
Mes seins ! Mes seins qu’elle ne peut pas louper car la forme carrée de mon décolleté laisse apercevoir ma poitrine naissante. Je devine sous sa robe noire stricte une poitrine aussi généreuse que la mienne. Je suis de bonne compagnie et je sais charmer les gens, hommes ou femmes. Très rapidement notre conversation prend le ton de confidences de copines.
Nous parlons, nous rions, ces amis reviennent de temps à temps à notre table, présentation rapide, elle n’a plus besoin d’eux, je la fais rire. 24 ans célibataire elle m’avoue dans un soupir " toujours vierge !!! Je la taquine en lui demandant si elle a déjà vu une queue. Elle sourit et me dis "oui, elle en a branlé une, un jour dans un parking mais il a giclé tout de suite dans sa main".
Alors je lui parle de Pablo, de ma fascination pour sa queue. Je lui dis que Pablo adore les pipes. Et que moi j’adore le sucer. Elle me pose des questions, je réponds. Je sens la gourmandise derrière son air innocent.
Je vois sa poitrine se gonfler et dégonfler. Je cale ma respiration sur la sienne. Nous sommes à l’unisson. Je croise et décroise les jambes, elle peut apercevoir mes bas et mes jarretières, je le sais car son souffle s’est légèrement accéléré.
Je lui dis qu’elle est jolie, très bien formée. Elle me répond dans un sourire "Toi aussi" !
Humm ses lèvres ! J’aimerai les goûter !! Je lui propose de passer à la maison pour un dernier verre. Je me lève pour aller régler la note au bar.
J’ai laissé mon téléphone auprès d’elle. Je reviens sur mes pas et envoie un sms. Je lui dis que c’est pour prévenir Pablo que je m’en vais, elle fait de même pour ses amis.
En fait ce sms t’est destiné mon amour. Je t’ai demandé d’attendre exactement 2 minutes puis d’envoyer un sms avec une photo de ta queue en gros plan et un petit texto du genre "J’ai envie de te baiser mon amour"
Je me lève en laissant le téléphone déverrouillé, bien en vue pour aller régler la note.
Du bar je la vois sursauter quand le téléphone vibre à la réception de ton message. Discrètement elle jette un il (mes messages s’affichent plein écran). Je la vois rougir et porter ses mains à ses lèvres.
Merci mon amour tu es parfait ! A la seconde près ! Je t’imagine caler dans ton canapé là-haut dans ta mezzanine, suivant ma chasse minute par minute, en pensée.
Je traverse la pièce et me dirige vers elle en lui disant " Mon chou on y va"
Laure, elle se prénomne Laure.
Dans la voiture je l’écoute parler. Laure me dit qu’elle ne me juge pas mais que toutes ces choses c’est pour les salopes. Qu’elle ne comprend pas le succès de 50 nuances de Grey et que les gens devraient voir des psy au lieu d’étaler leurs fantasmes.
Intérieurement je jubile, j’imagine déjà le travail que mon Corto va accomplir sur cet esprit vierge de toute perversion. Quel plaisir pour lui de soumettre cette demoiselle qui nous prend de haut car elle n’a aucune idée de ce dont elle parle.
Nous prendrons notre temps mais elle changera d’avis. Je ne supporte plus ces gens étriqués dans des discours préfabriqués et qui piétinent la beauté de nos fantasmes avec leurs gros sabots.
Corto la soumettra, sans un motje n’ai aucun doute là dessus. La pensée de Corto exerçant son animalité sur Laure provoque chez moi une envie de me branler. Impossible avec Laure à coté. Je dois me retenir. C’est jouissif.
Arrivées à la maison je lui propose de se mettre à l’aise, de se servir un verre pendant que je vais prendre une douche et me changer.
J’en profite pour t’appeler sur skype. Tu es exactement comme je l’ai imaginé. Assis dans ton canapé là-haut dans ta mezzanine refuge. Nous n’avons pas besoin de parler. Tu as compris ce que je faisais. Tu me dis juste "Je t’aime Soraya". Moi aussi je t’aime Corto ! Je me sens vivante à tes côtés.
Je prends ma douche rapidement et t’informe que j’ai laissé mon ordinateur dans ma chambre connecté sur skype. Par contre n’ayant pas informée Laure, je laisserai juste le son, il n’y aura pas d’image. Je lis dans ton regard tout l’amour que tu as pour moi.
J’enfile une nuisette et je retrouve Laure qui s’est déchaussée et nichée dans mon canapé avec un verre de martini. Elle a l’air un peu plus détendue. Elle a pris un des livres de ma bibliothèque, L’amant de lady Chatterley. Elle me lit un passage que j’ai surligné et marqué.
"La grande masse des femmes sont comme ça : la plupart veulent un homme, mais elles ne veulent pas le sexe, seulement elles s’en accommodent comme d’un mal nécessaire. Les moins à la page font semblant de rien et vous laissent faire. Et après, ça leur est égal, elles vous aiment bien. Mais la chose en elle-même, ça n’existe pas pour elles, c’est juste un peu déplaisant. () Il y en a qui sont rusées. Elles sont comme ça mais elles ne le montrent pas. Elles font semblant d’être passionnées, d’éprouver de grands frissons mais c’est du chiqué. Elles jouent. Et puis il y a celles qui aiment tout, toutes les sensations, toutes les caresses et toutes les manières de jouir, sauf celle qui est naturelle. Elles vous font jouir quand vous n’êtes pas au seul endroit où vous devriez être pour ça. Et puis il y a les dures, qui sont la croix et la bannière à faire jouir, et qui se font jouir toutes seules. Elles veulent avoir le rôle actif. Et puis il ya celles qui sont mortes à l’intérieur, mais vraiment mortes, et elles le savent. Et puis il y a celles qui vous font sortir avant que vous ayez vraiment fini, et qui continuent à se trémousser des reins jusqu’à ce qu’elles se fassent jouir contre vos cuisses. Mais celles-là ce sont surtout des lesbiennes. C’est incroyable comme les femmes sont lesbiennes consciemment ou inconsciemment. »
Elle me demande pourquoi ce passage ? Je lui réponds "car ces quelques phrases résument toutes la complexité et l’hypocrisie des rapports hommes femmes". Elle veut comprendre. Alors tout en lui servant un verre je lui explique la bestialité en chacun de nous, la tromperie qui consiste à nous faire croire que nous voulons du sentiment et uniquement du sentiment. Je lui parle de la guerre du feu, de la soumission qui finalement est le vrai pouvoir sur l’autre.
Je lui parle de Corto. De notre relation si particulière.
Elle est pendue à mes lèvres. Elle n’est pas d’accord. Il est impossible selon elle d’éprouver du désir sans sentiments, sans amour. Amusée, je la regarde s’emportait et déclamait ses théories sur l’Amour.
Je lui demande si elle a déjà ressenti du désir, du désir à se damner. Elle me dit que parfois oui elle est excitée mais sans plus.
Je lui propose un jeu pour lui démontrer qu’elle a tort. Elle rit, et me dis " Je veux bien je suis curieuse de voir comment tu vas t’y prendre".
Je lui demande de me suivre dans ma chambre. Je lui propose de se mettre vraiment à l’aise et d’enfiler une nuisette, celle qui lui convient. Elle choisit une nuisette satin de couleur bleu qui lui va à merveille.
Sa poitrine est magnifique, elle a laissé ses bas et son string et remis ses chaussures à talons.
Je lui demande de se mettre à genou sur mon lit mais prés du bord , dos à la porte et bien redressée. Je lui dis de ne pas s’inquiéter, je vais lui bander les yeux. Je sors un masque de velours et délicatement je lui pose sur les yeux en faisant un nud.
Discrètement je vérifie que tu es bien connecté mon amour, tu me dis que le son est parfait et que tu te régales.
Laure est maintenant de dos, j’aperçois sa nuque, car elle a relevé ses cheveux, ses épaules, je devine son fessier sous le satin. Je suis assise dans mon fauteuil blanc, je la regarde. Je ne dis pas un mot. Je me concentre sur sa respiration et cale ma respiration sur la sienne.
Elle me demande ce qui se passe, je sens de l’inquiétude. Je lui dis qu’il faut qu’elle ait confiance. Je pianote rapidement un texto à Corto pour lui décrire la scène.
Elle s’assoit sur ses talons. Et m’entend lui murmurer à l’oreille " Non ! Relèves toi" Elle sursaute, elle me pensait assise dans mon fauteuil, elle ne m’a pas entendu approcher.
D’un doigt j’effleure sa nuque, délicatement. Sciemment, car je sais qu’elle n’a que son ouïe et son odorat pour la guider, j’accélère progressivement ma respiration, mon parfum, Angel envahit la pièce, elle ne peut se fier qu’à son ouïe.
Je m’éloigne d’elle, je remets mes talons. Le bruit de mes pas sur le parquet résonnent! Je sais que de l’autre coté de ton écran mon amour , tu es attentif à ça.
Je la sens tendue, elle tente de me repérer dans l’espace, d’anticiper mes mouvements
Mes doigts effleurent ses lèvres, puis glissent le long de sa cuisse, je dépose un baiser sur ses épaules, je suis partout et nul part. Je lui dis "Laure ? es-tu certaine que nous ne sommes que 2 dans cette chambre ?" Son petit gémissement, le durcissement de la pointe de ses seins m’indiquent que je suis dans la bonne direction.
La faire douter, stimuler son imagination pour décupler son excitation et son plaisir. L’aider à comprendre que c’est là que réside la puissance du désir et du plaisir !!! La force de l’imaginaire !!!
Je souffle délicatement sur sa nuque et fais descendre lentement la bretelle de sa nuisette, la bretelle du soutien-gorge suit. Je l’entends soupirer la bouche entre ouverte. Je lui glisse à l’oreille "Mets-toi debout mon amour ", elle s’exécute sans dire un mot.
Face à elle, je pose mes lèvres sur sa bouche, elle est surprise mais ne bouge pas. J’ai posé mes mains sur son dos et lentement je descends vers sa chute de reins. Mes lèvres cherchent à aspirer les siennes doucement. Dans un murmure je lui demande si elle souhaite que je m’arrête. La pression de sa bouche sur la mienne, la cambrure de ses reins, son petit gémissement me donnent le signal que j’attendais.
J’attrape ses seins avec mes mains et avale goulûment ses tétons. Je l’entends gémir. Je pense à mon Corto qui nous entend, je l’imagine en train de se caresser, cette pensée augmente mon excitation. Elle le sent. D’un geste rapide elle enlève sa nuisette son soutien-gorge et son string. Je ne veux pas qu’elle enlève ses bas.
Elle est allongée sur le dos, les jambes relevées, croisées sur mon bassin ! Lentement mon corps ondule, je voudrais tant avoir une queue pour la pénétrer ! Elle est très excitée et me murmure " Prends moi !!
Je lui souris, ce n’est pas encore le moment !! Lentement je glisse ma main vers sa fente. Elle est trempée.
Allongée à côté d’elle je l’observe se cambrer aux rythmes de mes caresses.
Je lui caresse doucement le clitoris. Je lui fais remarquer que je bande. Elle ne comprend pas, alors je m’allonge sur le dos, je relève mes jambes écartées et je lui dis d’enlever son bandeau pour regarder !!
Allongée sur le ventre, la tête entre mes cuisses, elle observe, fascinée, la turgescence de mon clitoris !! Je me branle doucement pendant qu’elle explore le reste de mon sexe, timidement, d’abord.
Elle récolte ma substance du bout des doigts et me demande quel goût cela peut avoir. "Goûtes ma chérie, toi seule peux savoir si tu aimes !! Elle se lèche les doigts avec hésitation, puis en me regardant droit dans les yeux, elle suce son doigt en se cambrant !!
La salope !! J’en suis toute excitée, et elle le voit !! Ma chatte lisse et brillante de mon liquide l’attire. Elle se baisse pour me donner des petits coups de langue. On dirait un chaton qui lape son lait. C’est délicieux ! Elle hésite, titille mon clitoris du bout de sa langue, avale mes lèvres mais très vite elle saisit et se fie à ma respiration, à mes gémissements, à ma cambrure !!!
Mais je ne suis pas là pour ça, n’oublions pas que je suis allée à la chasse pour Corto.
Avec regret je soulève son visage collé à mon sexe, je lui demande de se mettre sur le ventre et de remettre son bandeau. A califourchon sur elle, je lui masse les fesses avec des cercles concentriques autour de ces 2 petits trous. J’entends qu’elle y prend grand plaisir.
Je passe ma main sous son ventre pour lui relever le bassin, elle a le visage dans la couette, à genoux et le cul dressé vers moi.
Alors je la caresse autour de son minou sans jamais y toucher, elle respire de plus en plus fort.
Et d’une voix rauque elle crie dans l’oreiller " Je n’en peux plus, baises moi s’il te plait" !!
Tendrement je lui dépose un baiser sur les fesses et je lui dis qu’il est tard qu’il faut qu’on dorme.
Je la sens frustrée, en colère. Qu’importe. Je sais que pendant ma douche elle cherchera à se caresser.
Je vais me coucher dans le canapé du salon et lui laisse mon lit.
J’ai hâte de rejoindre Corto sur skype. Nous sommes très excités tous les 2, nous déchargeons vite. Je sais qu’elle m’entend !!
Sa nuit a été agitée, je l’ai entendu se tourner et retourner.
Je me lève, prends une douche et prépare notre petit déjeuner. Quand je sors de la douche, elle est là ! Boudeuse, furieuse, frustrée, magnifique ! Nous prenons notre petit déjeuner en parlant de tout et rien puis soudain elle me lance " Pourquoi m’as-tu laissé comme ça hier soir ?
Je me lève, je me mets derrière elle, mes mains glissent vers ses seins gonflés de désir et je lui murmure "Pour que tu expérimentes la force du désir, la puissance de l’imaginaire".
Et je retourne m’asseoir. Il faut que la dépose chez ses parents. Je lui laisse ma carte avec mon numéro. Elle me déteste pour l’instant mais je sais qu’elle appellera.
Corto, mon amour je ne t’oublie pas mais je veux qu’elle soit prête.
Le souvenir de cette soirée alimentera mon weekend coquin avec mon Corto. Mon désir de lui faire plaisir me rend encore plus désirable à ses yeux. Corto mon amour tu me combles !
Tu me combles de sperme, de sexe, d’amour !! Et pourtant j’en veux toujours plus! !! Nous avons même élaboré un nouveau scénario à l’aéroport . Nos fantasmes se font écho et ce que nous en produisons est sublime.
Le lundi suivant Laure m’envoie un texto " Il faut que je te voie" Je ne réponds pas. Durant plusieurs jours elle multiplie les sms et les appels téléphoniques. J’écoute sa voix, je l’écoute me dire qu’elle n’en peut plus, qu’elle veut me voir, qu’elle fera tout ce que je veux.
Humm vraiment ?
Je l’appelle ! En larmes elle demande à me voir. Je lui demande si elle est vraiment prête à faire ce que je veux.
Elle me répond que oui ! Moi j’ai besoin de tester avant, alors je lui propose de me rejoindre à la bibliothèque au rayon mathématiques "Dans une heure, et mets une robe sans culotte avec des bas et des chaussures à talons"
J’aime l’odeur et l’ambiance des bibliothèques. Cette odeur particulière et ces chuchotements.
Je suis en train de travailler quand elle arrive. Elle est sublime dans sa jolie robe blanche.
Je demande à mon voisin de surveiller mes affaires le temps d’aller chercher un bouquin. Il a les yeux rivés sur Laure. Je le comprends.
Je fais la bise à Laure et me dirige vers le rayon géométrie.
Arrivée dans l’allée je la plaque contre l’allée du fond !! Ma bouche cherche la sienne, ma main droite agrippe son sein !! Elle est brûlante, je glisse ma main gauche vers son entre jambe. Elle est trempée !! Je la branle, rapidement avec vigueur pendant que ma main droite pétri son sein !!
Je regarde son visage, je sens qu’elle ne va pas tarder à décharger, alors je l’embrasse pour étouffer ses cris.
Je sens son corps se crisper sous le mien, elle m’embrasse avidement puis dans un râlement je sens son corps se détendre, et son jus couler sur mes doigts. Elle se laisse glisser au sol.
Je lui donne mes doigts à lécher, je l’embrasse tendrement sur les lèvres et je lui murmure " Maintenant tu connais la puissance du désir". Et je m’en vais, la laissant là au milieu de ses sécrétions.
Laure m’appelle! Souvent! Elle veut qu’on se revoit, moi je laisse passer le temps. Je veux qu’elle ait faim de moi.
Quelques jours plus tard je l’invite au restaurant. J’ai une surprise pour elle !! Elle est heureuse comme une gamine et me demande ce que c’est. Je lui réponds qu’elle peut ouvrir mais c’est à consommer tout de suite.
Elle ouvre son cadeau, et ne comprends pas ce dont il s’agit.
Une culotte vibrante avec commande à distance !
Va mon amour ! Va au toilette, enlèves ton string et déposes le sur les lavabos hommes puis enfiles ton nouveau jouet.
Je la sens troublée, je la vois se diriger vers les toilettes.
Quelques minutes plus tard elle est de retour et me dit qu’elle a laissé son string dans les toilettes hommes. Puis elle me remet la télécommande.
La télécommande est petite, discrète elle tient dans le creux de ma main. Je lui souris, et luis propose de passer notre commande.
J’aime la bonne cuisine, les bons vins, nous nous faisons plaisir. Je veux qu’elle oublie la culotte vibrante et que j’ai la télécommande.
Elle se lève au milieu du repas pour aller aux toilettes et c’est à ce moment-là que je déclenche la télécommande.
Je la vois s’immobiliser ! J’arrête la télécommande, elle se remet en marche vers les toilettes. J’attends qu’elle y soit et je remets en marche. Puis je lui envoie un sms "Entre aux toilettes relève ta jupe, je vais jouer avec les différentes vitesses et filme-toi en train de jouir. Goûte ta mouille et reviens ici. Tu m’enverras le film, je vais le transférer à Corto."
Elle s’absentera pendant 10 minutes. A son retour, ses yeux brillantes, ses lèvres pleines m’enseignent assez sur son état. J’ai hâte de partager ce film avec Corto.
Elle me parle de Corto, elle me demande pourquoi je l’aime autant ! Alors je lui raconte cette connivence, ce plaisir partagé, cette sensation de pouvoir être moi grâce à lui, et lui de pouvoir vivre ses fantasmes grâce à moi et de les découvrir parfois.
Je lui dis qu’elle va le rencontrer ! Que ce n’est pas une option ! Elle refuse !
"Laure, si tu veux me revoir le mot magique ce sera Corto ! Sinon tu devras te chercher un autre maître et une autre maîtresse"
Elle me dit que c’est hors de question. Je souris en la raccompagnant. Je me demande combien de temps elle tiendra. J’en profite pour jouer de la télécommande dans la voiture et lui rappelle que je garde la télécommande avec moi.
Pendant plusieurs jours elle m’appelle, me laisse des sms, me supplie.
Je ne réponds pas. Je profite de l’amour de Corto.
Jeudi soir soit une semaine après notre soirée au restaurant je reçois un sms. Court ! Mais puissant !
Corto !
Laure est prête !
Prête à découvrir une partie d’elle qu’elle ne soupçonnait pas !
Prête à abandonner sa bienpensance et à explorer d’autres voies !
Nous lui donnons rendez-vous le lendemain soir chez moi. Corto nous rejoindra un peu plus tard. Il faut d’abord que je m’occupe d’elle.
Un petit verre pour nous détendre, puis je lui propose un massage. J’adore masser !!
Dans ma chambre j’ai créé une atmosphère zen et érotique. Le fauteuil de Corto est dans un coin, j’ai allumé plusieurs bougies dont des bougies d’huile de massage de Tahiti.
Allongée sur le dos Laure me parle, elle me dit que je lui ai manqué. J’enduis son corps d’huile et je la masse. Elle a une très jolie peau, bien entretenue. Je me délecte à lui masser les seins mais je ne m’y attarde pas.
Sur le ventre, petit à petit son débit de paroles ralentit. Je veux qu’elle se saisisse de l’instant, qu’elle apprécie chaque minute de ce massage. Elle a l’air de beaucoup apprécié la manière que j’ai de pétrir ses fesses.
Son bassin accompagne mon mouvement, en douceur, je ne suis pas certaine qu’elle s’en rende compte.
Discrètement Corto est entré dans la chambre, un verre à la main. Il s’installe dans son fauteuil sans un bruit et nous observe. Elle ne l’a pas vu.
Mes mains s’attardent sur ses fesses, elle écarte légèrement ses jambes, j’y glisse un doigt. Elle est déjà humide.
Je me glisse vers elle, elle vient se nicher au creux de mon épaule puis me prend dans ses bras. Nos seins, huilés frottent les uns contre les autres. Je lui demande de se mettre à 4 pattes. Elle s’exécute. J’écarte ses fesses pour que Corto puisse jouir pleinement de la scène. Il me sourit.
Je me penche vers son petit clito et je l’aspire. Doucement. Je l’entends gémir. Je m’allonge à nouveau à côté d’elle et tout en lui caressant la chatte je lui murmure : "Corto est là ! Non ne bouges pas, il nous regarde, il est assis dans le fauteuil"
Je sens sa respiration se précipiter, elle attrape mes globes et les sucent à m’en faire mal puis sa langue descend le long de mon corps pour atteindre ma chatte trempée.
Elle me boit Elle a cambré son bassin comme pour mieux l’offrir à la vue de Corto. Ce bassin qu’elle agite devant son nez, retient toute l’attention de Corto.
Doucement il se lève, il pose une main sur une de ses fesses et de l’autre il caresse doucement l’entrée de sa petite grotte.
Je la sens tressaillir!
Je connais mon Corto, je connais sa douceur et je sais qu’il s’y prendra avec beaucoup de délicatesse.
Je sais qu’il l’a soumettra sans un mot, avec 2 doigts.
Pendant que Corto caresse ses lèvres et la prépare doucement à une pénétration digitale, elle lape ma chatte, comme une chatte. Je lui caresse la tête.
Doucement avec autant de douceur que si c’était moi, et il introduit son index et le plie légèrement en crochet. Il tâte pour trouver une petite excroissance à l’entrée de son vagin.
Les soupirs et gémissement de Laure nous ravissent et nous renseignent sur l’avancée des choses si je puis dire. Visiblement la petite coquine prend grand plaisir et moi aussi. Je me branle en les regardant.
Corto lui est impassible. Il passe maintenant à 2 doigts, elle se crispe un peu mais Corto trouve rapidement sa zone de plaisir.
Je la regarde fascinée du plaisir qu’elle prend entre les doigts de Corto.
Maintenant elle bouge son bassin. Elle en veut plus et le réclame. Corto n’a toujours pas dis un mot. A 4 pattes elle laisse mon homme lui caresser l’intérieur de son ventre avec ses 2 doigts.
Avec 2 doigts, sans dire mot il l’a rendu à l’état de bête. Elle a complétement écarté ses jambes pour mieux le sentir et elle le supplie de le baiser.
Corto s’arrête un instant pour venir m’embrasser et me caresser aussi un peu, elle nous regarde avec envie. Je lui demande si elle en veut encore, elle se remet à 4 pattes et présente sa croupe.
Corto recommence son petit jeu, alternant des moments de caresses et des moments de pauses. Surtout ne pas la faire jouir !!!
Il est fixé sur sa respiration, c’est son indicateur. Il a besoin d’une accélération particulière pour la suite
Laure est à 4 pattes, mon amant la caresse de 2 doigts et ses seins ballotent.
Elle n’en peut plus et c’est le moment que choisit Corto pour se pencher à l’avant et lui murmurer quelque chose à l’oreille.
Elle se redresse et dit non !
Corto sourit et Corto arrête de la caresser. Il se tourne vers moi pour m’embrasser et me faire l’amour.
Laure va s’assoir de l’autre côté du lit et nous regarde. Elle me regarde avaler le sexe de mon amant pour le faire grossir dans ma bouche. Il est allongé sur le dos et je suce sa bite comme si je ne l’avais pas fait depuis des années. J’adore sa texture, son goût, son odeur.
Je m’empale sur sa queue, mes jambes de chaque côté de son corps, mes mains dans les siennes, je contracte et décontracte mon sexe autour du sien. Il me sourit, il me dit qu’il m’aime. J’augmente peu à peu la vitesse de mes contractions. Mes seins s’agitent sous son nez.
Laure nous regarde et tente de se branler, de reproduire le geste de Corto sans succès. Corto me glisse à l’oreille, "Testes la, encore."
Je souris car je sais ce qu’il veut ! Mais pour cela il faut qu’il décharge en moi.
Je compte à voix basse jusque 10, et à 10 Corto m’inonde de son sperme. Je sens ses jets longs chauds et puissants me remplir. Je suis aux anges.
Je m’allonge à côté de Corto et, m’adressant à Laure je lui dis " vient nettoyer avec ta langue, viens nettoyer ton maître et ta maîtresse"
Laure s’avance vers nous à 4 pattes. Elle veut commencer par moi, mais je lui montre du doigt la queue de son maître.
Alors comme un petit chaton elle lape le sperme et mes sécrétions sur le corps et la bite de Corto.
Elle le supplie du regard, mais Corto a fermé les yeux. Il savoure ces moments de plaisir et moi je savoure aussi car je sais qu’il réussira à la soumettre. Je ne sais pas ce qu’il lui a demandé tout à l’heure mais elle finira par accepter.
Lorsqu’elle en a fini avec Corto, elle s’attaque au nettoyage de ma chatte. Le sperme de Corto coule encore de mon ventre. Je me suis mise debout, jambes écartées, à genoux devant moi, avec sa langue elle recueille toute cette semence. Sa langue nettoie mon entrecuisse, mon anus.
Je lui dis de bien nettoyer dans tous les coins. Alors elle pointe sa langue le plus possible pour bien nettoyer dans les replis de mes lèvres. J’en profite pour branler mon clitoris, debout devant cette femme qui pensait que nous avions une sexualité déviante et qui maintenant se damnerait pour que mon amant la touche.
Corto s’est redressé et nous observe. Il se masturbe, doucement.
Pendant qu’elle me léché toujours dans les moindres recoins, Corto s’est levé, il s’est placé derrière moi, je sens son sexe dur et son désir. Il me souffle à l’oreille " je t’aime, tu es une femme merveilleuse"
Puis avec tout l’amour qu’il a pour moi, il me retourne pour m’embrasser. Je renvoie Laure dans son coin, je lui dis " A genoux et ne bouge pas, je t’interdis de te toucher "
Corto a glissé ses 2 doigts en moi et les a recourbés. Il exécute la même caresse que tout à l’heure chez Laure.
C’est exquis ! Il sait exactement où appuyer, avec quelle pression. J’en perds la tête !! je gémis, je pleure de plaisir et je décharge dans sa main.
Laure s’agite, elle veut se toucher mais je lui ai interdis. Elle se tortille puis crie " Corto s’il te plait sodomises moi"
Ainsi c’était donc ça !!!
Il enfile un préservatif et l’enduit de mon précieux liquide.
Il aide Laure à bien se positionner et pendant qu’il se branle pour se préparer à cette sodomie il lui redonne du plaisir avec 2 doigts, juste 2 doigts.
Moi je prépare son petit trou. A l’aide d’un lubrifiant je prépare un peu le terrain. Puis je m’installe devant elle sur le dos les jambes écartées devant sa bouche. Corto passe derrière elle, écarte ses fesses et s’introduit en elle pour l’enculer, comme elle lui a demandé. Il me regarde, pendant qu’elle me léche, il l’a sodomisé mais il me fait l’amour par l’intermédiaire de son corps. Il peut voir sur mon visage l’ardeur qu’elle met à me lécher en fonction de ses coups de reins.
J’ai plaisir à le voir enculer cette femme ! Et il le sait.
Laure deviendra notre maitresse à tous les 2, quand elle reçoit le mot Corto sur son mobile, elle a 24h pour se mettre à notre disposition et visiblement elle adore ça.
Corto mon amour !! Tu as soumis cette femme avec 2 doigts et sans un mot !
