Je lis souvent des témoignages qui décrivent comme le port de la ceinture de chasteté a changé les relations au sein du couple. Je ne peux que le confirmer. Il y a du positif et comme dans toute chose, il y a aussi du négatif. Le problème cest que je ne le désirais pas au départ. Et surtout que ma frustration était quil se masturbe tout le temps sans plus avoir envie de moi. Ce qui me manque cest quand je rentre du travail, quil mattrape par le cou, me plie sur la table du salon et me prend furieusement, violemment par derrière, parfois même alternant mes deux trous, sans me demander mon avis, me laissant essoufflée, le clitoris en feu, à genoux à le nettoyer fier de son pénis si dur qui vient de cracher en moi. Je me caresse alors sous son regard allant chercher sa précieuse semence au fon d de mon cul ou de mon sexe, pour mamener à lorgasme. Oui ces séances et ces folies me manquent.
Il est vrai que jai un mari des plus prévenant et charmant. Cest incontestable, labsence déjaculation le rend vraiment amoureux, rempli denvie, heureux de sa frustration. Il a essayé au début de jouer dessus, voulant que je joue à la méchante Maîtresse qui linterdisait de jouir. Je nai pas eu envie de jouer ce jeu, rentrer dans ce rôle. Moi javais envie de lui, alors pourquoi faire semblant de rallonger le port de la ceinture, puisque cela me frustrait de plus en plus. Pourtant, insidieusement, jour après jour, jai ressenti ce pouvoir quil me donnait et qui me faisait jouir de plus en plus. Je nai pas voulu lui avouer. Cela ne vient pas ainsi, surtout que jaime les hommes machos et puissants. Mais cest lui qui la voulu. Je pense quil pensait toujours contrôler la situation.
Jai un peu tâtonné, en fait je navais pas envie de trop me prendre la tête avec cela, cétait son délire. Même si mes orgasmes étaient incroyables et que je découvre que je peux avoir mes propres fantasmes qui vont bien plus loin que les siens. Je le fais venir à genoux à mes pieds, il baisse spontanément la tête. Je suis de plus en plus autoritaire avec lui. Je le fais écarter ses cuisses, juste pour le contraindre, masser son sexe enfermé, serrer doucement ses couilles. Je lui indique quil ne sera libéré que les week-ends dorénavant, comme cela je peux le surveiller. Mais seulement si je suis satisfaite de lui le reste de la semaine. Je le sens frémir, son sexe gonfle immédiatement. Au moins je sais que cela lui plaît. Si je ne suis pas satisfaite, et je suis la seule à pouvoir le décider, alors il reste enfermé le week-end. Et sil est vraiment odieux, alors je peux le contraindre aussi longtemps que je veux en lui donnant autant de semaines dabstinence que je le souhaiterais. Je lui indique que peut être il ne pourra plus jamais jouir. Je le vois se recroqueviller, mais son sexe tenter inutilement de grossir. Moi je mouille, je suis très excitée par cette image qui me hante. Je me fais un peu honte quand même. Je lui demande de me lécher les pieds, il se précipite. Cest agréable. Je lui ordonne de me faire jouir, là aussi il est très obéissant. Jai perdu mon mari mais gagné une langue très agile. Je le commande, il trouve le rythme parfait, je me laisse aller, je retiens mon plaisir, mais quand il explose je léclabousse en plein visage. Je crois avoir pissé sur mon mari tellement jai joui fort, je ne suis même pas confuse, je lenvoie chercher une serviette. A 4 pattes voyons. Il se plie à tout ce que je demande. Cest un peu fou.
Jai changé sa cage pour une en acier et faite sur mesure. Cest plus hygiénique, parfois il sentait vraiment mauvais et confortable. Toujours le même cadenas et cette clé que je porte au cou. Avec le temps jai détruit le double, il ny a plus de raison durgence et tant pis il doit faire avec . Autant les premiers mois jétais compréhensive, autant je ne le suis plus. Il faut ses séances dostéopathie en slip, la cage bien visible, et je le sais terriblement humilié. Tout comme le sport. Il a voulu ne plus prendre sa douche à la salle, et je lai puni le week-end daprès, et maintenant il doit prendre sa douche et se rhabiller ainsi. Je ne sais comment il fait, je suis certaine quil triche, mais il ne la quitte jamais quand je ne suis pas là. Cest ma règle absolue. Et de plus en plus quand je suis là il la porte aussi. Jexplore avec lui, souvent en toute complicité, des jeux vraiment inimaginables pour moi. Par exemple un week-end en thalasso, où il a dû prendre un sauna nu avec sa cage. Javais en fait peur que la chaleur de la cage le brûle, mais ce ne fut pas le cas. Mais son amour propre lui fut brûlé cest certain. Il na croisé le regard de personne pendant ce week-end.
Cest sans doute un penchant humain, mais jabuse de la situation. Et les week-ends où je le libère deviennent très rares. Je nhésite plus à le punir ainsi, dautant que nos calins nont plus la saveur dantan. Il est tellement en manque quil éjacule en quelques secondes, je naime même pas le temps de goûter à son sexe en moi. La semaine dernière il a éjaculé avant même de me pénétrer, comme un gosse. Je lai puni dun mois dabstinence. Jétais sidéré, il na rien dit quand jai refermé le cadenas. Je lai giflé. Il na rien dit. Il ma juste baisé les mains. Alors je lui ai demandé de macheter une cravache. Nous avions assez lu tous ces récits et je sentais que cela lattirait aussi. Mais jétais frustrée alors que lui semblait sépanouir dans son rôle de soumis. Il faisait presque tout à la maison, était aux petits soins, mécrivait plein de mots doux. Je le sentais débordant denvies, sans doute les plus perverses, puisquil madressait des textes qui parfois me dégoutaient. Parce que jy prenais du plaisir, un plaisir tellement sale, tellement vile. Comment aurait-il pu supporter que je le traite ainsi. Je laime, ce nest pas cela que je veux dans ma relation.
Je le vois sapprocher, fébrile, il se met à mes pieds, me déchausse et membrasse avec passion. Je le laisse faire. Le mois dabstinence sachève et il déborde de désir. Il doit sans doute tout faire pour ne pas être puni à nouveau. Lenvie dabuser me traverse lesprit, mais non, cest mon mari quand même. Il me demande sil peut parler. Croit-il que je le lui interdis. Sa voix est hésitante. Comme il est loin le mâle sur de lui qui ma épousée. Il sexcuse de son éjaculation précoce. Mexplique quil nest pas digne de moi puisque quil narrive pas à se retenir. Quil est vraiment désolé. Il a lair cest vrai. Je ne dis rien. Il veut mon bonheur, seulement mon bonheur. Alors il me lâche enfin sa bombe. Il comprendrait très bien que je veuille prendre un vrai homme pour que je prenne du plaisir. Il ne men voudrait pas. Je décode quil fantasme que je le fasse. Il veut que je le rende cocu. Comme toutes ces histoires quil lit et menvoie. Cétait une évolution sans doute logique. Je lui demande alors comment lui prendrait son plaisir. En me rendant heureuse. Je ny crois guère. Je ne le comprends plus. Jouvre la bouche pour lui objecter quen 7 ans je nai jamais regardé un autre homme, que je naime que lui, que jen veux pas dautre et que je me suis mariée avec lui pour la vie. Mais rien ne sort. Une image simpose à moi. Greg et son corps magnifique. Cela fait 10 ans que je ne lai pas vu. Et là il se matérialise dun coup dans mon esprit, cest incroyable. Je suis sidérée. Jévacue limage, mais je ne sais plus quoi dire. Je lui demande ce quil imagine. Il sait que je plais, ce sera donc facile pour moi. Cest vrai mais je veux un homme qui me plaise. En fait je veux Greg. Je me demande si jai encore ses coordonnées. Je ne fais plus attention à mon mari, il membrasse les pieds, il ne sait pas quoi faire dautre. Je trouve cela drôle quand même, mais puisque de toute façon il ne me sert plus au lit ce nest peut être pas une mauvaise idée. Je lui dis daccord. Il est tout stressé. Je ne le rassure pas. Il attend sans doute que je laime et que cest pour lui que je fais cela, mais non, ce nest pas du tout cela. Jai envie de vivre à nouveau ma sexualité, et lui cest un eunuque sans intérêt. La vérité méclate au visage. Je men fous de ce qui va arriver, jai envie de Greg.