1 – embauche
Ca parait con de dire ça, mais tous les ans je le vérifie, le soleil exerce une très forte influence sur la libido. je ne sais pas si c’est le soleil seul ou la conjonction du soleil, du temps libre et des tenues légères. je sais seulement que depuis que je vais au camping au mois d’août dans le sud-ouest, le long de l’atlantique, ma libido est stimulée plus que de coutume durant cette période. ce camping, je le fréquente depuis très longtemps puisque j’y viens avec mes parents depuis que je suis toute petite. Nadia est donc très connue là-bas… et je connais tout le monde. Enfin heureusement pas tout le monde, des nouveaux arrivants chaque année donnent lieu à des rencontres intéressantes. Heureusement, sinon on aurait fini par s’ennuyer. Si c’était pour reproduire ce qu’on vit toute l’année… en tout, j’ai là des copains d’enfance que j’ai la chance de revoir tous les ans. le camping est notre lieu de rendez-vous.
Depuis deux ans mes parents n’y vont plus. Ils y retournaient surtout pour ma soeur et moi. Maintenant que j’ai 20 ans et que je bosse comme serveuse, nous prenons toutes les deux une tente moyenne et nous restons deux mois. Ma soeur, Marine, s’occupe, elle, des activités surf et voile sur la plage. Nous passons de super vacances pour pas cher, entourées de copains et de copines. Que rêver de mieux ?
Et puis mon taf de serveuse me met en contact avec des tas de gens que je n’aurais pas l’occasion de rencontrer le reste de l’année. Le patron du bar, boîte de nuit, est le père d’une vieille copine. il m’a proposé de bosser là l’été : Il ne paye pas beaucoup mais il offre la place de camping, le repas du soir et des tenues sympas pour attirer les clients en vacances. Dans ce camping, la majorité sont des jeunes qui viennent là s’éclater pour une ou deux semaines. Ils sont le plus souvent en bande et passent leur temps à surfer, boire et draguer. Ils dorment peu et font la fête presque non-stop. Sur les coups de 21 h, on enfile nos petites tenues : Maillot deux pièces, paréo, petites robes d’été, jupes courtes… on doit être sexy et donner au service une touche fun. Le sourire est de mise. Toutes les quatre, on sert jusque tard dans la nuit. Plus on sert, plus le patron est content, plus il nous sourit… Lorenzo aime bien voir ses filles en joie. D?ailleurs, il aime bien voir les filles tout court.
Alors que je ne travaillais pas encore pour lui, il y a deux ans, j’avais fêté mon anniversaire dans son bar. Sa fille, Carole, avait tout prévu. Le bar m’était pratiquement réservé et tous les copains étaient prévenus. Ce fut une sacrée surprise pour moi de célébrer mes 18 ans dans une telle ambiance. l’alcool coulait à flot. Lorenzo, qui me connaissait bien, m’avait fait ce beau cadeau de régaler tout le monde ce soir-là ! J?étais à fond dans l’ambiance. je picolais fort, dansais comme une folle. Je m’éclatais totalement quoi ! Ma tête commençait à tourner. J?étais heureuse. J?ai eu alors envie d’aller voir Lorenzo pour le remercier de sa gentillesse. Comme je ne le voyais nulle part, je suis entrée plus loin dans le bar. Je connaissais bien les lieux. je l’ai trouvé en train de remonter des caisses de boisson du sous-sol. Les deux pieds au bord de la trappe, je l’ai appelé. Il est alors apparu en bas de l’escalier, se demandant ce que je lui voulais.
– Je voulais juste sincèrement te dire merci pour la soirée, Lorenzo, c’est vraiment super sympa de ta part, bredouillais-je en riant à moitié.
– Mais c’est normal ma chérie. on a pas tous les jours 18 ans, hein ? Et puis une belle fille comme toi, ça mérite qu’on la traite bien !
perchée, je regardais ce cinquantenaire bien bronzé qui me débitait ses compliments.
– C’est gentil Lorenzo de me dire tout ça, t’es un amour !
– Ah! tu sais que j’en vois des belles filles, je sais les reconnaître et je peux te dire que toi t’es un sacrée belle nana, crois-moi !
Ses mots parvenaient à mes oreilles, mais j’étais concentrée sur ses yeux. Ils ne me regardaient pas vraiment. Enfin, pour tout dire, ils fixaient un point précis de mon corps… car Lorenzo, en contre-plongée, se délectaient d’une vue directe sur mon string blanc, par dessous ma mini-jupe. Ses paroles résonnaient donc avec une signification particulière. Le père de ma copine matait mon cul et ma chatte ! et moi je le laissais faire tout en le sachant… la pointe de mes seins durcit soudainement
– Je vais te faire un petit bibi quand même !!!
Je me mis en peine de descendre l’escalier. Mes jambes n’étaient pas très sûres. je posai un pied sur la première marche. Comme ma jupe serrée sur les hanches me gênait, je la fis volontairement remonter. L?escalier était bien raide. Je descendis en marche arrière, la croupe lancée dans les yeux de Lorenzo. L?humeur alcoolisée et l’équilibre précaire, j’agrippai des mains les marches. Le patron avait une vue précise de mes fesses dégagées par le string dont la ficelle me rentrait dans le sexe. Je savais ce que je faisais mais j’en ajoutais plus du fait de mon état… avancer ainsi dans l’aveuglement du désir me faisait palpiter. il avait envie de moi, je le sentais. il n’aurait pu rester insensible à la chaleur de mes 18 ans, à ce petit cul bronzé qui se dandinait dans l’escalier, à cette chatte dont il voyait déjà les poils bruns.
Sous prétexte de m’aider, il me soutint par la taille pour les dernières marches, non sans me caresser de ses larges mains.
Une fois en bas, je rajustai ostensiblement ma jupe. Puis je me jetai à son cou pour l’embrasser. Il me prit dans ses bras, ses mains ramenées sur mes fesses. Je suis assez petite et il faisait mine de me soutenir à hauteur ainsi. J?y allai d’un bisou sur sa joue, et d’un autre encore. Ses mains enveloppaient mon cul. Sans pouvoir le retenir, un petit soupir de plaisir glissa de ma bouche vers son oreille. il avait bien compris mon état d’excitation mais nous faisions mine de rien. C?était bien meilleur comme ça… encore un bisou, plus appuyé… et un de ces doigts touche l’entrée de ma chatte. Elle est trempée déjà et ce doigt s’enfonce dans ma vulve. Je commence à gémir, la tête posée dans le creux de son épaule. il visite ma chatte d’un doigt. De l’autre main, il tire ensuite mon string sur le côté pour un meilleur accès et se met à chercher mon clitoris qu’il tourne soudain entre ses doigts. Mes gémissements sont plus longs et plus forts. Je ne sais plus où j’en suis et je me lâche dans les bras du père de Carole. lui aussi se lâche. Deux doigts puis trois entrent dans ma fente qui s’ouvre largement maintenant.
il me dépose alors sur un tonneau de vin, retire mon string, écarte mes cuisses. Ma chatte noire et poilue reçoit alors sa langue fouineuse. Lorenzo me bouffe le minou et moi je jouis déjà. Sa langue entre dans ma fente, ressort, s’étale sur mon clito, revient dans la moule. Ses mains bloquent mes genoux en position grand écart et sa tête s’agite dans la forêt de ma chatte détrempée.
je pousse de grands cris dans la cave, je perds la tête. Je sens soudain sa queue sur ma chatte puis dedans. il me baise à grands coups. il est fin excité. Je fixe des yeux sa bite bien bandée qui sort mouillée de ma moule pour tout de suite y replonger. Je m’accroche à son torse. il a enlevé sa chemise et ses poils blancs me rappellent que je me fais mettre par le père d’une copine. Mais ses coups de bite sont si bons que ces pensées quittent ma tête pour être remplacées par d’énormes cris. je jouis comme une malade et je reçois tout à coup des giclées de sperme au fond de la chatte.
Mes esprits revenus, je renfilai mon string sur ma chatte poisseuse et remontai vite fait rejoindre les autres. Mes joues étaient rouges…
C’est peut-être ce jour-là que Lorenzo a décidé de m’embaucher pour l’été dans son bar… je ne sais pas si toutes les filles qui travaillent là se sont faites sauter par le patron, en tout cas moi ça ne me dérange pas. On a même pu récidiver tranquillement l’année dernière sans crainte de se faire surprendre par sa femme ou sa fille…
Nadia
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