Le début des vacances.
Je m’appelle Laurie, je suis une femme de quarante ans, je suis mariée à Gérard depuis vingt-deux ans, j’ai deux enfants de dix-neuf et vingt ans. J’ai crée une société de nettoyage dans la région Poitou-Charentes qui fonctionne plutôt bien. Mais une certaine lassitude s’est installée dans ma vie, maison, travail, mari et enfants sont le quotidien de ma vie. Je ne vous cache pas qu’il m’est arrivé de tromper mon époux avec un intérimaire ou un client pour casser une certaine routine.
Mais rien n’y fait, j’ai envie de prendre des vacances, besoin de vider mon esprit et de laisser cette vie de côté. Je me mets donc à la recherche d’une longue croisière qui peut me permettre de faire le tour du monde et le vide. Je trouve deux possibilités, une première qui fait le tour des capitales européennes et une deuxième celle qui m’attire le plus une visite des grandes villes portuaires mondiales.
Je demande un rendez-vous avec la société de voyage qui propose la grande croisière. La personne de l’accueil m’explique les formalités, le départ se fera le huit avril deux mille onze de Marseille, le bateau partira dans un premier temps à New-York, il ira ensuite à Rio de Janeiro, contournera l’Amérique du Sud pour aller à Lima au Pérou, puis à San Francisco, ensuite celui-ci traversera l’océan Pacifique pour arriver en Asie. Nous commencerons par Tokyo au Japon, nous irons un peu plus au Sud pour aller à Manille, Phan Thiet, et Bangkok. Le paquebot continuera son chemin jusqu’à Sydney puis ira à Port Elizabeth. Nous retournerons en France que dans six mois au port de Marseille.
Je propose à ma sur, Sophie de me suivre dans cette grande aventure. Elle accepte volontiers, étant célibataire et sans enfant, elle n’aura aucune contrainte familiale.
Le soir, même en sortant du travail, je convie ma famille à un repas au restaurant. J’explique à tout le monde que j’ai besoin de prendre six mois de vacances sabbatiques afin de changer d’air et de profiter de la vie. Je confie la gestion de mon entreprise à mes deux enfants pendant cette période, je leur propose de les former avant de partir. Mon mari quant à lui, comprend ma décision, et continuera de faire sa vie. Il est aux alentours de minuit, il est l’heure de rentrer à la maison et de dormir.
Après quelques mois d’impatience et de préparation, nous sommes enfin le sept avril deux mille onze. Je dis un dernier au revoir à mes enfants et à mon mari. Je suis avec Sophie et nous prenons la direction de Bordeaux pour prendre l’avion en direction de Marseille. Nous avons rendez-vous à dix-huit heures dans un hôtel qui se situe sur le vieux-port. Nous prenons un taxi, puis nous arrivons devant le lieu indiqué par l’agence de voyages.
Nous sommes accueillies par des voituriers qui nous ouvrent les portes et transportent les valises dans nos chambres, dans le même temps des hôtesses viennent à notre rencontre et nous invitent à un apéritif dînatoire dans la salle de restaurant. Le capitaine du bateau et sa compagne viennent à notre rencontre et nous saluent. Ils s’appellent Louis et Brigitte, ils ont certainement la cinquantaine et forment un joli couple.
Au bout de quelques minutes, nous sommes rejointes par les autres voyageurs, puis nous apprenons à nous connaître lors de cette soirée. Certains hommes sont célibataires, d’autres sont mariés, mais il y a aussi des femmes seules. Il est presque vingt-trois heures, il est l’heure de rejoindre nos chambres. Le départ du paquebot se fera à 8h.
Je ne veux pas être fatigué et surtout, je ne veux pas manquer mes premières sensations de liberté. Sophie m’accompagne pour les mêmes raisons. Je prends une douche reposante et mets une nuisette. Je m’allonge dans un premier temps sur le dos et en fermant les yeux, je me souviens d’un homme assez discret lors de la rencontre des voyageurs, un homme charmant d’une trentaine d’années qui se tenait à proximité du bar.
C’est à ce moment-là, que ma main commence à caresser ma poitrine, mes tétons ne tardent pas à pointer et mon souffle commence à s’accélérer. Je n’arrête pas en si bon chemin, puisque je descends petit à petit en direction de mon petit bouton magique. Je l’effleure, je le chatouille puis je le malaxe entre mes doigts. Rapidement, des frissons me parcourent le corps, et je ne peux m’empêcher de me doigter.
On entend que moi dans la chambre, les bruits de pénétration envahissent la pièce. Mes fesses ondulent, quand soudain, je sens une bouche se poser sur mes lèvres, j’ouvre les yeux, en effet Sophie m’a rejoint.
Elle est entièrement nue, et se dirige vers mon puits d’amour, elle me lèche divinement bien, il y a longtemps que je n’ai pas eu une sensation aussi forte. Je ne tarde pas à envoyer des jets de cyprine sur le visage de ma sur. Elle se positionne au-dessus de ma bouche et pour la première fois de ma vie, je découvre la position soixante-neuf. Pendant plus d’un quart d’heure, nous jouons avec nos clitoris, nos seins et nos vulves, jusqu’à l’explosion de jouissance commune.
Nous nous endormons à la suite de cette partie de jambes en l’air. Pendant toute la nuit, j’ai gardé en moi cette sensation de jouissance. Le goût de la liberté commence à apparaître. Il faudra que je me montre beaucoup plus endurante, car le manque de sexe est fatal à ce niveau-là.