C’est le matin. Enfin, façon de parler : il est déjà presque midi, mais nous, comme d’habitude, nous venons tout juste de nous lever. En général, Eric est déjà parti travailler depuis longtemps. J’abandonne mon frère pour aller prendre ma douche en premier. Mince, vu le bruit de jets d’eau, il y a déjà quelqu’un. Tant pis, je repasserais. En me voyant revenir, mon frère fait mine d’y aller à son tour :
Pas la peine, fais-je pour l’arrêter. C’est déjà occupé par une des jumelles.
Et alors ? me lance-t-il avant de s’éclipser.
Je reste planté là, une minute avant de comprendre. Non ? Il n’était pas sérieux ? Il n’est quand même pas parti la rejoindre ? Je sais bien qu’on est devenus très intimes avec elles depuis quelques jours, mais tout de même, c’est aller un peu loin. J’attends, il ne revient pas. Cela doit vouloir dire qu’elle ne l’a pas jeté dehors. Putain, je suis deg. Le connaissant, il doit être en train de la baiser à l’heure qu’il est. Ce nest pas vrai, mais ce nest pas vrai. Je suis jaloux. Je sais, c’est con, mais je suis jaloux d’être aussi coincé comparé à lui. Jamais je n’aurais eu les couilles de faire un truc pareil, et pourtant, je voudrais.
Ça commence à devenir long. Quand il réapparait enfin, il a une démarche détendue, genre celle d’un mec un peu trop satisfait de ses exploits. Il me regarde avec un petit sourire qui me dit « tu vois ? Il n’y avait pas de soucis » Putain, je suis sûr qu’il se l’est tapé, c’est obligé. Je suis furieux, si seulement j’y avais pensé avant… Je prends mes affaires pour y retourner. Mince, c’est encore occupé. L’autre jumelle sans doute ? Décidément, c’est bien ma veine. Je m’apprête une nouvelle fois à faire demi-tour, quand soudain, je m’arrête. J’hésite. Et pourquoi pas ? Je tente ma chance en essayant d’ouvrir la porte, et mon cur fait un bond dans ma poitrine en réalisant qu’elle est ouverte. Je pénètre dans la pièce. Je vois les formes floues d’une de mes cousines à travers la vitre embuée. Oserais-je aller jusqu’au bout ? Comment va-t-elle le prendre ? Et si elle s’offusque ? Je vais passer pour quoi moi encore ? Pour sûr, elles ne me laisseront plus jamais les toucher.
Ce n’est pas raisonnable, mais je me lance quand même. Je ne sais pas d’où me vient le courage de faire un truc aussi audacieux. Je me désape et j’entre dans la cabine. Elle se retourne lorsqu’elle aperçoit ma présence. À ma grande surprise, elle me sourit :
Oh, salut Andrew. Dis donc, je rêve ou tu es content de me voir ?
Elle a tout de suite remarqué mon érection. Elle me fait un peu de place puis poursuit son affaire comme si je n’étais pas là. Quoi ? C’est tout ? C’était aussi facile que ça ? Elle réagit comme si ce que je venais de faire était la chose la plus naturelle du monde. J’imagine qu’elle doit avoir l’habitude de faire ça avec sa sur…
C’est con, mais cela me perturbe. Du coup, j’essaie d’agir normalement et commence à faire ma toilette. Je m’arrête bien vite. Merde, je ne suis pas venu pour ça. Je suis venu pour baiser. Je repose le gel douche et me tourne vers elle. Elle est là, juste à quelques centimètres de moi, me tournant le dos. Je ne vais quand même pas abandonner sans même avoir essayé. Je m’approche puis je me colle contre elle en l’attrapant par les nichons. Non seulement elle ne me repousse pas, mais en plus, elle pousse un « hmmm » d’approbation en relevant la tête en arrière contre mon épaule. Je n’en reviens pas ! Je deviens fou de désir. Je lui embrasse le cou tout en frottant mon sexe contre ses fesses. Une réaction ? Non, toujours pas. Elle sait ce qui l’attend, pourquoi je suis venu, et pourtant, elle continue de me laisser faire ! Je me sens pousser des ailes. Je fais glisser une main vers son clito pour jouer avec. Elle se détend, elle fond dans mes bras, parfaitement docile.
Je profite de la douceur de sa peau et la serre contre moi pour mieux sentir que son corps trempé m’appartient. Je ne sais même pas laquelle c’est, tout ce que je sais, c’est que je la veux, plus que jamais.
N’ayant plus aucun doute sur son consentement, inutile de prolonger les préliminaires. Je ne suis pas un amant, mais un prédateur. D’un geste brusque, je la plaque contre la vitre, les seins écrasés. Elle répond en arquant du bassin pour s’offrir à moi. Je m’empresse de lui enfoncer ma verge et je la lime comme un soudard en manque. Je ne suis là que pour ça, pour tirer un coup comme le dernier des enfoirés. Pas pour la rendre folle, pas pour faire durer le plaisir, juste pour cracher du foutre le plus vite possible.
Nous ne disons pas un mot, les animaux ne parlent pas. Par contre, nous gémissons et grognons abondamment. Je la tire par les cheveux, je l’embrasse fougueusement. Elle semble apprécier ce que je lui fais. Je la ramone comme un sauvage, comme un zombie qui n’a plus qu’une seule fonction primaire encore en marche.
Son vagin est incroyable, comme s’il avait été fait pour moi. Il n’arrive cependant pas à me satisfaire complètement. J’ai besoin de plus, beaucoup plus. Je change de trou pour l’enculer brutalement. Je n’ai plus à me gêner désormais. J’ai envie de lui déchirer l’anus. Ses réactions sont plus intenses, mais pas négatives. Elle se laisse abuser comme une femelle docile. Le manège dure ainsi pendant plusieurs minutes. Je ne me retiens pas lorsque je sens venir les prémices de mon orgasme. Je me laisse éjaculer dans son cul sans savoir où elle en est. Par chance, elle semble jouir avec moi. Je lui donne quelques derniers coups de boutoir, histoire d’être sûr de m’être bien vidé, puis je l’abandonne une fois que j’ai eu ce que je voulais. Je ne saurais jamais laquelle je viens de baiser, mais peu importe. Je peux enfin retourner dans notre chambre sans être jaloux par rapport à mon frère.
Les jours qui suivent, j’ai vraiment appris à me lâcher, à ne plus avoir honte de m’abandonner à mes instincts primaux. Mon frère et moi baisons avec les jumelles dès que nous en avons l’occasion. Peu importe l’heure ou le lieu, tant qu’Éric n’est pas là. Le pauvre, s’il savait ce qu’il se passait dans cette maison… Il doit n’avoir aucune idée de combien ses nièces sont devenues de vraies salopes. Il n’est pas rare de le faire plusieurs fois par jour. Personnellement, dès que je me sens capable de bander, je vais en sauter une. De temps en temps, je me fais jeter. Dans ces cas-là, je vais voir l’autre en espérant qu’elle soit partante. J’ai quand même beaucoup de chances qu’elles aient une libido aussi développée que la mienne. Il arrive de temps en temps que j’en approche une et que mon frère soit déjà passé par là. Elle est remplie de sperme, et pourtant, cela ne la dérange pas de remettre ça avec moi. Perverse !
Je sais que ces vacances ne dureront pas éternellement, alors je veux en profiter autant que possible, sinon je sais que je vais le regretter toute ma vie. Je passe des moments formidables, sans doute les meilleures de mon existence. Pour immortaliser ça, nous faisons nos propres vidéos pornos amateurs. C’est à usage strictement personnel, cela va me donner de la matière à branlette pour les années à venir. N’empêche que si ce n’était pas mes cousines, j’aurais bien envie d’en partager quelques-unes pour frimer devant les potes.
Elles sont peut-être jumelles, mais elles sont clairement différentes. Je n’ai aucune préférence, j’aime me taper les deux. Je les baise, je les encule, et surtout, je me vide bien les couilles. Toute notion de pudeur a disparu entre nous. On se balade souvent à poil pendant l’après-midi. Il m’arrive même à l’occasion de surprendre mon frère en pleine action en entrant dans une pièce. Je n’en suis plus jaloux, je sais que je peux faire pareil. Et d’ailleurs, je ne gêne pas. Un soir, nous sommes allés réveiller les jumelles dans leur chambre pour aller les sauter. Nous avons baisé presque toute la nuit. Il a fallu quand même les abandonner au petit matin, histoire d’éviter les soupçons de leur oncle. Lorsque nous sommes tous les quatre, il arrive qu’un couple se forme et se met à copuler devant les autres. Cela ne nous choque plus. À vrai dire, cela nous excite. Quand c’est mon frère qui est en train de le faire.
Je propose toujours à la jumelle libre si elle ne veut pas qu’on s’y mette. Si elle refuse, l’autre n’est généralement pas contre une partie à trois. J’ai vite remarqué qu’elles aiment ça, avoir deux bites rien que pour elles. D’en sucer une pendant qu’elles se font défoncer par l’autre. Le truc le plus dingue qu’on a fait comme ça, c’est de prendre Lucy en double. J’ai été dans son cul pendant que mon frère lui limait la chatte. Ce qui m’a le plus marqué, c’est que cela n’avait pas l’air d’être sa première fois…
Je me demande vraiment qui sont les petits veinards qui ont déjà eu la chance de lui faire ça. Pour nous remercier de l’avoir fait jouir, elle nous a pompés jusqu’à nous faire gicler sur sa gueule. Noa et moi n’avons pas pu résister à en faire des photos. Cette salope s’est mise à poser pour nous comme une star, couverte et dégoulinante de sperme.
Si en partager une avec mon frère ne me dérange pas, je dois admettre que mon souvenir préféré restera toujours la fois où j’ai eu la chance d’avoir les deux rien que pour moi. C’est incroyable de se faire sucer par deux femmes en même temps. Surtout par de telles expertes de la pipe. Après m’avoir bien chauffé, je les ai prises toutes les deux. Honnêtement, je ne savais même plus laquelle était laquelle au bout d’un moment. Je leur ai ramoné la chatte et défoncé le cul en changeant régulièrement de partenaire pour leur donner du plaisir. Vu qu’elles sont bi, elles n’ont pas arrêté de se caresser et de s’embrasser tout le temps. Je dois dire que cela m’a donné envie de les ravager encore plus fort. Quand je faisais quelques pauses pour faire durer le plaisir, elles s’occupaient très bien sans moi en jouant avec leurs sex-toys. Ça n’a pas vraiment aidé à me calmer…
Après plus d’une heure de sexe torride et après les avoir fait jouir plusieurs fois, je me suis laissé éjaculer dans le vagin de Lucy. Cette salope de Megan lui a fait sa toilette en lui léchant mon sperme sortant directement de sa chatte. C’est une expérience que je n’oublierais jamais.
Un soir, alors qu’Eric est parti coucher, nous regardons la télé tous ensemble. Lucy, en manque, défait ma braguette pour me sucer. Je suis toujours ravi quand elle me choisit moi et non mon frère alors qu’il est libre. Megan et Noa nous observent plus que le film. Je suis un peu stressé de savoir que leur oncle n’est pas si loin et pourrait se réveiller à tout instant, mais la pipe que la jumelle me fait est tellement divine que je suis prêt à prendre tous les risques. Tout à coup, elle se dénude et se met à me chevaucher. Je joue avec ses seins. Elle est passionnée, en rut, s’empalant sur ma bite.
Hmm, j’aurais bien envie de faire pareil, pas toi ? suggère mon frère à Megan.
Non, je n’ai pas envie ce soir.
Tu plaisantes ? Tu n’arrêtes pas de les reluquer.
C’est parce qu’ils sont beaux ensemble. Cela ne veut pas forcément dire que j’ai envie de baiser.
C’est con, mais je dois dire que cela m’excite davantage de m’envoyer en l’air, sachant que mon enculé de frangin est obligé de se serrer la ceinture. Il n’arrête pas de nous regarder en se masturbant, tandis que Megan se retourne vers la télé. Il tente une approche et la pelote pour essayer de la mettre dans l’humeur, mais elle le repousse :
Mais fiche-moi la paix, j’ai dit non !
Allez, merde, tu ne peux pas me laisser comme ça ! Lucy ?! Tu peux au moins me laisser participer. Un petit double ?
Désolée, je suis très bien avec mon Andrew. Une autre fois peut-être.
Putain, les filles, vous allez me rendre dingue !
Bon OK, soupire Megan exaspérée. Je vais te sucer, mais c’est tout. Après, tu nous laisses tranquilles.
Promis !
Les mecs, je te jure…
Elle s’agenouille devant lui et se met à le pomper. Il gémit de plaisir. Je remarque à sa technique qu’elle ne fait pas ça pour le rendre fou, ni parce qu’elle aime avoir un bon gros chibre en bouche, elle cherche juste à le faire éjaculer le plus vite possible. Cela n’a pas l’air de déplaire à mon frère.
Nous revoilà tous les quatre à faire des choses sales. Nous essayons de faire le moins de bruit possible pour ne pas alerter notre hôte. Quelle tête il ferait s’il nous voyait en train de souiller ses nièces. Je pose mes mains sur les fesses de Lucy et lui donne des coups de reins pour l’accompagner. Elle se mord les lèvres pour étouffer un cri.
Noa explose dans la bouche de Megan au bout de quelques minutes. Elle avale goulûment son sperme pour ne pas en mettre partout. C’était court, mais il a l’air satisfait. Je continue de m’amuser avec ma cousine pendant encore un bon petit moment. Je me retiens pour qu’elle puisse s’amuser comme elle veut avec ma bite. Lorsqu’elle jouit, je la rejoins et éjacule au fond de sa chatte. Elle ondule du bassin pour me faire cracher tout mon jus, puis elle m’embrasse tendrement avant de se coller contre moi. Etrange, cela ne lui ressemble pas d’être douce comme ça. J’en profite pour la prendre dans mes bras. Je crois que je suis en train de tomber amoureux.
Le bonheur fait rapidement place à la déprime lorsque je réalise que les vacances sont bientôt finies. Dans quelques jours, terminées les parties de sexes endiablées, je vais retrouver ma bonne vieille main. Je ne sais pas si je vais pouvoir le supporter. J’ai peur que la tonne de photos et de vidéos que nous avons faite ne fasse qu’empirer les choses. Au lieu de m’exciter pendant mes moments solitaires, cela risque de me porter un coup en moral en me disant que je ne pourrais plus jamais vivre des moments pareils. Oh, bien sûr, nous nous reverrons l’an prochain, mais Dieu sait comment cela se passera. Est-ce qu’elles voudront qu’on remette ça ? Franchement, j’en doute. La nuit, en retournant dans mon lit, je me dis qu’il me faut vraiment que je me trouve une copine…
***
Quelles vacances ! J’aime bien mes cousins, mais en général, je les trouve un peu ennuyeux. J’ai trouvé ça très amusant cette année d’essayer de les corrompre pour qu’ils couchent avec nous, et cela m’a beaucoup excitée de dépuceler le petit Andrew. Si elle semblait un peu réluctance au début, je pense que Megan a autant adoré que moi de transformer ces deux branleurs en pervers assoiffés de sexe. C’est encore meilleur de savoir qu’on fait ça avec des gens de notre propre famille et que nous avons réussi à les convaincre de passer outre cette barrière mentale. J’aime rendre les hommes fous, ivres de désir, jusqu’à ce que tout ce dont ils soient capables de penser, c’est de nous baiser. Je dois dire aussi qu’après une année aussi chaude, je n’avais vraiment pas envie de passer des vacances chastes sous prétexte qu’on reçoit de la famille.
Ce sont les dernières vacances avant notre passage à l’université, je ne voyais pas de meilleure façon de les passer qu’en s’envoyant en l’air tout le temps.
Je culpabilise beaucoup pour Eric. Pas parce qu’on lui cache des choses après tout, ce n’est pas la première fois, et de toute façon, il nous a donné l’autorisation de faire ce que nous voulions dans son dos , mais parce que lui, il se retient. Il ne doit demander que ça, de passer ces derniers mois en notre compagnie à nous sauter comme ses chiennes, et moi aussi, j’en ai terriblement envie. Heureusement, une fois les cousins partis, il sera officiellement lui aussi en vacances et nous pourrons rattraper notre retard jusqu’en septembre.
Il y a une autre chose qui me dérange beaucoup : c’est Megan. Je me fais du souci pour elle. Son mec est super ouvert, il a fait beaucoup de compromis pour elle, mais il y avait UNE règle à respecter : ne pas se faire sodomiser par un autre que lui, et elle l’a enfreint. Je ne trahirais jamais ma sur en le disant en Eric, mais cela ne m’empêche pas de me sentir mal et tiraillée. J’aime notre oncle et je ne veux pas qu’il souffre, il ne mérite pas ça. J’ai vraiment été furieuse le jour où j’ai découvert Megan en train de se faire prendre en double par nos cousins dans leur chambre. Les garçons s’en donnaient à cur joie à la prendre en sandwich et à la défoncer comme la dernière des chiennes. J’avais envie d’entrer et de l’engueuler, mais elle hurlait tellement de bonheur que je n’ai pas voulu l’interrompre. Je sais combien c’est bon de se faire ramoner par deux hommes en même temps, je comprends qu’elle soit frustrée de ne pas pouvoir faire ça comme elle le veut, mais tout de même…
J’ai attendu et je les ai regardés. Ils l’ont prise comme ça pendant dix bonnes minutes avant d’éjaculer dans sa chatte et son cul. Je n’ai pas su compter combien de fois elle a joui. Ses orifices débordaient de sperme lorsqu’ils se sont retirés. Elle les a sucés pour les nettoyer. Je suis partie un peu avant qu’elle ne quitte la chambre, puis j’ai eu une sérieuse discussion avec elle.
J’avais très peur qu’on s’engueule, mais elle est restée très évasive face à mes reproches. Pour elle, ce n’est pas si grave, il ne faut pas en faire un drame, tant qu’Eric n’est pas au courant, elle ne fait rien de mal. Je ne suis pas d’accord : une promesse et une promesse. Même s’il l’ignore, cela reste une trahison. Comment en est-elle arrivée là ? Est-ce ma faute ? À force de la pousser au vice, je suis peut-être allée trop loin. Je ne sais pas. Je n’ai aucune envie d’être mêlée à ça, mais tant que je détiens ce secret, je suis impliquée. Je suis piégée, quoi que je fasse, je suis coupable. Soit je le dis à Eric, et je perds une sur, soit je me tais, et je risque de perdre mon oncle. Je ne peux pas y faire grand-chose, hormis la surveiller et faire gaffe à ce qu’elle ne recommence plus. Pour cette raison, je dois avouer que j’étais un peu soulagée lorsque les cousins sont enfin partis.
Cependant, je n’ai fait que remplacer une angoisse par une autre : maintenant, je dois affronter Eric et le regarder tous les jours dans les yeux en sachant la vérité.