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Soumis, souillé et prêté – Chapitre 2

Soumis, souillé et prêté - Chapitre 2



19h53. Je suis en bas de chez lui. Je me maudis, et ma boule au ventre aussi. Je ne sais juste pas si elle est due au stress ou à l’excitation de faire face à Vincent une nouvelle fois. Heureusement, j’ai bu un peu, ce qui me met déjà plus à l’aise qu’avant. Je sonne et je monte chez lui.

Vincent m’accueille d’une manière beaucoup trop accueillante. Il me sert un verre, me propose de me mettre à l’aise sur une chaise et nous discutons. Rien de sexuel, juste une discussion banale. Néanmoins, quelque chose a changé. Il a l’ascendant, et il le sait. Toute cette conversation tourne autour du moment où tout va basculer.

Je relance la discussion comme je peux, et mon verre ne se vide jamais. Je commence moi-même à être excité par la situation, par cette tension permanente. Un moment, il se lève pour aller aux toilettes, et je sens que c’est le moment. Mon instinct me dicte d’enlever mon t-shirt, mon pantalon, et me retrouve en sous-vêtements à genoux.

Deux minutes passent, qui me semblent durer une éternité.

Il revient dans son salon, et s’arrête à deux mètres en arborant un sourire satisfait. Il s’approche de moi sans un mot, sans rien faire. Je défais son pantalon de mon plein gré. Je le fais tomber et découvre la même bite que la veille, mais beaucoup plus impressionnante.

Directement, je la mets en bouche. Je veux lui faire plaisir et ne pas le contrarier. Elle est propre, nettoyée, « juste pour toi » me précise-t-il. Je lui sors le grand jeu, tout le long avec la langue, j’avale ses couilles et j’aspire goulûment son membre. Je lui offre trois minutes de ma meilleure pipe, je bave et mon excitation est incontrôlable. Mais très vite, je sens que ça ne lui suffit pas.

— Tu suce bien, mais sache que si tu ne te prépare pas je vais te faire mal. Je n’ai pas envie de faire ce travail.

Me voilà prévenu. Je me retrouve à chercher le lubrifiant, un peu déconcentré à l’idée de me faire pénétrer. Je vois bien qu’il ne veut pas me mettre mal à l’aise, mais il ne fera pas d’effort pour moi. En tout cas, c’est le message qu’il me fait passer. Notre relation a complètement changé, c’est moi qui dois tout faire pour me faire soumettre. Je me sers de l’alcool et je prends un de mes jouets perso : un simple plug anal, de petite taille. Je mets du lubrifiant sur mon anus, et rentre le jouet assez facilement, vu sa taille. Je le fais rentrer, sortir, et je masse mon anus.

L’alcool me fait un peu perdre le contrôle, et j’ai une idée. Je me couche sur le canapé, sur le dos. Je pense ma tête vers l’arrière et je dis à Vincent :

« Viens ».

Face à ma bouche à moitié ouverte, Vincent n’attend pas. Il approche, et enfonce sa bite dans ma bouche jusqu’à ma gorge. Par réflexe, je crache et je tousse. Ça n’arrête pas mon partenaire qui replonge de tout son long dans ma cavité humide. Je suffoque, il accélère. Je commence à apprécier le traitement, mais je crache énormément et la salive recouvre mon visage. Il m’offre une petite pause, j’en profite pour respirer un peu. Je n’arrive plus à réfléchir. Je frotte mon visage et je m’assied en le regardant, lui et son regard satisfait.

Ce traitement m’excite au plus haut point. Je suis en feu. Le moment est venu. Je demande à Vincent de se coucher sur le dos, et je viens m’assoir sur lui. Son pénis en main, je le place délicatement sur ma rondelle. Tout doucement, je m’enfonce dessus. Mon anus s’écarte délicatement et laisse entrer le gland. C’est moins douloureux que je l’imaginais, sans doute grâce à la lubrification et à l’entraînement régulier que je faisais chez moi. Je descends doucement, avec des pauses régulières.

Arrivé à la moitié de sa bite, je le regarde et marque une pause. Puis, d’un coup, je m’enfonce subitement jusqu’au bout. Il esquisse un sourire, la douleur est partie de mon côté. Je l’ai entièrement en moi. Une douce chaleur se répend dans dans mon bas-ventre. Je me soulève doucement, et réenfonce son pénis en moi. Les mouvements commencent à être plus fluides, et je commence à avoir du plaisir, malgré le souffle un peu coupé.

Tout s’accélère, et Vincent prend le dessus, il dicte le mouvement. Je le chevauche pendant cinq bonne minutes, avec une érection bien visible malgré mes difficultés à garder un rythme. Soudain, il se retire, et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Je me place avec le dos bien courbé pour faciliter la pénétration. Heureusement, car je n’ai pas le temps me placer que Vincent s’enfonce de tout son long ! Heureusement que je suis bien dilaté. Il est incontrôlable, et se met à me prendre furieusement.

Je hurle de plaisir, sans aucune retenue. Il me défonce et je bande comme un fou. Mon plaisir est incroyable.

— Prends-moi comme une chienne !

Je ne me reconnais même plus. Il accélère, je crie de plaisir. A ce moment-là, il se retire brusquement, retire la capote et me met sur le dos. Il se masturbe au-dessus de moi, et je tire la langue avec plaisir, comme si l’incident de la dernière fois n’existait pas.

Tout son sperme jaillit sur mon corps et mon visage, pendant que je lui caresse délicatement les couilles. Je prends du plaisir à sentir ce liquide chaud sur moi, et je ne le quitte pas des yeux.

— Merci, maître.

Je ne sais même pas pourquoi je dis ça, et il me regarde avec un sourire narquois.

— Petite pute.

Je souris. Je suis humilié mais je me sens libéré par cet homme. Je n’ai pas la force de bouger, je reste dans cette position. Je l’entends se sortir une bière du frigo.

— Tu as du potentiel petit, il faut juste te montrer comment faire. A partir d’aujourd’hui, tu vas devoir obéir à certaines règles. Ça te va ?

— Oui.

— OK, je connais un paquet de mecs en chien qui seraient capables de payer pour baiser une pute comme toi. Ça te tente ?

— Oui.

— Ce qu’on va faire, c’est que je vais m’occuper de toi, trier les demandes et choisir les mecs fiables. Tu vas les baiser ici, comme ça je vérifie que t’es en sécurité. En échange, tu resteras la nuit à mon entière disposition, de 22h à 8h du matin.

— Ça me va.

J’avais de la peine à m’exprimer, je me sentais complètement soumis et très heureux en même temps.

— On va établir des règles ensemble et te faire signer un contrat. Mais avant ça, j’ai besoin que tu ailles t’excuser au voisin d’en dessous pour avoir hurlé de plaisir. Maintenant.

Je me sens horriblement gêné. Je me lève doucement, en me disant que je n’ai pas le choix. Je remets mon pantalon, et je cherche un mouchoir pour essuyer mon visage plein de sperme.

— Non, non. Tu y vas comme ça.

Je le regarde plein de détresse. Il ne rigole pas du tout. Comme unique réponse, il me montre son téléphone. On y voit une vidéo de moi pendant la levrette de tout à l’heure. C’est trop facile.

J’ouvre la porte et je descends les marches vers l’appartement du dessous.

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