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Les deux soeurs le même soir. – Chapitre 1

Les deux soeurs le même soir. - Chapitre 1



(chapitre unique)

Mes vacances estivales sont derrière moi…

Comme chaque année ou presque, je suis allé passer une semaine dans un site naturiste, mais j’avais voulu échapper à certains lieux comme le Cap d’Agde ou de la côte vendéenne ou même landaise.

J’aspirais à plus de calme…

J’avais entendu parler d’un camping naturiste situé à l’intérieur des terres situé sur les bords de la Cèze et en janvier, j’avais retenu un bungalow pour deux. A l’époque, j’ignorais si j’aurais une compagne pour m’y suivre…

Au début du mois de juin, j’avais rencontré Wanda dans un club libertin de la capitale, une Anglaise d’une quarantaine d’années, vivant seule à Paris, était venue s’encanailler dans ce club. Elle était partante pour une semaine, nue au soleil.

Quelques jours plus tard, nous nous étions entendus sur la participation aux frais de séjour et aussi sur le fait que nous étions libres de nouer des relations coquines qui sont un peu l’apanage de ces lieux…

La veille en fin de journée, je l’avais prise en bas de son immeuble et nous avions roulé toute la nuit en nous relayant.

Dès notre installation et avant le pot d’accueil du soir, nous avions eu le temps de parcourir les diverses installations du camping qui s’étageaient sur le flanc de la colline dominant la rivière. La chaude ambiance des couples flirtant (ou baisant) à l’ombre des grands pins parasols nous avait, si on peut dire, ouvert l’appétit.

Il est évident que j’ai baisé Wanda dès que nous nous sommes retrouvés dans l’intimité de notre home… Je ne sais plus qui a dit que les Anglaises n’étaient pas des bons coups, mais j’avoue qu’il ne fallait pas en promettre à Wanda…

Lorsque j’avais fait sa connaissance dans un club coquin du centre de Paris, elle sortait d’une relation à trois qu’elle avait partagée avec un couple au cours de laquelle la fille l’avait gouinée en 69 pendant que le mec la baisait…

Malgré la fatigue du voyage par la route, notre première étreinte au camping fut plutôt une cavalcade endiablée…

Après un cunnilingus qui avait amené Wanda à la jouissance, je bandais ferme… elle m’a basculé sur le dos et a introduit mon sexe dans le sien… Elle me faisait face et je voyais ses petits seins se balancer au gré de ses mouvements montant et descendant sur ma bite…

Ayant échangé nos tests HIV quelques jours avant le départ, nous savions que nous étions sains tous les deux, aussi je baisais Wanda sans capote… Lorsque je me suis épanché au fond de son sexe, celle-ci a joui à son tour dans un grand rugissement de plaisir.

Je ne vais pas vous relater toutes les parties fines du séjour… Il n’a pas été de tous repos, mais ce qui s’est produit le jeudi soir mérite d’être raconté.

Après dîner, Wanda s’était fait lever au bord de la piscine par deux mecs, archi bodybuildés, et les avait suivis je ne sais où… J’avais rodé un peu à la cafèt’ puis j’étais redescendu à notre bungalow où la chaleur (malgré la climatisation) était à peine tenable.

Bien qu’ayant ce qu’il fallait dans le bungalow, je suis allé prendre une douche dans le collectif se trouvant près de la piscine… On ne sait jamais…

J’étais à peine entré dans ma cabine que j’entendais dans celle d’à côté des gloussements de plaisir et des chuchotements… Il n’y avait pas de doutes : un couple se donnait du bon temps…

Un peu « entendeur » à défaut de pouvoir « être voyeur », je décidai de ne pas faire de bruit en me contenant de tendre l’oreille.

Quelle surprise quand j’ai distingué deux voix de femmes !!!

Certes, c’était un couple qui était dans la cabine voisine, mais il s’agissait des deux filles ! Et cela m’a excité au plus haut point si bien qu’en sortant de la cabine et malgré la douche froide, mon sexe était dressé sur mon pubis. Dans le même temps, les deux filles sont sorties de leur cabine :

Oh, Sandra, regarde ce mec… j’en ferais bien mon ordinaire ce soir !

Mais Virginie, t’es vraiment incorrigible… mais je dois reconnaître qu’il est bien monté !

Je vois que vous bandez cher Monsieur… auriez-vous entendu des bruits dans la cabine ?

Oui… j’avoue et cela m’a excité… vous en avez la preuve !

C’est ce que je disais à ma sur… Il y avait bien quelqu’un dans la cabine voisine !

Ah vous êtes surs ? Curieux !

Oh… ne soyez pas surpris… cela fait des années que cela dure… ça nous a pris un soir où nos maris étaient partis en goguette et nous n’avions personne pour nous satisfaire…

Mais Virginie… tu ne vas quand même pas raconter notre vie !

Et ce soir… vous n’auriez pas une petite place pour un homme esseulé ?

Sandra et Virginie ont répondu d’une même voix :

On va chez toi… Nos hommes ont levé une Anglaise à la piscine et ils sont en train de la démonter comme ils disent lorsqu’ils se mettent à deux pour baiser une fille !

Marrant comme les choses peuvent tourner… mais je ne dis rien de la situation.

Moins de cinq minutes plus tard, nous nous retrouvions dans la pièce centrale de mon bungalow.

Comme nous étions nus, nous sommes passés rapidement aux choses sérieuses.

Sandra et Virginie étaient surs, elles ne pouvaient le nier tant leur ressemblance était forte… Elles mesuraient environ 1.65 m et avaient de longs cheveux blonds naturels qui descendaient entre leurs épaules. Le visage ovale était illuminé par des grands yeux gris, la bouche était relativement étroite avec des lèvres minces.

Que dire de leurs corps ? Toutes les deux dans la maturité des 40 ans, elles avaient une petite poitrine ronde, accrochée bien haut et des tétons ornés d’une barrette dorée. C’était le signe visible d’une certaine coquinerie… Des hanches juste un peu larges sous une taille souple et un pubis orné d’un petit toupet de poils complétaient leur portrait.

Sandra, qui était l’aînée s’est retournée vers moi qui contemplais la chute de reins de ces deux coquines :

Nous… on est encore bien chaudes et nous avons encore envie de jouir, mais toi, tu as baissé le pavillon !

Mais je compte sur vous pour ranimer la flamme !

OK… Virginie, c’est à toi ! Tu m’as envoyée en l’air… montre-nous ce que tu sais faire avec un homme !

Je m’étais assis sur le divan et j’attendais de voir ce qui allait se passer… Mon sexe à moitié bandé reposait entre mes jambes et Virginie s’est placée à genoux. D’une main, elle a saisi mon chibre et de l’autre, elle a commencé à masser mes bourses… Après quelques coups de langue sur le gland, elle l’a placé entre ses lèvres puis c’est presque toute la longueur qui est entrée dans sa bouche jusqu’à ce que mon pubis vienne au contact de ses lèvres…

Même si je ne bandais pas encore très ferme, Virginie me gratifiait dès le début d’une gorge profonde… que Sandra s’est empressée de commenter :

Tu vois que tu peux le faire… Il suffit d’aller doucement et de déglutir au fur et à mesure de l’entrée du membre dans ta bouche ! En plus, tu es tombée sur un homme patient dont tu as avalé les 20 centimètres de sa bite !

Oui… c’est ça… elle fait bien 20 centimètres quand elle est bien bandée !

Allez, n’en reste pas là… mais surtout, ne le fait pas éjaculer !

T’inquiète… je maîtrise ! Je vais la faire raidir et après…

La bouche de Virginie était chaude et je sentais sa langue râper le frein lorsque j’allais sortir… Humm… c’était bon…

Pendant ce temps-là, Sandra, qui s’était placée en face de moi, faisait aller et venir sa main droite sur son sexe… Je voyais distinctement quand elle s’occupait de son clitoris qu’elle faisait rouler… ensuite, elle descendait deux doigts entre ses lèvres vaginales avant de les introduire dans son vagin… C’était excitant de la voir se masturber ainsi pendant que sa sur cadette me faisait une gâterie !

Lorsque j’ai été bien raide, Sandra s’est approchée pour constater mon état :

Bien… je pense qu’il est à point ! Il va pouvoir me prendre le cul pendant que je boufferai ta chatte de salope !

OK les filles… le programme me convient !

Virginie s’est allongée sur le divan et a ouvert ses cuisses dévoilant sa chatte presque imberbe… D’une main, elle a écarté les lèvres intimes pendant que Sandra se couchait à moitié sur l’accoudoir et m’offrait la vision de sa fente dans laquelle palpitait son illet plissé !

Quelle invitation… Même si je ne suis pas un sodomite forcené, ce soir, je n’allais pas me priver de prendre le petit trou de Sandra.

Couvre-toi et vas-y franco ! Encule-moi… tu peux y aller, je suis ouverte !

Si tu le dis… mais tu vas quand même sentir passer ma bite !

Dès que le gland sera entré, pousse lentement et doucement… tu ne tarderas pas à être au fond ! Tu ne seras pas le premier à prendre la porte de service !

Si tu le dis ! C’est parti !

Sa pose était assez classique, d’ailleurs dans pas mal de clubs, on trouve des fauteuils avec des accoudoirs qui permettent à la fille de se prosterner et d’ouvrir sa raie sans plier ses jambes.

Je suis allé chercher de sa mouille dans son vagin et j’ai entre deux puis trois doigts dans son fondement qui s’est ouvert immédiatement. Au moment où j’introduisais mon gland dans son sphincter, Sandra m’encouragea à nouveau.

Oui… ma belle, je vais te prendre le cul, mais tu es ouverte… on a dû te ramoner la cheminée plus d’une fois !

Oui… mais c’est ta bite qui m’a fait envie ce soir… Mon homme n’est pas aussi bien pourvu.

Merci pour lui !

Et mes amants de passage non plus !

Pendant que je sodomisais Sandra, elle bouffait la chatte de Virginie et la position de sa main droite laissait supposer que plusieurs doigts devaient fouiller le sexe de sa sur ! Je continuais d’aller et venir dans cet orifice chaud et gluant et je sentais que la jouissance montait dans mes reins… Je me retenais, car je voulais jouir en même temps que ma partenaire. En fait, ça n’a pas tardé… Elle s’est mise à ruer comme une cavale rétive et j’ai su que c’était le moment !

Virginie a joui peu après…

Nus tous les trois, nous avions besoin de nous désaltérer… C’est à ce moment-là que Wanda est entrée… Elle n’a pas été surprise et en plaisant avec son accent british, elle a dit !

Match nul, toi avec deux filles… moi avec deux mecs ! Je suis OUT… je vais me coucher après la douche !

Le séjour s’est terminé sur cette apothéose…

Wanda (pour l’instant) ne sait pas que les deux filles avec lesquelles je me trouvais ce jeudi soir étaient les « régulières » des deux mecs qui, selon son expression, l’avaient démontée comme jamais !

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