Chapitre 3
Ouf, on arrive ! 16h30. Ca va, on arrive tôt. C’était pas particulièrement difficile, j’ai déjà fait bien pire, mais je suis soulagée que Jean s’en soit tiré sans une égratignure cette fois-ci. On a pris notre temps mais je crois que pour lui c’était amplement suffisant comme étape vu qu’il est encore bien endolori. Il faudra que je regarde où en sont ses hématomes d’ailleurs.
Je pousse la porte de la cabane. Un oiseau s’envole et me passe au-dessus de la tête. Pfffou Ca sera pas le grand luxe, cette piaule. C’est franchement crade, il y a de la fiente d’oiseaux et des petites crottes de je ne sais quels animaux un peu partout. Je me demande si on ne devrait pas dormir encore sous la tente à côté. Mais voyons quand même si on peut faire quelque chose avec cette cheminée. On voit le ciel par en-dessous, elle n’est donc pas bouchée, reste à savoir si elle n’est pas trouée de toute part. Jean me propose d’aller chercher du bois, je le laisse faire. Pendant ce temps-là j’essaie de dégager un petit coin autour de la cheminée en balayant le sol avec une branche de bouleau. Lorsque Jean revient, il ramène pas mal de branchages qui nous feront du petit bois pour démarrer. Je commence à casser les branches, et il revient un peu plus tard avec quelques morceaux un peu plus gros. On lance le feu. Ca prend assez bien, il y a suffisamment de tirage et apparemment on ne finira pas asphyxiés. Ca vaut donc le coup de rester là. Je commence à installer une corde à linge en travers de la pièce et nous y disposons la collection de fringues humides de mon Jeannot.
– Jolis caleçons ! J’adore celui avec les pois rouges !
– Rigole pas, toi t’as de la chance c’est pas ta mère qui t’achète tes culottes ! Moi elle persiste encore à me fourguer des trucs qu’elle trouve au marché ! Bon, celui-là j’aurais peut-être dû le jeter mais c’est pas le pire ! Et il faut bien que j’en garde quelques-uns
– T’inquiète, je suis passée par là moi aussi. Bon, c’est sûr, ça fait un moment que je l’ai matée la mienne et que j’achète moi-même mes sous-vêtements ! Heureusement parce que j’en avais marre des brassières petit bateau tue l’amour ! Je t’assure que mon adolescence n’a pas été hyper radieuse ! C’est pas une période facile facile.
– A qui le dis-tu. On attend de nous des prouesses, on veut qu’on soit matures et autonomes et en même temps on n’a le droit de rien faire, dès qu’on veut prendre des initiatives on nous traite comme des enfants au moins toi tu me comprends.
– Je sais pas. Mais ça ne fait pas si longtemps que je suis passée par là, alors je me souviens que j’étais pas du tout sûre de moi, que beaucoup de filles et de mecs me complexaient à mort, qu’on était assez cruels entre nous. C’est assez merdique comme période Mais en même temps assez exaltant. On découvre tant de choses et les barrières on les fait tomber les unes après les autres. On se prend des gamelles, ça fait parfois très mal, mais on grandit, on prend confiance et on devient libres. Le plus important c’est d’apprendre à se connaître et ne plus craindre le regard des autres. Ca viendra, tu verras. Tu as tout pour toi, crois-moi !
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Cécile est vraiment trop chou. Elle est hyper attentionnée avec moi, mais pas comme mes parents. Elle me considère vraiment, je me sens valorisé. Malgré ma lamentable gamelle d’hier, elle ne m’en veut pas du tout et est même prête à me reprendre avec elle ! Quelle super cousine, vraiment. Et elle est tellement courageuse et débrouillarde je l’admire.
Il est 20 heures maintenant, il fait déjà bien sombre car le soleil est passé derrière la crête depuis un moment. On a réussi à installer un petit coin assez propre, avec nos deux matelas et sacs de couchage près du feu. On a ramené assez de bois pour la nuit je pense. Je prépare une soupe, qu’on va manger avec du pain, du fromage. Je fais griller le pain, il n’est plus très frais ce sera plus sympa.
– C’est le luxe cousin ! Franchement, je vais t’emmener à chaque fois !
Je suis vanné. Après manger, je demande à Cécile si ça ne la dérange pas si je me couche assez vite.
– Pas de problème mon Jeannot. Tu dois être crevé. Mais je veux bien jeter un il à ta jambe droite, tu t’étais quand même bien amoché. Il faut peut-être que je remette de l’arnica et qu’on nettoie la petite plaie.
– Euh ok. c’est vrai que j’ai eu un peu mal tout le temps mais je ne voulais pas t’emmerder avec ça, c’est rien A la limite j’ai eu plus mal aux épaules à la fin
– Ah ça c’est pas très normal. Ca veut dire que ton sac est sans-doute mal réglé, on regardera ça demain. En attendant allonge-toi.
Je m’allonge sur mon « lit » et Cécile baisse doucement mon pantalon.
– Ben mon vieux, tu t’es pas loupé. T’as des bleus impressionnants. Ca ne changera plus grand-chose maintenant mais l’arnica te soulagera peut-être quand même un peu. Attends, je regarde la blessure.
Cécile soulève le bas de mon caleçon pour découvrir la blessure sur ma fesse et ma cuisse.
– Ca va, c’est en bonne voie, il y a déjà une croute, pas besoin de désinfecter. Heureusement c’était très superficiel. Ca aurait été dommage d’abîmer de si jolies fesses !
– Arrête. t’es conne.
– Ben je t’en prie ! Je sais de quoi je parle ! Des fesses j’en vois des dizaines chaque semaine !
– Ah, là tu marques un point. J’accepte ton opinion alors
Je sens à présent les mains douces et précautionneuses de ma cousine m’étaler la crème à l’arnica sur la jambe. C’est agréable. Elle sait ne pas trop appuyer pour ne pas me faire mal. C’est comme une caresse. Elle remonte sur ma cuisse, passe dans l’entrejambe puis remonte vers la fesse en glissant sous le caleçon. Je sens sa main qui s’attarde sur ma fesse et remonte aussi haut que le lui permet le caleçon. Purée qu’est-ce que c’est agréable. Personne ne m’a jamais caressé là comme ça. On dirait qu’elle reste un peu plus qu’il ne faut. Elle va et vient, sur le galbe entre la fesse et la cuisse mince, avec ces caresses côté pile, ça bouge dans mon caleçon côté face ! Il ne faut surtout pas que je me retourne !
– Tu m’as dit que tu avais eu mal aux épaules si tu veux je peux te masser un peu
– Euh, oui, si tu veuxet si ça ne t’embête pas
– Pas du tout. En plus j’aime bien masser.
– Ca se sent c’est très agréable
– Tant mieux. Ca me fait plaisir de te soulager un peu mon Jeannot. Enlève ton t-shirt, ce sera plus facile.
Je m’exécute. Je sens bientôt les mains de Cécile qui remontent le long de ma colonne vertébrale. Elle sent chacun de mes muscles, le long de mes côtes, puis commence à travailler les trapèzes, les muscles du cou Ouh ca fait un peu mal là
– T’es complètement noué là mon pauvre. Il faut que je te masse vraiment en profondeur. Je te préviens ça peut faire un peu mal mais après on se sent nettement soulagé.
Cécile se met à califourchon au-dessus de mon dos et commence maintenant à me malaxer les épaules, descend le long des bras, les paumes des mains, étire même mes doigts, puis attaque à nouveau le dos, descendant vertèbre par vertèbre, étirant chaque muscle en partant de la colonne vers l’extérieur, puis replace ses mains sur ma nuque et redescend tout le dos en malaxant très fort avec la paume, d’un côté puis de l’autre de l’épine dorsale. Elle arrive à mes fesses, et ne s’arrête pas. Elle me pétrit intensément les muscles fessiers purée c’est violent mais ça fait du bien Puis, elle se relève et se retourne : elle m’enjambe à nouveau mais a maintenant le dos tourné vers ma tête et regarde le bas de mon corps. Elle se place un peu plus haut, les fesses presque au-dessus de mes omoplates. Avec ses mains à plat, elle pousse pour étirer vers le bas les muscles de chaque côté de ma colonne vertébrale, en descendant progressivement. Elle appuie fort et étire la peau et les muscles. Arrivée au bas du dos, elle continue en passant sous mon caleçon Ses mains sont maintenant sur mes deux fesses nues. Le caleçon glisse progressivement jusqu’à se retrouver sur mes cuisses. Plus personne ne dit rien depuis un moment. Mais je ne peux m’empêcher de pousser de profonds soupirs de temps en temps parfois parce que ça fait mal, elle me coupe presque la respiration parfois aussi pour autre chose Je l’entends aussi pousser de petits soupirs d’effort de temps à autre.
Ma belle Cécile me masse les fesses, nues. Doucement côté droit, plus violemment côté gauche. C’est tellement bon De l’autre côté mon sexe est dressé depuis un moment. Pourvu qu’elle ne me demande pas de me retourner ! Elle continue maintenant sur mes cuisses. Elle se repositionne sur mes jambes, en pivotant à nouveau, et me masse chaque cuisse à deux mains. Elle a fait glisser le caleçon sur mes chevilles. Elle travaille profondément les muscles de chaque cuisse en les enserrant à deux mains. Elle malaxe violemment les muscles du côté gauche, plus légèrement à droite à cause des hématomes, remonte tout près de mes fesses… Mince, je viens de la sentir frôler mes bourses je bande encore plus fort Elle recommence. Puis ses mains descendent petit à petit vers les mollets, qu’elle masse tout aussi intensément. Elle fait travailler mes chevilles, puis me fait un massage de la voûte plantaire, et termine par chaque doigt de pied
– Eh ben ma vieille c’est kiné que tu aurais dû faire, pas infirmière.
– Disons que ça c’est plus un hobby. C’est pas vraiment un massage professionnel, je le fais comme je le ressens. J’ai l’impression de sentir physiquement les tensions des gens que je masse, et j’essaie de trouver un geste qui les soulage. C’est assez instinctif en fait, et ça dépend beaucoup de l’empathie avec la personne que je masse.
– En tout cas avec moi ca a marché, tu dois avoir une grosse empathie pour moi alors ! C’était parfois un peu violent mais je suis hyper détendu maintenant.
– Ca c’est sûr ! Ca ne te gêne même plus que j’aie cette magnifique vue depuis tout à l’heure sur ton joli derrière de jeune homme !
– Ah ben bravo, vas-y, rince-toi l’il ! Mais bon, si la vue te plaît vraiment, disons que tu l’as bien méritée ! De toute façon tu le connais par cur maintenant mon derrière, tu l’as trituré dans tous les sens depuis hier ! Mais c’était très agréable
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Je recouvre le corps nu de mon cousin de son sac de couchage que je referme. Je l’embrasse doucement sur la joue. J’ai l’impression qu’il ne va pas tarder à dormir. Wow, c’était physique ce massage, on peut dire que j’ai tout donné. J’en ai rarement fait d’aussi profonds, avec une telle communion. J’en reviens pas qu’il m’ait laissé le masser partout, tout nu. J’ai même travaillé le haut des cuisses, à l’intérieur, près du périnée. J’avais une vue plongeante sur ses testicules et je crois que je les ai même frôlées à plusieurs reprises sans qu’il ne bronche. Et ses fesses parfaitesà croquer. Quand j’y repense, je suis toujours un peu émoustillée comme j’aimerais y retourner !
Jean s’est déjà endormi je crois. Je me déshabille, passe mon t-shirt et mon short de nuit, et m’allonge moi aussi dans mon sac de couchage. J’ai un peu mal aux épaules, je commence à me masser moi-même le cou, les épaule, les bras Je descends sur mon ventre un point sensible chez moi. Je tourne ma main autour du nombril, je masse, je remonte, je redescends, ma main frôle mon pubis puis remonte vers mes seins je recommence plusieurs fois ce massage circulaire de l’abdomen ça me soulage vraiment, mon ventre gargouille, c’est bon signe mais mes mains descendent de plus en plus franchement sur mon pubis, y travaillent les muscles, remontent largement à la base de mes seins, les soulèvent puis elles remontent un peu plus entre mes deux mamelons, redescendent, reviennent et doucement, je commence à me masser la poitrine, entièrement, largement, de plus en plus profondément je soupire.
– Cécile
– Quoi ?…. Tu ne dors pas ?
– Non pas encore tout à fait je me disais tu voudrais peut-être que je te masse un peu moi aussi tu dois être tendue aussi, non ?
– Euh, oui oui, un peuc’est sûr mais ça va, rien de grave. Mais tu sais masser ?
– Ben sûrement pas aussi bien que toi mais ça m’arrive des fois de masser un peu les épaules de ma mère, parfois les pieds elle dit que je m’en sors bien. Je sais pas si c’est vrai mais je peux essayer de faire comme toi, et tu peux me guider
– Tu ne préfères pas dormir ?
– Tu as été tellement adorable avec moi depuis le début Si vraiment je peux te le rendre un tout petit peu, je peux bien attendre un peu pour dormir.
– Hum. euh, oui, euh pourquoi pas hum, alors, d’accord si ça ne te dérange pas
Jean remet son t-shirt, son caleçon et sort de son sac de couchage. Il enfile sa polaire, qui a séché maintenant et vient vers moi. Il ouvre mon sac de couchage, et comme moi tout à l’heure se met à califourchon au-dessus de mon dos. Il relève doucement mon t-shirt, je décide de l’enlever complètement. Il commence alors à me masser les épaules et le cou, je dois dire qu’il se débrouille pas mal du tout, ça me soulage vraiment.
– Tu peux y aller un peu plus fort hein, n’aie pas peur, il faut bien étirer les muscles pour qu’ils se détendent durablement.
– OK, mais dis-moi si je te fais mal.
– T’inquiète je suis une dure à cuire.
Jean suit mon exemple et travaille les bras, les paumes, les doigts, puis il attaque le dos.
– Vas-y, il faut bien tirer sur les muscles le long des côtes, de la colonne vertébrale vers les côtés, en appuyant bien fort et en descendant progressivement côte par côte, puis bien retravailler de haut en bas les muscles qui longent la colonne.
Ses doigts partent du centre du dos, et s’écartent jusque sur les côtés de mon buste. Au niveau de la poitrine, ses mains viennent s’échouer à la naissance de mes seins qui, écrasés, s’épanchent légèrement sur les côtés de mon torse. Je dois reconnaitre que ces contacts furtifs provoquent en moi une réaction agréable. Le voilà maintenant qui atteint mes hanches, qu’il malaxe fermement, il n’a plus peur d’y aller. Il saisit à pleines mains mes petites poignées d’amour sur les côtés, remonte vers ma chute de reins et repart à nouveau vers les côtés. Ses mains rencontrent constamment l’élastique de mon shorty. Va-t-il oser ? Vas-y mon Jeannot ! Mais non. Pour l’instant, il remonte vers mes épaules, pour travailler les muscles de haut en bas. Mais il revient bientôt au niveau de mon ultime vêtement
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Je masse ma cousine depuis un bon quart d’heure je pense, et j’y mets tout mon cur et toute mon attention. J’essaie de ressentir les tensions dans ses muscles, je tire, je pétris Pourtant, je ne peux totalement oublier que je parcours de mes mains pour la première fois le corps resque entièrement nu d’une femme si belle aux formes si parfaites Tout à l’heure, mes doigts ont rencontré la peau douce et blanche de ses seins, sur les côtés de son dos Comme j’aimerais m’aventurer plus loin, les saisir à pleines mains, jouer avec ses tétons, caresser sans fin sa peau de lait Voilà que mes mains arrivent pour la deuxième fois sur ses hanches, rencontrant le haut de son short je suis un peu hésitant, dois-je continuer ma descente ?
– C’est super Jeannot tu es un chef Tu peux continuer plus bas si tu veux, ça ne me gêne pas.
Je commence à malaxer les fesses de Cécile de mes paumes, mais je n’ose pas passer outre son sous-vêtement. A travers le tissu de coton je saisis violemment ces fesses tant fantasmées depuis deux jours. Ses hanches sont amples, son fessier est large, charnu, les muscles y sont forts et je les travaille en profondeur, de toutes mes paumes. Lorsque ma main s’enfonce à travers la chair au sommet de ses fesses, ma cousine pousse un profond soupir mais ça ne semble pas être un signal de douleur Je recommence.
Mes mains se repositionnent sur ses hanches. Lorsque je passe à nouveau sur l’élastique du short, je vois les mains de Cécile sur les côtés faire glisser doucement son sous-vêtement… J’accompagne le mouvement en suivant de mes mains le dévoilement de ses deux blanches collines. Sa peau est extraordinairement douce. Le short est maintenant replié sur le haut de ses cuisses J’ai une vue totale sur son magnifique fessier, nu, juste sous mes yeux, à quelques centimètres. Je reprends mon massage. Lorsque je travaille ses muscles, les lobes fessiers s’écartent et me dévoilent pour la première fois un petit anneau rose foncé entouré des derniers rescapés de la ligne de ses poils noirs Je suis fasciné Puis je remarque, juste en-dessous, là où ses fesses commencent à s’écarter, le début d’un sillon recouvert d’une pilosité touffue Est-ce déjà son sexe ? Je ne pensais pas que c’était aussi près des fesses J’essaie de me reconcentrer sur le massage, mais cette vue m’obsède Ma cousine, ses fesses sous mes mains, son si beau petit trou, son sexe profond, mystérieux et envoûtant…. à portée, tout près, là.
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Mon cousin a mon derrière entièrement nu sous les yeux. Il le masse, il n’arrête plus de masser encore et encore et j’adore ça C’est tellement bon, ça fait tellement longtemps. A chaque profonde pression de ses paumes, je ne peux retenir un soupir que j’essaie de ne pas rendre trop explicite Pourtant je n’attends qu’une chose, que Jean ait l’audace de passer toutes les barrières, de prendre ma chatte et mon cul, de les triturer, les mordre, les lécher, les bouffer Je suis à lui Prends-moi, putain !
Le voilà qui descend, il quitte mes fesses pour attaquer mes cuisses Il baisse mon shorty jusqu’aux mollets des pieds, je finis de m’en débarrasser, je suis totalement nue, je ne veux plus rien entre ma peau et lui, je veux qu’il me voie et me touche nue, entièrement Oh pourvu qu’il ose plonger dans le doux petit creux en haut des cuisses, remonter dans le pli le long de mes lèvres J’écarte légèrement les jambes pour lui dévoiler ce chemin secret
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Ma cousine a doucement écarté les cuisses ! J’ai maintenant une vue complète sur son sexe sa chatte ! Putain ! C’est magnifique. J’ai envie d’y plonger la tête et de la sentir, la lécher, y enfoncer ma langue. Mais non, je ne peux pas. Je reprends mon massage sur ses cuisses Je les saisis l’une après l’autre des deux mains, massant profondément ses muscles, jusque dans le petit vallon là-haut, à l’intérieur des cuisses. Comme la peau est douce, chaude, dans ce petit creux, là, tout près de sa fente Ma main rencontre ses longs poils noirs Je fais comme si de rien n’était, d’ailleurs je sens d’autres muscles tendus, dans le pli des cuisses, le long de son sexe je les suis de deux doigts, remontant d’abord vers les fesses puis redescendant vers son pubis. Ma main longe alternativement les deux côtés de sa fente, à travers la soie noire de son abondante toison . Mon regard ne peut quitter cette ligne mystérieuse Qu’y a -t-il dans ces replis si bien dissimulés ? Mais j’ai l’impression qu’ils se desserrent légèrement une petite faille apparaît, laissant entrevoir une rougeur sombre et humide. Une odeur légèrement âcre monte à mes narines
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Oh la la, comme ce petit mec m’excite ! Un garçon de 18 ans masse incessamment mes fesses et s’aventure le long des plis de mon intimité Je commence à mouiller Ma chatte réagit, il ne peut que le voir, c’est sûr !
Mais je suis dingue ! C’est mon cousin !! 18 ans !!! Instinctivement, je resserre un peu les jambes.
Merde ! Mais pourquoi je fais ça ? Au contraire je voudrais mettre mon cul devant sa bouche, qu’il y enfonce son visage d’ange et me bouffe la chatte
Mince, je lui ai fait peur, il abandonne les bords de mes lèvres Ses mains retrouvent mes cuisses et les massent à nouveau puissamment l’une après l’autre, puis il descend sur mes mollets, il les étire, plusieurs fois chacun, à deux mainsnooon, reviens s’il te plaît
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Ma cousine est complètement nue devant moi je masse ses jambes mais mon regard ne peut s’empêcher de remonter vers sa fente mystérieuse que j’ai quittée sans oser l’explorer, ses fesses sublimes, ses hanches amples de femme, son dos, la courbure de ses seins Quelle fille magnifique ! Mon sexe est dressé comme jamais, depuis de longues minutes il faut que je me calme, c’est ma cousine et elle est bien plus âgée que moi, même si elle me fait gentiment des compliments, que peut-elle avoir à faire d’un garçon de mon âge ?
J’atteints ses chevilles, puis ses pieds. Oh ses pieds, ils sont tellement beaux ! Petits, d’une forme parfaite, les orteils parfaitement rangés et alignés, aucune petite difformité et je sais que de l’autre côté ses ongles sont limés, taillés et vernis visiblement elle en prend soin Je masse la voûte plantaire de ma paume, puis de mon poing, enfin j’étire chaque muscle entre mes doigts, je travaille chaque adorable petit orteil séparément Finalement, je place une dernière fois mes mains sur sa nuque et je redescends son corps entier en appuyant plus légèrement, presque une caresse, de chaque côté de la colonne vertébrale, sur chaque fesse, chaque cuisse, chaque mollet, chaque pied. Je m’arrête et je reste contempler le corps nu de ma cousine de 27 ans, totalement abandonnée et détendue devant moi Une ou deux minutes s’écoulent en silence.
– Eh bien, mon Jeannot, je crois que tu as un don toi aussi c’était divin je suis totalement détendue maintenant
– Ah tant mieux tu veux que je te recouvre ??
– Non, attends viens un peu près de moi
