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Clément, le petit copain de ma cousine – Chapitre 1

Clément, le petit copain de ma cousine - Chapitre 1



Âgée de 24 ans, jhabite depuis un an à Paris et travaille depuis ce temps-là comme secrétaire-comptable. Célibataire, jai appris à découvrir la vie parisienne et commence à profiter pleinement des soirées pour satisfaire mes envies sexuelles. En effet, depuis plusieurs années, javais de nombreuses envies mais mon physique mempêchait réellement de passer à lacte. Depuis, jai mieux assumé mes envies et sais faire la salope lorsque je le souhaite. Je rappelle que je mesure 1m65 pour un bonnet C et une taille 44 en bas, et que mes rondeurs ont toujours été un frein pour rencontrer des hommes. Sinon, je suis châtain foncé les yeux verts et toujours bien maquillée et bien habillée.

En ce mois de février, jai un coup de fil de ma cousine Audrey (22 ans) pour me demander un service. Son petit copain Clément (24 ans comme moi) doit venir pendant trois jours sur Paris pour un examen professionnel. Il cherche donc un hébergement pour trois nuits sur Paris, et elle me demande si je peux lhéberger durant cette période. Je lui dis quil ny aurait pas de souci mais que je nai quun petit studio avec un seul lit. Ça peut donc poser problème si on doit dormir ensemble (de son côté, pas du mien). Elle comprend et essaie de trouver une autre solution.

Une semaine après, elle me rappelle pour me demander si ça me dérange que Clément vienne vraiment chez moi car ils nont pas dautres solutions et peu dargent à cette époque. Jaccepte volontiers et elle me chambre sur le fait quil faudra que je reste sage avec son homme.

Ce quelle ne sait pas, cest que Clément, handballeur de bon niveau est typiquement le genre de mec qui me plaît avec son mètre 85 et son corps assez musclé. Il est vrai quAudrey, fine blonde d1m80, ne doit pas se faire beaucoup de souci car nous avons deux physiques à lopposé lun de lautre et je ne peux pas vraiment lutter.

Trois semaines plus tard, le lundi à 19h, Clément sonne chez moi. Je lui fais rapidement la visite de mon palace de 22 m2 avec sa petite salle de bains à côté. Pour faire bonne figure, je suis restée habillée comme je létais au travail ce jour-là avec une jupe à motifs blancs et noirs, un haut noir, un collant noir fin et des escarpins à talons de 8 cm (alors que, comme toutes les femmes, jenlève mes talons dès que je rentre chez moi habituellement.) Je lui sers lapéritif et prépare à manger tandis que nous discutons de nos vies respectives. Je me rends compte que je ne le connais pas tant que ça, car cela ne fait que trois ans quil est avec ma cousine ; je nai dû le voir que six ou sept fois, toujours à loccasion de repas de famille.

Après le repas, nous commençons à regarder une série pendant quil appelle ma cousine. Pendant ce temps, je transforme le canapé pour le mettre en mode lit. Pour mettre les draps et la couette, je me mets volontairement à quatre pattes sur le lit afin de montrer mon postérieur et mes jambes gainées de nylon. Ne faisant aucun effet à Clément toujours au téléphone et très stressé à cause de ses examens du lendemain je vais me déshabiller dans la salle de bains. Je décide de mettre une jolie nuisette en satin rouge qui met ma poitrine en valeur et qui est suffisamment courte pour ne rien montrer quand je suis debout, mais qui pourrait découvrir mes fesses quand je suis allongée recroquevillée. Pour ne pas faire trop salope, je mets un shorty en dentelle blanche. Afin dallumer Clément avant de dormir, je décide de laisser mes affaires traîner dans la salle de bains afin quil remarque le soutien-gorge, le string noir et le collant que je portais aujourdhui.

En sortant de la salle de bains, je mexcuse auprès de Clément de ma tenue sexy mais lui dis que je nai que des nuisettes pour dormir (ce qui est bien sûr faux). Il va dans la salle de bains et revient en tee-shirt, mais avec un caleçon qui lui moule terriblement le sexe. Il mavoue en rigolant quil dort habituellement nu, mais que pour moi il fait leffort de mettre un caleçon. Je lui réponds en rigolant à moitié que ce nétait pas la peine de faire cet effort !

Nous discutons côte à côte devant la télé alors que jessaie de mettre ma poitrine en avant pour lui taper dans lil. Peine perdue : Clément est fatigué et nous nous endormons dans le noir sans que nous nous touchions de la nuit. Jai du mal à mendormir, ayant des envies coquines plein la tête ; mais elles ne resteront quà létat de rêves cette nuit-là.

Le lendemain matin, nous nous levons tôt (plus quà laccoutumée pour moi) ; je laisse Clément se doucher et se préparer pendant que je moccupe du petit-déjeuner. Lorsquil sort de la salle de bains, je le trouve terriblement sexy dans son costume gris. Nous prenons le petit déjeuner lun en face de lautre alors que je suis toujours en nuisette. Je suis terriblement excitée par Clément dans cette tenue mais je ne peux pas faire grand-chose, dautant quil a la tête plongée dans son futur oral. Mais, lorsquil fait tomber son couteau, je profite de cette occasion pour écarter légèrement mes cuisses quand il se baisse pour le ramasser. Là, il bloque pendant quelques secondes et se rince lil sous ma nuisette et sur mon shorty blanc avant de se relever comme si de rien nétait. Notre petit déjeuner terminé, il emporte les clés de lappart car il doit rentrer vers midi, et part en direction de la plus proche station de métro.

De mon côté, je vais me préparer dans la salle de bains. Je profite de ma douche pour me caresser afin de faire retomber mon excitation. Prévoyant la soirée avec Clément, je décide de mettre un bel ensemble soutien-gorge string rose en dentelle, un tailleur jupe courte noir avec sa petite veste et un chemisier blanc. Pour allumer mon pensionnaire, je choisis des bas autofixants couleur chair et les mêmes escarpins à talons que la veille. Ma journée de boulot se passe normalement, sauf quelle me paraît beaucoup plus longue quhabituellement.

À 18h30, je rentre chez moi où Clément est en train de réviser pour le lendemain. Nous buvons un verre en discutant de son examen quil pense avoir réussi, puis je vais me poser sur le canapé devant la télé. Clément me rejoint rapidement et je mets alors une petite stratégie en place. Enlevant mes escarpins à talons, je fais celle qui se plaint :

Les hommes aiment bien quon porte des talons, mais ils ne savent pas que toute une journée, ça fait mal aux pieds.

Et là, je commence à me masser les pieds à travers mes bas. Clément me regarde faire puis me propose :

Ça te dit que je te masse les pieds ?

Ben, je sais pas ; ça te dérange pas ?

Tu mhéberges pendant trois jours, alors je peux bien te masser les pieds en échange. Audrey dit que je suis un as du massage !

Je me mets alors sur le côté, dos contre le mur, et remonte ma jambe droite sur ses genoux. Il commence à me masser la plante du pied. Cette position a cependant un double avantage : étant légèrement couchée avec la jambe surélevée, ma jupe glisse sur le haut de mes cuisses, découvrant le début de la jarretière de mon bas et, avec mes jambes écartées, Clément a une belle vue sur mon string rose en dentelle. Tout en faisant semblant de regarder la télé, jobserve discrètement Clément qui ne se prive pas de se rincer lil sur mon entrejambe de plus en plus humide ; je pousse le jeu jusquà le complimenter sur son massage et à émettre quelques soupirs de bien-être.

Je le laisse me masser les pieds ainsi pendant 30 minutes, espérant quil prenne des initiatives pour la suite, mais rien ne vient. À la fin du programme, je repars donc faire à manger pendant quil appelle ma cousine, me rendant jalouse de celle-ci et me laissant désemparée avec mes envies du beau Clément.

Après le repas, nous décidons de nous mettre au lit rapidement et de continuer à regarder la télé. Tentant le tout pour le tout, je décide de remettre ma nuisette rouge, mais sans culotte cette fois-ci. À 21h30, Clément me propose déteindre la télé car il ny a rien de bien intéressant et que lon sendorme, car il est bien fatigué. Je respecte son choix et nous éteignons tout.

Une heure plus tard, alors que je suis en position ftale dos à lui, je sens deux doigts se poser sur le côté de ma cuisse. Je ne bouge pas. Croyant certainement que je dors, Clément devient plus audacieux. À présent, ces deux doigts se promènent, viennent caresser ma cuisse puis le haut de mon fessier avant de descendre vers mon sexe. Là, je sens un doigt effleurer lentement ma vulve pendant un long moment. Je me décale légèrement pour laisser laccès le plus libre possible, attendant impatiemment que ce doigt aille au plus profond de moi. Cest ce quil fait un instant après, de manière très tendre. Après quelques va-et-vient, ce sont deux doigts qui me pénètrent doucement puis de manière plus vive, me faisant abondamment mouiller.

Jessaie de bouger le moins possible et fais toujours semblant de dormir. Je ne sais pas si ma feinte est crédible, mais toujours est-il quaprès quelques mouvements de draps, je sens ces doigts être remplacés par son gland, qui se pose à lentrée de mon intimité. Là, je sens son sexe entrer en moi très lentement, millimètre par millimètre, jusquà remonter au fond de ma vagin. Toujours très lentement et sans autre contact, il entame quelques doux va-et-vient. Cest la plus tendre pénétration que jai jamais connue, et cela reste un grand souvenir. Son mouvement se fait finalement plus rapide ; je commence à soupirer et à faire celle qui se met doucement à se réveiller. Il me prend alors par la hanche et met des coups de reins qui transforment mes soupirs en petits cris tandis que son bassin vient claquer contre mes fesses.

Je prends sa main qui me tient la hanche pour la poser sur mon sein lourd et, alors quil sy agrippe, il accélère le rythme pour me procurer un orgasme trente secondes avant quil ninonde mon vagin.

Nous restons enlacés lun contre lautre sans bouger, son sexe toujours dans mon intimité pendant près de cinq minutes, puis il se retire et nous nous endormons sans nous être dit un seul mot pendant ce magnifique moment.

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