Au contraire de refroidir mes ardeurs, cette séance d’étirement avec le monument qui m’a visité n’a fait que me donner encore plus envie car si j’ai pris un plaisir indéniable avec lui, il y avait aussi un sentiment de frustration bien réel de ne pouvoir profiter au maximum de ce moment. Pas de gorge profonde, pas de pilonnage en règle, impossible de sentir le bassin de mon assaillant venir claquer contre ma peau, il y avait toujours cette arrière-pensée de me dire qu’il fallait que je fasse attention, et ça gâche un peu du plaisir, il faut bien l’avouer. Je ne l’ai pas dit à Thomas, déjà qu’il complexe, inutile d’en rajouter car avec le temps, il se rendra bien vite compte de lui-même des limites que lui imposera naturellement un tel engin. Je vais simplement m’occuper de lui apprendre à le conduire, d’ailleurs, faudra peut-être que je lui colle un A sur la queue la prochaine fois, il y a largement la place de mettre l’autocollant dessus !!
Nous partons déjeuner le midi avec Florian et j’insiste pour qu’on y aille avec ma voiture. Au lieu de prendre la direction d’un restaurant, je me dirige vers un petit coin tranquille où parfois nous allons avec mon mec. En effet, mon loulou aime faire des randonnées et il a tout fait pour m’entraîner avec lui, sauf que j’ai toujours refusé car ça me gonfle de marcher pendant des heures au milieu de nulle part, du coup, un jour où il me l’a proposé une énième fois, j’ai accepté, mais à une seule condition, c’est qu’on s’arrête à un moment donné pour baiser. Parce que oui, marcher au milieu de nulle part ne m’inspire pas mais y baiser, là, ça m’intéresse déjà beaucoup plus !! Du coup, je me suis rapidement mise à la randonnée, au plus grand plaisir de mon chéri. Si demain il y a une épreuve de baise incluse dans toutes les disciplines sportives, je deviendrais bien vite la meilleure athlète de sa génération !!!
— On va où là ? Me demande Florian ;
— Tu verras ;
— Ouais… OK… dit-il en regardant la nature qui s’étend à perte de vue autour de la voiture, je nai pas un GPS dans la tête, mais il me semble pas qu’il y ait un resto en allant par là ;
— Et bien tu te trompes, y en a un, un resto de fruits de mer ;
— Un resto de fruits de mer ? En plein milieu de la colline ? Tu te fous de moi là !
— Non, du tout. Et ce midi à la carte, c’est moules à volonté. J’espère que t’aimes les moules, lui dis-je avec un petit sourire en coin ;
— Ah d’accord, j’ai compris. Tu pouvais pas me le dire de suite ?
— Ça aurait été moins drôle ;
— J’en conviens ;
— T’as pas chaud ?
— Euh, pas spécialement, pourquoi ?
— Si si, je t’assure, ça se voit que t’as chaud, vire-moi tes vêtements ;
— Quoi ?
— À poil, allez !!
— Euuh, bon, OK.
Florian s’exécute et enlève sa chemise. Au moment de descendre son pantalon, il s’arrête.
— T’es sûre que tu veux voir ma queue ? Après celle de Thomas, elle va te paraître minuscule, tu risques d’être déçue…
— À côté de celle de Thomas, 99 % des bites paraîtraient ridicules et si je m’arrête à ça, je vais plus baiser très souvent. Et puis commence pas à faire ton complexé de base et sors-moi là !!
Il baisse son pantalon et son boxer et le voilà enfin nu. Je ne lui dis pas mais c’est clair que le contraste avec Thomas est saisissant ! Mais je m’en moque, ça reste une bite, et une bonne bite qui plus est, exploitable au maximum !! Ce petit coquin commence déjà à grossir et je me mets à me dégrafer le chemisier pour sortir mes seins et me les caresser. Flo vient poser sa main dessus pour m’aider dans ma tâche alors que moi, je vais prendre sa queue en main. C’est agréable de pouvoir en faire le tour avec mes doigts !!
— Tiens, t’as plus tes piercings ? Me dit-il en me pinçant un téton assez fort en le faisant rouler entre ses doigts.
Je frissonne.
— Je les ai enlevés pour Thomas, je voulais pas qu’il risque de me blesser en faisant un faux mouvement ;
— Dommage, c’était bien pratique pour les tirer, dit-il en mêlant le geste à la parole.
Il me tire fortement le téton et je commence à gémir doucement. Sa bite est maintenant bien formée, je ne résiste à l’envie d’aller la sucer et je me penche donc pour assouvir mon envie.
— Eh, tu fais quoi là, tiens le volant !!
— Tiens-le toi, j’ai autre chose à faire ;
— Ben gare-toi alors !
— Non, on est pas encore arrivé là où je veux ;
— Et ça peut pas attendre qu’on soit arrivé ?
— Non !! Dis-je en enfournant son chibre dans ma bouche.
J’ai beau être une putain d’obsédée, je suis consciente que je nous fais prendre des risques et je m’efforce donc de rouler tranquillement. J’ai confiance en Florian et en son coup de poignet, même si ça fait longtemps qu’il n’a pas eu à se branler lui-même !!
Hmmmmm, voilà que je peux me délecter d’une bite entière sans avoir besoin de me déboîter la mâchoire, ma langue peut jouer avec son gland sans être compressée à ne pas pouvoir bouger et enfin, je peux à nouveau étaler tous mes talents de suceuse !! Florian apprécie comment pourrait-il en être autrement ?, il gémit de plaisir tout en tenant le volant comme il peut.
— Dès que tu vois une citerne à droite, c’est qu’on est arrivé, lui dis-je entre deux gorges profondes ;
— C’est bon, y a la citerne, reprends le volant ; me dit-il quelques instants après ;
— Pas la peine, dirige-toi vers elle, bafouillai-je, sa queue à moitié dans ma bouche.
Je sens qu’on commence à rouler sur un revêtement terreux, je fais donc en sorte d’avancer au pas.
— Putain, t’es chiante… Hmmmm, ouais c’est bon, vas-y… han… On se rapproche de la citerne Shama, freine… hmmmm… freine… Shama… han… la citerne… han… FREINE !!
J’enfonce la pédale de frein et la voiture s’immobilise en dérapant légèrement.
— Putain mais t’es vraiment fêlée ma parole !! s’exclame-t-il ;
— Quoi ? Dis-je en relevant la tête, Ben c’est bon, on avait de la marge encore, stresse pas ! Ça s’appelle de la conduite autonome, tu connais pas ?
— C’est ta connerie qui est autonome surtout ouais !!
— Vu l’état de ta queue, je vois que j’ai encore de la marge pour vraiment te faire peur, dis-je en continuant à branler sa verge bien dure et baveuse de salive.
Bien vite, Florian oublie cette collision avortée et il se met à passer sa main sous ma jupe pour commencer à me caresser. Il n’attend pas pour m’enfiler quelques doigts et son action me fait accélérer ma masturbation alors qu’il se penche pour me sucer les seins en même temps. Hmmmmm… on voit la différence d’expérience avec Thomas, j’aime qu’on prenne des initiatives et qu’on nhésite pas à venir visiter mon corps à coups de langue et de doigts… Je gémis, quatre de ses doigts me ramonent la chatte alors que ses dents me pincent les tétons.
— Hmmmmm, oui Flo, continue… Dis-je en miaulant.
Je crève d’envie qu’il me bouffe la vulve et je retire donc ma jupe avant d’ouvrir ma fenêtre. Je me mets à genoux sur mon siège et me penche à l’extérieur en m’accoudant à la portière.
— Vas-y, bouffe-moi bien chéri ;
— Heuuuu, je vais pas aller lécher le foutre de Thomas hein !!
— Mais ça va, c’est juste sur la peau, y a pas eu de sperme sur ma chatte, vas-y !!
Ouuuuuh, vilaine menteuse que je suis… M’en fous, trop envie qu’il me lèche et je pense qu’il en est de même pour lui vu qu’il se contente de ma parole. Il écarte bien mes fesses et se met à passer sa langue, d’abord sur ma chatte, puis sur mon anus.
— Han… han… han… Oui, hmmmmm, comme ça oui… enfile-moi bien ta langue !!
Les fesses largement écartées, il s’en donne à cur joie sur mes orifices, dégustant mon excitation en poussant des gémissements de contentement. Je sens sa langue tourner dans mon vagin alors que ses doigts enfoncent la porte de derrière. Lààààààà, oui, ça j’aime, hmmmmmm… c’est trop bon…
— Hmmmm, tu mouilles bien salope ! Me dit-il avant de me donner une violente claque sur les fesses.
Voilà, ça c’est ce que j’appelle une gifle !! Inspire-toi en Thomas !!
— Hmmmmm, oh oui, j’aime ce que tu me fais, continue !!
Il me martyrise le derrière à coups de claque, les sensations de chacune d’entre elles me font frémir de plaisir, il alterne avec des coups de langue bien placés et je finis très vite par décoller.
— OUI OUI OUI OH OUI PUTAIN, C’EST BON !!!
Mes cris résonnent dans la colline, je me lâche bien plus que je n’ai pu le faire tout à l’heure avec Thomas. Je sens mes sécrétions me dégouliner entre les cuisses à mesure que ses gestes se font de plus en plus violents et rapides, que ce soit sur mes fesses ou dans ma chatte, puis il vient me donner le coup de grâce en me caressant le clito rapidement. Il me connaît bien, il sait comment me faire jouir ce petit enfoiré…
— OOOOOOOOOOOH, OUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!
Je jouis en hurlant à pleins poumons alors qu’il vient coller sa bouche à mon sexe pour déguster le résultat de ma jouissance. Une nouvelle fois, je suis prise de tremblements, mes mamelles pendent à l’extérieur de la voiture et je me retiens comme je peux pour ne pas basculer dehors.
— Alors petite salope, tu vois, j’ai pas besoin d’une bite de 30 centimètres pour te faire crier comme une truie !! me dit-il, tout fier de m’avoir fait jouir.
Que les mecs peuvent être cons à se focaliser sur la taille des bites… Mais peu importe, on dirait que ça l’a agacé de savoir que j’ai été impressionné par la queue de Thomas et du coup, il est remonté comme une pendule, et j’adore ça !! Je vais en rajouter une couche histoire de le faire monter dans les tours…
— Tu rivalises sans problèmes avec ta langue et tes doigts, mais tu crois que tu vas arriver à quelque chose avec ta petite bite ?
— Sale pute que tu es !! Hurle-t-il en faisant s’abattre une pluie de gifles sur mon cul, allez, sors de là, tu vas voir ce que je vais te mettre !!
Oh ouiiiiiiii, là je l’ai bien énervé !! Je descends et Monsieur étant gentleman, il vient me chercher pour m’attraper par la tignasse et me tirer derrière la citerne. Il me pousse à me mettre à genoux.
— Pompe-moi !! dit-il en me tenant toujours par les cheveux.
Je mets sa queue dans ma bouche et il se met à me la baiser avec fougue. Hmmmmm, ça je kiffe !!! Rien que pour ça, je ne pourrais jamais me contenter d’une queue comme celle de Thomas tant j’aime sentir une bite entière me ramoner la bouche et frapper au fond de ma gorge. Je pose mes mains sur ses cuisses pour amortir un peu ses assauts car il n’y va pas de main morte le salaud !! À plusieurs reprises, il me tire les cheveux en arrière pour retirer sa bite de ma bouche avant de l’y remettre d’une traite sans même me laisser le temps de respirer. Il m’étouffe, je récupère de l’air comme je peux en respirant par le nez, ses charges intenses me tirent des larmes que je sens me couler sur les joues.
— Han, han, j’vais te la faire avaler ma bite, tu vas voir salope !!!
Je me contente de répondre en lâchant des bruits de déglutition, je peux pas dire grand-chose d’autre de toute manière. Il finit par me jeter en arrière et je m’étale au sol.
— Allez, va t’accrocher à l’échelle, et vas-y à quatre pattes comme la grosse chienne que tu es !!
Je me dirige vers l’échelle de la citerne comme il me le demande, de la bave due à ses assauts péniens me recouvre le menton pour couler au sol. Je suis à présent dans un état second, bien docile et complètement soumise à ses ordres, prête à encaisser tout ce qu’il voudra me faire subir.
— Accroche-toi à l’échelle et offre-moi ton cul !! C’est bien qu’on soit en pleine colline, je vais avoir de quoi bien m’occuper de ton derrière de petite catin !!
Il s’éloigne un peu puis j’entends le bruit d’une branche qui se casse. Je ne regarde pas derrière moi, je ferme les yeux et j’attends mon heure, tel un condamné un mort qui attend le coup de feu qui lui sera fatal, et en guise de coup de feu, j’entends un petit sifflement dans l’air avant de sentir une vive douleur s’abattre sur mes fesses.
— AÏE !!!! hurlai-je avant de me mettre à pleurnicher ;
— Ah t’aimes baiser en pleine nature espèce de pétasse, ben tiens, savoure la nature !!
Florian se met à me fesser avec une branche de pin, il s’en donne à cur joie et je hurle à chaque coup qu’il me met. Hmmmmm, putain… À chacun de ses coups, je frémis et mon rythme cardiaque bondit, les sensations que son traitement me procure m’excitent au plus haut point et je n’ai envie que d’une chose à présent : qu’il me baise. En attendant qu’il daigne me saillir, j’encaisse ses volées en accumulant du plaisir, et enfin, il m’écarte les fesses, puis il vient cracher sur mon anus avant que je ne sente sa queue me dilater le cul.
— Han Han HAN HAAAAAAAN, C’EST BOOOOOOOON, braillai-je en tremblant sous ses assauts.
Il m’encule lourdement, c’est un délice de sentir enfin un choc violent sur mes fesses à chacun de ses va-et-vient, je me régale de cette puissante sodomie, toujours agrippé à mon échelle. Il vient alors cramponner mes cheveux pour me tirer la tête en arrière.
— Alors petite salope, tu aimes ? Tu aimes te faire enculer pas vrai ?
— Ouiiiiiiii, encoooooore !!! le suppliai-je ;
— Tu l’aimes ma queue hein salope ?
— Ouiiii, oh ouiiiii, j’aime quand elle me prend le cul !!!
— J’ai pas besoin de 30 centimètres pour te faire hurler, t’as vu ??
Ça, il a pas tort, mais en même temps, si tu sais t’y prendre, à partir du moment où quelque chose atterrit dans mon cul, y a de fortes chances que je me mette à beugler comme une truie !!
Bordel, il est en train de me déboîter, il s’acharne sur ma croupe avec une sacrée vigueur ! Je pense que je vais faire en sorte de le froisser plus souvent dans sa fierté de mâle en lui lançant de nouveau de petites piques la prochaine fois que j’aurais envie qu’il me déglingue comme ça !! Putain, c’est bon n’empêche, ça m’avait manqué ça aussi, la dernière fois qu’on m’avait baisé aussi fort, c’est la veille du départ de mon mec en Chine. Il m’avait dit « je te fais la misère comme ça tu patienteras plus facilement jusqu’à mon retour ! ». Mon pauvre chéri, l’envie de me faire baiser à nouveau n’a clairement pas attendu ton retour, désolé !!
Florian ralentit ses assauts, il respire lourdement en m’agrippant fermement la peau des fesses, il me gratifie de violentes ruades soudaines et brèves qui ont le don de me faire gémir bruyamment. Hmmmm, que j’aime quand tout mon corps se met à trembler quand mon partenaire s’acharne sur moi, toutes ces vibrations se répercutent au plus profond de moi… Il finit par se retirer.
— Fais-moi cracher maintenant sale pute !!
Aaaaaaaaah, un de mes moments préférés tant j’aime me délecter de sa délicieuse semence, d’autant plus que cette fois, je vais la partager avec lui ! Je sais pas trop s’il y pense mais en tout cas, moi, j’ai pas oublié !! En attendant, je le suce en le fixant de mon plus beau regard d’assoiffée de bite et s’il ne s’est pas économisé pour m’enculer, j’en fais de même en ne laissant aucun répit à sa queue. Je la lèche, je la branle, je la gobe, sans arrêt, elle est bien rouge et bien dure comme je la préfère, en même temps, je surveille le comportement de Florian afin de ne pas être surprise par son éjaculation car je ne veux pas en perdre une goutte.
— Oh putain ouais, vas-y, branle-moi bien sale pute, tu vas me faire cracher, putain, vas-y…
— Hmmmm, hmmmmm, hmmmm, oui, tu vas bien me remplir la bouche avec ton foutre brûlant !!
— Oui, tu vas bien t’étouffer avec mon sperme pétasse, vas-y, accélère, encore !!
Je le branle rapidement en titillant son gland avec ma langue et au moment où je sens sa queue se tendre un peu plus et ses gémissements devenir de plus en plus rapprochés, j’emprisonne son gland dans ma bouche et quelques secondes après, il jouit en poussant un beau râle de cerf en rut.
— AAAAAAAAAH PUTAIIIIIIIIIN OUAIIIIIIIIIIIS, HAAAAAAANNNNNN !!!!
Mes mains posées sur ses cuisses, je peux les sentir trembler alors qu’il s’agrippe à l’échelle où j’étais moi-même précédemment pour s’empêcher de perdre l’équilibre. Je sens chacune de ses giclées prendre place dans ma cavité buccale, il jouit, encore et encore, sa queue tressaille et se tend entre mes lèvres à chaque fois qu’elle crache. Hmmmmm, cette chaleur et cette saveur qui baignent ma bouche sont tellement agréables, je crève d’envie de tout avaler d’une traite mais je m’y refuse, au contraire même, je me remets à le branler pour récupérer le plus de purée que sa bite voudra bien me donner.
— Hmmmmm, ouais, c’est bien, vas-y, essore-moi bien la bite, hmmmmm, t’aimes ça le sperme, hein salope ?
Je lui réponds en hochant la tête tout en suçant toujours son gland. Je sens sa queue qui commence à mollir et je la relâche donc, je ne pourrais plus rien en obtenir, je l’ai vidangé jusqu’à la moelle.
— C’est bien petite pute, elle est bien propre, félicitations !! me dit-il avant de se diriger vers la voiture.
Il croit aller où lui ?? Je me relève et comme je ne peux pas trop parler vu que j’ai la bouche remplie de sperme, je frappe dans la citerne. Un bruit métallique se fait entendre alors qu’il se retourne vers moi.
— Hmmmm, hmmmm, marmonnai-je en lui faisant signe de me rejoindre avec mon doigt ;
— Quoi ?
Je réitère mon geste.
— Mais pourquoi ?
J’ouvre la bouche pour lui montrer son sperme. Là, il a compris.
— Euuuuh, ouais nan, une autre fois Shama, c’est bon !!
— HMMMMMMMMMMMM !!! marmonnai-je de nouveau en prenant un air énervé et en trépignant ;
— Pffffff, t’es chiante putain !!
Il s’approche en traînant des pieds.
— Bon euh, avales-en un peu déjà, et vas-y tranquille hein !!
Ben voyons, tu vas voir si je vais y aller tranquille espèce d’enfoiré !!
Dès qu’il est à portée de main, je lui saute au cou et j’écrase mes lèvres sur les siennes. J’ouvre sa bouche et j’y envoie valser son sperme à l’aide de ma langue avant de venir lui rouler une bonne pelle bien chaude au bon goût de sperme. Il gémit et je l’empêche de reculer en lui maintenant fermement la tête tant que j’estime qu’il n’en a pas assez eu, et quand c’est le cas, je prends ma part du butin et je le relâche. Il bondit en arrière en baissant la tête, comme s’il voulait cracher. J’avale ce que j’ai dans la bouche avant de lui hurler dessus.
— EEEEEEEEH, INTERDICTION DE CRACHER, RESPECTE TON PARI ET AVALE !!
Il me regarde en faisant une moue désapprobatrice.
— FLO, AVALE !!! insistai-je.
Il soupire avant de fermer les yeux et de déglutir.
— Aaaaaaah, putain, c’est dégueu !!
— Mais non, arrête un peu, t’as aimé l’autre fois !!
— Ouais mais l’autre fois, y en avait pas autant, là c’est moi qui ai tout avalé je suis sûr !!
— Ben voyons, fais pas ton Marseillais de base va !! J’en ai pris une bonne partie aussi, comme je le fais avec mon mec ;
— Nan mais là y en avait beaucoup quand même oh !
— Ça, tu peux t’en prendre qu’à toi-même, c’est toi qui as giclé, pas moi !
— La vache… Plus jamais hein, ça c’est clair !!
— Rolalala…
— Putain… Et il aime ça ton mec ?
— Bien sûr qu’il aime !
— Ben je sais pas comment il fait !!
— N’en fais pas trop non plus hein, tu vas pas me dire que le goût est si immonde que ça !!
— C’est pas le goût, c’est la texture, on dirait du blanc d’uf cru, c’est dégueulasse !
— N’importe quoi… P’tite pucelle va !!
On se rhabille et on reprend le chemin de la civilisation. On s’arrête en chemin dans un fast-food pour se restaurer sur le pouce vu qu’on a passé la majeure partie du temps de pause à baiser.
Voilà, David revient demain et j’aurais passé une semaine succulente et pleine de grosses, non, énormes surprises. Je compte bien ne pas m’arrêter en si bon chemin, notamment avec Thomas que j’ai bien l’intention de transformer en conducteur de poids lourd professionnel !!