Je fréquentais des partouzes.Normalement je baise avec qui me plaît, toujours des hommes, bien ou mal montés, je m’en fiche du moment qu’il y a une bite. J’aime me faire mettre selon mon humeur, devant souvent derrière parfois : je n’ai rien contre une sodomie bien faite. Rarement, trop sans doute je me fait prendre par deux bites une devant, l’autre derrière. Le plaisir est innommable par sa longueur et son sommet.
Depuis presque deux ans, je me suis faite initiée à un autre plaisir plus fort, plus long, tellement plus agréable et doux : avec des filles. Elle s’appelle Léonce. Sa taille est plus importante que la mienne. Ses yeux étincellent, elle m’oblige pour la première fois à baisser les yeux. Sa taille invite mes bras, ses seins mes lèvres.
Nous nous sommes rencontrées lors d’une exposition de peinture devant une toile montrant de façon explicite les amours de deux filles. J’examinais tous les détails de l’étreinte.
Juste derrière moi, cette voix impérieuse qui commentais en connaisseuse luvre.
Nous avons bavardé :
C’est loin de la vérité !
Comment ça, je vois deux femmes qui se donnent du plaisir.
Non, ce doit être autrement fait pour la soumise.
Qu’est ce que vous en savez ?
Je pratique assez la chose. Si tu( le tu m’interpelle) veux je te montre.
Qui est cette sorte d’énergumène qui me donne des leçons d’amour. Et me montrer quoi ? Comment masturber un sexe de femme : je sais me le faire. Alors sur une autre, où est la différence.
Je connais cette différence : quand je me branle je suis seule avec mes pensées érotiques pour me donner du plaisir. Je me baise avec un gode perfectionné. Mes amants me conviennent, surtout plusieurs à la fois.
Elle me prend par le bras pour que nous allions boire quelque chose ensemble.
Finalement nous sommes chez elle : j’y suis allée de mon plein gré. Elle me parle toujours des véritables étreintes entre femmes, de ses façons de faire. Elle détaille tellement les chose que je commence mouiller. Ça doit se voir sur mon visage : elle m’embrasse vite fait sur la bouche. Je reste mes lèvres tendues vers elle. Elle reprend son baiser, avec sa langue au fond de ma bouche. Je ferme les yeux pour profiter de sa langue.
Je sens sa main sur mon entrejambes. Elle appuie fortement au point que je sens bien son doigt sur mon bouton. Là, je suis perdue pour la suite : je désire qu’elle aille plus loin qu’elle me caresse à peu près partout.
Ses doigts montent ma jupe, passent dessous. Elle me pelote, elle va aller jusqu’au bout ? Oui, sa main entre mes jambes est caressante, plus que celle de mon meilleur amant. Et elle arrive à écarte ma culotte en dentelle. Je voudrais qu’elle entre au moins un doigt dans le vagin : je mouille, mouille.
Ce n’est pas un, mais plusieurs doigts qui pénètrent. Je suis excitée, je veux quelle me masturbe, qu’elle me fasse jouir encore et encore…..
…suis nue contre elle dans son lit. Elle mentoure de ses longues jambes. Sa main parcourt tout mon corps, des seins aux fesses. Elle passe même dans la raie. Et moi qui pensais que les files qui aiment les filles ne s’occupe jamais du cul de la partenaire. Elle me caresse longuement les alentours de l’anus que j’ouvre. Enfin elle y entre deux doigts qu’elle fait aller et venir. Je me retiens devant la douceur de sa pénétration. Je ne peux plus me retenir : je jouis pour la première fois avec une autre femme.
Elle garde le contrôle de tout quand elle vient sur moi en position de 69. Son souffle réveille mes désirs de cunnilingus. Sa langue pénètre tous mes recoins, sans chercher au début à me donner un orgasme que j’arrive à avoir seule.
Elle continue ses caresses dans le vagin. Ses doigts fins senfoncent en moi facilement. Je resserre le plus possibles mes muscles pour mieux la sentir. Sa main me branle avec tendresse et efficacité : je jouis deux ou trois fois à la file. C’est mieux qu’avec un homme.
Pour corser le tout, elle ajoute un doigt dans mon cul. Les deux orifices occupés je me laisse encore aller.
La position que nous avons m’oblige aussi à lui donner du plaisir.
Je me force à peine pour lécher ce que je trouve. Son goût n’est guère différent du mien. Ma langue avale sa cyprine. Elle visite son vagin que je trouve chaud,pire qu’un volcan. Elle sert de bite, elle la fait jouir.
Le temps sécoule trop vite. Au matin, elle demande de mettre mon sexe contre le sien. Après une gymnastique érotique enfin nos cons sont ensemble. Nous les frottons l’un à l’autre. Ce n’est pas du tout comme avec un sexe d’homme, c’est plus calme, plus serein. Les plaisirs sont différents et tellement bons.
Nous ne devions plus nous revoir. C’était sans compter sur le souvenir que j’en gardais. Je me suis donnée à elle plusieurs fois.
Je suis sa maîtresse, elle est mon amante.